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Proposée le 13/10/2012 par UNPEUPLIER
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Ils s'endormirent repus d'amour, comme ils étaient, en tête-bêche, jusqu'au milieu de la nuit, où ils reprirent leur position, côte à côte sur l'oreiller. Pierre marmonna dans ce demi-sommeil à la limite du coma ces quelques mots, qui en disaient long sur son impatience :
- Dans combien de jours, dînerons-nous avec Claire ? Mardi prochain, c'est cela ?
Et cette rencontre devenue peu à peu une urgence qui s'imposait à eux se déroula, le mardi suivant dans un petit restaurant fort bien décoré, à la cuisine savoureuse. Arrivés les premiers Martine et Pierre furent installés à une table d'où ils pouvaient apercevoir l'entrée, et où ils s'assirent côte à côte, laissant la place opposée à leur nouvelle amie, du moins l'espéraient-ils. Ils pourraient mieux ainsi la détailler. Elle fit peu après son entrée. Pierre la vit le premier et sûr de lui, dit à Martine,
- C'est elle, n'est-ce pas ?
- Affirmatif, comment la trouves-tu ?
- Au premier coup d'oeil, ravissante. Ah, elle t'a vue.
En effet, Claire se dirige vers eux. Ils se lèvent pour l'accueillir. Elle embrasse Martine, garde un peu sa joue collée sur la sienne et pose fugacement une main sur sa hanche. Deux bises claquent ensuite sur les joues de Pierre qui respire avec délices son parfum qu'il découvre.
Elle correspond à la description faite par Claire. La taille moyenne, cheveux assez courts, mince, mais pulpeuse, un teint parfait doré par le soleil des vacances récentes. Des mini-ridules au coin des yeux signent une trentaine en plein épanouissement. Elle s'assied face aux deux complices, on échange quelques banalités sur la météo, on sirote un petit kir et on passe 10 minutes sur le menu en cherchant le parfait équilibre entre la gastronomie et les calories inutiles.
La conversation tourne ensuite sur le travail des deux jeunes femmes, qui parlant de leurs services respectifs, se rendent compte que dans une même PME, les gens se côtoient, sans bien connaître les tâches et les problèmes des autres. Les impératifs diffèrent, les périodes de tension et de travail intense ne sont pas forcément les mêmes.
Un peu indifférent à ces échanges, Pierre rêve en regardant intensément Claire. Il admire son nez fin, ses lèvres un peu épaisses, la fossette juvénile qui creuse adorablement sa joue gauche, ses oreilles artistiquement ourlées, ses rares et discrètes taches de rousseur, et ses yeux, vifs, rieurs sous ses longs cils qu'elle abaisse parfois avec une suave lenteur. Son regard descend vers son cou, l'échancrure du corsage qui laisse voir, lorsqu'elle se penche pour mieux écouter Martine dans le brouhaha de la salle, la dentelle arachnéenne d'un bonnet de soutien gorge qui recouvre indiscrètement la naissance d'un sein, dont le galbe tend la soie de son corsage. Jupe ou pantalon se demande Pierre, qui tout à la contemplation du visage, n'avait pas noté ce détail vestimentaire à son entrée. Il envisage de laisser tomber discrètement sa serviette pour vérifier ce qui lui a échappé plus tôt et en profiter pour admirer peut-être ses mollets, ses genoux voire ses cuisses selon le cas. Il en est à ce stade de pensée, qui remonte le long des cuisses et se perd dans l'obscurité chaude de leur réunion, quand Claire sentant sur elle ce regard insistant, tourne la tête vers lui et croisant ces yeux on ne peut plus lubriques, rougit violemment et n'entend plus Martine qui disserte sur les gains possibles de productivité en changeant le management qui comme souvent, s'est réfugié dans son confort douillet et commence à débloquer.
- Excuse-moi Martine, dit-elle, j'ai tellement faim que la tête me tourne et j'en suis distraite.
Fort opportunément, le serveur dépose les entrées sur la table et chacun se penche sur son assiette pour déguster le met qu'il a choisi, tout en lorgnant sur le voisin qui a eu peut-être raison d'avoir fait un choix différent. Martine propose à Pierre de goûter ce qu'il a dans son assiette, il en fait de même pour Claire. Celle-ci lui tend alors un bout de son plat piqué sur sa fourchette. On décide finalement que les trois entrées sont toutes différentes, mais fort savoureuses.
La tension de Pierre retombe quelque peu. Il renonce à se glisser sous la table tel un gamin et sait qu'il ne perd rien, sans doute, à attendre. Le repas se poursuit dans des conversations qui s'égarent vers les derniers résultats sportifs, le voiture des rêves, les nouveaux et les anciens films et finalement les vacances. Après avoir raconté brièvement leurs randonnées en montagne, Pierre demanda à Claire ce qu'elle pensait du cap d'Agde, puisque Martine lui avait un peu raconté ces vacances. Que trouvait-elle dans le naturisme ? Est-ce qu'il y avait le naturisme familial et pas du tout érotique du jour et le naturisme plus libertin de nuit ? Est-ce que les enfants et les adolescents se sentaient à l'aise dans cette nudité partagée ?
A toutes ces questions Claire répond avec verve. C'est vrai, le jour c'est un peu fadasse, passé le premier étonnement de découvrir tous ces corps de taille, de forme et d'âge divers. Tout le monde semble indifférent et reluquer quelqu'un est très mal vu. C'est vrai qu'une partie de volley-ball sur la plage avec les quéquettes des uns et les nichons des autres qui ballottent dans tous les sens est un peu ridicule. C'est vrai que les enfants sont assez indifférents, mais que les ados sont peu nombreux et s'échappent du troupeau des nudistes pour se retrouver un peu plus habillés, ne serait-ce que d'un slip filiforme et symbolique qui semble les protéger. C'est vrai que de temps en temps la monotonie est rompue, dit-elle en riant, par un bel étalon qui, endormi sur sa chaise longue, déclenche par l'effet d'un rêve une monumentale érection que les voisines admirent en silence avec des sourires entendus sous le regard des autres mâles jaloux...
C'est vrai que les soirées (et parfois les journées également) sont pour certains les heures où les fantasmes peuvent s'assumer. Selon les lieux, couples échangistes, lesbiennes et gays se retrouvent pour des ébats coquins plus ou moins discrets, et parfois se mêlent les uns aux autres dans une ambiance torride. Claire avoue qu'elle et son ex-mari ont d'abord trouvé un certain plaisir à changer de partenaire sous le regard de l'autre. Sans entrer dans les détails, elle évoque une fellation sur un inconnu, tout en regardant dans les yeux son époux qui se faisait sucer par une autre jeune femme. Ils convinrent à leur retour dans leur chambre, qu'ils y avaient pris l'un et l'autre un plaisir d'une rare intensité. Ils décidèrent d'aller plus loin en retrouvant le lendemain leurs partenaires de la veille élargir la gamme de leurs rapports
C'est à ce moment que le serveur leur amène le plat principal en leur demandant si la mise en bouche leur avait plu. Le pauvre ne comprend pas alors la crise de fou rire qu'il déclenche par cette question d'apparence anodine et s'en retourne l'air interrogatif. Peu importe, les trois convives se penchent sur leur assiette et savourent leur choix. La fourchette en l'air, Claire résume : cette fois là aussi, le plat principal fut une réussite et faire « ça » à quatre, les corps entremêlés peut être un vrai bonheur. Discrètement à mots couverts, elle évoqua l'attrait de la nouveauté, le contact simultané de plusieurs corps.
Mais ajoute-t-elle, la machine s'est grippée quand, après deux ou trois soirées avec le couple complice où ils se libéraient de plus en plus avec toujours autant, sinon, plus de plaisir, son ex-époux lui proposa un léger changement pour leur dernière soirée. Mais, en guise de léger changement, elle découvrit avec stupeur, dans le nouveau local où il l'avait conduite, qu'elle était la seule femme avec 6 hommes de (presque) tous les âges. Son ex lui expliqua qu'il aimerait la voir être le jouet de ses « amis » dont il garantissait un comportement « respectueux » de ses tabous. Néanmoins elle aurait droit à une fessée modérée, si elle se refusait à l'un d'entre eux. Choquée, surprise, véritablement interloquée et ne s'attendant pas, et de très loin, à une telle proposition de son époux, si jaloux avant ces vacances libertines, elle refusa tout net de se prêter à ce jeu. Si encore il y avait eu d'autres participantes, peut-être serait-elle restée, mais là, elle tourna les talons et brutalement, elle se mit à haïr son mari aussi fort qu'elle l'avait aimé, se refusa à lui définitivement et entama aussitôt une procédure de divorce, encore en cours.
Revenant spontanément sur ses expériences libertines du cap d'Agde, elle constate que si les deux hommes du quatuor n'éprouvaient apparemment aucune gêne dans ces ébats en groupe, d'un commun accord tacite, ils évitaient au maximum tout contact entre eux. Alors qu'elle même et l'autre partenaire féminine n'hésitaient pas, tout naturellement, à se toucher, s'embrasser, se caresser réciproquement les seins, le sexe, sous prétexte de vérifier si tout était près pour la pénétration du mâle.
- Sans être pourtant lesbienne, ajouta-t-elle à nouveau, j'avoue que les contacts physiques avec ces femmes me procurent beaucoup de plaisir.
En disant cela, le regard d'abord lointain sur ses souvenirs vint se poser dans les yeux de Martine, qui en rougit de honte, de plaisir ou de désir. Un long silence s'ensuivit. Sous la table Pierre bandait comme un fou. Les tables alentour leur paraissaient perdues dans un brouillard opaque.
Brutalement, Claire sonna la retraite :
- Mes amis, il est tard, demain j'ai un gros travail prévu. Si nous prolongeons la soirée hors d'ici, je pense que j'aurai des soucis au bureau. Mais, quand vous voudrez, je vous invite chez moi, où l'on se retrouve chez vous pour dîner de bonne heure et « discuter » ensuite de toutes ces choses là, par exemple.
- Discuter, osa Pierre, c'est un euphémisme, à moins d'envisager de parler aussi avec les mains. Qu'en penses-tu Martine ?
- Oui, peut-être, pourquoi pas balbutia-t-elle hypocritement, tant l'envie était déjà forte.
- Pourquoi pas, bien sûr. Mais réglons l'addition et rentrons vite chez nous, chacun de notre côté, vous verrez que la prochaine fois, nous serons encore plus heureux de nous revoir. Martine, on se voit au self demain, et on fixe un jour pour notre prochaine soirée.
Rendez-vous fut donc pris dès le lendemain, et elles fixent le mardi suivant, Claire étant prise le week-end par une réunion dans sa famille. Sortant du bureau, elle viendrait dîner chez Martine et Pierre et ils passeraient la soirée à trois dans l'intimité.
Le soir même, Pierre interroge Martine. Le rendez-vous est-il pris ? Pas avant mardi ? Ses yeux brillent, son c'ur bat plus vite, et déjà, à cette pensée, il bande avec tonus. Martine le regarde l'air un peu surpris, pose sa main sur sa braguette pour confirmer que cette bosse qui grossit n'est pas une plaisanterie, et mi-sérieuse, mi-rieuse, elle dit:
- Dis donc, c'est moi qui amène Claire. Je te rappelle que je voudrais qu'elle me suce pendant que tu me fais l'amour. C'était notre idée, non ? Toi, ajouta-t-elle moqueuse, elle ne te touchera pas et tu ne la toucheras pas non plus. Mais comme je ne suis pas ingrate, viens, déshabillons nous, je vais vérifier sous la douche, si cette grosseur dans ton pantalon est toujours aussi ferme.
Et pendant qu'elle jouait sous la caresse de l'eau chaude avec le membre de son époux, faisant aller ses lèvres et sa langue sur cette hampe on ne peut plus fière et tête haute, elle murmura doucement, à peine l'entendit-il,
- Tu sais, Claire, si elle le veut bien, elle pourra te toucher aussi. Tu pourras comparer nos talents de suceuses.
Et elle engloutit le gland de Pierre, qui, entendant ces paroles pleines de promesses, éjacula encore plus rapidement que d'habitude, surprenant pour une fois Martine.
Au lit, ils imaginèrent les positions à prendre pour faciliter à la fois une bonne pénétration et un accès aisée à la chatte de Martine pour que Claire puisse la sucer (si elle le voulait bien, ce dont ils ne doutaient pas) confortablement. Malgré quelques idées, ils jugèrent qu'il fallait être à trois pour décider définitivement de la chose et finirent pas s'endormir, oubliant pour une fois de remettre « ça ».
Le mardi suivant, Martine et Pierre étaient prêts à recevoir dignement leur nouvelle amie Claire. Ils avaient discuté les jours précédents du menu, conclu que le repas ne devait pas être trop long pour laisser du temps aux choses « sérieuses » qui devaient le suivre. On devait être léger en alcool pour ne pas s'endormir. Enfin, Martine ayant eu une réponse ni négative, ni positive de Claire pour peut-être finir la nuit chez eux, lui évitant ainsi un retour nocturne, avait préparé la chambre d'ami, avec l'espoir qu'elle ne servirait pas, en y plaçant tout de même un superbe ensemble nuisette et robe de chambre hyper sexy.
Ils rentrèrent le plus tôt possible de leur boulot respectif. Ils dressèrent la table ronde, vérifièrent la fraîcheur du champagne, mirent la dernière main au repas simple. Passant dans leur chambre ils virent que leur employée de maison avait refait, comme prévu, leur vaste lit « king size » avec des draps immaculés. Les salles de bains étaient fournies en serviette.
Ils se changèrent rapidement, un souffle de parfum pour Martine et la sonnette retentit à 19h30 tapantes.
Ravissante, dans une robe aubergine, au décolleté sage, mettant en relief ses formes pulpeuses, Claire était tout sourire en les embrassant. Elle avait apporté outre une petite mallette au cas où elle resterait, quelques fleurs, mises rapidement dans un vase et l'on s'installa au coin salon devant 3 flûtes pour entamer la soirée. La conversation restait dans des futilités diverses.
On avait hâte de passer à table pour en finir plus vite avec le repas, qui ne fût pas négligé pour autant. Un joli foie gras avec son verre de vin liquoreux servit d'entrée. Chacun eu droit ensuite à sa petite caille farcie aux fruits secs accompagnée d'une compote de pomme que Martine avait préparé la veille et mis au four à l'arrivée de Claire. Un petit vin de Loire en boisson et comme dessert fraises et framboises leur firent rougir les lèvres.
Dégusté en trois quarts d'heure, le dîner enchanta Claire. Pierre proposa de faire le café, pendant que Martine et Claire s'installaient sur le canapé du salon. Il débarrassa rapidement la table du dîner, puis grâce à sa belle machine, il concocta 3 superbes expresso qu'il amena sur un plateau accompagnés d'un divin chocolat noir.
Pendant ce temps les deux amies s'étaient serrées l'une contre l'autre sur leur siège, Claire avait passé son bras droit derrière les épaules de Martine. Elle lui murmurait à l'oreille des compliments sur son repas, sur sa maison, sur son mari, sur la douceur de sa peau qu'elle vérifiait en passant ses lèvres sur le cou de sa partenaire, juste sous l'oreille, déclenchant chez celle-ci d'intenses frissons de plaisir.
En souriant, Pierre s'installa à la gauche de Claire et ils dégustèrent leur café sans que son bras ne quitte l'épaule de Martine. Puis la tasse reposée, elle continua à frôler la peau de sa voisine de ses lèvres entr'ouvertes, pendant que sa main gauche se posait sur la cuisse de Pierre, ce qui lui déclencha une érection formidable.
- Ton café était excellent, dit-elle en se retournant vers lui.
Dans ce mouvement, sa main se déplaça légèrement et remonta se posant sur la virilité largement étendue dans un pantalon heureusement assez large.
- Oh pardon, dit-elle, sans retirer toutefois sa main. Tu sembles très réactif. Félicitations ! Martine a bien de la chance.
- Il ne tient qu'à toi, se risqua-t-il à lui répondre dans un murmure un peu gêné.
Silencieuse, elle plissa légèrement les yeux, les rendant ainsi plus rieurs et lui fit un large sourire. Elle retira sa main avec lenteur, la posa sur son bas ventre, en soupirant longuement.
Puis les deux femmes commencèrent chacune une phrase à la même seconde qu'elles stoppèrent immédiatement..
- Comme tu l'avais'
- Je pense que?..
Puis, en riant, Martine invita Claire à reprendre la parole.
- Comme tu l'avais proposé, j'ai pris quelques affaires avec moi et après ce super repas, j'ai plus envie de passer la nuit ici que de repartir dans l'obscurité.
- Je pensais exactement la même chose. Si tu veux je t'emmène à la chambre d'ami. Tu auras ta salle de bains privée et j'ai mis sur le lit une petite parure qui devrais t'aller. Si tu veux, après notre douche, tu peux venir dans notre chambre, euh?. « bavarder » avec nous avant de dormir. D'ailleurs, notre lit est si grand, que l'on pourra même y dormir à trois.
- OK, allons-y.
Claire se leva, passa dans l'entrée saisir sa mallette et suivit Martine qui lui montra les lieux et la porte de la chambre conjugale où elle pourrait les retrouver très vite.
Dans leur propre salle de bains, Pierre venait d'entrer et commençait à se déshabiller, tournant le dos à Martine, n'osant lui montrer la taille de son érection, de peur de la vexer, car il savait bien qu'il devait cette excitation plus à Claire qu'à sa propre épouse.
- Tourne toi, je sais bien dans quel état tu es. Et d'ailleurs j'en suis ravie, car je vais en profiter. Ouah le monstre engin ! J'ai l'impression que tu as gagné 3 cm. Viens sous la douche que je m'occupe d'elle. Dis-moi, j'ai l'impression qu'on va passer une très bonne soirée. Tu as vu comme elle m'a excitée, rien qu'avec ses lèvres dans mon cou et comme elle ne t'a pas loupé !
A deux sous la douche, ils se savonnèrent joyeusement, puis Martine, prétextant que Pierre ne résisterait pas 30 secondes en présence de Claire et du plus léger attouchement de sa part, se saisit de sa bite, la branla toute imprégnée de mousse douce et glissante, puis après l'avoir rincée, plongea dessus les lèvres gourmandes et en un temps record récolta sur ses lèvres la première éjaculation de la soirée.
Séchés, recoiffés, les dents brossées, légèrement parfumés, enroulés nus dans leur peignoir de bain, ils se glissèrent dans leur chambre.
Tout sourire, Claire les attendait, au pied du lit, vêtue, si l'on peut dire des dessous choisies par Martine. Une nuisette, presque transparente, largement ouverte devant sur des seins de bon volume, un petit peu lourds, mais tenant parfaitement leur place, le mamelon pointant vers le haut. La nuisette était si courte que ses fesses étaient à peine recouvertes. La moindre flexion, découvrait un double globe d'une sphéricité parfaite. Devant, on devinait juste au dessus de l'ourlet la fente vulvaire, bien visible sur la peau rasée de frais. Un déshabillé, arachnéen, transparent comme une vitre, lui couvrait les épaules, tombant jusqu'au genou. Elle n'avait pas serré la ceinture qui flottait, mettant ainsi ses jambes et ses cuisses en valeur, sans en cacher le moindre centimètre.
Le tout devait peser 50 g, agrémenté de broderies florales discrètes et d'une fine dentelle sur les bords. Pierre ne put se retenir de siffler d'admiration et malgré sa décharge toute récente, il ressentit des sensations agréables au niveau de sa queue, qu'il sentit se déployer lentement.
Ils s'assoient tous trois au pied du lit, Claire entre ses deux amis. Dans le mouvement, la verge déjà presque dressée de Pierre, s'insinue entre les pans de son peignoir et le gland apparaît discrètement. Cela n'échappe pas à Martine, qui décide de lancer les ébats. Elle se penche au dessus des genoux de Claire, saisit le sexe de son époux et tout à trac fait à Claire une proposition un peu insolite :
- Tu sais, je viens de sucer Pierre sous la douche. Tu vois que ça ne l'a pas totalement fatigué. Regarde en pressant un peu, il sort une dernière goutte. C'est à mon avis, la meilleure. Veux-tu la goûter ?
- Je ne sais pas trop, répond Caire, un peu interloquée par cette proposition si nette. C'est peut-être un peu prématuré, ne fermant pas ainsi complètement cette option.
- C'est un peu direct, Martine, ajoute Pierre. Mais à l'occasion, je ne dirais pas non. Et à cette pensée, sous la main de Martine qui le caresse encore, sa bite durcit encore un peu plus.
Toujours penchée vers Pierre, en travers de Claire, Martine tourne la tête vers celle-ci et se retrouve les lèvres devant les seins de son amie. Elle les pose sur la peau et commence à y déposer des baisers légers, puis, Claire tendant sa poitrine en avant comme pour l'encourager, elle s'infiltre dans le large décolleté de la nuisette. Lâchant la verge de son époux, elle fait jaillir de sa main redevenue libre, un sein, puis l'autre et lèche, suce, mordille, aspire les mamelons rapidement érigés.
Claire, doucement s'allonge sur le dos, Martine suit le mouvement sans décoller ses lèvres. Pierre un peu abandonné, les regarde, s'étend sur le côté gauche de Claire, ayant soin de laisser son peignoir entr'ouvert pour laisser à l'air son gland, maintenant bien dilaté. Il s'apprête à se caresser en attendant que ces dames se préoccupent à nouveau de lui, quand il rencontre la main de Claire, qui justement descendait tenir compagnie à son entre-jambes. Priorité aux dames, pense-t-il et il retient sa main, pour mieux se concentrer sur la man'uvre prévue leur invitée.
Claire, en effet, pose sa main avec une douceur infinie sur la verge tendue de Pierre, l'effleure, sentant sous ses doigts la pulsation vitale régulière, évitant de blesser le gland fragile, non lubrifié, puis saisissant le corps du superbe organe, elle resserre les doigts et commence un lent va et vient, puis descend encore plus, soupesant les testicules, les malaxant avec d'infinies précautions, et remontant sur le membre érigé pour poursuit sa lente masturbation.
Pendant ce temps, Martine descend son visage sur le corps de Claire, à travers la nuisette légère comme une brume. Elle la dépasse bien vite, remontée déjà à la taille. Sa bouche entoure le nombril, elle y plonge sa langue puis poursuit cette descente au paradis, remonte sur Venus, sentant le grattement de la pilosité fraîchement rasée. Presque étonnée du plaisir qu'elle ressent à savourer une autre femme, elle apprécie que Claire écarte légèrement, puis plus franchement ses cuisses. Martine plonge alors sa bouche vers le saint des saints. D'une main, elle écarte doucement les lèvres verticales, aspire le clitoris gonflé qui la nargue, enroule les petites lèvres, introduit sa langue au plus profond qu'elle peut, lèche, mâchonne et aspire l'humidité qu'elle déclenche. Clara geint, soupire, murmure son plaisir, accentue la cadence et la pression de sa main sur la bite de Pierre.
Mais Martine s'arrête, se redresse, appuie ses lèvres sur la bouche de Claire et demande à son mari de les rejoindre pour un triple baiser, tout imprégné des liqueurs de leur invitée.
- Allez, on enlève les peignoirs qui ne cachent d'ailleurs plus rien et ta nuisette, on rentre sous les draps, dit-elle.
Aussitôt fait, ils se serrent l'un contre l'autre. Pierre se glisse au fond du lit. Il n'ose pas encore trop s'occuper de Claire. Il enfouit sa tête entre les cuisses de Martine et commence à lui rendre un hommage gourmand.
- Rejoins-le, propose Martine à Claire.
Celle-ci, ravie d'être obéissante, vient mêler sa bouche à celle de Pierre sur les lèvres intimes de Martine. Ils alternent pour lui offrir le plaisir, ils mêlent leurs bouches et leurs langues dans un baiser de passion. Puis Claire s'enfonce au plus profond du lit, et saisissant la bite tendue comme un arc de Pierre, la prend entre ses lèvres, aspire le gland, le suce, passe sa langue sur le sillon, engloutit le membre jusqu'à s'étouffer, puis jouant de sa main et de sa bouche l'amène au bord de l'explosion. La bouche de Pierre s'affole sur le minou de sa femme, il la suce comme jamais et elle déclenche une jouissance bruyante, se cambrant au maximum, soulevant son dos du plan du lit comme un pont suspendu. Claire et Pierre s'immobilisent, surpris par l'intensité du plaisir, fiers d'en être les acteurs. Un peu calmée, Martine les attire vers elle, les serre dans ses bras, les embrasse cent fois, répétant :
- Ah Merci ! Ah Merci ! Que c'était bon ! Que c'était bon ! Mais vous mes chéris, vous êtes frustrés. Mais vous ne perdez rien pour attendre.
- Ne t'en fais pas, répond Pierre, la soirée n'est pas finie. Claire et moi, avec ton aide ma chérie, nous prendrons aussi notre pied.
- J'y compte bien, ajoute Claire.
Elle propose à Pierre de la sucer. Il lui demande alors de s'asseoir sur sa bouche. Il sort la langue qui s'enfonce au plus intime de Claire. Elle se frotte sur le visage d'avant en arrière, et du clitoris à l'anus, la langue de Pierre, ses lèvres explorent ces grottes délicieuses. Pendant ce temps, Martine pompe joyeusement la verge, toujours vaillante de son mari, elle la coule entre ses seins, la reprend en bouche, puis installée derrière Claire, comme la passagère d'une moto, elle s'empale sur la bite bien aimée de Pierre. Celui-ci, grâce au prélude de la soirée sous la douche résiste encore. Martine, se retire et propose à Claire de prendre sa place. Elle n'a qu'à reculer quelque peu, pour à son tour se faire pénétrer. Plus serrée que Martine, elle comble les sensations de Pierre. Echauffée au maximum par la dégustation qu'elle a offerte à l'homme, elle ne tarde pas à faire éclater sa jouissance, plus silencieusement que Martine, mais avec pas moins d'intensité. Pierre s'est heureusement retenu, bien que millimétriquement proche de l'orgasme. Cela permet à Martine, qui a de la suite dans les idées de proposer son scénario longuement mijoté à l'avance.
Elle propose à Claire et à Pierre, comme si elle venait d'y penser, de s'installer, pour être baisée par son époux, pendant que Claire lui sucerait le clito.
Pierre s'étend sur le dos, Martine s'étend sur lui, elle aussi sur le dos, Pierre la pénétrant par l'arrière. Ecartant largement les jambes elle offre à la bouche de Claire, toute la partie antérieure de son intimité. Elle aura ainsi, l'association du plaisir vaginal et de la jouissance clitoridienne.
Tout se déroule parfaitement. Quelques surprises agrémentent l'action. De par sa position, la bite de Pierre s'échappe parfois de son fourreau et vient buter sur les lèvres de Claire. La première fois, elle la replace en bonne position, la deuxième fois, elle embrasse le bout du gland, avant de remettre les choses en ordre. La troisième fois, elle la suce une bonne minute, au grand plaisir de son propriétaire, jusqu'à ce que Martine délaissée, leur réclame sa part de bonheur.
Et, extase suprême, sous l'action des assauts du sexe de son mari, et des caresses buccales de son amie, Martine déclenche son second orgasme de la soirée, en même temps qu'Pierre emplit de sperme son vagin, dans une éruption violente. Claire, heureuse de ce double feu d'artifice, attend la sortie de la verge, la saisit et extrayant la dernière goutte qui s'en échappe sous ses doigts, l'aspire entre ses lèvres, déclarant :
- Comme je ne l'ai pas goûté tout à l'heure, je profite maintenant de cette fameuse dernière goutte, qui est vraiment très savoureuse.
Et ils éclatent de rire tous les trois.
- Mais, dit Martine, nous avons Pierre et moi, joui deux fois et toi une seule fois. Ce n'est pas équitable.
- Si vous ne me forcez pas à aller me coucher dans la chambre d'ami, puisque ce lit est si large, donc si nous dormons à trois ici, peut-être que dans la nuit, j'aurai l'occasion de me rattraper.
- Il est hors de question que tu nous quittes pour la nuit et ma foi, si on se réveille, pourquoi pas. Mais nous avons eu très chaud, nous sommes un peu gluants, allons nous redoucher à trois avant de dormir.
Ils retournent donc dans la salle de bains et s'installent à trois dans la vaste douche aux jets multiples verticaux ou horizontaux. Ils s'enduisent de mousse, qu'ils étalent les uns sur les autres, s'attardant sur les fesses, les seins, les vulves, et la queue du mâle. Puis pendant qu'ils se rincent, Pierre propose à Claire de poser un pied sur un petit tabouret, et, s'agenouillant sous elle, il lui déguste la vulve, tandis qu'un flot d'eau chaude l'asperge en même temps. Tout à son plaisir, Claire ferme les yeux. Martine abandonne quelques instants les seins qu'elle caresse, pour aller chercher le fameux Baron doré, en faisant signe à Pierre de continuer. Puis se revenant derrière Claire et reprenant ses caresses d'une main, elle présente avec l'autre le sextoy, au bord de la vulve de son amie et l'y enfonce doucement, pendant que Pierre poursuit ses savantes prouesses buccales. Claire d'abord surprise, apprécie cette dureté intense qui la pénètre. Les yeux toujours fermés, elle croit un instant que Martine a remplacé Pierre à la man'uvre et que celui-ci, ayant retrouvé toute sa vigueur, s'insinue en elle. Ouvrant à demi les yeux, elle constate qu'il est toujours sous elle, elle porte la main en arrière et réalise que Martine lui offre une virilité ludique. Bien que peu adepte, jusque là, de ces ersatz, elle apprécie la surprise et concentrée sur ce plaisir imprévu, elle finit par jouir, à la grande satisfaction de ses deux « amants », ravis de ce supplément offert à leur invitée.
Séchés, ils vont s'effondrer sur le large lit, Pierre installé entre les deux femmes qui posent négligemment la main, l'une sur la verge détendue et douce, l'autre sur les couilles arrondies. Lui insinue chacune de ses mains entre les cuisses de ses partenaires, bien au chaud, contre leur vulve. Mais tous trois sont hors service pour quelques heures. Ils ne se réveilleront qu'à la sonnerie du réveil qui, 5 jours sur 7, se fait injurier, mais atteint son but, puisqu'ils arrivent à se lever à temps pour aller bosser.
Toilette, Petit déjeuner avalé, ils se séparent et décident de remettre ça le prochain mardi.
Et ainsi de semaine en semaine, Claire venait dîner tous les mardis chez ses amis et y finissait la nuit. Ils inventaient d'autres jeux ou du moins amélioraient et les répétaient, tant est qu'on ne s'en lasse pas vraiment. Bien sûr dès la seconde semaine, la douche à trois fût une constante. Les deux coquines suçaient alternativement l'inusable Pierre qui s'épanchait dans la bouche de l'une ou de l'autre, voire dans les deux. Elles tiraient au sort pour récupérer la dernière goutte, la « meilleure », celle qui sort lorsqu'on presse la bite quelques minutes après la décharge.
Etendus à trois sur le vaste lit, en attendant que Pierre retrouve une vigoureuse santé, elles lui offrent le spectacle de leurs ébats. Elles s'embrassent voluptueusement, mêlant leur langue et leur salive, les mains impatientes explorant le corps de l'autre du dos aux fesses, des seins à la vulve palpitante et brûlante. Elles lèchent, mordent le cou dans ses zones les plus douces et les plus sensibles. Elles avalent les seins de l'autre, puis s'étendant l'une sur l'autre tête-bêche, elles entament un « 69 » ardent, buvant, aspirant à la source le nectar qu'elles secrètent de plaisir. Elles se retournent, offrant à la vue de Pierre alternativement les fesses de l'une ou de l'autre qu'il malaxe avec délices. Bientôt il vient se mêler à leur jeu, partageant le « repas » de Martine ou de Claire sur la chatte de l'autre partenaire.
Puis on change de position. L'une d'elles tend la main vers le sexe de Pierre, s'assure de sa rigidité retrouvée, le caresse, le présente à la bouche ou à la chatte de sa complice, l'y enfonce, tâchant de mêler sa bouche à cette pénétration. Puis l'homme étant à leur merci, elles l'étendent sur le dos, l'une lentement se fait pénétrer en s'asseyant sur la queue parfaitement redressée, l'autre s'assied sur le visage de Pierre, frottant sa vulve et son anus sur la bouche, le nez, les yeux de Pierre qui bouche grande ouverte, langue tendue, lèche, tel un chien amoureux, ces lieux précieux qu'on lui présente.
Enfin l'une ou l'autre, puis l'une et l'autre, car Claire a goûté et apprécié de sentir un sexe bien dur dans son vagin, en même temps qu'une agréable succion de son clito, se fait pénétrer par l'arrière, laissant accessible cette zone sensible et hyper-érogène à la bouche de l'autre. Et pendant que va et vient la bite de Pierre, les lèvres et la langue d'une des jeunes femmes s'activent sur le clitoris de l'autre, ne dédaignant pas, si par hasard la queue de l'homme glisse en dehors du vagin de l'engloutir quelques secondes dans sa bouche avant de la replacer dans le con de son amie.
Chacune ayant ainsi pris son plaisir avec force gémissements, elles font un dernier effort, bien agréable d'ailleurs, pour se rejoindre, couchées de part et d'autre de Pierre, autour de sa verge, toute humide de leur mouille, à la lécher, la sucer, l'aspirer, la branler, leurs deux bouches confondues, jusqu'à ce qu'elles obtiennent, jaillissant en secousses vigoureuses, le sperme de celui-ci, qu'elles partageront avec délices.
Puis le sommeil les prendra tous les trois, heureux, unis dans l'intrication des corps nus, jusqu'au matin.
Donc, de semaine en semaine, Claire continuait à pimenter les ébats de notre jeune couple. Sans que la lassitude ne les gagne, tous deux, réfléchissaient à une autre variation à leur plaisir. Il est difficile de savoir qui le premier ou la première aborda le sujet, toujours est-il qu'un soir, regardant distraitement une mauvaise émission dans leur salon, ils évoquèrent ce problème. Martine avoua tout de go :
- Tu sais, j'aimerais bien que ce soit toi de temps en temps qui me suce pendant qu'on me pénètre.
- Mais c'est ce que je fais quand on utilise un sex-toy.
- C'est vrai. Pourtant si c'était une vraie queue, bien chaude, ce serait sûrement meilleur.
- Ah bon, tu veux qu'on trouve un homme ? Personnellement, je ne suis pas très tenté.
- Ben, dis donc, je t'ai offert les services de Claire qui ne te refuse rien et toi tu me chipotes la présence d'un homme qui, rassure toi, ne saurait être là qu'en ta présence, puisque j'aurais besoin de sa queue en même temps que ta bouche.
- Ouais, c'est imparable, mais pas si facile à envisager. Et d'abord il faudrait trouver l'oiseau rare. Pour ce genre de trucs, si on met une annonce on aura des dizaines de candidats plus ou moins pervers et il sera difficile de choisir.
- Faudrait trouver un type qu'on connaît, sympa et qui pourrait être volontaire. Toi dans ton boulot, au club de footbal, ou dans ma boîte.
- C'est ça, on va essayer d'y réfléchir, dit Pierre, cherchant à repousser l'échéance, car si voir sa femme se faire lécher par Claire l'émoustillait sérieusement, il ne se faisait pas vraiment à l'idée de la voir se faire baiser par un autre, même et surtout en sa présence.
- Merci mon chéri. Je sais que tu nous dénichera un type qui nous plaira. Viens, arrête cette télé insipide, on va se coucher.
Ce soir-là la douche commune fut particulièrement longue. Martine caressa de sa mousse la bite de Pierre un temps infini, puis elle fit longuement rouler ses fesses sur cette queue dure comme l'acier, puis au rinçage elle la prit dans sa bouche longuement prenant régulièrement une gorgée d'eau brûlante qui accentuait les sensations qui l'envahissait. Puis serrant la base de son membre pour retarder son explosion, elle vint coller sa bouche à son oreille en lui susurrant un discours le plus excitant possible.
- Tu verras, que tu aimeras me lécher la clito, pendant qu'une belle bite, bien chaude, bien dure, fera des va-et-vient dans mon vagin. Pendant ce temps, moi je lécherai la tienne, j'enroulerai ton gland de ma langue, j'aspirerai ton petit trou, je goberai tes couilles, je te branlerai de ma main la plus douce. Tu verras, si la bite de notre partenaire, glisse hors de mon vagin, et si par inadvertance, il vient la poser sur tes lèvres, c'est très agréable aussi, elle sentira ma mouille que tu aimes tellement boire.
Pierre était en train de fondre, de plaisir, de désir, son érection lui parut plus intense que jamais et il eut soudain envie que ce que désirait Martine se réalise dans l'instant. Sentant son état, Martine n'eut plus qu'à se pencher et en deux coups de langue elle ouvrit les vannes, Pierre l'arrosant de son sperme en hurlant de plaisir.
- Je vois avec plaisir que tu es d'accord avec ma proposition et que cela t'excite au plus haut point. Allons dans la chambre, je te donnerai mon minou à lécher toute la nuit, si tu veux, et pour aujourd'hui, on se contentera de Nestor et du Baron et on essaiera une triple pénétration, tous les trois dans mon vagin. Tu verras, ça va être très serré.
Et la soirée se prolongea agréablement jusqu'à ce que le sommeil ait raison d'eux.
Un peu dégrisé le lendemain, Pierre assis devant son bureau, passait en revue les autres collaborateurs de sa boîte dont aucun ne paraissait faire un bon candidat à leur projet. Chez ses copains du club de football, personne n'émergeait vraiment. Martine de son côté n'arrivait pas à se décider à proposer un tel plan à ses collègues, aucun d'eux ne lui paraissant susceptible de s'associer à leurs ébats.
Jour après jour, l'envie d'expérimenter ce nouveau fantasme augmentait chez l'un et chez l'autre, mais ils n'arrivaient pas à se décider pour un candidat éventuel à qui proposer un tel scénario.
- Il y bien Bernard qui pourrait faire l'affaire, suggéra-t-il un soir sous la douche. Je sais qu'il ne s'entend plus très bien avec sa femme, ne pas rentrer chez lui une nuit ne le dérangerait pas beaucoup. Pierre n'était pas très emballé tout de même à l'idée de renifler à moins de 5 cm le sexe de ce garçon un peu balourd et son ton n'était pas convaincant.
- Pas question, mon chéri. Je vois qui c'est, tu me l'as présenté une fois et je n'aime pas son regard.
- Qui te parle de regard ? C'est pas une queue que tu souhaites ?
- Oui, mais une queue avec des beaux yeux, c'est mieux.
- Alors, regarde ma queue dans les yeux avant qu'elle ne disparaisse dans ta bouche, proposa-t-il, avec l'envie de lui offrir généreusement un don de sperme sur la langue.
Aussitôt dit, aussitôt fait, oubliant ce Bernard qui ne semblait pas faire l'affaire, Martine engloutit la bite dressée de son époux et reçut en moins d'une minute, la récompense promise avant d'être à son tour pourléchée, puis pénétrée par son insatiable époux.
Les fêtes de fin d'année passées, Pierre, comme tous les ans se garda bien d'oublier la soirée des v?ux de son patron, début janvier à laquelle les épouses étaient conviées.
Ils s'y rendirent donc et après quelques préliminaires et quelques présentations, où Pierre fut complimenté sur la beauté de son épouse, ce qui la fit un peu rougir, chacun se retrouve dans des petits groupes différents. Peu attentive à la conversation des deux femmes et du vieux monsieur avec qui elle se trouvait regroupée et tout en sirotant sa flûte de champagne, Martine détaillait l'assistance à la recherche d'un éventuel oiseau rare. Son attention fut attirée par un beau gaillard blond aux yeux sombres, au teint bronzé, assez inhabituel en cette saison. Il discutait avec un autre homme, mais se sentant observé, sans doute, il regarda Martine et lui sourit en lui adressant un léger clin d'oeil si fugace, mais si charmeur qu'elle en éprouva un frissonnement nullement déplaisant.
Elle chercha des yeux Pierre, s'excusa auprès de ses interlocuteurs qui n'y prêtèrent guère attention et vint à ses côtés pour le tirer à part et lui demander discrètement, qui était ce garçon qui avait attiré son regard. Pierre lui souffla qu'il ne le connaissait qu'à peine car peu de temps après son embauche il avait été envoyé à l'étranger, travailler dans une filiale. Il dût convenir qu'il avait l'air sympathique, qu'il pouvait être séduisant pour une femme et qu'il l'avait oublié en passant en revue ses collègues de travail, car il ne s'était pas souvenu de son passage éclair un an auparavant.
- Je vais aller le retrouver, l'interroger discrètement, viens nous rejoindre dans 5 bonnes minutes, pour ne pas le troubler trop tôt.