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Proposée le 2/11/2012 par fabien92
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Tu arrives à 19h, avec un de tes potes. Vous êtes deux gars virils, sûrs de vous, et vous savez pourquoi vous venez, vous en avez déjà rigolé sur le trajet. Je vous ouvre la porte, je suis intimidé, je sais que je vous ai invité pour que vous puissiez essayer de sauter ma femme, je rougis un peu et j'ai la voix mal assurée. Vous entrez, Hélène vous dis bonjour, elle est sympa avec vous, cordiale, vous vous faites la bise, tu poses ta main sur sa hanche en lui faisant la bise, ton pote aussi quand vient son tour. Vous matez ses seins à travers son chemisier (100 D), elle a l'habitude, tous les mecs ont les yeux accrochés à ses seins quand ils sont avec elle.
On passe au salon pour prendre l'apéritif, tu t'assieds sur la canapé à côté d'Hélène, ton pote et moi on s'assied sur des fauteuils. On boit un verre, Hélène vous demande comment vous m'avez connu, tu expliques qu'on était au lycée ensemble, tu racontes comment tu t'étais tapé une de mes copines dans les chiottes un jour où tu m'avais laissé en salle d'études faire un devoir pour toi, ton pote rigole, je baisse un peu les yeux. Tu me demandes de vous resservir, et chaque fois que je sors de la pièce pour aller chercher à boire, toi et ton pote vous draguez ma femme, vous lui faites des compliments sur son décolleté. Elle est en jupe assez courte, et forcément quand elle est assise sur le canapé la jupe remonte et vous voyez le haut de ses cuisses.
Quand c'est à son tour d'aller rechercher à boire, tu la suis et tu te colle un peu à elle dans la cuisine, l'air de rien. Même chose quand ton pote l'accompagne le coup suivant, sauf qu'il lui met la main au fesses et elle lui colle une petite baffe, mais pas méchante.
On passe à table, je ne parle presque plus, tu es assis à côté d'Hélène, et ton pote est de l'autre côté, vous vous amusez à lui caresser les cuisses sous les tables, elle repousse vos mains, plus ou moins, ça se voit et moi je suis en face, mais ça n'a pas l'air de vous gêner. Vous parlez avec elle, vous riez, vous êtes à l'aise. A un moment tu te lèves pour regarder par la fenêtre : tout le monde voit une énorme bosse sous ton pantalon, ton pote rigole "eh ben Fabrice, t'es au garde-à-vous !". Tu souris sans répondre, Hélène n'arrive pas à décrocher son regarde de ton énorme érection.
Tu me dis "viens à la cuisine", faut que je te dise un truc". Je te suis, tête baissée, bien soumis, tu marches devant. Là, dans la cuisine, tu me dis "allez casses-toi, ça devient chaud, je vais la déglinguer, ta salope" ; je ne réponds pas, j'hésite un peu avant de te laisser maître des lieux. Tu me mets une petite baffe et tu dis, plus fort "allez tires-toi connard, je vais baiser ta femme" ; tu prends ta queue dans ta main, à travers ton pantalon, et tu dis en me montrant cette bosse "t'as vu, là faut que je la tringle, j'en peux plus". Tu me remets une petite claque, et là je craque, j'ai les larmes aux yeux, je dis "bon ok, mais je vais où ??" et tu réponds "je m'en branle connard, tu te casses ; t'as qu'à dire que t'as oublié un dossier important à ton bureau et que t'en as besoin pour demain, et tu t'arranges pour mettre au moins une heure avant de rentrer, le temps que je la tringle bien dans tous les sens". Je ne réponds plus rien, je n'ai plus de volonté, c'est ta volonté qui s'impose, je me sens absent de mon corps, uniquement soumis à ta volonté de mâle dominant.
On revient dans le salon, ta trique est de plus en plus visible à travers le pantalon, tu dis "fabien a un truc à dire", et tout en baissant les yeux je dis "je dois absolument aller cherche un dossier important au bureau, j'en ai pour un moment, mangez le dessert sans moi ...". Tout le monde a compris ; ma femme réponds "ok" avec une voix altérée, ton pote rigole doucement. Je sors immédiatement, les joues en feu, le cerveau complètement retourné. Toi tu rigoles franchement.
Dès que je suis sorti, tu t'approches d'Hélène, tu lui dis "allez j'ai envie d'un bisou, ton mari n'est plus là, tu as vu dans quel état je suis ?", elle sourit, fais semblant de résister, tu poses tes mains sur ses hanches, elle tourne la tête en souriant, tu l'embrasses dans le cou en murmurant "c'est toi mon dessert", elle dit "tu exagères, c'est n'importe quoi" avec une petite voix excitée, tu remontes une main sur un de ses seins à travers son corsage, elle ne se débat pas, tu arrives enfin à ses lèvres et tu commences à lui rouler une bonne pelle, qu'elle te rend, pendant que ta main gauche caresse un de ses gros seins et que ton autre main descend sur le haut de sa cuisse. Ton pote dis "eh y'en aura pour tout le monde j'espère", et tu lui fais signe que oui.
Tout en continuant à embrasser ma femme sur la bouche et dans le cou et à la caresser de plus en plus directement, tu lui dis "faut se dépêcher, on a une heure pour te faire jouir", elle caresse tes épaules et tes pectoraux, la partie est gagnée pour toi. Tu lui dégrafe son corsage, et elle se retrouve en soutien gorge blanc à dentelle. Tu la lâches 2 secondes et tu enlèves ton pantalon, ton pote est assis et il vous mate en caressant sa queue à travers son jean.
A ce moment-là, je rentre, je suis sorti depuis à peine 2 minutes, je te vois en boxer avec ton pantalon à la main et ta bite qui fait une bosse énorme, et ma femme debout à côté de toi en soutien-gorge, les joues rouges. je balbutie "j'ai oublié de prendre les clefs de mon bureau ..." et tu souris, tu me dis "ben vas les chercher et laisse-nous". Je m'exécute, et je claque la porte en sortant.
Dès que je suis ressorti de l'appart, tu regardes hélène et tu lèves les yeux au ciel, elle sourit d'un air navrée elle aussi, et ton pote s'esclaffe "putain mais quel tapette ce mec !!! j'y crois pas !!". Tu as repris ma femme dans tes bras, et tu lui dis "bon ben là c'est clair, il va pas nous faire chier ton mari". Elle rigole et attrape ta queue, tendrement, à travers ton pantalon, elle se passe la langue sur les lèvres, tu attrapes sa langue avec tes lèvres et tu la suce lentement, tes mains remontes derrière son dos et tu dégrafes doucement son soutif, ton pote se penche pour mieux voir, tu enlèves doucement le soutif et ses deux gros seins apparaissent, gros et fermes comme deux obus, tu les prends chacun dans une main, tu fais un pas en arrière pour mieux les voir, tes yeux sont exorbités, tu te lèche les lèvres e caressant ces deux nibards de rêve, hélène ferme les yeux et gémis doucement, tu joue avec ses tétons entre tes doigts, tu lui murmures "je vais t'arracher ta culotte, salope ...". elle ne se défend pas.
Alors tu l'attrapes, tu la jette sur le canapé, tu te places entre ses cuisses, tu remontes sa jupe, tu baisses ton boxer et tu sors ton énorme bite et tu commences à la frotter contre la chatte d'hélène à travers sa culotte, elle est déjà toute mouillée, ton pote sors sa queue et commence à s'astiquer vigoureusement. Tu recommences à lécher les seins de ma femme, en position du missionnaire, et elle t'enlève ton tee-shirt et caresses ensuite ton dos, tes bras, tes épaules, tes muscles.
N'y tenant plus, tu te soulèves un peu, tu lui lèves les jambes en l'air, et tu lui enlèves sa culotte. Ton pote se lève pour mieux voir, tu te recouches sur hélène, tu prends ta queue dans une main et tu la décalotte, et tu l'approches de la fente de ma femme. Tu lui caresses un peu la fente avec ton gland, c'est de plus en plus mouillé, et tu commences à l'enfoncer dans sa chatte. Elle gémit doucement en se mordant les lèvres, et tu recommences à lui sucer les seins. Tu enfonces ta queue, lentement, et tu finis de la pénétrer. Elle murmure "elle est grosse ... elle est très grosse ..." et tu lui lèches les seins sans lui répondre. Ta queue est entièrement dans le vagin d'hélène, et tu commences à la pilonner sans ménagement. Ton pote n'en perds pas une miette, il regarde et te dis "vas-y salaud, baises-la bien ... défonces-lui sa chatte !".
N'y tenant plus, tu te soulèves un peu, tu lui lèves les jambes en l'air, et tu lui enlèves sa culotte. Ton pote se lève pour mieux voir, tu te recouches sur hélène, tu prends ta queue dans une main et tu la décalotte, et tu l'approches de la fente de ma femme. Tu lui caresses un peu la fente avec ton gland, c'est de plus en plus mouillé, et tu commences à l'enfoncer dans sa chatte. Elle gémit doucement en se mordant les lèvres, et tu recommences à lui sucer les seins. Tu enfonces ta queue, lentement, et tu finis de la pénétrer. Elle murmure "elle est grosse ... elle est très grosse ..." et tu lui lèches les seins sans lui répondre. Ta queue est entièrement dans le vagin d'hélène, et tu commences à la pilonner sans ménagement. Ton pote n'en pers pas une miette, il regarde et te dis "vas-y salaud, baises-la bien ... défonces-lui sa chatte !".
Toi tu continues à la tirer bien sauvagement, tu lui déglingues le minou, elle s'accroche à tes épaules, ton cul montes et descend chaque fois que tu lui enfonces ta bite, les lèvres de sa chatte sont déformées par la taille de ta bite, elle gémis de plus en plus, elle descend ses mains sur tes fesses, elle les caresse, tu continues de pilonner, tu regardes ses seins qui bougent sous toi pendant que tu la tringles, ses cuisses sont repliées autour de tes hanches, tu accélères le rythme, elle gueule comme une pute.
Là tu t'arrêtes, tu sors ta queue, et tu retournes ma femme, tu la mets en levrette, tu la force à bien cambrer son cul, et tu lui renfonces ta grosse bite, elle gueule, ça lui fais mal et ça lui fait du bien en même temps. Tu lui tiens les hanches et les fesses pour pouvoir t'enfoncer dans son ventre au maximum, tu pousses ta queue, tu lui élargis la chatte. Tu lui redresses le buste pour pouvoir poser tes mains sur ses gros seins, tu les malaxes dans tous les sens, elle renverse la tête sur ton épaule en haletant.
Tu la retournes à nouveau, et tu la reprends en missionnaire, en mettant ses cuisses par dessus tes épaules, elle a les jambes en l'air et toi enfoncé en elle. Elle gueule, toi tu ne penses plus à rien, qu'à soulager ta grosse bite, te vider les couilles dans cette chatte de salope, pendant que ses deux gros seins bougent sous tes yeux. Tu gémis "putain j'ai pas de capote ... j'ai trop envie de jouir, je vais te juter dans la chatte, salope ... t'as envie ?" et elle répond en fermant les yeux "oh oui, encore vas-y, viens, remplis-moi !!" et tu te mets à jouir à ce moment-là, tu lui remplis la chatte de foutre. Ton pote hallucine, il dit "ouah salaud, tu lui balances tout dans le minou, t'es un gros salaud toi !!!".
Tu restes soulevé sur tes avant bras, ta queue encore dans le vagin de ma femme, elle reprend doucement ses esprits, toi aussi, tu regardes encore ses sens, tout en te calmant un peu. Elle ferme les yeux. Au bout de quelques instants, tu te retires d'elle, et tu lui dis d'aller se passer sous l'eau dans la salle de bains.
Tu restes à poil sur le canapé, en débandant lentement. Ton pote tiens une trique d'enfer. Il est tout fou, il n'en revient pas, il dit "putain, c'est chaud, c'est chaud, quelle salope cette meuf !!! putain et l'autre cocu qui nous laisse baiser sa femme et qui ferme sa gueule !!! et tu l'a tirée sans capotes, t'as du prendre ton pied !!!!".
Toi tu respires lentement, tu es fier de toi, content d'avoir tiré ton coup, ça t'a fait du bien, et le corps d'hélène t'excite vraiment.. Tu écartes les cuisses, à l'aise sur le canapé, ta grosse queue redescend petit à petit. Tu murmures" putain c'est vrai qu'elle est bonne ... elle est super bonne ...".
Hélène reviens quelques instants plus tard. Elle a remis une culotte, mais elle reste seins nus. Toi et ton potes vous fixez le regard sur ses gros seins, droits comme deux obus. Elle cherche son soutien-gorge, mais ton pote l'attrape en arrivant derrière elle, il pose ses mains sur ses seins et lui dit "attends, tu vas pas te rhabiller, là ??". il est toujours habillé, mais en la tripotant, il enlève son tee-shirt d'une main, et frotte sa braguette contre ses fesses. Elle se laisse faire, mais dit "attends, attends ...". Ton pote sors sa bite de sa braguette et lui dit "salope, j'attends pas, vas-y suce !! allez suce grosse chienne !". Il lui appuie sur la tête, elle se mets à genoux, en culotte et toujours seins nus, et elle ouvre la bouche, elle prends sa queue dans une main, et elle le regarde. Il lui tient les cheveux et lui lui enfourne sa bite dans la bouche. Elle ferme les lèvres et commence à pomper, mais ça ne lui suffit pas, il se branle dans sa bouche en donnant des coups de queue entre les lèvres de ma femme. Tu lui dis "eh elle étouffe à moitié, avec ta queue dans la gorge" et il répond "putain, rien à foutre, faut qu'elle me pompe cette pute !". Ma femme descend son jean et son caleçon avec ses deux mains, et elle lui caresse les couilles et les fesses. Il finit d'enlever son jean en levant les pieds et il balance ses baskets tout en donnant des coups de bite sur le visage d'hélène. Elle ouvre toujours la bouche et il rigole "putain elle en redemande cette meuf, c'est un vrai garage à bites ! on a bien fait de venir !". Tu te touches la bite et tu dis "au fait il va bientôt revenir, l'autre cocu" et ton pote répond "rien à foutre. Suce salope !".
Ton pote est debout, hélène à genou devant lui, sa grosse queue enfoncée dans sa bouche qui salive sur ce beau morceau, et toi tu es assis sur le canapé, les jambes écartées, et tu regardes les seins d'hélène qui bougent au rythme où elle suce la queue de ton pote. Le spectacle te fait de l'effet, et ta queue recommence à raidir. Ton pote le voit et te dis "ben t'es en forme mon fabrice !!" ; il prends la tête de ma femme pour lui faire lâcher sa bite, et il vient s'asseoir à côté de toi, les jambes écartées aussi, et il lui lance "allez viens, fais-toi plaisir, régales-toi ma salope, deux grosses queues de mecs à sucer rien que pour toi !". Hélène vient à quatre pattes devant vois, et elle prend ta bite en bouche et commence à te la sucer en gorge profonde, en levant les yeux vers toi ; tu lui dis "malaxes toi les seins, grosse pute", et elle obéit. La vision de cette belle salope en train de te pomper et de se toucher les seins te fais bander encore plus dur. Ton pote réclame "à moi, à moi !" et hélène se précipite sur sa bite et l'avale à son tour ; il pousse un soupir de plaisir et rejette la tête en arrière. Pendant ce temps, tu te lèves, tu vas chercher ton portable qui traîne dans la poche de ton pantalon, et tu reviens sur le canapé, en position pour te faire sucer le zob. Hélène alterne, allant d'une bite à l'autre, et branlant vos deux queues. Tu mets ton portable en caméra, et tu commences à la filmer en train de vous sucer, juste un petit film de 30 secondes, mais tu l'envoi illico à plusieurs de tes potes, avec un message donnant l'adresse de mon appart et en signant le message avec ton prénom et celui de ton pote.
A ce moment, tu entends la porte de l'appart s'ouvrir, c'est moi qui revient avec un dossier sous le bras. J'entre dans le salon et je vois vos deux queues énormes et dressées, et ma femme qui suce vos bites en alternance. C'est bien ce que je voulais, et c'est pour un truc dans ce genre que je vous ai invité à dîner, mais je suis quand même choqué : c'est différent de le voir en vrai !! et je ne veux pas non plus qu'hélène se doute que j'espérais ça. Alors je geins un peu : "ah non, c'est dingue, vous pouvez pas faire ça, c'est dégeulasse de vous faire sucer par ma femme dès que j'ai le dos tourné !". Hélène étant en train de pomper ton pote, il lui appuie sur la tête pour l'empêcher d'arrêter, et il me menace "tu fermes ta gueule, cocu, ou bien on te passe à tabac !". Tu te lèves, la queue toujours en érection, et tu viens vers moi. Je laisse tomber mon dossier, je m'attends à prendre un énorme coup de poing, mais tu me mets juste une nouvelle petite baffe, tu me souris gentiment, et tu me murmures "allez, fermes-la connard, on va juter sur ta meuf. viens". Tu m'attires à l'autre bout du salon, et tu m'ordonnes de me déshabiller. Comme je refuse, tu me dis, toujours gentiment "allez fais pas chier, sinon on t'explose la gueule, cocu". Je me déshabille, complètement subjugué, je suis sans volonté. Je me retrouve en slip. Tu prends le cordon qui retient les rideaux, et tu me dis de me coucher par terre, sur le ventre. J'obéis dans résister. Tu attaches mes poignets avec le cordon du rideau, tu me mets une petite claque sur les fesses, et tu rigoles. Ton pote, toujours en train de se faire sucer, se marre carrément. Tu reviens à côté de lui, et tu dis à ma femme "allez mange moi la queue, pétasse", et tu lui prends la tête pour qu'elle vienne avaler ton gros membre.
A ce moment-là, on sonne à la porte. Ton pote se lève pour ouvrir, nu, la bite à l'air. Je prie pour que ce ne soit pas un voisin attiré par le bruit. C'est un de vos potes qui habite près de chez moi, qui a reçu ton mms et qui rapplique, à l'affût d'un coup à tirer dans la chatte d'une bombasse. Ton pote le fait entrer, il arrive au salon, il voit ma femme en train de te sucer le zob, moi attaché en slip par terre, et il se marre comme un dingue, il dit "putain c'est le mari ????" et ton pote lui explique comment vous avez commencé à grimper ma femme en mon absence et comment vous m'avez ligoté à mon retour. Ton deuxième pote se déssape rapidement en écoutant. Toi, tu sens que ça monte, tu regardes les lèvres et la langue d'hélène te sucer amoureusement, ton gland gonfle, gonfle, et tout d'un coup tu lui jutes au visage. Tu lui renfournes ta bite dans la bouche pour finir de jouir au fond de sa gorge. Ton deuxième pote dis "purée, sans capote ??" et tu réponds "j'lui ai déjà jouis dans la chatte tout à l'heure". Je pousse un petit gémissement, et tu rigoles en complétant "ah oui il était pas au courant !". Ton premier pote, qui n'a évidemment pas débandé, puisqu'il n'a pas encore juté, viens derrière hélène, qui est restée à quatre pattes, le cul en l'air, cambrée avec la tête entre tes cuisses, renfonces sa bite dans la chatte d'hélène, en se retournant pour commenter devant votre deuxième pote "t'as vu comme elle prend bien ? t'as vu comment je lui lime son petit abricot ?". Tu lui dis "attends, moi j'ai jouis sans capotes, mais faut pas exagérer, on va pas tous lui balancer la purée au fond de la chatte !". Ton pote dit "ok, mais t'as des capotes, toi ?". Je retourne le visage vers vous et je dis, les yeux embués de larmes "y'a un distributeur de capotes juste à deux minutes, dans la rue ! pitié, mettez au moins des capotes !!". Tes deux potes réfléchissent, ils expliquent que c'est plus sympa de rentrer sa bite dans une chatte sans capote, mais comme t'a juté dedans et qu'ils ne connaissent pas hélène, c'est vrai qu'ils préfèrent quand même mettre des capotes.
Celui qui vient d'arriver est déjà en boxer, il dit qu'il n'a pas envie de se rhabiller pour descendre, et ton premier pote est en train de limer la chatte de ma femme. Il me dit alors "ok, on met des capotes, mais tu vas les chercher, et tu te dépêches avant que je jute". Ton deuxième pote vient me délier, et je saute dans mon pantalon sans rien dire. Juste avant de sortir, je reviens dans le salon. Hélène a toujours la tête entre tes cuisses, toi tu débandes, et ton pote la lime consciencieusement, et votre deuxième pote se touche la bite en se rapprochant. Je demande "j'en prends combien ?". Ton premier pote "répond "vas-y, au moins 6 pour moi" et ton deuxième pote ajoute "oh ben prends-en plus, peut-être qu'on autre mec va venir ; prends-en une vingtaine, on sera sûr comme ça". Tu complètes : moi je continuerai à la baiser sans capotes. Ton pote ajoutes "putain, elle va se prendre au moins une vingtaine de coups cette nuit ?? ça va compenser pour ce que son mari ne lui fait pas !!". Vous rigolez tous les trois, et je sors sous vos regards méprisants, en pantalon mais torse nu et pieds nus, pour aller cherche une vingtaine de capotes pour vous dans la rue.
Pendant que je cours pieds nus dans la rue pour aller acheter une vingtaine de capotes afin qu'un maximum de gars puissent se soulager entre les cuisses de ma femme, ton pote lui lime la chatte assez brutalement, et toi lui tiens la tête. Ton deuxième pote finis de se déssaper, il sors une bite de malade, tu tournes la tête de ma femme vers cette grosse queue et tu lui dis "voilà la suivante !". Ton pote s'approche, il se mets à genou sur le canapé, la bite bien tendue vers le visage d'hèlène, et il la lui mets dans la bouche. Elle recommence à pomper, même si vous voyez qu'elle commence à avoir mal partout. En fait vous vous en foutez pas mal.
Chacun de tes potes se branle la bite, l'un dans le vagin d'hélène, l'autre dans sa bouche, et ils gémissent tous les deux comme deux bourrins en train de baiser. Hélène ressemble de plus en plus à un morceau de viande sans importance, juste deux trous que des gars utilisent pour soulager leurs queues.
Je reviens au bout d'une dizaine de minutes, avec tout un tas de capotes dans mes poches, j'en ai pris une trentaine pour plus de sécurité. J'ai les joues en feu, je ne sais plus où je suis, j'ai l'impression de vivre un cauchemar. j'en sors une de ma poche et je la tends à ton pote qui défonce la chatte de ma femme. Il ne se retourne même pas vers moi, je vois juste son dos et ses fesses qui bougent au rythme de ses coups de bites, et il me dit "finalement, je continue à la baiser sans capotes, connard ; elle va prendre du jus, cette putain" ; c'est trop bon de faire coulisser ma grosse queue dans cette chatte de meuf mariée, ahhhhhhh ...." et il se mets à jouir abondamment dans la vulve d'hélène. Ton deuxième pote se lève en sortant sa queue de la bouche de ma femme, et il vient prendre la place de ton autre pote : dès que le premier est sorti, le deuxième enfonce son gros gourdin dans cette petite chatte chaude et martyrisée. Je lui tends aussi une capote, et il me réponds "vas te faire foutre, pauvre lopette !!". Je comprends finalement que vous prenez trop votre pied à l'enfiler sans capotes et que celles que j'ai achetées ne serviront à rien.
Ton premier pote se lève, la queue débandant doucement, il me regarde d'un air bizarre, le regard lourd, et il se dirige vers moi, il me dit "renlèves ton fut, connard", je m'exécute, il me donne un coup de pied dans les tibias qui me fait chuter au sol, il reprendr le cordon de rideau et me ligotte de nouveau les mains dans le dos. Il se lève, je suis face contre terre, il me balance plusieurs coups de pieds assez sadiques dans les côtés, je gémis de douleur. Je ne comprends pas pourquoi il fait ça, puis tout d'un coup il se penche vers mon pantalon, et il fouille mes poches. Tu es toujours assis sur le canapé, et juste à côté ton deuxième pote baise vigoureusement ma femme, en levrette. Il se retire juste à ce moment, et viens s'asseoir à côté de toi, et il empale Hélène sur sa queue, face à face. Pendant qu'elle commence à monter et à descendre sur son gros gourdin, il lui lèche goulûment les seins et lui caresse les hanches et les fesses.
Pendant ce temps, ton premier pote ressort une main de la poche de mon pantalon abandonné sur le sol. Il tient ma visa gold dans la main. Il se penche vers moi et me mets une grande claque sur la tête et me crie "c'est quoi ton code, connard ??" ; surpris, je ne réponds pas, et je me prends tout d'un coup une deuxième grande baffe sur la tête, qui me fait claque le visage contre le sol. Hébété, je hurle "03 11, 03 11 !!". Il renfile son jean et son tee-shirt, se dirige vers la porte, se tourne vers vous deux et dit "on va rigoler un peu ..." et il sort de l'appartement.
Toi tu allumes la télé, pendant que ton pote se tape ma femme qui monte et descend sur ses genoux, et tu regardes le teléphone portable pour voir si d'autres copains sont dans le coin cette nuit. Ton pote qui continue de limer hélène dis, la tête entre ses seins "je vais l'enculer, cette salope, je vais l'enculer ... !!".
Cinq minutes après, je suis toujours attaché sur le sol, j'ai mal à la tête et aux flancs, ton pote reviens. Il a des billets de 100 euros dans les mains, et il vous les montre : "regardez, j'ai tiré 1.500 euros avec la carte de ce pédé !" ; tu es étonné, mais il complète "eh, ça fait 500 chacun !". Tu te tournes vers moi, ton regard croise le mien, et tu lis dans mes yeux que je suis incapable de porter plainte contre des mecs comme vous. Pour plus de sûreté, tu dis "ok, mais avant de partir on lui fera signer un papier disant qu'il est ok".
Ton pote s'assied devant l'ordinateur qui est dans le salon, et te dis, très sûr de lui "attends, c'est pas fini !!". Il allume l'ordinateur, et se connecte directe sur "fnac.com". J'ai la tête tournée vers l'ordinateur, il tient mas visa dans la main, et il commence à chercher des trucs. je ne vois pas bien ce qu'il fait. Tu te rapproches de lui, toujours à poil, ta grosse queue pendante entre tes cuisses. Je me fais la réflexion que, au repos, ta bite à la taille que fait la mienne en érection. J'ai l'impression d'être en dehors de la réalité, ce qui m'arrive est à la fois terrifiant et terriblement excitant, c'est comme un aboutissement, la réalisation de mon destin, d'un destin inscrit depuis toujours. Je suis saucissonné à vos pieds, un de tes potes tringle ma femme sur le canapé comme si elle était sa femme, et vous deux, qui l'avez tirée sans capotes juste avant, et vous vous servez de ma visa gold. Je suis comme une proie que trois prédateurs auraient capturée et qu'ils s'apprêtent à dévorer.
Ton pote commence à ajouter des trucs sur sa liste d'achat ; il les lits en même temps : un PC portable Sony en un exemplaire, oh puis non en deux exemplaires, un TV écran large plasma, trois lecteurs MP3, des housses, une chaine-hifi, das baffles superpuissantes, un PC fixe, etc ... Il lit la somme au total : 5.873 euros. Il se tourne vers moi et me dis "ça passera sur ton compte ?" et tu ne me laisses pas répondre, tu dis "t'inquiètes, avec une gold y'a pas de soucis ; s'il a pas assez, il recevra juste demain un coup de fil de sa banque qui lui dira qu'il est dans le rouge et qu'il doit régulariser". Ton deuxième pote qui continue de sauter hélène sur le canapé, demandes "et tu fais livrer tout ça où ?". Ton pote répond "surtout chez moi, mais un peu chez toi et chez Fabrice, t'inquiète, je suis pas salaud."
Puis il passe la commande, en inscrivant mon nom, les codes du recto de ma visa, la date d'expiration, puis le code à trois chiffres au dos de la carte. Il me demande quand même "allez, t'as combien sur ton compte ?" et je réponds d'une vois étouffée : "4.000 environ". Tu me dis "ben alors t'es dans le rouge à partir de ce soir, connard". Ton pote poursuit : "et c'est pas fini". Là-dessus il se connecte sur Amazon, et il continue des achats, en vous demandant, à toi et à l'autre gars qui nique hélène, ce que vous voudriez acheter avec mon pognon.
Il finit la liste au bout d'un long moment, et il m'annonce en ricanant : "6.522 euros !". je fais un rapide calcul : ça fait plus de 12.000 au total. Je me dis que je vais devoir faire un emprunt très vite. Pendant ce temps, je te vois prendre une feuille sur le bureau et commencer à rédiger le mot que tu vas me faire signer ensuite et par lequel je certifierai que je suis d'accord avec ces dépenses et la livraison des achats à vos domiciles. A ce moment, ton autre pote jouit bruyamment dans la chatte d'hélène, et elle gémit fort, en ayant un nouvel orgasme.
Tu passes à côté de moi et tu me files un coup de pied dans la tête. je perds connaissance. La nuit continue, vous passez sur Hélène chacun votre tour plusieurs fois, dans la chambre principalement, et des fois sur la table de la cuisine et dans la salle de bains. Vous filmez vos ébats avec elle, et vous faites tournez les vidéos par téléphone et sur le site facebook de ton deuxième pote, qui semble super fier de vos exploits sexuels collectifs. Il diffuse mon nom et mon numéro de tel sur son site, ce qui me posera certainement des problèmes à l'avenir, mais il s'en branle clairement, et toi aussi.
Le lendemain matin, je reprends connaissance. Vous êtes tous les trois en train de vider mon frigo. J'entends hélène sous la douche. Je me relève, les mains toujours attachées dans le dos, j'ai le slip baissé et je sens une douleur dans mon anus. je me rends compte que j'ai un objet enfoncé entre les fesses et en me retournant, je constate que c'est une très grosse carotte que vous avez prise dans le réfrigérateur. Je n'arrive pas à l'enlever. Je vous rejoins dans la cuisine, vous éclatez de rire en me voyant entrer ainsi. Devant mon air effondré, tu dis "6 fois", ton premier pote dis "moi 5", et ton deuxième pote dis "5 aussi". je comprends que vous parlez du nombre de fois ou vous avez chacun sauté ma femme au total, je compte, cela fait 16 fois. C'est tellement énorme que je n'en reviens pas.
A ce moment mon portable sonne sur la table. Tu décroches, tu écoutes, et au bout de 3 secondes tu dis "ouais je vous le passe". Tu colles le téléphone à mon oreille, puisque que je peux pas le tenir avec mes mains qui sont attachées? Je dis "allô ?" et j'entends mon banquier qui hurle "vous êtes malade ? vous avez acheté pour plus de 17.000 euros cette nuit sur internet ? et vous avez retiré 1.500 euros en liquide ?? vous êtes à découvert de 14.500 euros !!! je transmets votre dossier au service contentieux !" et il me raccroche au nez.
Toi et tes potes vous êtes pliés de rire. Hélène entre à ce moment-là, seins nus avec une serviette autour de la taille. Tu te lèves, tu l'attrapes par les hanches, tu lui caresses un sein, et tu sors ma visa de ta poche, et tu lui dis "tu viens, on va faire les boutiques ? j'ai envie de t'enfiler ma grosse bite dans une cabine d'essayage". Elle sourit, tu lui roules une pelle en lui mettant la main au cul.
Tu sors de la pièce avec elle. Je me retourne vers tes deux potes, ils sont torses nus, deux belles bêtes, assis autour de la table de la cuisine, en boxer, et je vois une lueur inquiétante dans leurs yeux, qui me fait penser que mon calvaire n'est pas terminé. Ils sourient d'un sourire méprisant et cruel, qui me confirme mes pires craintes.