Un soir d'insomnie 2

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Proposée le 19/09/2012 par Lovely

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Je me réveille dans ses bras, après notre nuit torride alors que François dort encore. Je regarde l'heure, 10h00 et décide de me lever discrètement pour laisser mon apollon dormir. J'attrape ma nuisette et une petite culotte que j'enfile en sortant de la chambre pour faire le moindre bruit possible puis je descends à la cuisine me faire un café. Il fait beau dehors, les rayons du soleil inondent chaque pièce de la maison et je décide de me poser sur le canapé. En même temps que j'émerge difficilement, je réalise ce qui s'est passé hier soir, l'homme de mes fantasmes était venu me faire l'amour sauvagement. Je souris à cette pensée, finis mon café et me dirige à la salle de bain. J'ai grand besoin d'une douche pour me détendre et ce petit moment seule y est propice. J'entre dans la salle de bain et ferme la porte. Il ni y a pas de clé mais je ne m'en fait pas, après tout je ne risque rien. J'enlève ma petite culotte noire, fait glisser la nuisette le long de mon corps et file directement sous l'eau chaude. Ça me fait un bien fou et je reste longtemps sans bouger, profitant seulement de l'eau qui glisse sur ma peau. Je commence lentement à me savonner la nuque en poussant un petit gémissement de soulagement, descends le long de mon buste et glisse la main entre mes jambes. La journée a à peine commencé que je sens que je suis excitée et mon sexe déjà mouillé non pas d'eau mais de cyprine le confirme. J'attrape la pomme de douche est décide de me donner un peu de plaisir en dirigeant le jet sur mon clitoris pendant que j'introduis deux doigts dans mon vagin. Je sens la chaleur monter en moi, je commence à respirer plus fortement et finis par en oublier que je ne suis pas seule.

Debout dans la douche, les jambes écartées, je continue de titiller mon bouton rose et retiens l'orgasme qui arrive. J'enlève les doigts de mon intimité pour les diriger vers mon anus et libérer cet orgasme mais la porte coulissante de la douche qui s'ouvre derrière moi me fait sursauter et je me retourne brusquement: c'est François. Je le regarde interloquée, il est nu est vu la taille de son sexe il n'a rien loupé de mon petit jeu coquin. Je baisse les yeux un peu honteuse, me retourne pour accrocher la pomme de douche et me remets face à lui. Encore un peu gênée de la situation je lui lance un "salut" et lui dis que j'ai fini, qu'il peut prendre sa douche tranquillement mais il n'a pas l'air de cet avis. Il ferme la porte de la douche et se colle à moi avec son sexe vaillant qui me chatouille le ventre. Sans ménagement il me plaque contre le mur, glisse ses doigts le long de ma fente, les passant sur mon clitoris gonflé (ce qui m'arrache un frisson) et enfonce ses doigts dans mon intimité. Le gémissement de surprise et de plaisir que je laisse échapper ne manque pas de l'exciter un peu plus et il ne se prive pas de me chuchoter à l'oreille: "hum mais tu mouilles déjà comme une petite chienne". Je lève timidement les yeux et le regarde comme une enfant prise la main dans le sac sans savoir quoi dire. Son entrée surprenante m'avait quelque peu refroidie mais ses doigts qui maintenant bougent doucement en moi réveil la frustration de l'orgasme que je n'ai pas pu me donner. Voyant ma poitrine monter et descendre plus rapidement au rythme de ma respiration, François accélère le mouvement de ses doigts habiles y allant plus fort et plus profondément. L'eau chaude qui nous éclabousse rend la scène profondément érotique et j'ai de plus en plus de difficulté à étouffer mes cris de plaisir. Apparemment lui aussi à envie de gouter à ce plaisir. Il retire ses doigts, fait quelques petits mouvements circulaires autour de mon clitoris et saisit ma jambe qu'il positionne sur sa hanche. Je sens son sexe qui n'a pas dégonflé chercher l'entrée de ma grotte et François prend les choses en mains. Alors qu'il tient ma jambe de sa main droite, il dirige son membre de son autre main et s'enfonce brutalement en moi. Je ne peux retenir un profond cri de plaisir et de douleur alors qu'il prend bien soin de s'enfoncer au maximum. Une vague de chaleur m'envahit, je me sens enfin remplie et mon excitation grandit de plus en plus. Mon étalon se colle à moi commençant par sortir doucement sa bite de tout son long avant de la re-rentrer violemment puis commence à accélérer le mouvement. J'ai l'impression d'être ivre tant le plaisir me tourne la tête, je ferme les yeux, les ouvre mais surtout je gémis de plus en plus. Je devine que François apprécie particulièrement de m'avoir prise de court et il semble vouloir me faire payer de m'être donnée du plaisir seule. Mes mains sont posées sur son corps, la droite étant sur son épaule, la gauche à sa taille. Sous ses coups, mes doigts se resserrent et mes ongles commencent à s'enfoncer sauvagement dans sa peau. J'aime sa façon de faire, plus violente que la veille, plus bestiale. J'avoue que je ne m'y attendais pas mais ça ne faisait qu'augmenter mon désir de sexe... Après de longs va-et-vient plus sauvages les uns que les autres, François se retira et me dit :

- Tu vas continuer ce que tu faisais tout à l'heure et je vais m'occuper de ton cas.

Je ne comprends pas tout de suite mais François attrape la pomme de douche et redirige le jet d'eau sur mon clitoris. Timidement j'attrape l'objet et il me retourne vivement me mettant dos à lui et me tirant les cheveux pour que je me cambre. Je n'arrive pas à retenir un "Aie" malgré la plaisir de me faire enfin dominer mais rien de semble arrêter mon étalon qui s'empresse de me murmurer :

- Tais toi, ça ne fait que commencer, contente toi de te toucher !
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui Maî... Maître.
- C'est bien chienne.

J'écarte les jambes pour pouvoir me faire plaisir correctement alors que mon Maître frotte son sexe sur la raie de me fesses. Je sais déjà ce qu'il entreprend de faire et je dois avouer que l'idée de me faire sodomiser me met mal à l'aise, surtout quand je pense à son sexe d'au moins 20cm. Doucement il approche son gland de mon petit trou et l'enfonce. Ça me tire un peu mais j'apprécie qu'il ne m'ait pas empalé brusquement ce qui aurait pu couper court aux ébats. Ses mains écartent mes fesses et il commence à exercer une pression pour s'enfoncer plus profondément. Je me crispe un peu, j'ai du mal à encaisser la taille de son membre qui me déchire l'anus et pourtant, je mouille énormément. Si il ni y avait pas l'eau qui coulait pour me nettoyer, on verrait surement ma mouille perler sur le haut mes cuisses. Étrangement, la douleur laisse place au plaisir et je me surprends moi même à me pencher un peu plus pour donner à François un meilleur angle de pénétration. Bien évidemment il remarque mon petit manège et ma provocation ne manque pas de lui donner envie de me dresser.

- Mais c'est que t'aime ça en plus, t'es vraiment une salope.

Ces mots m'excitent au plus haut point et voilà que c'est moi qui cherche à m'empaler sur lui en tendant encore plus les fesses. Mon étalon ne se fait pas prier et accélèrent les mouvements. L'amplitude de ses mouvements diminue mais il accélère de plus en plus et tape au fond de mon ventre. Je souffre réellement mais n'arrive pas à lui dire stop, une partie de moi aimant trop être traitée ainsi. Je me sens dominée, possédée, comme j'avais toujours voulu l'être à certains moments. Entre des "Aie" je cris des "Oh oui" et je n'ai absolument plus la force de restreindre mes cris qui résonne dans toute la maison. Sa bite me fait mal, il s'amuse à la sortir en entier et à me la renfoncer d'un coup avant de reprendre des séries violentes de va-et-vient puissants.

L'orgasme arrive je me penche un peu plus et écarte mes lèvres pour laisser le jet fouetter mon clitoris. Mon Maître met sa main autour de mon cou et commence à serrer, ça en est trop, je suis prise de forts spasmes et pousse une série de longs gémissements. François s'enfonce en moi jusqu'à la fin de ma jouissance puis se retire et me tire les cheveux:

- Viens par là. A genou ! Ouvre la bouche !

Sans broncher je m'exécute, ouvre la bouche pendant que mon dominateur se branle au dessus de moi, et lui touche les bourses. Il enfonce son gland chaud entre mes lèvres en m'insultant de tous les noms et se vide finalement les couilles dans ma bouche en poussant un long râle. Quelques gouttes coulent sur mon menton mais j'avale la plupart de la semence de mon bel homme en même temps que j'enfonce deux doigts en moi. Je me relève collée au corps de François qui m'embrasse à pleine bouche en me disant tendrement que j'avais été une bonne chienne et qu'il ne regrettait pas tous les kilomètres qu'il avait du faire pour arriver jusqu'à chez moi.