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Proposée le 18/11/2012 par Olimpia
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Jeudi 1er Novembre
"The best and most beautiful things in the world cannot be seen or even touched. They must be felt with the heart." ? Helen Keller
Cher journal,
Le premier pas était franchi. J'avais enfin décidé après un mois d'échanges cordiaux par SMS de le rencontrer. A. habitait Angers la semaine pour ses études d'ingénieur. Ainsi, il m'avait proposé de passer la journée avec lui pour une visite de la ville et également pour se connaître un peu mieux évidemment.
Le trajet en train ne fut pas très long. Je m'étonnais d'ailleurs de la ponctualité de la SNCF et de l'absence de grèves pourtant bien fréquentes.
[10h15]
Je descendais du wagon et le cherchais parmi la foule groupée sur le quai. Je marchais de long en large, pensant qu'il m'avait poser un lapin ou bien qu'il était simplement en retard ou encore que quelque chose de terrible lui était arrivé.
Je m'asseyais alors sur le premier banc qui se présentait à moi et sortit un roman de Céline Minard que j'avais déjà parcouru des centaines de fois: "So long, Luise". J'étais plongé dans ce livre, je me noyais dans les lignes, dans ces mots déversés sur le papier. Je croquais littéralement chaque page du livre et ne remarquait même pas que quelqu'un s'était assis à côté de moi.
J'entendis une belle voix grave qui me murmura à l'oreille: "Une si belle jeune femme ne devrait pas être seule en train de lire sur un banc..."
Je sursautai et tournai la tête vers mon interlocuteur. C'était bien lui, ses yeux bleus perçants me détaillaient comme deux grands projecteurs. Je restais immobile, les yeux grands ouverts. J'étais comme paralysée par la présence de ce beau Dandy blond. Un baiser sur la joue me tira de cet état de statue de glace. Son parfum était enivrant, j'aurai pu rester toute une éternité à le sentir, à connaître par coeur cette fragrance. Ses lèvres délivraient une chaleur et une douceur qui parcouraient tout mon corps. J'aurai voulu pouvoir sentir encore et encore la rugosité de sa barbe, me frotter encore et toujours.
- J'imagine que tu n'as pas pris un petit-déjeuner ce matin. Allons chez moi prendre un bon chocolat chaud, tu as l'air glacée, me dit-il tout en effleurant ma joue de sa main.
[10h48]
Je venais d'arriver chez lui après un trajet en voiture, très agréable je dois dire. Nous étions tous les deux des croqueurs de la vie, des boute-en-train, de bons vivants. Nous riions de tout et de rien, d'une personne tirant la tête, des paroles d'une chanson de RnB un peu trop puériles, etc.
- Assied-toi princesse, fais comme chez toi. Il m'enleva mon manteau et m'embrassa sur le front. Je trouvais cette proximité un peu trop rapide, c'était la première fois que nous nous rencontrions mais j'étais comme attirée vers lui. C'était comme si nous nous étions déjà connus, aucun de ses gestes, de ses attentions ne me paraissaient déplacées.
- Tu peux aller prendre une douche si tu le souhaites, je vais préparer les boissons.
Je lui demandai où était la salle de bain et me dirigea vers le fond du couloir. Je commençais à peine à retirer ma robe qu'il entra dans la pièce avec un peignoir à la main. Je criai de surprise et de peur.
- Ne sois pas si pudique, une sylphide aussi sensuelle que toi mérite d'être regardée.
Il déposa le peignoir sur le bord du lavabo, embrassa tendrement mon épaule dénudée et sortit.
Je me déshabillai et entrai dans la douche. Je fis couler l'eau afin qu'elle soit très chaude et commençai à me savonner le dos. Tout d'un coup, je sentis des mains sur mes hanches. Il me murmura ces mots:
- Laisse-moi te savonner, détend-toi, fais-moi confiance.
Il se collait à moi. Je pouvais sentir son torse contre mon dos, sa bouche dans mon cou, ses mains caressaient mes bras et remontaient sur mes épaules. Son sexe était en érection, je le sentais qui frôlait mes fesses. L'éponge gorgée de savon glissait sur tout mon corps: mes cuisses, mes hanches, mes seins, mes épaules, mes bras, mon cou, mon visage. Il n'avait pas tenté de me caresser ni même de me faire l'amour. Nous nous enlacions et nous embrassions sous la douche.
Nous sortîmes de la douche et je me vêtis du peignoir. Il restait immobile, à me regarder. Son regard me gênait, je ne savais pas ce qu'il pensait. Peut-être le dégoûtai-je? J'étais si ignoble que ça?
- Tu me plaît énormément, pardonne-moi si j'ai été trop rapide mais quand il y a une attirance entre deux personnes, il ne faut pas attendre.
Devrai-je le croire? Était-il sincère et honnête?
[14h29]
Je venais de m'éveiller. J'avais du m'assoupir dans ses bras devant la série qui nous regardions. Et je me retrouvais dans son lit. Habillée. Lui aussi s'était endormie à mes côtés. Il était si beau quand il dormait. Je ne pouvais m'empêcher de caresser son visage. C'est alors qu'il ouvrit les yeux. En une fraction de secondes, il se retrouva sur moi et me bloqua les bras. Je ne pouvais résister. Il posa un baiser sur chacun de mes seins qui commençaient à durcir. Puis sa bouche trouva mes lèvres, il m'embrassait langoureusement tout en caressant mes seins. Ses caresses devenaient de plus en plus fermes, il pinçait mes tétons à travers le tissu de ma robe. J'éprouvais beaucoup de plaisir sous ses caresses, cela m'excitait énormément, je sentais que ma chatte commençait à mouiller.
Ses mains lâchèrent mes bras et descendirent vers mon shorty. Il s'amusait à caresser la dentelle cousue sur le tissu. Je réclamais que ses mains aillent plus loin mais il s'y refusait. Il s'amusait à me caresser à travers le tissu qui s'humidifiait de plus. Puis ses doigts atteignirent enfin mon vagin déjà très lubrifié naturellement.
- Saute cette étape, j'ai très envie de toi... lui murmurai-je.
Je lui débouclai sa ceinture, fit glisser son jean et son boxer et pris son sexe en main. Je le guidai vers ma chatte qui n'en pouvait plus d'attendre. Il me pénétra rapidement et son sexe vint buter au fond du mien. Il entreprit de longs allers-retours très lents puis de plus en plus violents, chaque coup de reins me faisait crier de plaisir. C'était à la fois doux et violent. Ses yeux ne quittait pas les miens jusqu'à ce que je le sente se vider en moi. Son sperme coulait de mon vagin et coulait de long de mes cuisses. Il garda son sexe dans le mien jusqu'à ce qu'il se raidisse enfin.