La mi-temps

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Proposée le 3/09/2012 par Sulichi

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Le Week-end dernier, ma femme et moi sommes allés au stade de Perpignan, voir jouer l'équipe de rugby que je supporte. c'était la demi-finale, et le stade était rempli de supporters. Il faisait chaud, et le public en sueur, tanné par le soleil de l'après-midi, buvait des litres de bière en encourageant les joueurs. Tranquillement assis, nous buvions des cannettes de Kro depuis que nous étions arrivés. Ma femme était plus buveuse que d'ordinaire : cela faisait quelques mois que nous essayions d'avoir un premier enfant et elle savait que le jour où elle serait enceinte elle devrait arrêter de boire. Elle en profitait encore tant qu'elle pouvait. Ce jour-là, elle était déjà enivrée et de temps en temps, elle s'assoupissait sur mon épaule. Nous continuions à boire (il nous restait un pack de 12 dans la glacière) sans penser à comment pourrais-je la ramener à la maison.

Très vite, ma femme a eu une envie pressante, mais comme elle n'était pas en état, je l'ai aidé à trouver les WC. Les toilettes dames étaient de l'autre côté du stade mais ma femme n'était pas en mesure d'attendre. J'ai pris la décision de l'introduire discrètement dans celle des hommes. Par chance il n'y avait personne; j'espérais que nous allions finir rapidement et sortir. Nous nous dirigeâmes vers les cabinets du fond.

Malheureusement pour nous, l'arbitre sifflât la mi-temps et très rapidement les toilettes allaient se bourrer d'hommes remplis de bières, et dont les vessies se videraient en torrents de pisse dans les urinoirs. Nous avons juste eu le temps de nous blottir dans les derniers cabinets. Avec l'usure, la serrure fonctionnait mal et je devais tenir solidement la porte pour empêcher quiconque d'y pénétrer. Juste à ce moment, ma femme, ivre morte, tomba du siège. En me déplaçant pour la relever, la porte s'ouvrit et un homme se précipita à l'intérieur.

Il avait 35-40 ans. Mal rasé et moustachu, la peau moite de la chaleur humide qui régnait dans les WC, il empestait la sueur. Bien plus grand que moi, il commençait à avoir une bedaine de buveur de bière. En rentrant pressé, il avait déjà sorti sa bite de son pantalon, un bel engin menaçant. Il restait un moment surpris avec sa bouche bée quand il réalisa qu'une femme occupait déjà ses cabinets. Sa queue flasque tremblait dans l'attente de soulager la vessie. Je pouvais voir qu'il mourait d'envie de pisser et pour l'empêcher de rameuter tout le monde, je lui fis signe de se taire et lui fis comprendre que nous allions le laisser uriner. Ma femme était à califourchon sur l'arrière de la lunette, appuyé contre la chasse. Elle était toujours assoupie, sa jupe relevée, les poils de sa chatte visibles. Il ferma les yeux de et fit « Merci » du bout des lèvres.

Le bonhomme transpirant, se pencha un peu pour viser le trou entre les cuisses laiteuses de ma femme. j'étais surpris de voir qu'une vessie pouvait contenir autant de liquide, son jet doré et nauséabond était sans fin. Il perlait la sueur, il lui fallait beaucoup de concentration pour que son flux glorieux aille directement à l'égout sans toucher les jambes de ma femme. Il ne s'arrêtait pas. Tout d'un coup sa queue frissonna et quelques gouttelettes de pisse éclaboussèrent le sexe charnu de ma femme. Heureusement, elle avait perdu connaissance depuis longtemps. Lentement elle glissait sur la lunette. L'homme se pencha encore plus pour secouer la dernière goute de son gland. Alors qu'il le serrait entre sa main et son pousse, celui-ci ressemblai à une grosse balle de caoutchouc percée. A ce moment, son n'ud, humecté de pisse, effleurait les poils du pubis de mon épouse. j'étais abasourdi et ne pouvait rien faire tant que je tenais ma femme par les épaules pour l'empêcher de glisser encore plus. Dehors le brouhaha des pisseurs continuait. Soudainement, je me suis aperçu que sa bite avait durci et qu'il l'avait introduite entre les lèvres de la chatte de ma femme. Lentement, il commença à faire des vas et viens. Je restais silencieux devant le spectacle, surpris de voir qu'un inconnu pouvait profiter de ma femme de la sorte. Très rapidement, l'inconnu tressaillit. Ça y est, il jouissait à l'intérieur de ma femme, dans un râle étouffé... Il ne devait pas avoir des relations fréquentes car il avait tenu trois minutes chrono et son sperme semblait abondant. Lentement, son liquide ocre et épais coulait de la chatte de ma femme. Sans délicatesse, il ressortit son sexe à moitié flétri, l'essuya sur les habits de ma femme somnolente et sorti sans un regard.

Je restais choqué et avant que je ne puisse tendre le bras pour tenir la porte, un autre homme entra.

c'était un arabe d'une soixantaine d'années, habille tout en beige-gris d'une chemise et d'un pantalon en toile. Obèse, le visage huileux, ses mains grasses fermaient la porte derrière lui. Il nota la présence de ma femme. d'un coup d'oeil stoïque il regarde ses cuisses écartées, mouillées par la semence écumeuse qui suintait encore de sa chatte béante. Le vieil homme dit sèchement quelques mots en arabe. Je le suppliai en silence de se taire et de fermer les yeux sur la situation, « Seulement si je peux ajouter un peu de foutre à cette pute ... » dit-il avec un rictus. Abasourdis par la violence des mots, je n'ai pas répondu. Il s'en énerva et me poussa. Je lâchai mon épouse ; il la rattrapa avant qu'elle ne tombe. Il la tenait par les épaules, les yeux de celle-ci au niveau de son l'entrejambe. Il me regarda et dit avec autorité « Vite, ouvre ma braguette et sort moi la bite... Si tu veux pas que j'appelle la de sécurité ... ils seront content de savoir qu'il y a une pute ici ... »

l'esprit embrumé par la situation, je ne voyais aucune option. En me maudissant de ne pas l'avoir emmenée aux toilettes des femmes, je descendais la fermeture éclair de l'arabe adipeux avec précaution. l'homme s'impatientait. Ma main s'insinua à l'intérieur de son pantalon ample et tâtonna. Je rentrais en contact avec une un membre flasque, chaud et moite. Rapidement je sortais complètement sa bite indolente et se couilles imberbes du large pantalon. j'étais surpris de trouver un si gros outil sur un personnage si bedonnant ? On m'avait toujours dis que les gros avaient une petite bite? Pourtant, sa queue lisse, décalottée, un peu aplatie, était déjà plus large que mon poignet. Ses couilles, fripées et d'un jolie gris s'agitaient majestueusement à l'intérieur des bourses. Je pensais avec chagrin que chacune d'elle était plus grosse que mon propre scrotum. Je restais immobile devant cette colonne charnue, mais désespérément molle? comme son ventre ? « Je peux pas tout faire, branle moi! » grogna t'il. Je lui obéis comme un écolier, en reniflant un peu. Ma main faisait des vas et viens sur sa tige imposante mais rien ne durcissait. Il me menaça « Arrête de jouer, je suis pas intéressé par les tapettes ... si tu fais rien, je vais appeler la police ». « Qu'est-ce que vous voulez que je fasse » dis-je en sanglotant. Il répondit froidement « Suce connard » Puis, de sa grosse main rugueuse il me poussa à genou vers le sol.

Sa force était telle que j'ai appuyé les mains sur le sol collant des WC. Je m'agrippai à sa bite frétillante pour me redresser. j'étais face à face avec le monstre. Une odeur de homard périmé emplie mes narines. d'un coup de hanche il me donna une biffle. Son gland fiévreux s'écrasa sur ma joue. Je saisi sa hampe. « Tiens-moi boules avec ton autre main » me commanda t'il. Elles remplissaient complétement ma main. Pendant que je manipulais ses couilles avec mes doigts, la sensation de cette peau ridée et imberbe était insolite. « t'es pas là pour profiter, pédé, je veux pas manquer la seconde mi-temps » dit-il. Il poussa sa bite à moitié dure contre ma bouche encore serrée. Je sentais sur mes lèvres une goutte de liquide pré-éjaculatoire qui perlait sur son gland. l'odeur musquée me donnait la nausée. Automatiquement, j'ouvris la mâchoire pour recevoir ma première bite. Son n'ud pourpre entrait difficilement. Je ne pouvais plus parler et je devais respirer par le nez. Le gros bonhomme, peu préoccupé par mon bien être, m'agrippa derrière la nuque et poussa encore plus. Il essayait de mettre sa queue entière dans ma bouche. Le fluide séminal dégoulinait au fond de ma gorge. Jamais auparavant que n'avait gouté ce liquide et ce jour-là, pendant cinq minutes, j'ai eu l'occasion d'en boire un bon demi litre. J´?étais agréablement surpris par cette nouvelle saveur. Je commençais à prendre plaisir à me faire baiser la bouche par la bite malodorante du vieil arabe. Je fus presque déçu quand il me repoussa et se positionna devant ma femme.

Il ne perdit pas de temps : ma femme, déjà bien ouverte, était facile à enfiler. Moi, la bouche gluante, avachis sur le sol sale et humide des WC, je regardais, impressionné, le vieil obèse faire d'amples vas et viens. Malgré son age avait une forme athlétique. Jamais je n'avais honoré mon épouse de la sorte. Son regard croisa le mien. Pour la première fois il me sourit « Ça te plait d'être cocu hein ? t'a femme n'avais jamais reçu une bite comme ça. Dommage qu'elle ne puisse pas en profiter ! Héhéhé » Au bout de dix bonnes minutes il commença à augmenter son rythme. «Regarde bien, et prend de notes» cria t'il. Promptement, il se cambra et se mit à remplir ma femme de son sperme puissant. Sa bite se convulsait à chaque éjaculation. 5, 10, 20 ? j'ai perdu les compte. Sa chatte dégoulinait d'un jus visqueux à l'odeur forte. Finalement le vieil arabe sortit sa lourde queue d'une main. Encore poisseuse, il l'essuya sur mon visage et la remis dans le pantalon. « Si vous avez encore besoin de moi, n'hésites pas! » dit-il allégrement en sortant.

Les toilettes étaient maintenant calmes et tout le monde était de retour dans le stade. Je gisais encore sur le sol humide quand j'entendis un gémissement faibles sortir de la bouche de ma femme ivre ... elle pensait probablement que je l'avais baisé. «Je ne peux pas croire que tu m'aies fait ça dans les toilettes, ça faisait une semaine que je me réservais. Ma phase d'ovulation commence aujourd'hui... »

Depuis, nous avons de beaux jumeaux bien montés. Ma femme dit souvent en rigolant, que plus tard, ils seront bien plus fort que leur père ? Elle se trompe, mais elle ne le sait pas ...