Chemin de Jacques : 13 - ... Et on trouve.

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Proposée le 24/10/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des séjours plus ou moins longs. Il est en Allemagne depuis plusieurs mois, où il a rencontré Evi, bisexuelle et naturiste. Ils se sont rendus dans un club échangiste pour cultiver leur goût du libertinage.


13 ... Et on trouve

En associant plusieurs souvenirs, voilà comment je pourrais raconter l'une de nos soirées dans le club libertin où nous allions.

Nous n'arrivons jamais avant 21 heures. Les clients du soir sont déjà nombreux, mais d'autres doivent arriver plus tard. Avec Evi, après le passage aux vestiaires où elle revêt une tenu toujours très sexy et sans jamais aucun sous vêtement, nous trouvons un endroit confortable pour voir la salle tout en restant légèrement dans l'ombre, histoire de voir avant d'être vus. Il y a principalement des couples trentenaires BCBG, mais aux mœurs très libérés, les femmes portant des tenues aguicheuses ou parfois indécentes. Les mains des hommes sont baladeuses.
Le contact avec nos voisins de banquette se fait rapidement. Il s'agit d'un couple plus âgé que nous, peut être la quarantaine, mais l'âge n'a pas d'importance. Evi qui s'est approchée de la femme la complimente pour le joli piercing qu'elle a au nombril. La femme, avec un sourire complice dénude ses seins. A leurs bouts des bijoux en transpercent les pointes, ressemblant à de petites altères. Evi ne peut s'empêcher de baiser ces pointes décorées.
- Ils sont beaux ainsi, dit son mari. Et ils sont si doux au toucher.
L'invitation s'adresse aussi bien à Evi qu'à moi. Nous ne nous faisons pas prier et nous palpons les seins qui, même s'ils n'ont pas la fermeté d'une femme de 20 ans, tiennent bien fièrement.

- J'en est un autre ailleurs, dit la femme.
Elle écarte aussitôt les cuisses et décale son string pour montrer fièrement l'anneau qu'elle arbore sur ses lèvres vaginales. Ce sexe exposé, est dénué de poil sur son pourtour, mais par contre, au-dessus, la chatte présente une pilosité imposante. D'ailleurs, les poils dépassent largement du string de parts et d'autres.
Sur la piste de danse les couples se font et se défont. Bientôt nous les rejoignons, moi tenant étroitement enlacé cette femme dont je ne connaissais même pas le prénom et qui n'avait pas remballé la marchandise de sa poitrine, et son mari tenant Evi par les fesses, ses mains ayant remonté sa petite jupe jusqu'à la taille. Il lui malaxe les fesses dans un massage suivant le rythme du slow. Les femmes n'ont plus aucune pudeur et se laissent aller. Alors, je plonge ma figure dans la poitrine de ma cavalière.

Evi ne veut pas s'arrêter en si bon chemin et elle fait comprendre à la fille qu'elles pourraient s'échanger leurs hommes. Mais pour aller plus loin il est préférable de quitter la salle principale. Nos compagnes nous prennent par la main et nous dirigent dans un couloir. Nous croisons quelques couples en pleine action qui n'ont pas pu aller plus loin. Cette femme plaquée contre le mur, les jambes enserrant le bassin de l'homme qui la soutient et la pénètre en la faisant descendre sur son sexe, comme baisée à bout de bite ; une autre les mains sur le mur, jambes largement écartées est prise par derrière ; puis celle-ci qui suce la queue de son comparse, elle n'en laissera pas une goutte... Au fond, un escalier mène à l'étage où de petites pièces offrent le confort de chambres pour accueillir les clients. Ici les portes se ferment... ou pas ! Ainsi les voyeurs peuvent se rincer l'œil devant les couples qui baisent et venir les rejoindre si on les y invite.

Une fois au calme, les corps se dévoilent définitivement. La femme me déshabille entièrement et se saisit de mon membre gonflé qui se tend vers elle. Tout en me suçant, elle quitte son bustier et son string. Je jette un œil vers l'autre couple et je vois Evi aux prises avec un phallus aux dimensions particulièrement imposantes. Je sais qu'elle aime les gros calibres et là elle ne risque pas d'être déçue ma chérie.
Mes mains se mettent à glisser sur le corps de cette femme : je profite pleinement de sa peau, de ses cuisses, de son ventre, de sa nuque et de ses seins. Mon esprit est chauffé à blanc. Pourtant, je ne me comporte pas avec cette femme comme je l'aurais fait avec une partenaire plus « légitime ». A Evi ou à Evelyne, je veux donner du plaisir. Ici l'acte sexuel est une raison et non pas l'aboutissement d'un processus long et délicat. Non, cette femme veut que je la baise et moi je suis là pour la baiser. Je dois jouer le rôle d'un acteur, non de séries érotiques softs des chaînes de la TNT interdits au moins de 16 ans, mais bien d'un film de cul.

Le plaisir vient en moi, presque plus cérébral que charnel. Mais mon numéro semble bien fonctionner, car la femme que je saute prend son pied également. Evi quant à elle hurle sa jouissance sous les coups de boutoir de l'homme qui enfonce en elle sa pine énorme. J'ai impression qu'elle suffoque. Mais ce n'est que de jouissance.

Notre couple repart satisfait avant nous de la chambre. Avec Evi nous nous embrassons amoureusement. Un homme se présente à la porte. Il est jeune, peut-être une vingtaine d'année, c'est une sorte d'éphèbe, un corps aussi gracile que celui d'une fille. Il semble très jeune et l'absence totale de poil renforce cette impression qu'il pourrait être pré-pubère. Par contre entre ses jambes un sexe de belle taille apparait extrêmement gonflé. Evi lui lance un sourire qui ressemble à une invitation.
Lorsqu'il est au bord du lit, elle lui prodigue une fellation alors que je la caresse très doucement. Je me délecte de voir sa bouche aller et venir sur ce membre qui grossit et se redresse. La main du jeune homme parcours le corps de ma copine allant de ses seins à son sexe. Puis il pose une main sur moi, non loin de ma queue. Je repousse doucement cette main ne voulant pas d'une relation homosexuelle même si la beauté du jeune homme est très troublante. Le plaisir des yeux est suffisant pour moi. Surtout qu'il n'est pas long à prendre Evi en levrette. Je continue à la caresser alors qu'elle prend son plaisir. Je présente mon sexe devant son visage et elle l'embouche sans la moindre hésitation.

Ma chérie semble prendre beaucoup de plaisir à sentir la queue du jeune homme aller en elle, doucement, sans violence, avec une lenteur et une application toute féminine. Il me fait face alors que je me fais sucer et je ne sais si c'est un corps d'homme que j'ai sous les yeux ou le corps d'une femme sans poitrine. Je pense à Daphnis, demi-dieu de l'antiquité, fils d'Hermès et d'une nymphe dont la grande beauté très féminine fut la source de sa perte. Celle-ci enflamma le cœur de beaucoup de divinités, des hommes comme d'Apollon, des femmes comme la prude Artémis ou des créatures mi-homme mi-bête comme Pan. Nomia, nymphe et bergère voua pour lui un amour exclusif qui se termina mal.
Le jeune homme décharge dans son préservatif sans sortir du con d'Evi. Celle-ci jouit. Ma queue dressée par l'admirable fellation qu'elle vient de me prodiguer me donne envie de la prendre. Je pousse le jeune éphèbe et je prends sa place. Je m'agenouille derrière elle, lui soulève le bassin et amène l'entrée de son vagin tout boursouflé à hauteur de mon membre. Je la pénètre sans précaution, allant très profondément. L'excitation était terriblement intense pour moi, d'autant plus que le jeune éphèbe qui se tient tout près de nous, observe ma pénétration et branle son sexe dégonflé est couvert de son propre sperme. Je flatte l'anus de ma compagne avant de l'accompagner dans la jouissance.
J'ai l'avantage de pouvoir déverser mon foutre en elle sans avoir besoin de préservatif.

Je pensais que j'allais être jaloux, mais ce n'est pas le cas, au contraire. De voir mon amour jouir ainsi sans retenue avec plusieurs hommes, me procure un ravissement inconnu, une sorte de débauche raffinée et décadente ; un mélange bien étrange. Je me suis même dit à cet instant que la jalousie est un sentiment méprisable. J'apprécie beaucoup la voir ainsi comme une femme public, qui n'est pas exclusive, qui se donne.
« Et puis, Evi m'aime, elle n'aime que moi, même si elle baise avec d'autres hommes sans me le cacher, sans se dissimuler. Au contraire, elle veut que dans ce lieu, nous soyons toujours ensemble, que jamais nous ne nous quittions de vue. Elle désire que l'on partage le plaisir que nous prenons avec d'autres personnes. Finalement je trouve normal de partager les choses qu'on aime avec quelqu'un qu'on aime. »

Dans ces soirées de débauche, je me suis souvent demandé ce qui était le plus jouissif pour moi. Etait-ce de baiser une fille inconnue, de briser cette idée qu'on ne peut faire l'amour qu'avec une partenaire qu'on aime ? Ce n'était pas déplaisant, mais ce n'était pas le sommet de mon plaisir. Finalement, je crois que mon plaisir était plus cérébral que physique. La jouissance était celle de voir Evi s'exhiber devant des hommes, devant des femmes, d'attirer leur attention, de devenir le centre de leur excitation, en un mot de les allumer. Puis c'était de la voir se faire prendre par un ou plusieurs hommes sans aucune limite. L'observer dans une jouissance, alors qu'elle avait abandonnée jusqu'à la dernière once de pudeur qui lui restait, était un véritable ravissement pour moi.


Un autre soir, Evi se déhanche, poitrine nue, sur la piste de danse avec une fille tout aussi dénudée qu'elle. Elles chauffent la salle. Soudain les deux filles quittent la piste portant un paréo rouge pour seul vêtement. Elles s'assoient l'une à ma gauche, l'autre à ma droite alors que je suis dans la même tenue qu'elles. Ma queue gonflée tend le tissu. La partenaire de ma chérie pose sa main sur l'endroit du paréo en question et d'un habile mouvement se saisit de mon sexe en lançant :
- Je m'en donne à cœur joie, même dans la vraie vie, j'ai tendance à regarder les garçons comme des objets sexuels, alors ici, vous pensez, c'est génial, surtout quand on est une fille ! Si quelqu'un ne vous revient pas, il suffit d'un léger signe de tête pour l'éconduire. En revanche, si un type vous plaît, vous lui touchez directement le sexe et les présentations sont faites.
Comme je semble appartenir à la seconde catégorie, j'en profite pour lui mettre, à mon tour, la main dessus en lui tripotant les nichons. Evi m'embrasse fougueusement et ce n'est plus une paire de seins dont je dois m'occuper, mais de quatre globes appétissants.

On finit dans une des chambres où j'ai la chance d'avoir deux filles pour moi. Mais mon privilège ne dure pas très longtemps puisqu'un, deux puis trois hommes viennent nous rejoindre. Evi et la fille qui ont quitté leurs paréos, ont chacune un sexe dans la bouche et un dans la chatte.
Après des coïts tonitruant, nous restons calmement, Evi, la fille et moi-même sur le lit pour reprendre nos esprits. Alors, Maeva, c'est ainsi qu'elle dit se prénommé, se livre à cœur ouvert :
- C'est l'approche qui me plait. A chaque fois elle est différente. Je peux jouer les timides, les dévergondées, les exhibitionnistes comme avec toi tout à l'heure, les nymphomanes, les chiennes ou les salopes... C'est ça qui me plaît justement, que tout soit permis. Mon plaisir est surtout ludique.
- Pas sexuel ? demande Evi.
- Aussi. J'aime cette ambiance un peu sordide de ces lieux de débauche et de luxure. Certains clubs libertins sont dans d'anciennes bâtisses, dans des caves, des endroits où on a l'impression d'être prisonnière dans un donjon, le jouet d'une multitude de membres virils. Il y a aussi ces boudoirs, où pourrait à tout moment surgir le divin marquis de Sade, avec une acre odeur de fleur de châtaigner.
Evi reste interdite :
- Pourquoi la fleur de châtaigner ?
- C'est que vois-tu, suis-je fière de répondre à Evi, Sade raconte cette histoire. A une jeune fille qui, sortant du couvent, disait à sa mère et l'abbé qu'elle avait déjà senti cette odeur là, elle se fit rabrouer. Comme elle demanda pourquoi, l'homme d'église finit pas expliquer en termes choisis la chose : « C'est que voyez-vous... Mademoiselle... nous autres... naturalistes... nous estimons... que la fleur de châtaigner... Comment dire... », « Eh bien quoi la fleur de châtaigner ? » S'impatienta la jeune fille. L'abbé de lâcher : « Elle sent le foutre Mademoiselle. ».
- Tu connais tes classiques, me complimente Maeva.
- Je lis, même si le SM n'a pas mes préférences. Mais la langue de Sade est un ravissement tant dans ses œuvres licencieuses que dans ses œuvres politiques.

- Les gens qui s'exhibent, continue Maeva, surtout les hommes, ne sont pas beaux. Je n'aime pas voir ces queues qui pendouille entre leurs jambes, ces couilles ridées qui se ballottent derrières. Quand ils bandent, c'est guère mieux. Ça me rappelle les premières peurs de la sexualité, les premiers dégoûts de l'enfance. Non, leur queue n'a d'intérêt pour moi que lorsqu'elle disparait en moi, lorsque je l'absorbe, qu'elle est à moi. Leur tête quand ils jouissent, le « floc, floc » quant la queue remue dans le con, les bruits qu'ils font, les râles qu'ils poussent... Je suis dégoûtée autant qu'excitée, c'est un peu comme une drogue... Ah ! et puis ce qu'on appelle les gang bang, cette horde d'hommes qui vous entourent, ça donne le désir d'être engloutie, souillée. Plus c'est glauque et plus j'aime...
- Tu as déjà pratiqué ? demande Evi avec cette lueur de lubricité dans les yeux que je lui connais si bien.
- Oui, une fois, avec cinq mecs... C'était géant... J'aimerais essayer avec une équipe complète de handball. Vraiment être salope jusqu'au bout. Mais ce qui me trouble le plus, c'est de savoir que mes parents se sont connus dans ce genre de club. Ils baisaient comme ça. J'ai du mal à imaginer ma mère au milieu d'hommes en se donnant aux uns ou aux autres. Mais c'est ainsi.
- On a du mal à imaginer que nos parents puissent seulement baiser. Pourtant, puisqu'on est là, c'est bien qu'ils l'ont fait.
- Oui, parfois je me demande si mon père faisait jouir ma mère. Quand j'ai posé la question à mon frère, en discutant, il a été outré que je puisse avoir ce genre de pensées. Enfin, après ma naissance, ils ont continué à fréquenter les milieux libertins. Lorsque je leur ai dit, à 19 ans, que je souhaitais faire comme eux, ils ont eu un choc. Mon père voulait protéger sa petite fille chérie. Finalement, c'est ma mère qui a été la plus cool et qui m'a dit : « Si c'est ce que tu désires. Vas-y ! De toute façon si on te disait non, tu le ferais tout de même ».
- Oui, ce ne doit pas être évident d'imaginer sa mère et son père dans un lieu comme celui-là.
- Oh, je n'essaie pas. Car le patron à qui j'en ai parlé m'a dit qu'en deux générations il a vu bien des différences. Selon lui les filles comme moi sont moins érotiques que leurs mères, parce qu'on a moins de tabous et que les jeunes n'en ont presque plus. Il dit qu'on manque d'imagination et de fantasmes. Aux temps de mes parents, il parait que des clients faisaient l'amour sur les tabourets du bar. A cette époque là, il n'y avait pas de chambre ni de lit, tout se faisait sur les banquettes, sans aucune intimité, sans aucun confort. Et puis à l'époque on ne parlait pas de SIDA, on baisait sans capote. Alors, ce qu'ont vécu mes parents, c'est encore plus cru que ce que je vis moi aujourd'hui dans ce lieu.


J'entends deux femmes parler gang bang au bar :
- Je trouve cela très flatteur et gratifiant, tous ces hommes autour de moi. J'ai le sentiment d'être la star du moment. Et puis, quand tu as un mari éjaculateur précoce, tu es bien contente d'avoir du temps devant toi et du renfort ! Mon amie Danielle, réputée nymphomane et qui n'est en fait qu'anorgasmique, apprécie beaucoup elle aussi !
Le terme « anorgasmique » était inconnu pour moi. Il s'agit d'une femme qui a beaucoup de désir ou d'excitation durant l'acte sexuel, mais n'atteignant jamais ou presque jamais l'orgasme. Ce qui rend la pratique du gang bang plus supportable physiquement et permettant, au bout d'un moment d'atteindre tout de même la jouissance.

Evi était-elle tentée par un gang bang. Elle ne m'en dit rien, mais je sais que si elle émettait le souhait de tenter l'expérience, je ne ferais rien pour l'en dissuader. Je serais simplement là à la regarder, à l'admirer jouir entourée d'hommes se mettant à la queue le leu pour lui présenter leur queue.


Ce que nous aimons faire aussi, c'est d'aller dès 19 heures, le lundi, aux « soirées trio » de certains clubs, gratuits pour les couples. On prend un verre tranquillement. Si Evi trouve un mec mignon, sympathique, elle discute avec lui. Si elle le sent bien, alors elle en profite pour prendre du bon temps sous mes yeux. Parfois, elle constitue son trio avec deux hommes, moi, n'étant que témoin. Je participe parfois aux ébats en laissant toujours la plus belle part au compagnon d'un soir. Comme mon plaisir est de la voir prendre son pied, je ne ressens aucune frustration, bien au contraire. Surtout que je sais qu'une fois rentrée dans notre appartement, une récompense sexuelle me sera offerte après que ma belle soit sortie d'un bain purificateur.


Un jour, alors qu'elle est au-dessus du mec, dans la position d'Andromaque, elle me demande par un signe d'approcher et me dit en français pour que notre partenaire ne comprenne pas :
- Encules moi !
Jamais elle n'a demandé une double pénétration, jamais aucun amant du club libertin ne l'a sodomisée. Je suis le seul à la posséder par le cul, sa grotte secrète m'est réservée. Même Boris n'y a pas accès. Là, encore une fois, j'en reste le propriétaire exclusif, mais je partage son corps enfiévré de plaisir avec un comparse qui lui remplit le vagin.
Avec beaucoup de ménagement, mais sans aucune préparation, sans aucun lubrifiant, j'approche mon vit de son anaux étroit. Je viole cette entrée avec mon gland, puis, la résistance étant faible, la tige commence à disparaitre. Lorsque je suis bien à l'intérieur, notre partenaire ayant compris que je prenais Evi par derrière, commence à synchroniser ses mouvements avec les miens. Ma chérie n'est pas longue à pousser des grognements qui mêlent souffrance et plaisir. Puis elle commence à bouger comme prise d'une transe incontrôlable.
Les deux mâles qui lui labourent les entrailles sont au comble de leur jouissance eux aussi, ayant pour seul désir de jouir, mais surtout de la faire monter au septième ciel. Cela arrive très rapidement. Elle est saisie d'un orgasme violent, sonore et dévastateur. Mais elle ne s'arrête pas là. Elle semble secouée par des vagues de plaisir énormes, successives, presque sans discontinuer. Jusqu'à un véritable tsunami qui la laisse sans vie entre nos deux corps. Nous sortons d'elle pour déverser nos semences sur la poitrine pour notre compagnon et sa fine toison pubienne pour moi.

Puis on rentre pour faire l'amour et c'est plus intense que jamais, une véritable explosion. Je crois que plus elle prend de plaisir avec ses amants d'un moment, plus son appétit sexuel est aiguisé et plus nos joutes sont magnifiques.
Plus Evi baise, plus elle est bonne à baiser.


Mon expérience échangiste avec Evi me fait dire que dans ces soirées on échange plus d'énergies positives qu'un simple échange de corps. Il y a quelque chose d'aphrodisiaque dans le fait de voir d'autres corps qui se livrent. Lorsqu'on entend l'autre soupirer, geindre, les bruits de peau, le contact des sexes...



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