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Proposée le 12/11/2012 par Vanousse
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Voici la version masculine du récit Patron.
J'ai engagé une nouvelle employée. Mes consignes pour l'entrevue sont simples. Je lui ai demandé de me sucer en arrivant, comme ça sans préliminaire. Et ensuite, je lui mettrai une fessée pour avoir été si ingrate. J'espère qu'elle respectera l'entente. Je suis un Maître. J'aime dominer. Il me faut donc une soumise, une vraie chienne. Je l'attends pour 10h précise. J'espère pour elle qu'elle est ponctuelle et pour moi que non. J'aurai une raison de plus pour la punir si elle ne l'est pas. J'aimerais beaucoup pouvoir la baiser sans aucun respect. La baiser comme un animal. 9h50, on cogne à la porte. Cela doit être elle. Je suis quelque peu déçu qu'elle soit ponctuelle. J'ouvre la porte sans dire mot. Elle est sublime. Habillée comme convenu, un décolleté plongeant qui met en valeur sa poitrine ferme. Elle porte aussi une jupe, assez courte, qui laisse deviner des cuisses puissantes et un fessier rebondi. J'ai hâte de voir ce qui se cache là-dessous. Mes réflexions ne sont même pas terminées qu'elle entreprend de défaire ma braguette pour entreprendre sa première tâche. Je bande instantanément, c'est un chienne, une vraie. Elle n'a pas hésité une seconde avant de commencer. Elle prend son temps et titille mon gland du bout de sa langue, elle descend le long de ma verge et elle poursuit son chemin jusqu'à mes testicules. Elle refait le chemin en sens inverse et décide de terminer sa tâche, elle enfonce mon membre au plus profond de sa gorge pour me faire une fellation. Je perds le fil. C'est si bon. Il est rare qu'une femme prenne autant de plaisir à sucer une bite. Elle sait comment donner du plaisir à un homme. Elle continue ainsi un moment. Une vraie professionnelle, ce n'est clairement pas la première queue qu'elle met dans sa bouche cette salope. C'est si bon, mais je dois me concentrer. Je ne peux pas venir tout de suite, je dois la punir pour ce qu'elle vient de faire. Je la tire donc par les cheveux pour la forcer à se relever. Elle gémit de plaisir, subtilement. Elle se laisse prendre au jeu. Elle ne doit pas laisser paraître qu'elle apprécie le moment. Je vais m'arranger pour la faire craquer. Je la retourne vivement, le tronc couché sur la table. Une main bien en place dans le creux de son dos. Je relève brusquement sa jupe et tasse sa petite culotte pour vérifier mes dires. Je glisse un doigt sur sa fente. Oh oui, elle aime ça. J'avais raison. Elle mouille. Une vraie salope. Sans plus de préambule, je lui inflige la fessée qu'elle mérite sur la fesse gauche, alors qu'avec mon autre main j'entreprends de la doigter avec mon majeur et mon index. Au moment où j'introduis mes doigts elle échappe un cri. De douleur ? De plaisir ? De surprise ? Je ne saurais le dire. Peu m'importe au fond. Je continue de la doigter violemment. Elle te de se relever un peu, mais je maintiens la pression sur le bas de son dos. Elle ne peut pas bouger. Elle m'est soumise, totalement. Subitement, j'enlève ma main de son dos. Elle se relève. Je lui arrache sa jupe et sa petite culotte et lui intime l'ordre de lever les bras. Je lui enlève son chandail et son soutien-gorge. La voilà nu. Nue et soumise. Je me dirige vers la chambre à coucher, et toujours sans prononcer mot, je lui fais signe de me suivre. Je la prends par la taille, la soulève et la projette sur le lit. Le jeu se poursuit. Encore. Elle attend, les jambes écartées. Elle a hâte la chienne, ça paraît. Je prends mon temps pour me déshabiller. Question de la faire languir encore plus. Je la regarde en même temps. Dieu qu'elle est bandante ! J'avance doucement tout en me masturbant, malgré que ce soit plutôt facile de garder son érection avec une vision pareille dans son lit. Je m'allonge sur elle et commence à la mordiller. Le cou, les oreilles. Elle halète, elle aime ça. J'agrippe ses poignets question de la soumettre encore un peu plus. Je les place doucement au- dessus de sa tête. Mes mains sont assez grandes pour les retenir d'une seule main de toute façon. De l'autre main je continue mes caresses. Je descends le long de ses bras, de son épaule, je poursuis sur mon flanc vers ses mamelons durcis. Je la sens frissonner. Elle se tortille sous moi, elle me veut. Maintenant. Moi aussi j'ai envie d'elle, mais le jeu est rendu trop loin. Je ne peux pas céder maintenant. Je prends le risque d'enlever ma main de sur ses poignets. C'est une soumise jusque dans les tréfonds de son âme. Elle a compris le jeu, elle ne bougera pas. Je peux enfin goûter à ce corps. Je refais le même chemin avec ma langue. Elle goûte bon, un peu sucré. Je poursuis mon exploration jusqu'à sa fente. J'entreprends de lui faire le meilleur cunnilingus de sa vie. Je fais partie des hommes qui aiment le pratiquer. Je me sens fort. Je la domine. Elle m'est soumise. Soumise à son plaisir et au mien. Elle m'agrippe les cheveux avec ses deux mains, elle se tortille de tous les sens. Mais je ne relâche pas mon emprise pour autant. Elle m'appartient et elle va jouir aussi longtemps que je l'aurai décidé. Question de rendre la chose plus amusante, je recommence à la doigter en même temps. Sa respiration s'accélère encore un peu, elle se retient je le sens. Mais j'ai décidé qu'elle devait jouir. Maintenant. C'est moi le Maître. Je glisse un doigt dans son anus. Immédiatement elle se cambre et lâche un cri de jouissance. Puissant. Je n'arrête pas. Je continue. Sa jouissance est longue et épuisante. Elle retombe, molle, satisfaite et vidée de toute énergie. Ma bouche remonte le long de son ventre, ses seins, son cou. Le temps de lui laisser reprendre ses esprits. Je sens que son cœur a repris un rythme normal. D'un mouvement sec je la retourne sur le ventre et lui fait comprendre de s'installer sur ses coudes. C'est le moment où je vais la traiter comme une chienne, sans respect. Je la pénètre brusquement. Elle ne crie pas, mais je m'en fou. Elle pourrait hurler que cela ne me ferait rien. Je m'active de plus en plus vite. Je remarque à peine qu'elle recommence à haleter. Haleter comme un animal. Elle se soulève un peu plus sur ses avant-bras et glisse une main vers son entre-jambes. Je sens l'onde de plaisir monter en moi. La voir si salope augmente mon plaisir. Je ne pense plus à rien d'autre, j'accélère encore... et je viens. Longuement. En elle. Au même moment, elle se cambre de nouveau. Nous jouissons à l'unisson. Maintenant vidés de toute énergie.