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Proposée le 7/10/2012 par huguette34
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Tu te rends compte, cette femme qui se donne à une autre devant son mari sans doute ou son amant.
Et alors, elle doit aimer les femmes. Un peu comme toi.
C'est pas pareil, moi c'est maintenant mais là, une salle de bain du I° siècle, avec ces mosaïques.
De ce temps, les Romains aimaient montrer les réalités ;
Voilà en gros ce sur quoi portait notre conversation au sujet de la villa romaine que nous visitons en vacances. C'est vrai Dominique ne crache jamais sur une fille qui lui plaît. Je crains bien qu'elle ne s'occupe de moi qui jusqu'à présent n'est fait l'amour qu'avec des hommes membrés normalement, pas les grosses bites, les familières.
Il est encore tôt dans l'après midi, nous continuons un instant notre visite accompagnées par une femme âgées qui elle aussi semble bien avoir aimé les nanas : elle sourit en entendant notre conversation, sans être choquée le moins du monde. Elle nous conseille d'aller sur la plage proche pour nous baigner nues, on y est si bien. La chaleur commence à diminuer, je prends le parti du bain. Dominique sent qu'elle a une chance avec moi, même si je ne lui ai jamais fait part de mes sentiments.
En deux mots voici ma situation actuelle. Je sors d'une histoire d'amour et de sexe avec un ex possessif qui pourtant me baisait bien, devant ou derrière selon mes goûts. J'aimais bien le sucer : son sperme était à ma saveur. Et puis un jour je l'ai surpris avec une amie dans le lit de ma chambre : il l'enculait comme si mon anus n'était pas à sa disposition quand il le voulait. Je les ai mis dehors, tous les deux, lui nu, elle à moitié seulement avec ses fesses encore visibles. Depuis je me contente seule avec un gode pour compagnon. Je l'ai même dit à Dominique qui depuis pense fort que je vais me trouver avec elle dans son lit. Ce n'est pas que je sois farouchement hostile à des relations saphiques, mais j'aime qu'on mette les formes pour conquérir mon corps.
Donc en quittant la villa nous descendons vers l'endroit indiqué comme tranquille. Nous garons la voiture près de la plage, juste au dessus. Un petit effort pour descendre les 30 mètres. C'est vrai que personne n'est là. Je me déshabille devant les yeux intéressés de Dom. Je ne l'attends même pas, je me jette à l'eau tiède, pile comme j'aime. Quand je me retourne Dominique est nue, elle me regarde depuis la plage dans une position équivoque : les jambes ouvertes, le ventre en avant dirigé vers moi, les mains sur les hanches comme par défit: je peux voir sa chatte en grande partie. Ce qu'elle regarde en moi c'est aussi ma chatte. Pour plaisanter, je me tourne pour me baisse en avant pour lui montrer mes fesses. J'ai à peine le temps de me relever qu'elle est derrière moi, ses main sur mes seins.
J'allais protester quand elle tord gentiment un téton. Et moi quand on me prend par les sentiments, je me laisse un peu faire. Tout ça à cause d'une antique démonstration de saphisme supposé. Un remue-ménage se fait dans ma tête : après tout pourquoi ne pas essayer ? Le seul risque est que je n'aime pas ce genre d'effusions au risque de me fâcher avec une bonne copine. Elle descend sa main vers mon sexe, y met deux doigts directement dans le vagin pour me doigter. Je me le fais fréquemment, J'aime me faire jouir ainsi, mais je ne pensais jamais qu'elle soit si experte pour me donner ce genre de plaisir.
Je me laisse aller contre elle, je sens ses seins contre mon dos, je commence à me tendre, juste avant l'orgasme. Nous restons au bord de la plage sans trop entrer dans l'eau. Je la laisse faire : quand je jouis je me laisse aller pour me trouver assise avec l'eau sur mes seins. Mes mains ont remplacé la sienne : quand je me masturbe c'est une vielle habitude de me tenir la chatte comme si j'avais peur que le plaisir s'éloigne de mon sexe.
Dominique enfin fait le tour pour passer devant moi, j'ai sa chatte juste à hauteur de ma bouche. Je suis tentée d'y mettre ma langue. J'y renonce pour ne pas avoir à céder à tout ce que demande Dom. Elle s'assoit presque contre moi, sa main revient là où il ne faudrait pas : elle me branle le clitoris.
- Branles moi toi aussi. Fais moi jouir
Que répondre à cette injonction quand celle qui vous la demandeuse vient justement de vous faire jouir ? Je passe ma main sous son corps, je touche la partie sacrée de son anatomie. Je ne sais si elle mouille à cause de l'eau de mer qui s'infiltre sous elle. Je cherche à peine pour passer mes doigts sur le bouton que je sens bien gonflé. La position ne m'est pas tellement favorable : je suis obligée de tordre mon poignet pour arriver sur elle. J'entends ses gémissements, ses soupirs quand je la fais jouir. Elle reste un instant immobile avant de m'entraîner dans l'eau. Enfin nous nous rafraîchissons normalement. Ça ne dure pas quand elle me prend dans ses bras pour m'embrasser. Nos langues s'enroulent dans la bouche de l'autre. J'ai ses seins contre les miens, son pubis qui frotte aussi contre moi. J'ai encore envie qu'elle s'occupe de mon sexe.
Ses mains sont entre mes fesses, elles cherche le joint pour passer là où j'aime. Je la laisse faire ce qu'elle veut. Maintenant un seul doigt est dans ma raie. Je le sens venir doucement sur l'anus. Mon Dieu, elle va entrer dans le cul. Je crois lui avoir dit un jour que j'aimais la sodomie. Je sens qu'elle entre doucement, profondément. Ses lèvres s'appuient encore plus sur ma bouche, son autre main passe devant, elle entre dans le con. Je me laisse faire comme une rosière qui se fait peloter pour la première fois. Je suis grisée de ces plaisirs que j'ignorais volontairement. Je ne peux que dire des "Oui, encore, baises moi mieux".
Nous sortons de l'eau pour nous abriter dans un endroit d'où strictement personne ne pourrait nous voir. Cette fois, si je reste allongée, elle est entre mes jambes, sa tête explorant avec vigueur mon entre-jambes. Je sens sa langue lécher mes mollets, les genoux et enfin mes cuisses. Je m'interroge que la lenteur de son action. Enfin sa bouche me mange le gazon et la chatte. Elle mange pour de bon en avalant tout ce qui dépasse : les lèvres, le bouton, l'anus. Elle me fait mettre les jambes sur ses épaules, passe ses mains pour venir me prendre la poitrine. Jusqu'à présent personne ne m'a fait tant d'effet. Et je suis dans une période d'orgasmes à répétition. Je ne sens plus de mon corps que les partis caressées.
J'ai brusquement envie de lui rendre ce qu'elle me fait. Nous sommes en 69. Sans hésitation ma langue la lèche également : nous nous rendons coup de langue pour coup de langue aux même endroits. Nous nous entrons des doigts dans le cul comme une chose normale. J'aime voir mes doigts s'enfoncer dans ce corps offert. Et puis je découvre que je suis une femme fontaine. Je sens la cyprine s'écouler en jets forts vers sa figure. D'ailleurs quand nous arrêtons, elle a le visage maculé de mon foutre de fille.
Le soir à l'hôtel nous recommençons longtemps. Mais il y a un besoin qu'elle n'a pas comblé : il me manque une bite. Je verrais ça plus tard à la maison une fois rentrée de vacance.