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Proposée le 3/09/2012 par CAVAL
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Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des plus ou moins longs séjours. En Allemagne il rencontre Evi qui bien qu'hétérosexuelle aime bien les filles aussi. Avec elle, il partage d'agréables moments et toutes les joies de la sexualité.
8. Faire l'amour avec Evi
Lorsque nous restions chez-nous le week-end, je demandais à Evi de rester les seins nus. Elle s'y pliait de bonne grâce. A chacun de ses mouvements ses deux globes se mouvaient, allant de gauche à droite, de bas en haut. A tout moment j'effleurais ces monts majestueux. C'était un jeu qu'elle appréciait beaucoup et qui moi, m'excitait énormément. En contrepartie, elle me demandait de rester totalement nu dans notre appartement. Là c'est elle qui se faisait un malin plaisir d'effleurer ma queue, de la toucher juste un instant pour faire monter un tout petit peu la pression, mais rien de plus voulant que je conserve toute ma vigueur lorsqu'elle voudrait que je la prenne. D'ailleurs elle aussi ne portait pas de culotte et laissait admirer sa petite chatte aux poils biens taillés et ses fesses musclées.
Au moment de faire l'amour, ses seins étaient toujours ma première étape pour partir à la découverte de son corps. Mes attouchements mammaires duraient parfois plusieurs minutes en pratiquant tout un cérémonial d'approche. Je parcourais du bout de langue ou par de doux baisers tout le pourtour du mont, puis progressivement j'en faisais l'ascension, toujours en pratiquant des cercles concentriques. Enfin, arrivé au sommet je prenais possession de la pointe que je suçais et mordillais délicatement. Puis je passais au second sein sur lequel j'effectuais la même parade. Je ne m'arrêtais que lorsque le souffle d'Evi devenait plus court, je savais alors qu'elle avait bien reçu le plaisir que je souhaitais lui offrir.
Et lorsque je descendais ensuite vers le sexe de ma belle maîtresse, je m'efforçais à ce qu'une de mes mains reste en contact avec la poitrine. J'allais sur son ventre, faisait une halte au niveau de son nombril avant de descendre plus bas. Mon nez rentrait en contact avec sa toison pubienne réduite à ça plus simple expression. Il n'en demeurait pas moins qu'elle exhalait de douces fragrances de banane : elle ne se contentait pas d'un vulgaire savon pour entretenir ses poils, mais utilisait un shampoing à base de ce fruit. Ce n'était pas le fruit défendu du jardin d'Eden, mais cela le valait bien. D'ailleurs si la pomme coupée en deux en occident, la figue en orient peuvent faire penser au sexe féminin, quel autre fruit peut, outre la banane, être plus phallique..
C'est alors que je rentrais en contact avec son sexe, recherchant tout de suite à dégager, entre ses lèvres, son clitoris que je prenais tout de suite en bouche. Il était peu fréquent que nous restions, moi la tête entre ses jambes et elle se délectant de mes caresses. La plupart du temps nous nous retrouvions en 69, Evi me suçant la verge de divine manière et moi m'occupant de tout son bas ventre, ma bouche allant du clitoris à l'anus, la langue s'insinuant dans la fente comme si je la coupais en deux.
Nous nous connaissions suffisamment pour savoir le moment où nous allions atteindre l'instant de non retour. Or, Evi appréciait particulièrement la pénétration, pour elle une relation sexuelle sans pénétration était sans grand intérêt, comme s'il manquait quelque chose, un goût de trop peu. Elle cessait donc de me sucer et de me masturber bien avant que j'arrive au paroxysme de l'excitation. Moi je continuais à la peloter en introduisant un puis deux doigts dans son vagin. Je l'observais, le plus souvent c'est elle-même qui se caressait la poitrine à deux mains, pétrissant ses deux seins comme l'aurait fait un mitron avec des miches de pains.
Je savais pourtant que le moment d'entrer en elle était venu, que mon sexe allait s'insinuer dans sa fente ; mon gland allait disparaitre dans ses muqueuses roses ; ma verge, comme happée dans un trou noir, allait non pas mourir, mais au contraire vivre dans un fourreau chaud et humide. J'allais avec vigueur, mais sans brusquerie, faisant des allers et venues de plus en plus profondes et bientôt le vagin de ma belle allemande m'accueillait intégralement, j'étais collé à elle, la base de mes couilles était collée à ses lèvres intimes. Nous avions abandonné l'usage du préservatif après avoir fait des tests et c'est donc dans une totalement liberté d'esprit et de corps que nous baisions sans protection.
Nous ne nous cantonnions pas à une position pour faire l'amour. Non, à chaque fois nous changions deux ou trois fois avant que j'arrive à la jouissance. Certaines de nos étreintes étaient particulièrement musclées, mais Evi jouissait intensément lorsque je la prenais comme par force. Je ne parle pas de SM, mais d'étreintes sensuelles, mais parfois assez farouches. Avec la posture du crabe, le grand V elle écartait largement les jambes ; l'ouverture merveilleuse me permettait d'aller très profondément en elle. Elle effectuait des mouvements de rotation du ventre avec le petit ramoneur, puis des contractions et des relâchements rythmiques des muscles du vagin nous procurant des sensations démesurées ; ou la slave où je me délectais de voir sa vulve offerte, se refermer sur mon engin.
Parfois même je ne lançais mon foutre qu'après cinq ou six positions différentes, parfois assez semblables ne nécessitant pas une désunion, par exemple avec les positions de l'amazone, d'Andromaque, du mime Varlope et de la pompe, où Evi, plantée sur mon sexe tournoyait autour et au-dessus de moi ; ou encore celles de la boite, de la java des épousailles et de la man'uvre du jardinier, ou me trouvant derrière elle, je la pénétrais en soutenant fermement son bassin. Mais ce n'était que lorsqu'on remettait le couvert pour la troisième ou quatrième fois et qu'il fallait que je me concentre plus sur la possibilité d'honorer ma partenaire que sur le fait de résister un maximum de temps.
Je déversais ma semence soit dans le corps de ma charmante, souvent sur son ventre, sa toison pubienne ou sa poitrine et enfin, dans sa bouche. Il arrivait, dans le dernier cas que quelques jets aillent se perdre sur son visage, mais ce n'était que des dommages collatéraux, car j'avais compris qu'Evi n'aimait pas l'éjaculation faciale. C'est une des seules interdictions qu'elle avait mise dans nos jeux sexuels et que j'acceptais de bonne grâce, puisque cela n'enlevait rien à ma jouissance. Pourquoi maculer de sperme (ou d'autre chose) un si beau visage, sinon pour l'enlaidir, pour lui faire payer l'insulte d'être si sublime, d'exprimer à ce point la jouissance ?
Nos turpitudes terminées, je ne me lassais pas de caresser tantôt le sein gauche, tantôt le sein droit de ma belle. C'était pour moi comme un repos du guerrier avant de partir pour un nouveau combat. Car Evi était très demandeuse en matière de sexe et elle en voulait toujours plus. Pourtant, il arrivait qu'elle en demande plus que je ne pouvais fournir. Nous autres, les hommes, nous avons besoin de recharger les accus entre chaque assaut et il nous est impossible d'enchainer les joutes amoureuses les unes derrière les autres avec un sexe parfaitement bandé et avec au final une éjaculation abondante. Evi ne se formalisait pas outre mesure de ces petites panes et, pour y palier, elle se plaçait face à moi et commençait a se masturber sans aucune gêne, sans aucune pudeur. Au contraire, je pense qu'elle y prenait un malin plaisir à me voir la regarder dans cette situation particulièrement intime.
Tandis qu'une de ses mains descendait sur son bas ventre, l'autre caressait ses seins. Elle se massait le clitoris, avant de descendre plus bas, le long des lèvres vaginales. Elle prenait tout son temps pour se donner du plaisir ainsi, sans aucune précipitation. Après avoir bien excité les parties externes de son sexe, elle introduisait un doigt dans son vagin. Il ressortait luisant de cyprine. Elle le portait à sa bouche pour goûter sa propre liqueur. Puis ce sont deux, trois doigts qui s'enfonçaient en elle. Sa tête partait en arrière, alors que ses mouvements devenaient de plus en plus rapides. Jusqu'au moment où elle jouissait avant de s'écrouler sur le lit, les doigts maculés de son jus.
Ce spectacle était d'autant plus indécent qu'elle se branlait comme si je n'existais pas, comme si je n'étais pas là, en complète liberté, dans une intimité totale de femme épanouie se donnant de plaisir seule.
Parfois cela me redonnait quelques vigueurs, cependant trop molles pour la satisfaire pleinement. Alors, elle sortait un gode aux dimensions impressionnantes et se donnait à nouveau du plaisir toute seule, comme une grande, sans me blâmer contre cette pane mécanique qui fait que les hommes ont une moins bonne reprise que les femmes. Elle disposait de plusieurs sextoys qu'elle me montra.
- La première fois que j'ai vu l'un de ces sextoys, me dit-elle, je devais avoir 15 ou 16 ans. Il était planqué dans l'armoire à linge de ma mère. Ce fut une réelle surprise pour moi, je ne m'attendais pas à cela de ma mère aux airs si prude, à la rigueur toute huguenote. Je l'ai vite remis en place! Et puis, habituée aux caresses solitaires, je me suis dite : « pourquoi pas ». J'ai profité de l'absence de mes parents pour l'emprunter. J'arrivais à me faire jouir bien plus vite et de façon beaucoup plus satisfaisante. Je m'en suis servie comme ça, quelquefois. Puis j'ai quitté le domicile pour la fac. J'en ai acheté un assez rapidement. Je suis une adepte du vibromasseur et il m'accompagne même sous la douche ! La première utilisation m'a donné beaucoup de plaisir, j'ai eu un orgasme ! Depuis je possède plusieurs modèles.
- Tu les utilises seule ou avec tes partenaires ?
- Parfois seule, ça m'aide à décompresser. Mais je m'en suis servie avec presque tous mes copains. J'en ai eu des gros, des petits... et chaque fois c'était un jouet sexuel très naturel qui accentuait la complicité avec mon partenaire du moment. Un ou deux de mes amoureux ont été réticents, mais dans l'ensemble ils aimaient bien, même si aucun n'a voulu se faire pénétrer avec. Mais j'ai quand même réussi à les convaincre que quelques vibrations bien placées pouvaient être très agréables. En fait je les utilise régulièrement et j'avoue que j'adore me masturber, et encore plus lorsqu'on me regarde le faire.
Evi voulut me faire participer à ces jeux avec ses vibromasseurs en me disant :
- J'aime aussi lorsque mes chéris m'introduisent eux-mêmes ces sextoys dans le sexe ou dans l'anus.
Je me plaçais entre ses jambes largement ouvertes et j'introduisais l'ustensile dans le vagin béant ou dans l'anus offert. Je faisais des mouvements de va-et-vient comme je l'aurais fait avec mon sexe. Pour ma partenaire c'était toujours un moment de grands plaisirs où la rigolade avait une grande place, beaucoup plus que dans une relation sexuelle classique. On ne pouvait pas dire que ma chérie était clitoridienne ou vaginale, je crois qu'elle était les deux. Aussi sa panoplie de sextoys lui permettait tantôt d'obtenir des stimulations clitoridiennes, tantôt des stimulations vaginales. Ainsi avait-elle des boules geisha, un canard vibrant pour le bain très agréable (tant pour elle que pour moi lorsqu'elle le plaçait sur mon sexe) et divers godes de grosseurs, de formes variables et de matériaux diverses : en bois exotiques, en caoutchouc, en matières transparentes...
Les joujoux permettaient parfois à ma partenaire d'exciter son clitoris alors que je la pénétrais. Elle avait alors, disait-elle, un « double orgasme » irradiant tout son être qui provenait à la fois de son vagin et de son bouton sensible.
- Tu sais, parler de sextoys n'est pas tabou, cela fait maintenant parti d'un mode de vie où l'on recherche le plaisir comme on veut. J'ai une collègue de travail avec qui j'en parle assez souvent. Nous échangeons nos avis sur tel ou tel modèle, ce qui nous plaît ou nous déplaît dans son utilisation.
Jusqu'à mon dernier souffle, je garderai un souvenir ému de la belle poitrine de ma maîtresse allemande et de tous les plaisirs que j'ai pu connaitre avec elle. Deux seins pleins de vie avec lesquels j'ai tant joué. Les plaisirs étaient partagés, moi aimant donner, elle aimant recevoir. Avec mes précédentes amantes, j'avais pu prendre possession de leur poitrine. C'est une caresse qu'elles acceptaient de bon c'ur. Mais jamais le plaisir ne fut aussi intense. Peut-être justement parce que le partage n'était pas aussi total et complet qu'avec mon Allemande.
La première fois où je l'ai sodomisée, elle eut une petite crainte. C'était la première fois, ses ex-copains, tous Allemands, ne lui avaient jamais demandé une telle faveur. Elle savait que la sodomie était une pratique très prisées par les Français :
- Je comprends que la sodomie se pratiquait lorsqu'il n'y avait pas de moyen de contraception, mais maintenant, avec la pilule, il n'y a plus aucun risque d'éjaculer dans le vagin. Et même pour le SIDA, il parait que la transmission par l'anus est encore plus importante?
- Oui, ma chérie, mais je te rappelle qu'on a fait un test tous les deux, donc aucun risque de choper une MST. Ton cul est beaucoup plus étroit que ton sexe, la jouissance est donc plus grande.
- Oui, pour le mâle. Mais la sodomie, pour vous les hommes, n'est-ce pas une manifestation du pouvoir que vous désirez avoir sur nous, les femmes. Votre fantasme de domination absolue.
- C'est certainement vrai en partie. Quel homme n'a jamais rêvé de voir sa partenaire satisfaire ses moindres désirs'
- Oui, se transformer en esclave dont la seule mission serait de vous apporter l'extase de façon très égoïste ?
- En ce qui me concerne, il n'y a pas que cela. C'est la variation des plaisirs que je souhaite obtenir. C'est différent de la pénétration vaginale, tout comme la fellation. Chaque orifice offre des sensations différentes.
- Pour toi, de nouvelles sensations, des plaisirs variés, mais pour moi ?
- Je ne veux pas t'imposer cette pratique si tu n'y consens pas ou si tu l'acceptes seulement pour me permettre d'assouvir mon besoin de puissance ! Mon excitation est intimement liée au plaisir que tu pourrais prendre. Tu sais, pour moi, rien ne vaut la qualité de ton gémissement et du regard que tu portes sur moi quand je te fais l'amour !
- Tu penses donc que je pourrais jouir si tu me prends par derrière ?
- Je te promets que tu y prendras du plaisir. Au début se sera peut-être un peu douloureux, mais ensuite, tu ressentiras de la jouissance.
- Ce n'est pas que je ne veux pas, mais si je n'éprouve pas de plaisir, je ne serais pas disposée à renouveler l'expérience.
- C'est convenu.
Cependant, si elle redoutait cette première sodomie, elle ne l'aurait pour rien au monde refusée. Elle était disposée à tout tenter, à tout expérimenter en matière de sexe, quitte ensuite à faire de trie entre les pratiques qu'elle aimait et celles qu'elle réprouvait. Je dus donc y aller avec une extrême douceur. J'ai pratiqué de manière la plus suave qu'il soit, en habitant son cul en le distendant avec de la crème, un doigt, puis deux doigts. Lorsque je voulus y faire entrer ma pine, c'était encore trop étroit. J'entrouvris donc l'huis avec un godemiché. Pour détendre totalement ma partenaire, je provoquais un orgasme en lui malaxant le clitoris, puis en massant son point G, non loin de l'ouverture de son vagin. Elle partit alors en vrille et l'ustensile inquisiteur entra sans problème. Sa jouissance avait joué le rôle d'anesthésiant, ses muscles se détendirent immédiatement.
Retirant le godemiché du tréfonds de l'anus de ma belle, je présentai mon sexe parfaitement dressé devant la rosette. J'entrai délicatement en elle. Evi poussa un petit cri. Je stoppais ma progression, seul mon gland était entré.
- Continue connard, dit-elle avec une voix que je ne lui connaissais pas, continue !
Je lui obéis comprenant bien qu'elle souffrait, tout en voulant aller jusqu'au bout de l'expérience. J'avançais en elle. Par deux fois elle gueula et je crois qu'elle avait les larmes aux yeux et les mâchoires serrées lorsque mon sexe fut au fond d'elle-même. J'ai commencé alors à me mouvoir en elle très doucement.
Ce n'était pas la première fois que je sodomisais une fille. La première avait été mon initiatrice. Cela avait été des moments de pure extase. Cependant je n'aurais jamais soupçonné que ce pût être aussi agréable. Je ne parle pas du plaisir physique que j'ai ressenti, mais de celui qu'à éprouvée Evi. La douleur avait été temporaire, dans la première poussée. Je me suis aperçu rapidement que tout se passait bien, qu'elle ressentait du plaisir, qu'elle atteignait la jouissance. Moi j'étais tout concentré sur ses sensations pour qu'elles soient les meilleurs possibles. Elle m'encourageait :
- C'est trop bon, continue, Oh oui, encore?
Elle ne voulait plus que j'arrête et en redemandant toujours plus, jusqu'à n'en plus pouvoir. Elle a eu deux orgasmes, l'un derrière l'autre, tendis que j'allais et venait en elle. Ma tension était telle, que je n'ai pas joui en elle. J'ai préféré me retirer alors qu'elle était en pleine extase, avant qu'il ne soit trop tard, de peur de tout gâcher. J'ai déversé mon sperme sur ses fesses que j'étalais avec mon gland' Je ne voulais pas lui présenter ma queue qui était maculée. Mais était-elle encore capable de ressentir ce que je faisais.
J'allais ensuite me nettoyer ma verge avant de me recoucher près d'Evi et de me blottir tout contre elle, sombrant tous les deux dans les bras de Morphée.
Depuis cette séance, la sodomie était devenue l'une de nos pratiques habituelles. Nos nuits d'ivresses amoureuses se partageaient en masturbations réciproques, en fellation-cunnilingus, pénétrations vaginales et pénétrations anales. Pour palier l'inconvénient de ne pouvoir pénétrer ma partenaire par son sexe ou qu'elle ne puisse me faire une fellation, après la sodomie, nous utilisions des préservatifs. Ainsi cela protégeait d'une part ma queue des microbes anales et d'autre part les autres muqueuses ou la bouche de ma belle maîtresse.
Son cul défloré, elle eut elle-même l'idée d'une double pénétration :
- Un gode dans le cul et ta queue dans mon con.
- Ou l'inverse ?
- Su tu veux, pervers va !
- C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
- Ça veut dire quoi ?
Pour une fois qu'elle ne saisissait pas toutes les subtilités de la langue française.
- Laisse tomber.
Je me suis couché sur le dos, elle est venue positionner son anus devant ma verge et par le poids de son corps elle est descendue doucement jusqu'à ce que son cul soit empli. Puis elle prit un gros phallus en caoutchouc qu'elle enfourna dans son vagin. Je sentais l'instrument s'enfoncer en elle à travers la fine paroi qui séparait ses deux orifices. Puis la prenant par les fesses j'imprimai des mouvements de va-et-vient sur ma verge, tandis qu'elle en faisait autant par devant. Le gode et ma queue battaient l'amble en elle, s'enfonçant et se retirant simultanément.
La jouissance d'Evi fut si forte que je crus qu'elle était atteinte de démence, qu'elle allait s'évanouir. C'était phénoménal. Je ne voyais pas son visage, mais les mouvements de son corps faisaient penser à ces danses tribales qui permettent aux participants d'entrer en transe pour communiquer avec leurs dieux. Pour moi aussi la jouissance était encore plus forte que pour une simple sodomie : le gode qui coulissait dans son vagin, massait ma queue et cela me procurait des sensations nouvelles et inconnues.
Evi me laissait le libre choix d'utiliser ses trois orifices : sa bouche où elle aimait recevoir mon foutre, qu'elle avalait sans la moindre réticence ; son con lubrifié dans lequel mon sexe coulissait facilement, allant en venant jusqu'au plus profond, en tentant de lui masser toutes les parois de son vagin pour augmenter son plaisir ; ou son cul divinement étroit.
Elle jouissait à chaque fois.
Etais-je un bon amant ?
Elle ne me l'a jamais dit. Simulait-elle ? Je ne le pense pas.
Elle aimait le sexe et avec moi je pense qu'elle avait trouvé le partenaire adéquate.
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