Ida - Mon amour sexuel (1)

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Proposée le 25/09/2012 par babar

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Introduction
Ida est la femme indonésienne d'un de mes meilleures potes. Elle est sublime dans son corps d'adolescente de quarante ans (trente-cinq ans à l'heure du récit qui suit). Elle mesure à peine un mètre cinquante. Fine, petit seins et belles fesses, Ida était mon fantasme durant des années, jusqu'à ce que ce dernier se réalise.
Le récit ci-dessous relate notre première rencontre sexuelle, il y a de cela cinq ans. Avant cette « première », Ida et moi nous nous connaissions depuis environ trois ans, lorsque mon copain me l'avait présentée pour la première fois.

La première fois
Je te bouscule en sortant chacun des toilettes respectives, homme et femme du restaurant où entre amis nous passions une agréable fin d'après-midi. A ton habitude, comme quand on se salue d'une bise, tes mains viennent amicalement se poser sur mon bras et mon épaule, les caressant légèrement pour excuser ta maladresse. Chez toi, je sais que ce genre de geste, n'est qu'une marque d'affection innocente. Tu aimes le contactes charnels. Chez moi, depuis les années que l'on se connaît, sentir tes mains sur mon corps me fait d'autres effets et, chaque fois j'en profite pour poser ma main droite dans le creux de tes reins et te caresser quelque peu le flanc de ton ventre plat.
Oh Ida, mon fantasme !
D'habitude, ces attouchement en restent là. Mais cette fois, pour une raison inconnue et sans un mot, ils continuent jusqu'à un point qui me fait fantasmer depuis bien longtemps, mais que je n'ai jamais crû atteignable.
Oh Ida, que tu es belle !
Je ne sais pas qui guide l'autre, mais il se trouve que je sens ta mains remonter le long de ma nuque et caresser le bas de ma chevelure, tandis que mes bras s'enlacent délicatement autour de la taille. Nos yeux se fixent, et inexorablement nos visage se rapprochent jusqu'à ce que nos lèvres se soudent et que nos langues se mêlent dans un langoureux baisé empreint d'une passion intense. C'est toi qui guide la man'uvre. Une de tes main c'est faufilée sous mon jeans et caresse mes fesses, tandis que l'autre fouille mon torse par dessous ma chemise. Je suis pris au dépourvu, et dois faire un grand effort pour reprendre pied et devenir plus entreprenant. Mes mains finissent par s'emparer de ta croupe que je sais au combien excitante pour l'avoir mater de nombreuse fois. Après un massage copieux, je finis par les saisir vigoureusement avant de te soulever. Tes bras s'enlace autour de mon cou, tes jambes se lient derrière mon dos. Je te porte et t'emmène d'où tu viens, dans les toilettes des dames.
Oh Ida, que nous arrive-t-il ?
Je te dépose debout sur la cuvette puis te délaisse un instant pour fermer la porte. Je me retourne et découvre tes petits seins pointant à travers ton débardeur, juste en face de mes yeux. Maintenant, l'excitation véhiculée par cette situation tout autan inédite qu'inattendue, a désinhibé toute retenue de ma part. Je m'empare sans attendre de tes seins. Tu n'as pas de soutien-gorge. C'est merveilleux. Tes tétons pointent à travers le tissu, et je m'empresse de les titiller du bout de ma langue, avant de les gober de ma bouche. Pensant à ce que pourrait imaginer ton mari et ma femme, ainsi que nos amis resté sur la terrasse, découvrant ton maillot mouillé de salive à notre retour, je m'arrête. Tes yeux me lancent un air dépité, mais tu finis par comprendre, et c'est toi-même qui retire impatiemment le coton qui nous sépare.
Oh Ida, que je désire !
Ma bouche s'empresse d'avaler, telle une ventouse, un de tes nichons. L'ivresse du moment m'emporte dans une frénésie de plus en plus bestiale. Mes mains parcourent ton corps. Après le dos et les hanches, ton sexe est copieusement caressé à travers ton jeans. Tes bras, fermement enlacés sur mon cou, finissent par se glisser sous ma chemise, et finissent par la glisser par le haut de mon corps. Nos torses nus sont à présent collés. Je sens la pointe de tes seins pointer ma peau.
Oh Ida, que tu es bandante !
La folie de nos sens me fait oublier quelque passage. Je reviens à une sorte de réalité quand je te découvre assise sur la cuvette des WC, ma queue entre tes lèvres. Mon pantalon est sur mes chevilles, et ta bouche avale mon sexe bandé à bloc. Me fixant du regard, tu alternes les pires supplices que peuvent subir un homme. Longue léchouille le long de la verge, gobage de couilles et avalement du phallus jusqu'au plus profond de ta gorge. Sentant ma sève prête à jaillir, je t'arrête, m'agenouille entre tes cuisses, déboutonne ton jeans et le retire. Je découvre enfin le fruit de mon désire. Ta chatte est magnifique. Le pubis proprement taillé, laissant quelques poiles en « ticket de Métro », et la vulve parfaitement rasée, tu est sublime d'érotisme. Un véritable appel à la baise. Je penche et enfouit mon visage contre ton sexe. Je m'affaire en premier lieu à te lécher les abords de ton fruit d'amour, avant d'approcher ma langue sur ton petit bouton. Je le vois grossir, sortir de son entre, demandant à ce que l'on s'occupe de lui. Je le titille, je le suce, tu frémis, tu gémis. Je descends ma langue le long de tes lèvres sexuelles. Une-à-une je les écartes. Je découvre ton puits d'amour. Il est luisant de plaisir, mouillé d'excitation. Mon index rejoint ma langue et s'introduit d'un coup sec en toi. Tu jouis. Ton corps se tétanise, parcouru de soubresaut. Tes yeux s'ouvrent et tu me regarde. Heureuse.
Oh Ida, que l'on est bien !
Ma virilité est au meilleur de sa forme. Je l'approche de ta grotte et la frotte longuement au creux de tes lèvres dégoulinantes de désir. Ton regard m'appelle. Ton appétit sexuel me donne des ailes. Je m'enfonce. J'ai l'impression que ta chatte m'aspire. C'est si doux et si humide. Je suis au paradis. J'avance. Impatiente tu presse mes fesses. Je me refuse à ton empressement. Je coulisse. Je sens les pulsations cardiaques de ton vagin contre ma bite. J'ai l'impression qu'à tout moment je peux éclater. Je me retiens... je suis en butée.
Oh Ida, que tu es profonde !
Ta bouche est grande ouverte, tes yeux exorbités regardent le plafond. Tu veux crier ton plaisir, mais tu n'y arrive plus. Tu jouis à nouveau, me griffant de tes ongles les avants bras. Tu t'agrippes à moi l'air dés'uvrée par toutes la jouissance qui t'habite. Je commence à aller-et-venir en toi. D'abord lentement, puis de plus en plus vigoureusement.
Oh Ida, que je coulisse bien !
Par dessous les genoux, je te soulève. Nous sommes toujours enfichés. Je te plaque contre la cloison et continue à pistonner ta fosse des délices de mon dard. Tes bras s'agrippe à moi si fortement que j'en ai mal. Ton dos coulisse le long de la paroi, cela ne doit pas être très agréable également. On en a cure. La folie des sens passent avant tout. Je jouis. Mes jus se répandent en toi. Gicle le fond de ton intimité, et tu jouis à nouveau, accompagné de longues trépidations.
Oh Ida, que tu me jouis bien !
Toujours enlacé et enfiché, je m'assieds sur la cuvette, fatigué mais heureux. On est repu de plaisir. Il nous faut quelque minutes pour reprendre nos esprits, mais on finit par se dégager et se rhabiller.
Oh Ida, que je suis heureux !
On sort des toilettes. On ne c'est toujours pas dit un mot. Nos regards suffisent. On rejoint nos mari, femme et ami. Combien de temps cela a-t-il duré ? Ces derniers nous demande où l'on était passé. Nous leurs répondons de c'ur que l'on jouait avec les enfants.
Oh Ida, ce n'est que le début de nos aventures !

Épilogue
Ce récit n'est que le début d'une longue histoire « sexuelle » entre Ida et moi. Et peut être que l'envie (et surtout si vous avez aimé) me poussera à vous les faire partager.
Certain penseront que cette relation est immorale. Comment peut-on baiser la femme d'un de ses meilleur poteau ? Dieu sait combien de fois je me suis posé cette question.
Le divorce avec nos conjoints respectifs n'est également pas envisageable.
Nous avons trouver « un équilibre propre à nous », comme nous aimons, Ida et moi, nous le répéter.