Le chemin de Jacques l 9- Vivre nu

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 12/09/2012 par CAVAL

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des plus ou moins longs séjours. En Allemagne il rencontre Evi qui bien qu'hétérosexuelle aime bien les filles aussi. Avec elle, il partage d'agréables moments et toutes les joies de la sexualité.


-9- Vivre nu


C'est Evi qui m'a initié au naturisme. Je n'étais pas pudique de nature, mais tout de même, la première fois qu'on se met à poil devant d'autres personnes inconnues, cela fait tout de même quelque chose. Si je voulais pouvoir rester avec elle, je devais passer mes sentiments de pudeur ou de timidité au second plan. Pour elle, vivre nu était une seconde nature. J'avais déjà pu le contacter lors de notre visite au sauna.

La première expérience en extérieur, ce fut dans un grand parc public où, aux beaux jours, les filles étaient plus ou moins dénudées, étendues sur l'herbe et généralement topless. Mais si on rejoignait le lac, au fond de ce parc, se trouvait un lieu où là, tout le monde, mecs et nanas, étaient totalement nus, batifolant dans les flots, jouant au ballon, discutant, disputant des parties de cartes ou tout simplement se détendant, allongés sur l'herbe. Evi m'avait mené à cet endroit me disant :
- Tu verras, c'est sympa et on pourra bien se détendre.
Mais elle n'était pas rentrée plus dans les détails.

Lorsque j'ai vu tous ces gens nus, je ne fus même pas étonné. Pour ma maîtresse « se détendre » signifiait pouvoir se mettre nu. Avant de partir pour ce lieu qui n'était pas très loin de chez nous, elle m'avait gratifié d'une impromptue, mais agréable fellation. Ainsi elle espérait que mon attitude ne serait pas trop provocante. Au milieu des autres, elle tenait à ce que personne ne puisse s'offenser d'une attitude d'excitation trop marquée. En effet, malgré les belles filles qui se baladaient à poil, parfois la chatte dénuée de poil, laissant voir des fentes plus ou moins ouvertes, les couples étroitement enlacés ou se caressant, et la présence de la femme que j'aimais totalement nue, je réussis à garder une constance : mon sexe fut au plus gonflé, mais jamais en érection ! Enfin, je devais tout de même lutter pour ne pas être trop excité et heureusement l'eau fraiche du lac permettait de calmer trop d'ardeur.

Car on voyait des spectacles qui auraient eu le don de stimuler un eunuque. Lorsqu'on observait certains couples, des femmes attentionnées ne se gênaient pas pour branler le sexe de leur compagnon. Ceux-ci n'étaient pas en reste en caressant de belles et rondes poitrines ou plongeant la main vers des bas-ventres plus ou moins velus. Un peu à l'écart, un couple ne se gênait nullement pour s'aimer, la fille branlait le membre de son copain alors qu'il l'embrassait et qu'il lui pelotait les seins, puis elle se pencha sur lui et le gratifia d'une fellation. Ils allèrent s'isoler derrière un bosquet alors que l'homme avait sa queue au garde-à-vous. Lorsqu'ils réapparurent, la fille avait des étoiles dans les yeux et un sourire mystérieux aux lèvres, quant à son compagnon, il marchait comme s'il était un peu sonné. Ils allèrent nager pour se remettre d'une étreinte puissante et faire disparaitre quelques tâches maculant leur bas ventre. Tout le monde les voyait, personne ne disait rien. A un autre endroit, deux homosexuels s'embrassaient, là encore qui aurait pu s'en offusquer ?

Evi quitta ses vêtements avec un naturel à toute épreuve, calmement, tranquillement, avec une vitesse toute calculée, encore que je ne croie pas qu'elle le faisait exprès. Plus lentement on aurait pu dire qu'elle faisait un striptease, plus rapidement, on aurait pu penser qu'elle se précipitait pour dissimuler son corps se découvrant. Non, elle se déshabillait en public avec un naturel absolu.

Moi, je ne savais pas trop comment m'y prendre. D'être sans maillot, je m'y étais résolu ; d'ailleurs le maillot laisse tout deviner des formes comme une seconde peau et c'est généralement accepté comme normal qu'on puise tout deviner. Pour les femmes on devine les seins biens dessinés et parfois soutenus, un triangle ridicule devant cacher (ou mettre en valeur) le pubis qui doit être épilée pour qu'aucun poil ne s'échappe, une ficelle à l'arrière entrant entre les fesses, surtout s'il s'agit d'un string. Pour les hommes, un moule burne laissant apparaitre parfois une pilosité imposante, pour mettre en valeur une virilité ostentatoire. Finalement n'est-on pas plus indécent avec certains de ces maillots qu'intégralement nu ? La pensée d'enlever ces quelques centimètres carrés de double peau dissimulant à peine le sexe ne me mettait pas en émoi. Finalement je me retrouvais nu également.

Autour de nous, tous vivaient comme s'ils étaient habillés, à l'exception de ceux qui se touchaient. Un mec vint nous demander l'heure sans qu'il y ait dans son attitude la moindre agressivité, malgré son sexe pendant entre ses jambes, une fille rentra en discussion avec nous en se tenant en tailleur ce qui me permettait de voir sa fente ouverte dénuée de tout poil. Elle ne pouvait ignorer que sa position pouvait attirer des regards concupiscents ; pourtant elle ne faisait rien afin de masquer ses attributs qui, étant à la vue de tous, auraient pu heurter sa pudeur. Mais il n'y avait rien d'impudique chez elle, ne cherchant pas à exciter qui que ce soit. Un peu plus loin, quelques jeunes femmes et hommes faisaient de la gym et immanquablement, les jambes s'ouvrant, les sexes se laissaient voir sans aucune pudeur, les seins où les verges bougeaient en tout sens, pourtant là encore, il n'y avait aucun vice.

Je découvris cette après-midi là, sur cette plage, un nouveau plaisir, de nouvelles sensations. Nous renouvelâmes souvent l'expérience? Enfin toutes les fois où le temps le permettait. Vivre nu en commun avec d'autres amoureux de cette pratique devint naturel pour moi. Evi m'avait converti. Aussi, pour coller à la situation, je ne refusais pas qu'en ce lieu, ma tendre et chère maîtresse s'occupe de mon sexe en le branlant jusqu'à ce que j'éjacule. Quant à moi, tout le temps que nous restions allongées sur la plage, j'avais une main sur l'un de ses divins seins dont je ne pouvais décidément me passer ;

Un jour j'entendis un naturiste convaincu dire de façon péremptoire : « On ne devient pas naturiste en se déshabillant ; on est naturiste lorsqu'en étant nu on est aussi à l'aise qu'en étant habillé, lorsqu'on oublie même qu'on est nu et qu'on oublie que les autres le sont. » Il y a du vrai, mais cela laisse peu de place aux débutants qui sont exclus d'emblée. Heureusement, d'autres naturistes, aussi convaincus que lui, sont beaucoup plus bienveillants et n'ont qu'une envie, faire partager leur passion au plus grand nombre et ne pas jouer l'exclusion qui peut entrainer une ghettoïsation.

Même si me mettre nu et vivre nu me plut rapidement, il me fallut encore pas mal de temps à m'habituer à être nu parmi les autres naturellement. Quant à ne pas voir les autres nus, je n'ai jamais réussi à la faire, même si je suis capable de voir une fille sans qu'elle soit dans mon esprit un élément sexuel en tant que tel.



C'est donc avec beaucoup de joie que nous passâmes deux semaines dans des îles en Grèce avec des amis à ma copine dont la principale distraction était de bronzer une fois pile, une fois face afin d'avoir un hâle impeccable sur tout le corps' y compris au niveau du sexe qui ne devait, en aucune façon être plus pâle que le reste de leur peau. Boris et Evelyne avaient à peu près le même âge que nous et vivaient depuis peu en couple. Au moment de leur rencontre, ils étaient déjà de fervents adeptes du naturisme et purent se livrer à leur passe-temps favori sans aucune gêne ni hésitation. Une chose était certaine, leur sexe ne risquaient pas d'être oublié du soleil pour diverses raisons. D'une part, l'un comme l'autre avait rasé ou épilé leurs poils pubiens, annulant ainsi toute protection naturelle. Autant l'abricot d'Evelyne était ravissant à regarder, autant il était étrange de voir ce grand gaillard de Boris, beau mâle, sans aucun poil. D'autre part, lorsqu'ils s'allongeaient pour bronzer, ils avaient toujours les jambes bien écartées, si possible dans l'axe de l'astre solaire et pour Boris, le sexe légèrement sur le côté, ainsi même ses testicules pouvaient profiter du soleil.


Pour moi, le naturisme, c'était se mettre nu dans un lieu prévu à cet effet ou à un endroit où la nudité est explicitement autorisée. Or, en Grèce, rien n'est autorisé et rien n'est formellement interdit. La manne financière que génère la population naturiste est trop précieuse pour l'interdire. L'ex-Yougoslavie l'avait bien comprise, installant de nombreux centres naturistes sur ces côtes. Cependant, je ne m'attendais donc pas à être confronté presque de façon frontale à une population vivant nue dans un pays pudique. Oui, dans l'âme grecque, il ne reste rien de la beauté des corps nus antiques ; les gymnastes d'Olympie qui évoluaient nus ont disparu, Aphrodite sortant des flots sans voile n'est plus, Neptune brandissant son trident n'est plus nu' La religion Chrétienne et sa sainte horreur du corps est passée par là. La plus belle fille du pays vue sur une plage, portait un magnifique bikini blanc' pour elle c'était déjà à la limite de l'indécence.

Le baptême du feu, c'est à Naxos que nous l'avons eu :

Nous arrivons tôt le matin sur une plage déserte en portant des tenues d'été, robes courtes et légères pour les filles et bermudas et chemises fines pour les hommes. Je devance mes amis de quelques pas lorsqu'une femme apparait sur la plage : elle est entièrement nue, intégralement bronzée, sans aucune marque de maillot. Son corps est admirable, comme sculpté, athlétique, avec de belles formes émouvantes et une chatte bien poilue, mais étroite. Ses beaux seins se meuvent au rythme de ses pas et de ses mouvements, dénotant que ceux-ci sont parfaitement naturels, aucunement refaits. Elle s'avance vers moi, sans aucune gène ni pudeur en me demandant en Allemand :
- Wie spät ist es ? (Quelle heure est-il ?)
Comme elle s'adresse directement à moi, sans même jeter un regard à mes amis qui me suivent, je lui réponds la gorge serrée :
- Neun Stunden zwanzig. (Neuf heures vingt.)
C'est alors que je vois son compagnon, lui aussi intégralement nu. Ils ont passé la nuit sur la plage dans une petite tente. Il est, comme la fille, d'une grande beauté, digne des plus belles statues des dieux antiques, à la seule exception, que son sexe est bien plus volumineux que ceux des représentations de toute sorte.

Nous nous installons un peu plus loin et nous nous déshabillons. Je ne sais pourquoi, mais je ne me sens pas véritablement à l'aise. Ce n'est pas un sentiment de pudeur, mais une sorte d'appréhension, l'impression d'entrer dans une autre dimension : il ne s'agit pas de passer quelques heures nu près d'un lac, mais bien de vivre nu des journées entières. La fille et le gars sur cette plage en sont l'exemple frappant : ils bougent, vont se baigner, toujours dans le plus simple appareil sans se soucier de nous. Elle est vraiment belle cette fille : la peau légèrement cuivrée, des seins ronds et pointant fièrement, sans aucun relâchement, le corps svelte et musclé, les fesses rondes et charnues, mais surtout, ce qui m'attire le plus chez elle, c'est sa chatte qui couvre largement son bas ventre. Une touffe noire du plus bel effet. Son copain est pas mal non plus, il semble assez bien pourvu par la nature. C'est vraiment un couple bien assorti. Ce qui me frappe c'est également l'absence de pudeur qui émane d'eux. Ils vivent leur nudité librement et fièrement. La fille ne fait rien pour dissimuler sa nudité, ni lui son sexe. Ils se montrent l'un à l'autre, sans se soucier que d'où nous sommes, nous pouvons aussi profiter du spectacle.
- On dirait que ça t'excite, me lança Evi.
- Arrête, sinon je vais bander.
- Alors, je vais t'en donner l'occasion. Tu vas m'étaler de la crème, côté pile et face? sans rien oublier. Puis, si tu as bien travaillé, je te ferais une petite gâterie avant qu'il n'y ait trop de monde sur la plage.

J'enduisis le corps d'Evi de crème solaire en parcourant tout son corps, commençant par le dos, descendant sur les fesses, pour finir par les jambes. Puis sur l'autre face en commençant pas la gorge. Je bandais déjà lorsque je m'attaquais à ses seins que de malaxais.
- Continue, me dit-elle en prenant en main ma verge tendue.
Lorsque j'arrivais à son sexe, j'étais à la limite de l'éjaculation. En positionnant habilement ses mains, Evi retarda ma jouissance. J'atteignis ses chevilles. Là elle m'attira à elle et en quelques habiles coups de main et de langue, elle me fit éjaculer dans sa bouche. Elle échangea ensuite avec moi un baiser ravageur où elle me fit goûter une partie du sperme qu'elle avait gardé en bouche et qu'elle n'avait pas avalé. C'était l'un de ses jeux préférés. Des personnes nous avaient-elles vus ? Je ne crois pas. Nos amis se baignaient et le couple ne s'occupait pas de nous.

Voyant d'autres personnes arriver sur la plage, des hommes, des femmes, des couples et même des familles avec des enfants, nous avons dû nous montrer plus sage. Ils se dévêtirent également. Après être passé par la gêne et la crainte, le sentiment de liberté, de s'affranchir de toute règle, m'a bientôt envahi. Je savais que notre séjour dans les îles grecques comporterait de nombreux épisodes sans maillot.

Je ne fus nullement étonné lorsqu'Evi me dit :
- Avec Evelyne, nous sommes amantes. Lorsque j'avais 14 ans, c'est avec elle que j'ai eu ma première expérience avec une fille.

A suivre

Vous pouvez contacter l'auteur :
caval77@sfr.fr
Il répond à tous les messages