Derrière mon école 2

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Proposée le 16/09/2012 par Joel Elen

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« Je t'attend à l'entrée secondaire? à la grande pause »

C'est tout ce qui est écrit sur ce petit bout de papier que je tiens entre mes doigts fébriles, je relève la tête et pourrais penser que j'ai passé l'âge de ces petites rencontres secrètes mais je n'en fais rien. En ce moment je ne pense pas correctement et la seule chose que j'ai en tête c'est que, après une heure de cours, je me retrouverais yeux dans les yeux avec la fille qui me fait rêver depuis que j'ai aperçu sa silhouette dans un couloir au début de cette année.
Le cours passe avec une extrême lenteur, j'appréhende maladivement la rencontre avec cette créature que je ne pensais jamais rejoindre à nouveau. Mais ce jour est arrivé et il faudra que je lui parle car il ne suffira plus de la caresser discrètement comme c'était arrivé il y a peu, non il sera en mon devoir de lui adresser la parole et j'ai affreusement peur de paraitre bête. Je la désire tellement depuis nos caresses en cours que mon esprit ne s'est jamais totalement détaché d'elle depuis ce jour et je me rassure en me disant qu'il faut simplement être honnête avec mes intentions car je sais qu'elle à la mêmes que moi, elle me la tellement bien prouvé durant ce cours si envoutant que nous avons passé côtes à côtes.

La cloche sonne et mon c'ur fait un bon dans ma poitrine. Je me lève d'un coup puis, voyant les autres faire de même, pense à les laisser sortir d'abord pour ne pas me retrouver nez à nez avec Sara dans le couloir, il faut que ce soit une rencontre parfaite, me dis-je.

Je sors enfin, le dernier de la classe. Descend lentement les escaliers en pensant que finalement, je n'ai rien trouvé d'intéressant, durant cette heure de cours, à dire à cette jeune fille. Étonnement cette pensée me donne le sourire. Je vois sa silhouette, je la reconnais toujours parmi les autres. C'est une grande fille avec des cheveux noirs très long qui se tient droite, elle est très élégante. C'est la seule fille de cette école qui a l'air d'une vraie femme. Malgré leurs âges, toutes les autres filles ont des postures d'enfant et, à présent je le remarque, elles me dégoutent profondément. Sara semble seule et me tourne le dos, je la vois à travers la vitre, bien qu'entourée de monde elle parait isolée? et tellement belle. Tellement belle qu'il me faut absolument le lui dire, qu'il me faut la prendre dans mes bras, cette femme si unique.

Je crois que mon plus grand désir, en ce moment précis, est de passer ma vie retiré aussi? avec elle. En posant ma main sur la porte pour la pousser je sens une force que je connaissais pas alors, je suis maintenant à un pas d'elle et une fois que j'aurais ouvert la porte, qu'elle se sera retournée, nous serons face à face. les frissons de plaisir que nous avons échangés me reviennent en mémoire et je sens encore le contact de sa main sur ma peau et l'odeur de son corps chauffé de désir. Je crois le sentir vraiment, j'ouvre la porte. Ce n'est pas qu'un souvenir car je sens la sent aussitôt, comme si les tous les pores de sa peau m'appelaient à elle et j'y vais. Elle se retourne avant que je n'ai pu accomplir aucun geste, comme si elle m'avait senti aussi. Et nos yeux se rencontrent. Des yeux magnifiques d'où mon être se résume. J'ai l'impression déjà que mon v?u est exaucé car il n'y a plus personne sinon ses yeux et moi, et son corps.

Elle s'est rapprochée, elle est à présent qu'à quelque centimètres de moi, c'est peut-être moi qui me suis rapproché en fait. Un sentiment de bien-être me remplit, alors que quittent toutes mes appréhensions que je retenais en moi. Mes bêtes questions et ma peur de n'avoir rien à dire s'évaporent quand je comprends enfin qu'il n'y a simplement rien à dire. Je me sens bien. Son visage s'illumine brièvement et je sais déjà que c'est une réponse à ce que j'éprouve, j'ai la nette impression qu'elle peut aisément lire en moi. Ses lèvres sont entrouvertes et m'invite à venir les gouter, chose que je n'ai encore jamais essayé avec elle mais je ne me jette pas directement et la contemple encore un peu. Elle esquisse alors un petit sourire qui la rend encore plus désirable. Je baisse ma tête et observe sa poitrine qui se soulève au rythme de sa respiration, cette poitrine qui m'a déjà hypnotisé la dernière fois que je l'ai contemplée. Tout à coup je tends ma main vers son ventre comme si une force invisible m'y attirait. Je le touche de ma main grande ouverte et sens la chaleur de Sara à travers le vêtement. Je relève la tête, elle affiche encore son petit sourire, si énigmatique.

Elle se rapproche un peu de moi et ses seins sont à la limite de toucher mon torse, je tends ma deuxième main de l'autre côté de son ventre et lentement je l'attire vers moi, son souffle rauque se rapproche de ma bouche et mes lèvres s'apprêtent à accueillir les siennes. Ses seins ronds se rapprochent dangereusement, puis enfin touchent mon torse, ils s'appuient doucement contre ceux-ci puis si écrasent avec force car Sara a passé aussi ses bras autour de ma taille et me serre vigoureusement, elle a passé un pied entre les miens et je sens sa cuisse presser mon entrejambe. Nous sommes tellement serré qu'il est étonnant que nos lèvres ne ne soient pas encore touchées. Je veux garder mes yeux plantés dans les siens jusqu'à la dernière minute. Finalement elle ferme les siens, je rapproche ma tête d'un millimètre et nos corps ne font plus qu'un.

Ses lèvres sont pulpeuses et des tonnes d'images me viennent en tête. Nous ne décollons pas nos lèvres. Mes deux mains descendent jusqu'à ses fesses et je ne peux empêcher mon entrejambe d'exercer une forte contraction en palpant son arrière-train si ferme et majestueusement rond. Au même moment je sens sa cuisse située entre mes jambes raffermir sa position avec une douce mais puissante pression sur mes bijoux de famille qui me fait comprendre qu'elle a très bien sentit mon mouvement. J'ouvre les yeux amusé et Sara me regarde avec, dans les siens, une pure expression de désir. Probablement excitée par la sensation de mon membre en alerte contre sa cuisse, elle à un air qui semble me dire qu'elle en veut plus.

C'est à ce moment, en pensant à la suite de cette rencontre que je remarque que nous sommes effectivement seuls et que tout le monde est rentré en cours, une pause de quinze minute passée en une dizaine de seconde me dis-je, après une heure de cours passé en plusieurs années. J'esquisse un large sourire car j'ai dans mes bras la plus belle fille du monde et que je sais pertinemment que nous ne retournerons pas en cours aujourd'hui. Je remonte mes mains jusque sous ses aisselles comme si j'allais la soulever pour l'emmener quelque part mais je laisse mes mains à cet endroit que j'affectionne particulièrement car je peux sentir, sous son habit, la base de ses seins et de ces bras, un endroit de l'anatomie plein de charme. Elle me prend les épaules de ses bras et reste dans cette position en me regardant dans les yeux, à ce moment nous partageons cette impression singulière, celle de nous connaitre depuis toujours. Je suis heureux d'avoir enfin trouvé ce que je cherchais, sans le savoir, depuis de nombreuses années.

- On va quelque part ?

Je ne réfléchis même pas concrètement mais ce que je sais c'est qu'il nous faut trouver un endroit où nous poser. N'importe où tant que je peux me plonger dans son corps. Elle me répond.

- Je te suis.

Je la prends sans tarder par la main et nous nous éloignions de cette école. J'ai l'impression de baigner dans un sentiment d'euphorie, je suis shooté et je tiens dans ma main l'objet de ma défonce. Je me retourne et Sara à l'air impatiente de savoir où je l'emmène et ceci me fait sourire car je n'en ai moi-même aucune idée. Nous faisons un petit trajet à pied, main dans la main quand nous arrivons dans une clairière d'où nous voyons encore l'école au loin à peine à l'abri des regards indiscrets des élèves. Dans les fenêtres seul le reflet du soleil y est perceptible. Je me retourne vers elle et lui prends la taille en la regardant.

- Ça te va ici ?

Elle fait la moue de la tête puis une lueur de désir mêlé à un peu de folie passe dans ses yeux.

- Là-bas vers l'arbre plutôt !

Je me retourne et voit un arbre planté bien plus près de l'école que là où nous nous situons, je comprends alors ce qu'elle a en tête et j'ai l'impression que mes jambes ne pourrons plus me supporter, j'ai besoin d'elle, alors j'accepte d'un regard complice. Nous nous rapprochons de l'école jusqu'à ce que nous puissions apercevoir le mur du couloir à travers les quelques fenêtres du bâtiment. Je suis rassuré en ne voyant personne et me retourne vers Sara.

Cette fois un large sourire se dessine sur ses lèvres pulpeuses et je sais qu'elle est bien ici au regard de n'importe quel élève qui vaquerait dans les couloirs. Elle m'entraine en m'agrippant les habits, soulève mon t-shirt jusque sous mes bras sans que je ne puisse esquisser un geste et se met à me griffer le dos en pressant ses seins avec une force surprenante contre ma poitrine. J'ai d'ailleurs une envie folle de pouvoir enfin les toucher et essayant de faire abstraction de mon école dans mon dos, je me décolle un peu de cette femme véhémente qui me griffonne maintenant les cotes de ces ongles qui ont l'air acérés.

Son haut est plus ou moins élastique et en tirant sur son col j'arrive à dévoiler son soutien-gorge. Il est également noir, comme le reste de ses habits et en prenant exemple sur ses manières je le lui arrache littéralement de la poitrine. Tenant d'une main son soutif j'ai une vue majestueuse de ses deux petits seins blancs qui me semblent maintenant énormes, je les prends dans mes mains et Sara ferme les yeux et bascule la tête en arrière m'offrant sa gorge, le souffle rauque, elle plante ses deux mains sur mes fesses et, à bout de bras me les serres l'une contre l'autre. Étonné j'émets un bruit sourd et lui renvoie la pareille en lui pressant les seins plus fort que je ne l'aurais voulu moi-même, cela lui fait pousser un petit cri que je m'étonne à vouloir entendre d'avantage.

Elle rouvre les yeux et me fait un sourire gravé d'une drôle expression de défi. Je fronce les sourcils en ayant l'impression d'être entré dans un ring avec comme adversaire celle que je désire plus que tout autre chose. L'adversaire le plus puissant.

Mon dos commence à chauffer et je dois avoir la marque de ses ongles, il faut que je lui rende la pareille. Son air de défit disparait un moment et elle approche la tête pour m'embrasser. Mais cette fois je prends les devant et tends une main vers son visage. Je lui attrape la mâchoire, freinant son élan, je sens sa peau si douce et me rappelle que son menton est une des partie qui m'a le plus hypnotisé de son anatomie, il est fin et se dessine parfaitement dans l'alignement de sa mâchoire anguleuse. Et la touche finale est la petite fossette à son avant qui sépare le en deux partie. Elle a ouvert les yeux et parait surprise par mon interception. J'exécute un petit haussement de sourcils provoquant. Elle semble avoir compris le message et je serre un peu plus ma prise en lui faisant légèrement basculer la tête en arrière. Sara m'offre sa nuque et je ne peux m'empêcher de penser que c'est un signe de soumission ultime. Je profite donc de cette situation le plus longtemps possible, j'écarte un peu mes jambes et m'approche encore pour encadrer totalement son corps.

Ses deux jambes sont serrées l'une contre l'autres et se trouvent entre les miennes, j'ai du coup mon entrejambe qui touche cette fois directement le sien puisqu'elle est droit en face de moi. Cette sensation me fait à nouveau donner un coup de pression irréversible à mon engin qui exerce une pression directement sur son pubis. Malgré les deux épaisseurs de tissu Sara pousse un gémissement d'approbation et cabre son torse en arrière, échappant à la prise de ma main.

Sa tête est à nouveau droit en face de la mienne et elle part directement à l'attaque de ma bouche. Mes jambes se resserrent autours des siennes, mon pénis contre son pubis à la limite de s'encastrer à travers le tissu.

De ses doigts elle a repris l'avantage sur mes arrières et me griffe de la nuque jusqu'au bas du dos. Puis ses mains passent sous mon pantalon et elle essaye de m'agripper les fesses dans le peu d'espace, où elle reste presque coincée. Comme elle se trouve ainsi momentanément sans l'usage de ses mains ni de ses jambes je pense à ma prochaine attaque? qui sera fatale.

Dans nos bouches aussi le combat de nos langues fait rage, je m'efforce de prendre le dessus et, caressant ses joues de l'intérieur j'immisce ma langue plus profondément en elle. Puis à ce moment je nous imagine continuant nos ébats sur l'herbe et décide de la renverser, je passe une jambe derrière les siennes et je balance le haut de mon corps contre le sien pour nous faire basculer sur le sol. Malgré la force que je donne je faillit rater mon coup mais, l'effet de surprise aidant, je réussis à la faire basculer lentement en arrière. Elle s'agrippe à mon derrière de toutes ses forces pour ne pas tomber comme une masse. Je remarque, trop tard, que j'ai tout de même mal calculé le poids de nos deux corps encastrés, et, une main autour de sa taille pour la soutenir et une autre pour réceptionner notre chute ne suffirent pas à nous poser en douceur au pied de l'arbre.

Le dos de Sara émit un son mat en heurtant le sol et ses poumons expirèrent involontairement un jet d'air qui me rentra dans ma bouche toujours collée à la sienne. Je sentit son souffle me réchauffer le fond du ventre. Je sens un liquide chaud sur mes lèvres. En quittant sa bouche pour la regarder droit dans les yeux je vis que le choc n'avait pas fait baisser son excitation qui luisait toujours dans ses yeux. Mais je remarque que sa bouche est maculée de sang. Je m'en veux d'avoir raté mon coup et de l'avoir blessé par la même occasion. Je porte un doigt à ses lèvres comme pour les laver mais elle me l'attrape avec ses dents en exécutant un large sourire pour me faire comprendre qu'elle ne porte aucune attention à cette blessure. Ses dents également sont de couleur rouge foncé, je l'embrasse de plus belle, le gout unique du sang dans sa bouche va à merveille avec l'intensité de son regard planté dans le mien.

C'est à ce moment que je sentis une pression sur mon pénis et remarquai que je n'avais pas saisi ma chance dans la chute et qu'elle a à nouveau pris le dessus. Elle a réussi à passer sa main dans mon pantalon et dans mon caleçon sans y enlever les boutons comme elle l'avait fait pour mes fesses, avec la difficulté en plus que je me trouve étalé sur elle de tout mon long. Je lui sourit et elle garde un air mystérieux en empoignant la base de mon membre. Puis découvrant mon gland de ses longs doigt elle me fixe d'un air pénétrant. Je remarque qu'elle s'amuse de l'expression involontaire de mon visage lorsqu'elle me touche la verge au bon endroit et je ne puis m'empêcher d'avoir une pointe de rage amusée en me voyant si facilement vaincu.

Elle semble à présent si sure d'elle qu'une envie profonde de retourner la situation me prend malgré l'intense plaisir que je commence à éprouver de cette masturbation. Je lui prend vivement le bras qu'elle a glissé entre nous pour atteindre mon entrejambe, le retire délicatement et le met sur son ventre, puis je pose mes genoux à la hauteur de ces hanches et avec mes pieds je crochète ses jambes, sous ses genoux, pour qu'elle ne puisse plus y prendre appui.

Ce manège semble l'amuser beaucoup et je remarque qu'elle est en train de rire. Continuant l'action je déboutonne son pantalon et alors que je m'apprête à le baisser elle s'empare de mes bras et m'attire pour m'embrasser. Je me laisse faire un moment en affermissant la position de mes jambes ce qui la fit cette fois réellement éclater d'un rire que je trouve alors adorable car je découvre qu'elle essaye en même temps de se débattre de mon emprise et il lui est impossible de bouger le bas de son corps, d'où son fou-rire.

Je relève la tête et la regarde comme si j'étais vraiment énervé, malheureusement sans arriver à défaire un petit sourire de mon visage. Je lui prend alors les deux bras, les dresse au-dessus de sa tête, contre le sol, puis les maintiens d'une main à terre. Ce qui laisse libre champ à ma main droite. Je ne me dirige pas directement à son pantalon déjà déboutonné mais je profite de ma supériorité pour la toucher sans qu'elle puisse réagir. Je lui prends un sein et le malaxe avec force puis remonte à sa gorge pour la caresser et la serrer en lui faisant comprendre la situation.

Étonnement elle accepte vite et arrête de se débattre, je sens que c'est par besoin de se faire prendre au plus vite car elle commence déjà à gémir de désir. Je fais donc durer encore le supplice en descendant très lentement ma main et en serrant de plus en plus l'emprise de ses jambes et de ses bras, je caresse ses seins, je me surprend à les griffer puis je continue sur son ventre, laissant des marques de mes ongles sur sa peau si douce. Ce jeu m'excite tellement que j'ai moi-même de la peine à le faire durer. Il me faut la prendre. J'empoigne donc son pantalon de ma main libre et Sara se cabre pour que je puisse le lui retirer plus facilement. Je le descend jusqu'au milieu de ces cuisses découvrant une culotte mouillée de désir, blanche contrairement à tous ces habits et, impatiente, elle se cabre à nouveau pour que je lui la descende et que je la pénètre, ce qui fait que je reprends gout au jeu de la faire patienter, je veux l'entendre me supplier.

Elle attend cabrée un moment dans cette position, fébrile, et de ce fait elle se met très en valeur. Son ventre dénudé et la peau tendue m'offre une vision de rêve, je le caresse d'une main en suivant la courbe parfaite de ses hanches soulevées du sol, puis continue vers ses seins à l'air mais encore entourés de son haut-le-corps élastique. Je passe mes mains sous le tissu et caresse la base de ses seins puis remonte jusqu'au tétons en alerte. À nouveau je me dirige vers ses aisselles, les caresses, elle sont douce et extrêmement ouvertes dans cette position. Je penche ma tête pour les lécher, elle ont un gout de sel, j'aime ce gage d'authenticité. Je remonte avec ma langue sur ses bras fin, sentant ses muscles tendus sous sa peau, je les nargues avec ma langue car, emprisonnés, il ne peuvent plus rien contre moi. Je me sens tout-puissant. À ce moment je la regarde droit dans les yeux à nouveau pour déchiffrer ses émotions et je la voit prête à exploser de désir non assouvit.

Je lui adresse un grand sourire et ses yeux bourrés de désir n'ont plus de place pour l'ironie amusée qu'ils hébergeaient jusqu'alors, elle répond par un gémissement puis comme excédée et ne pouvant plus attendre que j'aie fini l'exploration de son corps, elle essaye de se charger elle-même de descendre sa culotte en tirant sur ces bras pour les dégager, mais je tiens bon, elle n'a pas assez de force.

- Arrête !

Je sens qu'elle n'en peut plus et une sorte de spasme secoue son bas ventre tant son désir est élevé. Je contemple sa tête crispée de désir. Elle est plus attirante que jamais.

- Prends moi vite !

Je baisse sa culotte car je sens qu'il faut que je continue pour ne pas la rendre folle et je découvre son vagin dilaté à l'extrême, mouillé et qui n'attend plus que ma bite. Je me rapproche alors de son corps. Sara pointe ses genoux vers le ciel et attrape ma ceinture pour la défaire et baisser mon pantalon à mon tour. Elle dévoile alors mon pénis tendu comme jamais et sa vision lui procure un grand sourire soulagé. Je m'avance, la bite en avant, et Sara se mord les lèvres. Je tends ma main à sa bouche et elle me lèche les doigts en me regardant droits dans les yeux. Je me penche en avant, caresse ses cuisses avec l'extrémité de mon gland. Elle ne peut plus attendre et gémis en me suppliant de la pénétrer.

Je pose une main à terre, libérant mon emprise sur les bras de Sara, et de l'autre dirige mon pénis vers l'entrée de son sexe, j'y laisse mon gland quelque secondes et il s'y retrouve trempé. Puis simultanément je prends sa bouche dans la mienne et enfonce profondément mon pénis en elle. Ce premier coup doit être douloureux car j'ai enfoncé mon engin avec ardeur. Je sens la réponse de Sara dans ma bouche, sa langue se crispe un moment puis se détend de bonheur et recommence à me caresser ardemment, en en redemandant d'avantage. A chacun de mes à-coups elle gémit mais le son reste bloqué dans nos bouches sous nos langues. Je continue.

Libérées de mon emprise ses mains se sont remises à me lacérer le dos comme par réponse à mes coups de reins et cette fois j'adore la sensation que cela me procure. Nos langue toujours emmêlées je crois percevoir un changement dans sa façon d'embrasser, elle semble se retirer un moment, crispée. J'ouvre les yeux et vois le regard de Sara posé derrière mon épaule. Je sens un courant d'air sur mes fesses complétement nue car je sais où va le regard de ma partenaire, il est probablement l'heure de la pause et des élèves doivent être en train de parcourir les couloirs.

Sara referme à nouveau ses yeux et tend ses jambes, peut-être pour me montrer qu'elle est détendue malgré le regard des autres. Encore plus étalé sur elle, je continue le vas-et viens de mon bassin. Je baisse ma tête vers la sienne et lui pose un baiser sur le menton, je sens sous mes lèvres le creux qui le caractérise. Elle relève ses jambes et cette fois croise ses pieds derrière mon dos. Me frottant au passage les jambes, les cuisses de ses pieds. J'enfonce de plus belle mon engin dans son trou et à ce moment je sens un forte pression, son vagin s'est anormalement contracté. Sans ouvrir les yeux je continue mes allées-retours car je n'y vois pas d'inconvénient et Sara ne me fait pas savoir qu'il me faut stopper mon action. Et chaque pénétration se fait ressentir plus forte que la précédente. Ma bite est coincée dans cet étau de chair chaude et humide. Sara aussi éprouve un regain de plaisir. Mais sa chatte est toujours aussi serrée. elle commence à lâcher des cris étouffés à chaque à-coups et balance ses reins pour que je la pénètre plus profondément malgré le peu de place. Nous sommes maintenant alliés dans ce combat singulier, pour continuer de faire l'amour malgré son vagin qui se referme et ceci me fait sourire.

J'atteins sa bouche de ma main et y enfonce à nouveau un doigt qu'elle lèche avec vigueur. Et j'enfonce mon pénis avec toujours plus d'entrain, sentant l'extase arriver. Tout à coup je pense savoir pourquoi Sara est crispée à ce point malgré son excitation. Je jette donc un regard derrière moi et voit un groupe de jeunes en dehors de l'école nous observant au loin. Quand je me retourne elle me regarde fixement et nous rions tous deux de la situation, tous deux au bord de l'explosion finale. Son rire se transforme en gémissement et elle me dit les yeux fermés, en commentaire au gens qui nous regarde mais aussi et surtout pour elle :

- Surtout ne t'arrête pas !

Cette idée ne m'avait même pas effleuré l'esprit et je continue de lui faire l'amour avec ardeur, mon pénis bouillonnant de sang approchant de l'explosion finale. Tout comme elle qui, la tête en arrière, pousse des cris sourds et saccadés. Elle semble, durant un moment, totalement désarticulée, elle a la bouche ouverte comme pour crier mais aucun son ne s'échappe de sa gorge nouée, elle est au maximum de la jouissance. C'est à ce moment que mon pénis lâche sa semence et les à-coups engendrés par la sortie du liquide renforcent encore l'extase de Sara.

Je reste un moment dans cette chatte à peine plus dilatée que tout à l'heure où je me sent tellement bien. Sara met un petit moment avant d'ouvrir les yeux et de reprendre une position normale après cette explosion de sensations. Ses seins se soulèvent au rythme ralentissant de ses poumons et ses tétons se détendent, ils semblent assouvis, reflétant l'expression soulagée et heureuse de son visage. Elle aborde un sourire qui en dit plus que des mots, elle se sent bien. Alors que mon pénis sort de son vagin en reprenant sa taille habituelle, elle me tend encore ces lèvres et dans ce dernier baiser nous sentons le sang de tout à l'heure, c'était une belle bataille ! me dis-je amusé, contemplant Sara sous moi, en lambeaux. Et je me mit à rire, avec l'impression d'être enfin totalement assouvi. Elle me rejoint d'un éclat de rire cristallin et j'eus l'impression, à ce moment, que rien d'autre n'existait qu'elle et moi.

Je la pris une dernière fois dans mes bras, torse contre torse, nos corps a demi nus et transpirants au soleil.