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Proposée le 19/10/2012 par Jul75
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C'était quelque part au début des années des "90...
J'aime me balader dans les bois, sentir l'air pur, caresser les longs chênes, entendre les feuilles "craquer" sous mes pas...
Nous somme Samedi, le premier de ce mois de Janvier et les fêtes viennent de se terminer...
Ainsi, comme chaque week-end je traversais la forêt voisine, survet' et tee shirt, je marchais...
A un moment, j'ai vu qu'il y avait quelqu'un, une femme à cause de sa chevelure blonde, elle marchait elle aussi.
- Mademoiselle, criais-je.
Elle se retourna et vint vers moi tous comme moi j'allais vers elle:
Elle était jolie, ce n'était pas un mannequin certes, mais mignonne. Assez grande, de longs cheveux blonds, elle portait un jean' et une petite veste et ses yeux étaient verts.
- Bonjour, me dit-elle.
- Excusez mon indiscrétion mais que faites-vous dans un tel endroit ? Lui demandais je souriant.
- Oh! Je me promène juste et vous ?
- La même chose, c'est la première fois que je vois une aussi belle fille marcher ici...
Elle me sourit et reprend.
- On peut marcher ensemble si vous êtes d'accord.
On se mit alors en marche et on parlait, elle s'appelait Stéphanie, âgée de 26 ans, deux ans de plus que moi, elle enseignait l'histoire à un collège de la ville voisine. Elle était célibataire et se baladait ici pour oublier sa solitude et son appartement sans vie.
Il y avait un gros tronc qui traînait au sol, nous avons alors décidé de nous y asseoir tout en continuant de parler de tous et noeimporte quoi.
- Pourquoi riez-vous ? Me demanda-t'elle en souriant.
- C'est juste que j'ai un peu de mal à vous croire, si jeune, si belle, si ouverte, vous voulez me faire croire que vous êtes là parce que vous vous sentiez seule... Est ce vraiment la vérité ?
- A vous dire vrai, je n'ai pas l'habitude d'être seule et j'aime qu'on soit toujours en moi, ou avec moi, mais rien de cela en ce moment... Est ce que je vous plais ?
A ces paroles, je me jette sur elle et l'embrasse, caresse ses cheveux d'une main et sa poitrine à travers sa veste. Elle retire sa veste tandis que nous nous embrassons, je commence à lui baiser le cou de milles baisers, elle glisse sa main entre mes jambes et sens mon pénis qui vient de durcir qu'elle s'empresse de sortir...
- Tu ne veux pas qu'on aille chez moi ? Lui demandais-je, j'avais grave envie de la niquer et tous de suite
- Sois pas naïf, une femme qui marche seule dans les bois ça n'a envie que d'une chose...
Finalement, je pense que les bois l'excitent et qu'y faire l'amour était son plus grand fantasme. Elle commence à branler ma queue en y donnant par moment quelques coups de langue. Elle retire son décolleté qu'elle jette sur les feuilles mortes comme pour sa veste, je venais tout juste de remarquer la magnifique poitrine qu'elle avait. Mais, elle ne me laisse pas en voir plus et se met à genou devant moi et commence à me sucer le sexe, je ne peux que lui caresser les seins et lui titiller les tétons. Elle me suce et joue avec mes boules, lèche le tout et me fixe des yeux : Elle aime ça, j'aime ça. Elle se relève et me donne ses seins que je m'empresse de lécher, elle me caresse les cheveux et gémit doucement. Je glisse ma main droite entre ses jambes, essaie d'ouvrir son pantalon et elle m'aide, le fait descendre tout en bas. Elle me met à genou et ramène ma tête à son vagin, je tire le string bleu sur le coté avec deux doigts et commence à lécher, j'aime ça, et j'avale ce qui s'en échappe, elle gémit de plus en plus, de plus en fort. Je tire son string jusqu'à ce qu'il se déchire et je lui mets deux doigts et lui baise le ventre, mes doigts sont trempés : Je remonte vers elle, l'embrasse et glisse mes doigts mouillés entre nos lèvres...
- Aller, prends moi ! Me crie-t'elle.
Je la pousse contre l'arbre juste à coté et je la pénètre tout en lui baisant le cou et de son coté, elle se caresse les seins et adore ça.
- Ouii! C'est ça, baise moi ! Plus vite, donne moi tous ton sexe !! Fais de moi ta chose, cria-t'lle à chaque fois avec du mal.
- Tu aimes ça jeune salope des bois, hein!! Je lui disais à l'oreille tout en la lui léchant.
J'y allais de plus en fort, je voulais lui procurer un maximum de plaisir. Je voyais sa mouille couler le long de mon sexe et ça m'excitait de voir un tel spectacle, je criais de plaisir et pareil de son coté. Je me retire, la retourne et la colle à l'arbre. Debout, elle était nue, j'écarte son beau cul et lui mange l'anus, après quelques minutes je décide de la lui mettre...
- Vas y, c'est ça : Sodomise moi, sodomise ta pute !
Au premier coup elle lâcha un cri, je la tire par se cheveux et je vois son visage crispé de joie, sa bouche entr'ouverte qui laisse échapper ses plus gros cries de jouissances. Elle mouillait de plus en plus et je sentais que je n'allais plus tarder et accélérais le mouvement...
- Aah! Bon sang que c'est bon ! Disait-elle.
- J'arrive, je vais tout lâcher ! Je lui criais.
- Donne moi tout, fait moi boire ta semence !!!
Je me retire, prêt à la voir à genoux devant moi, ma queue nageant dans sa bouche pleine de mon sperme. Mais elle reste debout, me faisant face, et empoigne mon sexe pour le branler. Nos bouches se plaquent l'une sur l'autre, tandis qu'elle caresse son sexe avec mon gland ; le faisant glisser de haut en bas... Quand je me sens venir, et qu'elle aussi sentant mon pénis se gonfler comme ma semence y arrivait, elle se l'enfonce dans la chatte.
Je lâche un gémissement comme je m'y vide, elle, de son côté, avait commencer à respirer à fond près de mon oreille.
- Hmm, c'est bon, dit elle. Remplis mon ventre de ton sperme !
Je me remets à l'embrasser avec passion, et je me retire de son sexe béant et dégoulinant que je masturbe à fond de deux doigts.
Je lui embrassais le cou, et on resta dans cette position une minute... Elle alla ramasser ses vêtements.
- Merci mon chéri, tu viens de niquer une femme mariée...
Chapeau, elle était mariée mais pourquoi ne pas l'avoir dit, ce n'est pas sans doute pas ça qui allait m'arrêter...
- Grâce à toi, je l'espère, que notre couple aura un enfant...
-Quoi ?! Lui demandais-je tous surpris.
Elle commence à se rhabiller, je la regarde, elle me jette le string que je lui ai déchiré
- Tiens mon chéri... Ne t'inquiète pas, mon mari est... Comment dire... Dans l'incapacité de me rendre enceinte et il nous fallait du sperme... Si je ne tombe pas enceinte alors je reviendrais faire un tour ici, ou ailleurs peut-être, en espérant trouver une queue qui me donnera du bon sperme.
Je ne savais pas quoi dire, j'étais choqué par ce que j'entendais... Je la regardais s'en aller sans rien faire...
Les jours passèrent et je ne l'a revis plus, j'ai même essayé de la retrouver mais nul ne la connaissait... Elle ne s'appelait sans doute pas Stéphanie et ne devait pas être professeur... Je m'étais fais avoir... Et j'aimerais bien me faire avoir encore une fois de la même façon...