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Proposée le 6/09/2012 par libero
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Lire le premier chapitre.
- Allo Paul c'est Loretta ! Ciao.
- Ciao Loretta.
- Tu viens nous rejoindre pour boire un verre ?
- Va bene je prends le scooter et j'arrive.
- On est sur la place du village dans le bar « ai Platani ».
- Il est 20 heures. Ok je serai là dans 30 minutes ! Ciao.
Paul prit le scooter et après environ cinq km de routes sinueuses arriva dans le centre d'Ulignano. Il trouva tout de suite le bar qui avait une terrasse sous de magnifiques platanes, il portait bien son nom. Des ampoules électriques accrochées dans les arbres diffusaient une lumière tamisée. Il chercha du regard Loretta ou Simonetta, il entra même à l'intérieur du local, mais non elles n'étaient pas là. Il s'installa à une table de la terrasse et commanda une bière. Il observa un moment des groupes de jeunes garçons et filles qui s'interpelaient, discutaient et riaient bruyamment. Des scooters et des mobylettes arrivaient et repartaient en pétaradant. Personne ne portait de casque, un sentiment de gaieté et de liberté se dégageait de cette joyeuse pagaille. Plusieurs filles et garçon le saluèrent sans le connaitre ! Ciao ciao ciao. Ne sachant pas parler italien et sa timidité reprenant le dessus il ne voulut pas engager la conversation. Une heure après son arrivée il paya l'addition et repris son scooter pour rentrer. C'était la deuxième fois en trois jours que Loretta lui posait un lapin. Il rentra à la villa un peu dépité et en colère contre Elle. Après une rapide douche il se coucha et dormit du sommeil du juste.
- Mr Paul, Mr Paul, j'ai une certaine Mireille au Téléphone !
Paul se réveilla en sursaut et découvrit Loretta vêtue d'une toute petite robe courte en coton blanc. Elle se tenait devant lui le téléphone à la main et arborant un grand sourire canaille.
- Je crois que c'est votre fiancée ! Dit-elle avec une voix forte sans cacher le micro du Téléphone.
Exprès pour que son interlocutrice entende bien ! Paul lui fit signe de lui donner l'appareil et de sortir de la chambre. Mais une fois qu'il eut récupéré le téléphone elle ne fit pas signe de bouger, mais au contraire s'assit sur le lit.
- Allo Mireille c'est toi, salut ça va ? Je n'ai pas vu l'heure et je dormais encore. Oui je travaille bien j'avance dans mes révisions'?. C'est la femme de chambre !... Ici c'est le luxe !... Ta lettre ? Non elle n'est pas arrivée. Tu me manques'??. J'ai hâte de te revoir.
Loretta toujours dans la chambre malgré les signes de Paul rigolait en silence en le singeant. Il raccrocha le téléphone et s'adressa à elle avec un ton colérique.
- Non mais ça va pas Loretta, c'est privé ! En plus hier tu m'as encore posé un lapin !
- Tu m'as offert un lapin ? Tu veux que je le cuisine ?
- Mais non c'est une expression ! Je t'ai attendue hier au soir.
- Avec Simonetta on a rencontré des copains et on est parti à San Giminiano. Tu n'as pas de téléphone portable ! Tout le monde en a ici.
- Ce n'est pas grave va faire ton ménage et laisse-moi tranquille. Au fait le facteur n'a pas laissé une lettre pour moi ?
- Non, mais ici en Italie le courrier ça prend du temps ! Je t'apporte le café ?
- Non laisse-moi tranquille !
- Comme voudra Mr Paul.
Quelques temps plus tard il s'installa sur la terrasse pour prendre son petit-déjeuner quand il entendit Loretta arriver derrière lui, une lettre ouverte à la main.
- Mon amour ! les jours sans toi sont trop longs. Tes yeux me manquent, tes mains me manquent'
Elle était en train de lire à haute voix la lettre de Mireille ! Il se leva brusquement pour la lui arracher, mais elle se déroba et se sauva dans le jardin en riant. Paul furieux la rattrapa. L'emprisonna dans ses bras et la porta jusqu'à un transat où il s'assit. Il l'allongea sur ses genoux et attacha ses deux poignets avec sa main gauche dans le dos, tandis qu'avec la droite il lui donna une première claque sur les fesses. Loretta se débattait avec tous son corps et il avait beaucoup de mal à la tenir immobile.
- Basta smettila ! Mi fai male ! Cretino ! Arrêtes je ne le ferai plus !
- Je vais t'apprendre à ne pas lire le courrier des gens moi, lui répondit-il plusieurs fois.
Pendant qu'elle se débattait sa petite robe remontait sur son séant, Paul aperçut une sage culotte blanche et le dessin de la fente du sexe sous le coton, ce qui lui provoqua une onde de désir. Il baissa le sous-vêtement sur ses cuisses et lui administra une fessée sur un postérieur déjà rougi. Loretta cessa presque immédiatement de se débattre, puis la dernière tape se transforma en caresse, la main de Paul s'égara entre ses fesses où il constata qu'elle était déjà abondamment mouillée. Elle se dégagea de ses genoux et s'allongea à plat ventre sur le transat. Il se pencha pour embrasser à pleine bouche la chair rougie de son divin postérieur. Il lui avait depuis longtemps libéré les mains qu'elle posa sur ses fesses pour se les écarter. Son anus froncé d'une couleur plus sombre s'ouvrit lui aussi, la bouche de Paul se dirigea immédiatement vers le petit orifice que sa langue chercha à pénétrer. Elle le laissa faire, mais quand il voulut y introduire son doigt elle se leva brusquement lui refusant nouvelle fois l'accès de sa rosette. Elle poussa fermement Paul sur le transat qui s'allongea sur le dos. Elle se leva, retira rapidement sa culotte, retroussa sa robe sur sa taille, l'enjamba et vint s'empaler d'un seul coup sur son sexe tendu par le désir. Elle commença à le chevaucher pendant qu'il fouillait dans le corsage de sa robe pour dégager ses seins. Elle l'aida en ouvrant ses boutons et en dégrafant son soutien-gorge. Il put enfin les caresser, les soupeser et titiller ses mamelons roses sombres, ce qui procurera à Loretta un intense plaisir qui se transforma rapidement en un orgasme bruyant. Elle se retira et s'aperçut que Paul n'avait pas encore joui, elle se pencha et lui administra une fellation en lui offrant la vision très précise de sa bouche coulissant sur son pénis. Ce spectacle d'une insoutenable lubricité déclencha son éjaculation, elle avala sa semence tout en le regardant avec son air mutin. Le souffle court ils restèrent quelques minutes allongés pour reprendre leur souffle.
- L'amour le matin c'est qu'il y a de mieux lui dit-elle en caressant son sexe au repos. Tu frappes toujours les femmes de cette façon ?
- Il me semble que cela ne t'a pas déplut lui répondit-il avec une petite tape sur les fesses !
Je t'interdis de lire mon courrier.
- Mais alors je n'aurai pas le droit à une autre petite correction !
- Tu en veux une autre maintenant ? Je vais t'apprendre les bonnes manières !
- No non adesso ! Pas maintenant je dois faire le ménage.
- Et moi au boulot il faut que je révise.
La matinée fut tranquille il travailla enfin sérieusement ! Vers 13 heures elle prépara un nouveau plat de pâtes, recette de sa tante cette fois ! Si toute la famille devait y passer les repas seraient variés pendant certain temps. Après le café la chaleur était étouffante et ils se baignèrent dans la piscine. Puis ils s'allongèrent directement sur l'herbe sous un grand parasol où ils s'endormirent. Quelques minutes plus tard il se réveilla le premier et l'observa pendant qu'elle dormait en chien de fusil dans une pose abandonnée. Loretta arborait un magnifique maillot de bain deux pièces jaune, ses seins volumineux tendaient avec impatience les petits carrés de tissu tandis que ses fesses, imparfaitement cachées par l'échancrure du slip, s'exhibaient avec insolence. Elle se retourna sur le dos et il put observer le léger bombé du sexe et le découpage de la fente sous la petite étoffe. Quelques fines boucles de poils pubiens dépassaient un peu sur les côtés du triangle. Son sexe était déjà dur quand elle commença à se réveiller.
- Tu as dormi toi aussi ? Ça fait du bien ! Mais maintenant j'ai envie de « fare la pipi » et je ne veux pas me lever !
- Les toilettes les plus proches sont celle derrière la cuisine ou alors tu as tout l'espace que tu veux.
- Ah tu veux tu me regarder ?
- Euh non !
Les yeux exorbités il regarda Loretta se lever, baisser sa culotte, s'accroupir face à lui et écarter les jambes. Il était toujours allongé juste à côté d'elle, à moins d'un mètre. Elle le regardait avec intensité quand un jet clair sortit de sa vulve. Il ne put pas s'empêcher d'y passer la main et lui caresser la fente pendant qu'elle continuait d'uriner mouillant ses poils pubiens bouclés. Elle-même sentait des ondes de plaisir et tenait difficilement sa position accroupi. Quand elle eut finit il la renversa sur la pelouse s'allongea sur elle et la prit avec presque brutalement. Ils gémissaient en cadence et un nouvel orgasme les secoua presque simultanément.
- Alors, vraiment vous les français vous êtes des cochons !
- Et toi une exhibitionniste !
- Mais tu as beaucoup aimé ! Allons vite prendre une douche, je me sens sale !
Le soir elle resta diner et dormir avec lui. Pendant la nuit ils firent l'amour doucement avec volupté. Le matin il se réveilla et la regarda dormir. Cette fille l'avait amené sur des territoires inconnus pour lui jusqu'à présent. Tout ce qu'il avait fait avec elle était nouveau, il n'avait jamais eu de rapports aussi intenses. En la regardant de nouveau il la soupçonna d'avoir d'autres expériences à lui proposer ! Cette prise de conscience lui donna le vertige. Jusqu'où pouvaient-ils aller, jusqu'où lui-même était-il prêt à aller ? En tout des cas il se rendait bien conte qu'elle lui plaisait tellement qu'il aurait beaucoup de mal à résister à son envoutement ! Il lui prépara un petit-déjeuner qu'il servit dans la chambre. Elle se réveilla et le regarda avec un sourire ensommeillé.
- Ciao, ho dormito bene ! e tu ?
- Très bien princesse le petit-déjeuner est servi
- Je suis une principessa ! Che bello ! Viens à côté de moi. Ta fiancée ne te manque plus ?
- Ce n'est pas ma fiancée c'est ma copine, depuis un bout de temps !
- Je suis sûr que tu ne la désires pas autant que tu me désires moi !
- Qu'en sais-tu ? Tu es bien présomptueuse !
Elle se retourna dans le lit pour lui présenter ses belles fesses en soulevant sa nuisette !
- Alors, Paul et mes fesses, tu les aimes mes fesses ?
- Stop Loretta t'es pas Brigitte Bardot, on fait une pause ! Il faut que je révise !
- Tu es vraiment ennuyeux ! Mais tu as raison basta ! Je fais le ménage et je rentre à la maison.
- Tu n'es pas obligé de faire le ménage !
- Mais si je suis payé pour ça il faut bien faire son travail. Si tu me donnes un peu d'argent j'irai te faire des courses il n'y a plus rien à manger dans cette maison.
- Ok princesse tu repasses quand ?
- En début d'après midi. Va bene ?
Vers 16 heures il entendit arriver la voiture de Loretta. Elle portait deux sacs à provisions qu'elle déposa dans la cuisine. Paul s'approcha d'elle, la prit dans ses bras et l'embrassa.
- Merçi princesse, tu restes ?
- Non je ne peux pas, si tu veux je viens plus tard et je nous prépare le diner. Tu peux encore piquer une bouteille de vin dans la cave des Lespinasse ! Bon, je voudrais te demander quelque chose. Viens avec moi.
Paul s'assit dans un fauteuil, elle se lova dans ses bras presque en ronronnant comme une chatte.
- Ecoutes, ma cousine Chiara elle t'a vu l'autre soir sur la place. Tu lui plais vraiment et voudrait faire l'amour avec toi !
Il la repoussa et se leva brusquement.
- Non mais ça ne va pas ! Je ne couche pas avec tout le monde, après Simonetta tu n'es pas jalouse ? Je couche avec toi c'est déjà beaucoup. Je ne suis pas un gigolo !
- Arrête de faire l'effarouché, toi aussi tu n'es pas un enfant de c'ur ! Elle est très belle et ça me ferait tellement plaisir pour ma cousine que j'aime beaucoup c'est un peu comme ma s'ur. Pour elle tu es français donc exotique ça l'attire, et puis elle désire souvent mes amoureux!
- Et toi tu partages comme ça ?
- Mais moi je ne me pose pas toutes ces questions, je fais ce que j'ai envie. Allez Paul si tu fais ça pour moi tu pourras faire tout ce que tu veux avec moi ! Et je sais déjà ce que tu désires !
Comment résister à cette proposition ! La discussion dura encore quelques minutes, ils se mirent d'accord pour qu'elle vienne diner ce soir avec sa cousine et si le courant passait et bien advienne que pourra !
Comme les autres fois Loretta pris la préparation du diner en main. Pendant ce temps Paul faisait connaissance avec Chiara en buvant un verre de vin blanc pétillant. Elle devait avoir un âge semblable à Loretta 22-23 ans, en fait c'était un peu près le même style de beauté qu'elle, mais en version brune. Sa chevelure abondante, frisée, d'un noir profond était attaché avec un bandeau de couleur noué autour de sa tête. Sa peau très bronzée contrastait fortement avec une robe écrue courte et sans manche qui moulait les formes généreuses de son corps. Les traits délicats de son visage encadraient de grands yeux sombres toujours en mouvement et une bouche sensuelle d'un rouge carmin. Elle n'était pas à l'aise et cela se voyait ! Elle cherchait ses mots pour parler en français avec un délicieux accent italien. Elle s'était assise dans un fauteuil profond et sa robe avait tendance à remonter sur ses jambes bronzées elle la tirait régulièrement vers le bas un peu gêner. Ses chaussures à talons du même rouge que ses lèvres lui allongeaient ses mollets galbés.
- Je suis très embarrassée ! J'ai seulement dit à Loretta que je vous trouvais beau garçon et elle a voulut tout organiser plus ou moins sans me demander mon avis.
- Et oui j'imagine très bien ! Je te trouve très belle, mais si c'est seulement Loretta qui le veut on n'est pas obligé de faire ça !
- Alors, je vous plais vous avez envie de moi ?
- Comment un garçon ne pourrait pas avoir envie de toi ! Il faut me tutoyer !
- Ragazzi a tavola ! c'est servi.
Le diner fut très sympa Loretta avait préparé une nouvelle recette de pâtes. Pour ne pas changer ! Ils mangent autre chose que des pâtes et des pizza ici ? Pensa Paul ! Il parla de ses nombreux voyages et finalement Chiara se détendit et parla de sa vie d'étudiante en droit a Bologne. Paul ouvrit une seconde bouteille de vin et c'est un peu ivre qu'ils s'écroulèrent dans le salon. Loretta s'arrangea pour que Paul s'asseye a côté de Chiara dans le divan, elle par contre s'assit dans le fauteuil face à eux.
Paul s'approcha de Chiara et l'embrassa doucement dans le cou en posant sa main sur son c'ur sous son sein. Il battait la chamade ! Elle avait le souffle court, alors il l'embrassa sur la bouche, ses lèvres s'ouvrirent et il sentit une langue s'enrouler autour de la sienne. Le baiser se fit plus brulant et leurs dents s'entrechoquèrent ! La main droite de Paul emprisonna un sein pendant que l'autre caressait une cuisse fuselée. Puis il lui murmura à l'oreille :
- On va dans la chambre ?
- Non on peut rester ici !
- Alors, je demande à Loretta de partir !
- Non elle veut nous regarder, elle m'a dit que nous pouvions faire l'amour si elle pouvait regarder !
- Elle ne perd pas le nord Loretta !
- Ragazzi je ne vous entends pas !
- A non Loretta si tu veux tu peux rester, mais tu ne dirige rien et reste en silence.
- Come vous voulez mes amours ! Dit-elle perfidement.
Loretta se leva pour mettre un peu de musique. Paul se pencha à nouveau vers Chiara et ils reprirent leur baiser là où il l'avait laissé. Sa main se perdit sous la robe et il sentit la culotte en haut des cuisses. Ses doigts aventureux suivirent le dessin de la fente du sexe et le bombé du pubis sous une toison souple contre le slip de satin. Elle se dégagea, se leva et avec ses deux mains derrière le dos dégrafa sa robe qui glissa doucement sur le tapis. Son corps était plus fin que celui de Loreta. C'est toujours chaussée de ses chaussures et en slip et soutien-gorge qu'elle entama une petite danse lente et lascive en levant les bras vers le haut. Il tendit les mains vers ses fesses imparfaitement cachées par l'échancrure de la culotte pour les caresser. Elle retira ses chaussures en perdant quelques centimètres puis dégrafa son soutien-gorge qui libéra une poitrine lourde, mais ferme. Les mains sur ses anches il l'immobilisa et embrassa son pubis à travers le satin, il constata qu'une petite tache humide apparaissait sur le tissu. Il passa les doigts sous l'élastique et fit descendre le sous-vêtement sur ses chevilles. Elle se coucha sur le divan et écarta les jambes pour offrit une vision très précise de sa fente longue et rose ou perlait une liqueur nacrée. Des poils d'un noir sombre bien délimités sur les côtés couvraient son pubis, par contre ses lèvres intimes étaient complètement épilées. Elle s'avança sur le bord du divan et releva un peu les jambes, il put voir le froncé de l'anus où ils restaient quelques poils qui avaient échappé à l'épilation.
- Vieni vieni ! Dit-elle, enlève tes vêtements !
Paul regarda Loretta qui avait glissé ses mains sous sa jupe, elle semblait se masturber. Il retira ses vêtements dégageant son pénis dressé et s'allongea sur Chiara. Il l'embrassa sur la bouche en sentant ses seins s'écraser sur son torse. Puis avec la bouche il embrassa ses mamelons, titilla ses pointes en érection, glissa sur son ventre, à l'intérieur de ses cuisses et finalement ses lèvres se collèrent à sa vulve pour un baiser mouillé. Sur la demande de Chiara il remonta vers son visage, il sentit une main empoigner son sexe et le frotter à l'entrée de son vagin. Avec un peu de salive il humidifia encore un peu plus son gland et la pénétra doucement. C'était un écrin chaud et humide dans lequel il commença des mouvements de va-et-vient, encouragé par les jambes de Chiara qui se refermèrent dans son dos. Quelque temps plus tard il se retira et s'allongea sur le tapis. Il lui demanda de remettre ses chaussures ce qu'elle fit en se déhanchant. Puis elle l'enjamba en lui tournant le dos et s'accroupit sur lui, elle attrapa son pénis dressé et délicatement s'empala sur lui. En s'appuyant sur ses jambes elle commença son va-et-vient, qu'il accompagnait les deux mains posées sur ses fesses. Il voyait en premier plan son anus plissé entouré de quelques petits poils sombres. La pénétration était très profonde et sensuelle, elle initia un mouvement presque rotatif régulier. Paul, avec son index vint récupérer un peu de liqueur nacrée pour lubrifier son anus et il l'introduisit en elle. Il pouvait sentir à travers sa paroi interne son sexe glisser dans le vagin. Elle prit appuis sur ses genoux en prenant une position plus confortable et accéléra le rythme. Sentant l'orgasme de Chiara arriver il éjacula au plus profond d'elle, son pénis perdit rapidement de sa rigidité et sortit de son intimité. Ils restèrent quelques temps allongés sur le tapis puis se réinstallèrent sur le divan. Entre temps Loretta s'était déshabillé et une main sur les seins l'autre sur son clitoris se masturbait légèrement. Chiara lui dit à l'oreille !
- C'est son tour, elle t'attend je crois !
- Allez Paul tu peux venir prendre ta récompense ! Lui dit Loretta.
Elle se retourna et s'agenouilla sur le fauteuil en appuyant son buste contre le dossier, puis avec les mains elle s'écarta les fesses pour une invitation sans équivoque. Ce spectacle lubrique lui fit revenir presque immédiatement son érection.
- Vas-y piano ne me fais pas mal, prend un peu d'huile solaire pour me lubrifier.
Il se leva et se positionna derrière elle. Il commença par la lécher, puis avec son index il lui enduit l'anus d'huile solaire. Il récupéra un peu de liqueur dans son vagin qu'il s'étala sur le gland encore poisseux de son rapport avec Chiara. Il le présenta à l'entrée plissée et commença à pousser légèrement.
- Piano piano doucement non farmi male !
- Dis-moi stop quand tu le veux !
Son anus résista un peu puis presque d'un coup se relâcha permettant à son pénis de renter de quelques centimètres.
- Vas-y maintenant !
Il poussa à nouveau et il s'introduisit presque complètement en elle. C'était divin, le fourreau était extrêmement étroit et chaud. A chaque mouvement qu'il imprimait à son pénis elle répondait par une contraction interne qui lui déclenchait des ondes de plaisir. Avec sa main droite qu'elle avait glissée entre ses jambes elle se masturbait rapidement, tandis que Paul lui caressait les seins et les fesses. Le rythme s'accéléra, elle accentua la pénétration en venant à sa rencontre a chaque va-et-vient et ils gémissaient en cadence. Un orgasme violent secoua Loretta, elle s'écroula en avant, Paul sentit son pénis sortir de l'étroit conduit et il jouit en déchargea de longs jets de sperme sur le dos de sa partenaire.
Quand il eut repris ses esprits il se leva, enfila son caleçon et déclara :
- Bon les filles merci beaucoup c'était fantastique, mais ça suffit pour aujourd'hui, maintenant je vais me coucher et tout seul ! Demain sera un autre jour ciao !
- Ciao ciao lui répondirent-elles avec un petit signe de la main en souriant.