Le chemin de Jacques : 10-Débuts

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Proposée le 23/09/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des plus ou moins longs séjours. En Allemagne il rencontre Evi qui bien qu'hétérosexuelle aime bien les filles aussi. Avec elle, il partage d'agréables moments et toutes les joies de la sexualité. Elle lui faire découvrir le naturisme et partent en vacance dans les îles grecques pour un séjour très dénudé avec un couple d'amis, Evelyne et Boris.



-10- Débuts

Je ne fus nullement étonné lorsqu'Evi me dit :
- Avec Evelyne, nous sommes amantes. Lorsque j'avais 14 ans, c'est avec elle que j'ai eu ma première expérience avec une fille.

- Si jeune, dès l'âge de 14 ans ?
- J'en connais d'autres, où c'est encore plus jeune, 12 ans par exemple. Moi à 12 ans je me branlais, mais je ne baisais pas encore.
- Je croyais que Bieta était ton initiatrice ?
- Je ne t'ai jamais dit ça. Je t'ai dit qu'elle avait été l'une de mes plus brillantes maîtresses, mais pas celle qui m'a fait goûter la première aux plaisirs saphiques.
- Tu n'avais pas eu de mec non plus ?
- Non, pas encore. Ma première vraie relation sexuelle, c'était avec une fille. Ma première fille c'était elle, Evelyne. Elle avait une certaine expérience en la matière, c'est pour ça que cela a été si bon, bien meilleur que si nous avions été pucelles ou novice en la matière. Elle m'avait invitée à dormir chez elle.

Evi me raconta sa première expérience avec son initiatrice :

« Je suis chez Evelyne où je dois dormir. Avant de me coucher, je passe dans la petite salle de bain attenante à sa chambre pour me brosser les dents. Tout à coup Evelyne se met derrière moi, très près ; à travers nos fins shorts de pyjama mes fesses rentrent en contact avec son entrejambe. Je n'ose bouger, alors, passant ses mains sous ma veste, elle prend mes seins dans ses mains. Je ne me sens un peu gênée, mais surtout très troublée et même excitée, surtout avec ce qu'elle me susurre à l'oreille :
- Tu a une magnifique poitrine, tes seins sont fermes, bien durs, faciles à prendre, parfaits pour mes mains, tes mamelons sont de la bonne taille et bien dressés.
Les fines mains d'Evelyne descendent vers mon short, au niveau de mon ventre, elle passe la main sous l'élastique, parcours ma chatte assez poilue à l'époque. Elle met alors son index et son majeur entre mes lèvres et trouve tout de suite mon clitoris. Je me mets à gémir. La caresse est divine. Je m'accroche au lavabo pour ne pas défaillir. A mon grand regret, elle stoppe tout en me disant en me lançant un clin d'oeil :
- Allez, il se fait tard, viens dans la chambre.
Or je sais que nous devons dormir dans le même lit, « comme deux s'urs » m'avait-elle dit. Mais je n'ai aucune envie que nous restions comme deux s'urs. Je sens ma culotte se tremper et je suis toujours terriblement excitée.
Sous les draps, elle me demande sans me toucher :
- Tu avais déjà imaginé cette scène entre nous deux ?
- ?
- Tu sais j'y pense souvent, à chaque fois que je me masturbe, depuis assez longtemps. Ce soir je n'en pouvais plus, il fallait que je te touche.
Mon corps me brûle et je ne suis plus maîtresse de moi-même. Je m'approche d'elle et je l'embrasse. Elle répond à mon baiser en m'embrassant à pleine bouche en m'étreignant étroitement. C'est comme dans un rêve, c'est parfait. Elle entrouvre ma veste, me donne des baisers partout sur le corps, sur mes petits seins qui sont tout gonflés. Elle descend mon short découvrant mon minou qu'elle contemple un instant. De moi-même j'enlève ma veste. Elle décide de se mettre nue elle aussi. Son corps d'adolescente de 16 ans est beaucoup plus épanoui que le mien avec de beaux seins ronds, un minou déjà partiellement épilée laissant apercevoir une fente bien dessinée. Elle vient entre mes jambes et me donne des coups de langues tout autour de mes grandes lèvres, c'est divin, bien meilleur que lorsque je me branle. Puis elle enfonce sa langue entre mes lèvres ; ma chatte déborde de cyprine. Je me laisse faire ne pensant à rien et surtout pas à la morale. Non, seul mon plaisir compte. Elle frotte ses doigts contre mon bouton d'amour. Il ne faut longtemps pour que je sois saisie d'un orgasme incroyable qui fait trembler tout mon corps.

Quand je reprends mon souffle elle me demande :
- Ça t'a plu ?
- C'était' c'était divin, je ne pensais pas'
- Tu voudrais bien m'offrir aussi le plaisir que je t'ai donné ?
- Mais je ne sais pas, je n'ai jamais fait.
- Ne t'inquiète pas, je vais te guider.

Elle me prend la nuque et me fait faire la même chose qu'elle m'a faite. Je lui pelote et embrasse déjà ses admirables nichons, amples et fermes à la fois. Comme les miens, leurs pointes dardent. Je descends vers son minou. Je trouve que c'est très agréable de caresser ce beau corps de fille. Elle me tient la tête entre les mains pour me guider. Je parcours ses lèvres, atteins le clitoris que je lèche en faisant de petits ronds autour du bout de sa langue?
Je sens son corps frémir de plaisir au moment de l'orgasme.
Je suis contente de moi, j'ai fait jouir une fille. Nous nous endormons l'une contre l'autre.
Lorsque nous nous réveillons dans la nuit, nous refaisons l'amour. Nous nous donnons à nouveau du plaisir mutuellement en nous mettant en 69.

Par la suite, nous avons de nombreuses fois fait l'amour ensemble. Par moment nous sommes moins vus, mais c'était pour mieux nous retrouver. J'ai vraiment aimé faire l'amour avec Evelyne. Elle ne m'a pas fait devenir lesbienne, car j'avais envie des mecs sans avoir eu de relation hétérosexuelles ; tout comme elle d'ailleurs. »


Voici comment Evelyne et Evi étaient devenues lesbiennes et bisexuelles.

- Aussi, poursuivit-elle, si durant ce séjour que nous allons faire en Grèce, tu nous vois baiser ensemble, Evelyne et moi, ne t'étonne pas mon chéri, ce sera inévitable.
- D'accord, pas de problème si ça peut te contenter.
- Je te remercie d'être aussi conciliant.
De toute façon je n'avais pas le choix, soit j'acceptais sa bisexualité, soit je la perdais. Je préférais largement rester avec Evi et lui accorder des relations sexuelles très libres.
- Ah ! Il faut que tu saches aussi que Boris a été mon amant pendant deux ou trois mois. C'est moi qui l'ai présenté à Evelyne.
- Elle te l'a piqué ?
- On peut voir cela ainsi. Mais en fait, j'ai de l'amitié pour Boris, mais ça n'a jamais été un véritable amoureux pour moi. Juste un peu plus qu'un sex-freind. Alors, finalement tout le monde était content : elle avait trouvé un mec qu'elle kiffait et moi j'étais débarrassée et je pouvais passer à autre chose.

Lorsqu'Evi me racontait ses histoires sexuelles passées, je n'éprouvais aucune jalousie. Cela éveillait plutôt chez moi une certaine excitation, qui ne pouvait s'estomper qu'en prenant avec vigueur et sans grand ménagement ma belle maîtresse? qui ne demandait pas autre chose. C'est ainsi que pour me chauffer, elle me raconta sa première expérience hétérosexuelle :

- Mon premier homme, celui qui a pris ma virginité, j'étais sur le point d'avoir 15 ans.
- Là aussi c'était jeune.
- Quelques mois après ma première expérience lesbienne avec Evelyne. Mais tu sais, la majorité sexuelle en Allemagne est de 14 ans. Et tu veux savoir, dans l'état du Vatican, la majorité sexuelle est fixée à 12 ans... Etonnant n'est-ce pas ? En plus, certaines filles de 14 ans, sont beaucoup plus matures que certaines filles de 17 ans. Il n'y a pas d'âge pour faire l'amour pour la première fois. Il n'y a pas que des adolescentes connes qui se laissent faire par des mecs qui profitent d'elles, de leur jeunesse et de leur inexpérience. Ce sont des lâches, qui, après avoir tiré leur coup les laissent tomber comme une grosse merde ou la jette comme un kleenex. Il n'y a pas que des filles écervelées qui ne savent pas ce qu'elles font, ne se protègent pas et restent traumatisées. Il faut simplement être prête et le vouloir, ne pas céder sous la pression.
- Et toi, ça ne t'a pas « traumatisée » ?
- Je peux t'assurer que je n'ai jamais regretté mon premier rapport avec un homme et que c'était tout simplement magique.
- Tu te sentais prête physiquement et psychologiquement ?
- Je n'ai pas eu à me poser la question à vrai dire.

Voici l'histoire qu'elle me conta :

« Cet été là, ma mère accepta qu'au mois d'août j'aille passer mes vacances avec Evelyne, dans la propriété appartenant à ses parents dans le sud de l'Allemagne. Mais elle voulait qu'au mois de juillet je travaille. C'est elle qui m'a dégoté une place de jeune fille au pair chez un riche pasteur. Le pasteur en question, bel homme d'une quarantaine, belle prestance (surtout lorsqu'il déclamait son sermon lors de la messe), était marié avec une belle femme beaucoup plus jeune que lui et avait trois enfants : deux filles, 3 et 8 ans et un fils, 5 ans. Ma fonction était principalement de m'occuper des enfants pendant la journée. Je n'avais même pas à les faire manger ou les habiller, une femme de chambre s'occupait de cela, moi je devais les promener ou les surveiller dans le jardin ou dans la maison. Un travail très tranquille.
Le pasteur parlait souvent avec moi et commença à me poser des questions de plus en plus personnelles, jusqu'au jour où il me demanda :
- Evi, êtes-vous vierge ?
- Oui, mon père. Je me réserve pour mon époux.
- Cette chasteté vous honore. Il y a tant de filles qui se livrent à des jeunes de leur âge sans précaution.
Mais le lendemain matin, lorsque je me suis réveillée, il était dans ma chambre et je me suis aperçue avec stupeur que j'étais nue devant lui. Il avait retiré mes draps et ma couverture et avait remonté ma chemise de nuit dévoilant ma touffe et mes seins alors que j'étais encore dans les bras de Morphée. J'ai poussé un cri de frayeur en essayant de me cacher.
- N'ayez crainte, vous êtes très belle. Garder sa virginité pour son époux, c'est fort bien, mais la donner à un homme de dieu, c'est encore mieux.
- Mais mon père?
- Laissez-vous faire, tout va bien se passer.
Je lui ai tourné le dos, alors il a commencé par des massages de ma nuque, puis de mon dos, de mes jambes de mes pieds. Je fondais sous ses mains expertes qui pourtant évitaient les zones le plus sensibles de mon corps. Il se montrait doux, patient, câlin. Comme je me détendais, il me retourna. Je tentais de dissimuler ma nudité avec mes bras et mes mains, alors sans brusquerie il prit mon bras gauche qui cachait mes seins et vint le poser sur mon flanc, puis il fit de même avec ma main droite qui dissimulait ma chatte. Je n'ai même pas tenté de replacer mes bras.
Il a caressé mon corps sans précipitation, avec une infinie douceur, ne se préoccupant que de mes réactions les plus infimes. Il regardait mon visage, me souriait tendrement pour me donner du courage.
La suite, je ne sais plus bien, si ce n'est que je ressentis une douleur au bas du ventre et qu'il me dit très tendrement :
- C'est fini, c'est fini. Vous n'avez plus rien à craindre maintenant. Vous voilà débarrassée de ton hymen. Vous allez pouvoir devenir une femme maintenant.
En même temps il montra ses doigts d'où perlaient des gouttes de sang.
Il s'est déshabillé et on a fait plusieurs fois l'amour, ou plus exactement, il m'a fait l'amour, car pour ma part je restais passive. J'ai eu plusieurs orgasmes, aussi intenses que ceux que j'éprouvais avec ma partenaire lesbienne. Les fois suivantes, c'était toujours merveilleux, c'était même meilleur d'une fois sur l'autre. Ça reste pour moi un merveilleux moment de ma vie.

Il avait mis un préservatif se doutant que je ne prenais aucun moyen de contraception. C'est lui d'ailleurs que m'a fait rencontrer un médecin qui m'a donné la pilule. Puis ce pasteur aux m'urs légères m'a tout appris en matière de sexualité. Il venait me rejoindre dans ma chambre tous les matins ou presque. Il me fit découvrir le corps des hommes et les moyens de leur donner du plaisir. Avec patience et doigté, il m'a enseigné la fellation, m'a appris à apprécier le goût du sperme? Entre ses bras je suis véritablement devenue une femme épanouie et avide de sexe.

Il avait vraiment une grosse queue lorsqu'il bandait, bien qu'assez banale ou repos. Et c'était un merveilleux coup. Il faisait l'amour intensément, fougueusement, tout en sachant se montrer doux. Au début, j'avais honte de lui montrer mon sexe, mais c'est vite passé, car il était un expert en matière de cunnilingus, c'était presque aussi bien qu'avec Evelyne, enfin c'était différent, je n'aime pas comparer, parce que ce n'est pas comparable. Il aventurait sa langue partout sur mon corps et ses baisers, ses caresses étaient divines. Il me faisait l'amour dans ma chambre le matin, mais il avait tout le temps envie de baiser, partout : il m'a prise dans la salle de bain alors que sa femme était là dans la chambre attenante, lors d'un diner chez des amis où on pouvait être découvert à chaque instant, dans la nature aussi. Cela m'a appris à accepter toutes les découvertes physiques sans tabou ni limite. Il n'était jamais à cours d'idées pour pimenter notre relation.

Le mois suivant, j'ai rejoint Evelyne. Ses parents n'étaient pas là et nous avions à disposition la maison et la piscine. On a commencé à faire l'amour ensemble et au bout d'une semaine, on a trouvé que ça manquait de queue. Elle aussi avait eu entre temps une aventure avec un homme. On a été en boite, on a dégoté deux mecs qui sont venus nous satisfaire pendant le reste du séjour. C'est à ce moment-là que j'ai commencé le naturisme, enfin plutôt le nudisme, car le but, c'était de se balader à poil autour de la piscine pour exciter les mecs. Ça marchait bien, car ils bandaient tellement qu'on leur a proposé de se mettre à poil aussi. Ils ne se firent trop pas prier. Par la suite, le plaisir de se baigner sans maillot, la sensation de liberté ont été les plus forts et ce sont eux qui m'ont fait continuer l'expérience. »


Evi, était une femme épanouie sexuellement tant avec les hommes qu'avec les femmes. Je ne pouvais que respecter ses choix et elle ne se priva pas de s'envoyer en l'air avec son amie. Boris n'y trouvait rien à redire non plus. Jusqu'au jour où, en logeant chez l'habitant, nous nous retrouvâmes dans une grande chambre tous les quatre sans possibilité de nous isoler. Etant jeunes, nous avions un besoin impérieux de faire l'amour tous les soirs.
Le discours de ceux qui prétendent qu'il n'y aucune dimension sexuelle dans la pratique du naturisme, sont assez loin de la réalité. Je réfute cette image aseptisée et me reconnais plus dans ceux qui disent que la nudité a naturellement quelque chose d'érotique, même accessoirement, puisque le corps a une composante sexuelle. Il ne faut pas que cette réalité soit niée par la « philosophie » naturiste. La sexualité est un pilier important de la vie de tout individu, qu'il soit naturiste ou non. Les naturistes étant des hommes et des femmes qui s'acceptent et qui acceptent les autres tels qu'ils sont, vivent leur sexualité peut être mieux, car ils sont plus libre dans leur tête sur ce sujet. Pour ce qui est de la libido, on ne peut pas dire que la pratique du naturisme ne l'impact pas ; au contraire elle l'augmente. A longueur de journée on voit des corps nus s'offrant au soleil et en quelque sorte au regard ; aussi une fois rendu dans l'intimité d'une chambre, vous ne pouvez qu'avoir un désir, étreindre un de ces corps, le toucher, le baiser, le posséder, prendre du plaisir avec lui. Ce n'est pas le fait de voir plus souvent que la moyenne sa ou son partenaire sexuel nu qui diminue le désir.

Si nous avions choisi se mode de vie, Evi, Evelyne, Boris et moi, ce n'est pas pour des raisons sexuelles, mais simplement parce que nous nous sentions tellement bien, tellement libres. Il n'y a là dedans aucune perversité. Ni la nudité, ni la sexualité ne sont des perversités, tant qu'elles se pratiquent dans le respect d'autrui. Or aimant tous le sexe, il faisait partie intégrante de notre existence de vacanciers naturistes.
Le jour où nos codes sociaux auront redécouvert ces principes fondamentaux, le monde sera naturiste !

Boris et Eveline ne se gênèrent pas pour s'enlacer tendrement en se couchant sur leur lit. La chaleur étant forte la nuit comme le jour, ils étaient restés nus et ne se couvrirent d'aucun drap. Ils commencèrent à se caresser devant nous comme si nous n'étions pas là. Je les regardais faire sans pouvoir détacher mon regard de leur corps. Evi, devinant mon trouble vint derrière moi et saisit ma queue qu'elle commença à branler. L'atmosphère était prodigieuse. Si je m'étais habitué à me mettre nu sur des plages, si j'acceptais les mignardises sur mon sexe de mon amie avec discrétion, faire l'amour devant un autre couple n'était pas encore dans mes habitudes, ni dans les choses que je pensais pouvoir faire. C'est pourtant le plus naturellement du monde que je pris Evi dans mes bras, que je la couchais sous moi et que je commençais à couvrir son corps de baisers et de caresses.

Ce qui, un instant plus tôt m'aurait paru inimaginable, eut lieu dans cette chambre surchauffée et baignée dans une semi-obscurité. Tandis que ne baisais les seins de ma belle, je vis la tête de Boris disparaître entre les jambes de sa partenaire. J'étais voyeur et je me complaisais dans cette attitude. Nos amis l'étaient beaucoup moins que moi, je ne pense pas qu'ils nous regardaient. Etaient-ils exhibitionnistes ? Je ne le pense pas vraiment puisqu'ils n'avaient pas pour but de nous choquer, mais seulement de prendre du bon temps ensemble. Ils leur importaient peu qu'Evi et moi-même nous puissions les observer en pleine action.

Au bout de quelques minutes, mes dernières inhibitions disparurent et je fis l'amour avec Evi comme si nous n'étions que tous les deux dans cette chambre, sans se soucier de ce couple qui forniquait à nos côtés. Pourtant, je jetais toujours des regards pour observer où ils en étaient. Boris prenaient Evelyne en levrette, dont les seins ballottaient en tous sens sous elle. Elle encaissait vaillamment les coups de boutoirs de son amant en émettant des grognements significatifs de satisfaction et de plaisir. Ne pouvant plus tenir plus longtemps, je plongeais mon sexe dans le con parfaitement lubrifié de ma belle maîtresse, qui elle aussi était très excitée par la situation. J'étais incapable de me contrôler suffisamment pour retarder mon éjaculation et c'est en quelques minutes que je déversai mon foutre à l'intérieur d'Evi sans avoir réussi à lui procurer un orgasme digne de ce nom.

L'autre couple était toujours en pleine action et je voyais nettement la pine de Boris aller et vernir dans le vagin de sa copine. Ils étaient au comble de la jouissance. Comme dans un rêve, je vis Evi se lever de notre lit, rejoindre celui où s'abattaient ce couple. Elle vint positionner sa chatte devant la figure d'Evelyne, qui, sans hésiter une seconde, se mit à lui lécher son abricot. Il devait avoir le goût de la cyprine d'Eva et de mon foutre, mais cela ne sembla pas déranger la suceuse. Elle encaissait toujours les assauts de son amant tout en s'appliquant à donner du plaisir à Evi.
« Tu n'as pas à être jaloux, me suis-je dit, tu n'as pas été capable de la faire jouir, tu récoltes la monnaie de ta pièce et les conséquences de ton incapacité à maîtriser mieux ton excitation. »

Soudain se fut l'explosion : Boris lança un râle, Evi poussa un cri et Evelyne un feulement de bête. Tous les trois, simultanément, avaient été envahis par la jouissance magnifique. Ils étaient si beaux dans cet orgasme. Je fus saisi par cette image, cette fulgurance, si bien que mon sexe se mit à rebander. Evi voyant cela, me rejoignit, me fit mettre sur le dos et s'empala sans ménagement sur moi pour une chevauchée fantastique. Je savais que nos amis nous regardaient, qu'ils ne perdaient pas une miette de la cavalcade d'Evi sur moi, mais je n'en avais cure, je m'en souciais bien peu : j'étais tout au plaisir, toute à la jouissance de cette étreinte.

- Tu la trouves comment ma copine ?
La question venait d'Evi?


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