Sensuelles vacances III

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Proposée le 23/08/2012 par Salvatore

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Lire les chapitres précédents:
- Chapitre 1 : Germaine et Julien son mari viennent passer leur vacances chez Monique la mère de Germaine. Seulement Monique a changé de look, au point que Julien va ressentir du désir pour sa belle-mère...
- Chapitre 2 : Suites aux attouchements érotiques subies par Monique de la part de son gendre, le désir chez les deux protagonistes sera difficile à assumer. Chacun l'éliminera à sa manière.

Chapitre III



Personnages :
Monique : 52 ans, mère de Germaine.
Germaine : 34 ans, fille de Monique, épouse de Julien et mère de Michel.
Julien : 40 ans époux de Germaine, père de Michel et gendre de Monique.
Michel : 15 ans fils de Julien et Germaine.
Lucienne : 50 ans, amie de Monique.


Dimanche 02 août : (matin)

Le roucoulement insistant d'un couple de tourterelles tira Monique de son sommeil. Elle n'eut pas à regarder le réveil sur la table de nuit pour savoir quelle heure il était ; depuis des années, elle avait pris l'habitude de se réveiller à six heures, et cela, aussi bien l'été que l'hiver. Par la fenêtre grande ouverte du fait des nuits particulièrement chaudes, les tourterelles nichées dans les arbres-alentours faisaient entendre leurs roucoulements amoureux.
S'étirant langoureusement dans son lit aux draps repoussés, Monique émergea lentement des limbes du sommeil dans un bien-être presque sensuel. Retrouvant peu à peu ses esprits, elle se remémora les instants marquants de la veille. Ce fut l'arrivée de sa fille et de son mari qui lui revint en mémoire et de la joie extrême qu'elle en avait ressentie. Puis lentement, les souvenirs émergèrent dans sa tête ; l'après-midi à dialoguer avec sa fille avait été un véritable moment de plaisir, alors que son gendre assistait en spectateur à la discussion. A la pensée de son gendre, un flash se fit soudain dans ses pensées ; des souvenirs confus lui revinrent en mémoire d'où émergeaient un insidieux plaisir. Se laissant envahir par ce bien-être voluptueux, Monique s'efforça de comprendre la raison de cette euphorie sensuelle. Soudain comme si un voile se déchirait à l'intérieur de ses pensées, des images précisent défilèrent devant ses yeux : elle revit les attouchements libertins que son gendre avait osés sur sa personne. Julien qui toujours s'était montré affectueux et des plus correct envers elle s'était conduit la veille comme un vulgaire coureur de jupon ; un libertin que leurs liens familiaux n'avaient pas retenu.
Cependant, en toute conscience, Monique dut s'avouer que non seulement elle n'avait rien fait pour échapper à ces effleurements indécents, mais qu'elle en avait même ressenti un certain trouble, non dénué de plaisir. Depuis le décès de son mari, aucun des hommes qu'elle avait côtoyés n'avait eu un quelconque effet sur sa libido. Avec la disparition de son époux, ses sens s'étaient comme assoupis. Même si parfois le soir au fond de son lit trop vaste pour elle seule, l'absence du corps de son mari contre le sien se faisait cruellement sentir, jamais l'idée ne lui était venue de faire appel à un amant, même de passage. Et puis, il y a quelques mois, ses sens s'étaient bizarrement réveillés. Il suffisait qu'un homme la regarde avec insistance, lors d'une promenade pour qu'aussitôt une bouffée de chaleur la submerge toute. C'est ce qui lui était arrivé la veille lorsqu'elle avait découvert, alors qu'elle était en conversation avec sa fille, l'étrange protubérance qui déformait le devant du pantalon de son gendre. Comprenant, sans qu'elle ne se l'explique que Julien bandait, elle en avait immédiatement ressenti un étrange trouble érotique.
Cependant, à se remémorer ses souvenirs libidineux, Monique ne tarda pas à ressentir une chaleur bien connue lui envahir le bas-ventre, tandis qu'une onde de désir lui traversait le corps. Presque inconsciemment, elle porta une main à sa poitrine dont les mamelons semblaient quérir une caresse. Doucement elle pressa ses seins qu'elle trouva anormalement gonflés. Ne pouvant résister à l'appel de ses sens soudainement ranimés elle se saisit de l'un de ses tétons qu'elle pinça délicatement, se procurant un ineffable plaisir. Mais à se triturer ainsi les tétons, Monique perçut soudain une chaude moiteur prendre naissance au plus secret de sa féminité. Sachant trop bien que si elle se laissait entraîner par ses sens avides, elle risquait de ne pas quitter son lit de sitôt, elle repoussa vivement les draps qui recouvraient son corps subitement en émoi et s'éjecta d'un bond. Il n'était pas question qu'elle se laisse man'uvrer par ses sens : pas ce matin, son petit monde n'allait pas tarder à se lever et il fallait qu'elle prépare les petits déjeuners. Endossant rapidement une robe de chambre sur sa chemise de nuit, Monique quitta sa chambre pour se rendre à la cuisine située au rez-de-chaussée de la maison où elle s'affaira à faire chauffer le café et disposer beurre et confitures.

Du clocher, distant de quelques centaines de mètres de la maison, résonna l'Angélus matinal, invitant les croyants à se recueillir. Etendu aux côtés de son épouse encore endormie, Julien les bras croisés derrière la tête réfléchissait depuis une bonne heure déjà. Malgré les précautions qu'avait prises Monique pour ne pas faire de bruit, il l'avait entendu quitter sa chambre et descendre l'escalier en bois aux marches grinçantes. Depuis son réveil, sa belle-mère occupait son esprit. Le désir qu'il avait ressenti pour elle lors de son arrivée ne s'était pas modéré durant la nuit, au contraire, ce matin il était toujours présent et encore plus tenace que la veille. Au bas de son ventre son sexe dressé faisait office de mat de soutient pour le dôme que faisait son pyjama. Laissant courir ses pensées, Julien se remémora les scènes de la veille.
Il se souvint avec émotion d'avoir osé certains attouchements à l'encontre des troublants appas de sa belle-mère ; et celle-ci lui avait-il semblé, n'avait pas eu l'air d'être vraiment choquée de ces privautés libertines. Mais reconnut-il, dans l'allégresse des retrouvailles, ils avaient tous copieusement abusé du vin rosé de la région ; ce qui fait qu'en fin de soirée chacun se sentait plus ou moins éméché. Moins habituée à l'alcool, Monique et Germaine s'étaient trouvées quelque peu enivrées ; c'est ce qui expliquait peut-être pourquoi Monique avait accepté aussi facilement ses privautés.
Jetant un coup d'oeil en direction de sa femme toujours endormie à ses côtés, Julien glissa une main au niveau de son membre en pleine érection. Tout en tentant d'imaginer les aguichants appas de sa belle-mère, il frotta sa main le long de la protubérance que faisait sa verge tendue, se caressant lentement.

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Depuis qu'il avait fait la connaissance, seize ans plus tôt, de celle qui allait devenir sa belle-mère, Julien avait immédiatement été séduit par celle-ci. A l'époque, Monique était une très belle femme au corps sensuel ; sa lourde poitrine gonflait généreusement ses corsages, attirant irrésistiblement le regard. Ses hanches aux courbes attrayantes mettaient en valeur une croupe ronde et haut placée qui ondulait sensuellement à chaque pas. Ses jambes longues et aux mollets bien dessinés donnaient à Monique une allure féline lorsqu'elle se déplaçait. Cependant, malgré les charmes évidents de sa belle-mère, l'amour que Julien portait à sa fille l'empêcha de succomber au désir qu'auraient pu créer chez lui les attraits de Monique. D'ailleurs, celle-ci semblait rayonner d'amour pour son mari.
Seize ans plus tard, les vieux démons sexuels que Julien croyait enfouis au plus profond de lui-même pour toujours s'étaient réactivés, perturbant ses sens, déclenchant au fond de ses entrailles une poussée de désir viscéral.
Un mouvement sur sa gauche attira soudain l'attention de Julien. Germaine émergeait doucement du sommeil. Jetant un coup d'oeil dans sa direction, il découvrit son épouse qui le regardait en lui souriant :
- Bonjour, murmura Germaine? Ça fait longtemps que tu es réveillé ?
- Un moment déjà, répondit Julien en se penchant sur le visage de sa femme? J'ai entendu ta mère descendre.
- Maman est déjà levée ? Quelle heure est-il ?
- Huit heures dix renseigna Julien après un rapide regard au réveil posé sur la table de nuit.
Nouant ses bras autour du cou de son époux, pour un premier baiser matinal, Germaine se lova amoureusement contre lui. Immédiatement, elle sentit la dureté du membre de son mari contre sa cuisse.
- Oh, qu'est-ce que je sens là ? Minauda-t-elle, frottant vicieusement sa cuisse contre l'inconvenante bosse que faisait le sexe érigé.
- Viens voir, répliqua aussitôt Julien en s'empressant de rejeter le drap qui le recouvrait, dénudant leurs deux corps.
D'abord amusée Germaine referma sa main sur la protubérance qui déformait le pantalon de pyjama.
- Eh bien, tu as une grosse envie, continua-t-elle sur le même ton !
Cependant à sentir sous ses doigts le contour du membre viril gonflé de son époux, Germaine ressentit un certain désir l'envahir. Ce sexe masculin, lorsqu'il se trouvait dans cet état d'érection, avait toujours eu un effet sournois sur sa libido. Dès le début de leurs relations sexuelles, Julien en amant expert lui avait patiemment appris tout le plaisir qu'elle pouvait éprouver grâce à ce mandrin de chair. Seize ans plus tard, elle éprouvait toujours le même émoi à la vue de son mari en état d'érection ; ce même émoi qu'elle avait étonnamment ressenti lorsqu'elle avait surpris son fils occupé à se masturber. La vue de la jeune queue dressée l'avait étrangement perturbée.
Mais ce matin, malgré le désir insidieux qui prenait possession de ses organes sexuels, Germaine refusa de se laisser gouverner par ses sens en effervescence. Elle savait trop bien que si elle s'abandonnait au désir qui peu à peu prenait le contrôle de ses organes génitaux, elle risquait de ne plus être maîtresse de son corps pendant un temps indéterminé ; et vu l'heure qu'il était, elle ne voulait pas faire attendre sa mère, qui à la cuisine devait patienter pour servir le petit déjeuner.
- Je suis désolée mon chéri, mais nous n'avons pas le temps, décida-t-elle en s'éjectant du lit.
Déçu, Julien regarda sa femme s'éloigner de la couche conjugale dans sa fine nuisette translucide, qui lui arrivait à mi-cuisses. Le délicat vêtement laissait deviner les formes voluptueuses de son épouse. Comme elle s'éloignait de lui, Julien admira ses hanches épanouies, mise en valeur par une taille extrêmement fine ; sa croupe ronde et adorablement fendue par la longue et profonde raie des fesses ondulait sensuellement. Côté face, la nuisette du fait de son décolleté en carré, dévoilait les superbes dômes supérieurs des deux seins extraordinairement ronds et étonnamment fermes. Du fait de sa transparence, la fine lingerie laissait deviner les mamelons ocre au centre desquels pointaient les tétons, deux petits bourgeons de chair. Plus bas, la jointure des cuisses se dessinait d'une manière troublante ; l'absence de pilosité rendant le pubis encore plus excitant.
Cette vision ne fit qu'accentuer le désir de Julien. Repoussant vivement son pantalon de pyjama afin de mettre à nu son membre viril en érection, il entreprit de se branler, prenant soin de bien dégager son gland dilaté.
- Tu ne peux me laisse comme ça, tenta-t-il de se plaindre à l'adresse de sa femme qui lui tournait le dos.
Pivotant sur elle-même, Germaine découvrit le spectacle de son époux se masturbant. Ses yeux se fixèrent sur le bourgeon de chair turgide, ainsi que l'espérait Julien, sachant combien son épouse était dépendante de son sexe. Comme hypnotisée Germaine fixa le gland, qui gorgé de sang avait doublé de volume. Julien avait si bien su l'initier, du temps de leur lune de miel, aux plaisirs du sexe, qu'aujourd'hui encore elle ne pouvait rester insensible à la vue du membre viril gonflé par le désir. Si le temps ne leur avait pas était compté, elle se serait jetée avec ivresse sur le pal de chair dressé, le désir qu'elle en avait humidifiait déjà sa chatte.
Faisant un terrible effort de volonté, Germaine rejeta le sournois désir qui lui taraudait le bas-ventre.
- Mon pauvre chéri, lança-t-elle à son mari dans le ton de la plaisanterie. Tu devras attendre ce soir? Pour l'instant nous n'avons pas le temps, maman nous attend'
- Je ne sais si je pourrais attendre jusqu'à ce soir, tenta de plaisanter à son tour Julien' J'ai trop envie !...
- Dans ce cas, tu pourras toujours demander à maman !
- Comment ça, bégaya Julien surpris par la remarque de son épouse, craignant que cette dernière se soit rendue compte du désir qu'il éprouvait pour sa belle-mère.
- Tu m'as dit hier au soir que tu trouvais maman désirable !... Je suis certaine que ça te plairait qu'elle calme ton envie, s'exclama Germaine sur le ton de la plaisanterie.
Rassuré, Julien tint cependant à avoir le dernier mot :
- Méfie-toi, je pourrais bien te prendre au mot !
- Tu oserais demander à maman de te sucer ?
- Pourquoi pas, puisque tu refuses de le faire? Et peut-être qu'elle aimerait ça? Ça lui rappellerait peut-être de bons souvenirs'
Germaine qui avait passé une robe de chambre sur sa nuisette par trop transparente pour se présenter aux yeux de sa mère, se refusa de répondre. Mais comme Julien s'apprêtait à quitter la chambre, vêtu uniquement de son pantalon de pyjama, elle l'interpella.
- Julien, s'exclama-t-elle !... Tu ne vas pas descendre comme ça !
- Pourquoi, s'étonna Julien ?
- Regarde-toi !... Mets ta veste de pyjama, ça cachera au moins cette bosse qui déforme ton pantalon' Tu ne vas quand même pas te présenter à maman comme ça !
- Pourquoi, plaisanta Julien en enfilant la veste? Tu as peur que ça lui donne des idées ?
- Eh, qui sait !
Badinant toujours, Germaine et Julien descendirent l'escalier de bois afin de gagner la cuisine où le petit-déjeuner les attendait. Au moment de pénétrer dans la pièce, Julien éprouva soudain un embarras : comment sa belle-mère allait-elle l'accueillir après les privautés qu'il s'était permis la veille. Aussi comme pour se protéger d'une attaque directe de la part de Monique, il laissa son épouse pénétrer la première dans la cuisine.
- Ah, c'est vous, s'exclama Monique? Bonjour mes enfants !... Avez-vous bien dormi ?
- Très bien maman, s'empressa de répondre Germaine en embrassant tendrement sa mère, avant de s'installer à table.
Découvrant son gendre dans l'embrasure de la porte, Monique sentit son c'ur s'emballer tandis qu'une intense émotion l'envahissait. Ce désir incongru, mais tellement agréable exalta de nouveau ses sens toujours prêts à réagir à la moindre excitation. L'attirance qu'elle éprouvait depuis la veille pour son gendre la faisait littéralement fondre de désir ; jamais auparavant elle n'avait ressenti autre chose qu'un immense amour maternel pour le mari de sa fille, ce qui en soit était tout à fait normal. Mais cet amour maternel s'était aujourd'hui transformé en une attirance sexuelle complètement insensée. Et ce qui troublait peut-être encore plus Monique était le fait qu'il lui semblait que Julien ressentait le même trouble qu'elle, en ce qui la concernait : que son gendre la désire, et cela, malgré son âge, la rendait perplexe et la bouleversait singulièrement.

Comprenant que sa belle-mère ne lui tenait pas rigueur de son comportement libertin de la veille, Julien s'approcha d'elle pour lui souhaiter le bonjour. D'une manière le plus naturellement possible, il lui saisit la taille de ses deux mains, comme il le faisait habituellement, avant de se pencher pour l'embrasser sur les deux joues.

Au contact des mains qui lui encerclaient la taille, Monique ressentit de nouveau un trouble irrationnel. Et lorsqu'elle sentit les lèvres de son gendre se poser sur ses joues, pour un baiser des plus conventionnels, un frisson de plaisir parcourut le creux de ses reins. Se laissant griser par cette euphorie, elle imagina dans un frisson de désir que les lèvres chaudes et humides de Julien se posaient sur les siennes pour un baiser plus sensuel, plus intime. Tout à sa chimère érotique, Monique sentit soudain une onde langoureuse lui parcourir le creux des reins : les mains de Julien quittant sa taille étaient venues frôler ses hanches en une caresse sournoise, mais terriblement suave.
Le corps moite d'un désir latent, Monique regarda son gendre rejoindre son épouse attablée devant son bol.

Le petit déjeuner se passa dans une ambiance étrange ; Germaine inconsciente du trouble qui perturbait sa mère et son mari engloutissait avec un plaisir non dissimulé, croissants et petits pains, tout en dialoguant avec sa mère. Monique qui avait pris son petit-déjeuner bien plus tôt tâchait de répondre aux mille questions de sa fille, l'esprit troublé par la présence proche de Julien. Assise face à lui, elle ne pouvait détacher son regard des mains de celui-ci. Avec émoi, elle imaginait ces mains caressant son corps offert ; presser ses seins, agacer ses mamelons que le désir gonflait sous sa chemise de nuit, pincer et rouler ses tétons raidis, malaxer ses hanches et ses fesses. Elle éprouvait soudain une intense envie de mains masculines sur son corps torturé par le désir. Le fait de sentir soudain une légère humidité imprégner les lèvres de sa vulve ne la surprit pas.

Dégustant les tartines beurrées, Julien ne pouvait s'empêcher de jeter de temps à autre un regard discret en direction de sa belle-mère. Celle-ci revêtue de sa robe de chambre qui recouvrait amplement ses généreux appas, lui apparaissait nettement moins sexy que la veille, mais le désir qu'il ressentait pour elle était toujours aussi vivace. Malgré l'absence de maquillage, Monique possédait une réelle beauté. Un visage rond aux pommettes saillantes, des yeux allongés en amande de couleur noisette, un petit nez retroussé donnaient à sa physionomie un air malicieux. Lorsqu'elle souriait, Monique dévoilait deux rangées de dents parfaitement alignées, comme deux rangées de perles nacrées.
C'est sur cette bouche que depuis la veille Julien polarisait son fantasme, l'imaginant s'arrondissant autour de son gland gonflé, pour l'avaler dans une délicieuse fellation. Germaine son épouse était au fil des années devenue une experte dans l'art de le sucer ; sa mère était-elle aussi douée pour ce genre de caresse ? Comment s'y prenait-elle ? Avalait-elle goulument le pal de chair qu'on lui offrait ou bien le cajolait-elle entre ses lèvres ? A imaginer les différentes manières avec lesquelles sa belle-mère pourrait le sucer, Julien sentit son membre viril, qui était revenu à une dimension normale, se redresser de nouveau, dans une érection extrême.
Décidément songea-t-il, ces quelques jours de vacances risquaient d'être difficiles sexuellement. Par la faute de sa mère, Germaine allait être mise à contribution plus souvent qu'elle ne le pensait'

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Au bout d'une demi-heure, les estomacs furent rassasiés, Monique se leva de table :
- Allez faire votre toilette, je vais débarrasser, puis je monterais son déjeuner à Michel, commanda-t-elle en maîtresse de maison.
- Ça ne va pas maman, s'insurgea Germaine ! Michel déjeunera à la cuisine lorsqu'il sera réveillé.
- Toi va faire ta toilette, ordonna Monique d'une voix sans appel. Moi je m'occupe de mon petit-fils' Je ne l'ai pas si souvent avec moi, c'est normal que je le gâte un peu.
- Julien, dis quelque chose, tenta de protester Germaine, faisant appel à son mari.
- Laisse faire ta mère, répliqua Julien' Moi j'aimerais bien qu'elle m'apporte mon déjeuner au lit.
- Je n'en doute pas, ironisa Germaine consciente qu'elle n'aurait pas gain de cause? Je me doute comment cela se terminerait !...
A la réflexion de sa fille, Monique se sentit rougir, imaginant aussitôt le scénario auquel Germaine faisait allusion.
- Germaine !
Comprenant qu'elle n'aurait pas le dernier mot, Germaine quitta la cuisine pour rejoindre la salle d'eau en compagnie de son mari. Alors que ce dernier commençait sa toilette face au miroir placé au-dessus du lavabo, Germaine désireuse de prendre un bain, entreprit d'ouvrir les robinets de la baignoire. Laissant cette dernière se remplir doucement, elle retira son peignoir qu'elle accrocha au porte-manteau. Plus que nue dans sa nuisette translucide, merveilleuse dans sa plénitude de femme mure, elle interrogea le grand miroir placé sur l'un des murs, pivotant sur elle-même afin de scruter son corps, sous l'oeil intéressé de Julien. Satisfaite de l'image que lui renvoyait la glace, elle se pencha alors par-dessus la baignoire afin de tester de la main la température de l'eau.
Du fait de sa position, elle offrait à son mari, sans s'en douter, le merveilleux spectacle de sa croupe ronde, charnue et admirablement séparée verticalement par la longue raie. La courte chemise de nuit transparente qui lui arrivait à ras les fesses rendait la vision encore plus érotique que si elle avait été entièrement nue. Entre ses cuisses disjointes, l'absence de pilosité faisait ressortir outrageusement les grandes lèvres gonflées de sa vulve.

Cessant sa toilette, Julien fixa émoustillé les admirables rondeurs que sa femme du fait de sa position, lui offrait. Au bas de son ventre, sa verge qui s'était quelque peu assagie se redressa brusquement, retrouvant une érection imposante. Victime de nouveau d'un furieux désir, Julien retira rapidement le pantalon de son pyjama, qu'il rejeta loin de lui. Entièrement nu, le sexe brandi tel un glaive prêt-à-porter l'estocade, il s'approcha de son épouse en excellente position pour un accouplement en position dite de levrette. La saisissant par les hanches, dans lesquelles il crocheta ses doigts avec une réelle volupté, il plaqua sa queue dressée contre la croupe offerte, la glissant habilement entre les deux hémisphères jumeaux.

Percevant la raideur du sexe bandé s'insinuer entre ses fesses, Germaine ressentit une onde de plaisir lui parcourir le creux des reins. Dès qu'elle avait refermé la porte de la salle d'eau derrière elle, les isolant, elle et Julien du reste de la maisonnée, elle savait que son mari profiterait de leur intimité pour enfin apaiser ses appétits sexuels. Eprouvant elle-même un désir pernicieux, elle se prêta de bonne grâce à l'intrusion du sexe masculin entre ses fesses. Julien qui n'était pas sans savoir que sa croupe était l'une de ses zones érogènes, au même titre que les mamelons de ses seins, frotta avec insistance l'extrémité de sa queue contre son anus, déclenchant en elle une myriade de frissons voluptueux.
- Huummm, gémit-elle? Tu as toujours envie !? Moi aussi j'ai envie de faire l'amour !... Viens !...
Dans un frisson de désir et d'impatience, Germaine écarta largement ses jambes afin de faciliter l'accès à sa chatte enfiévrée.
- Prends-moi ! Réclama-t-elle d'une voix enrouée.

Ne demandant que ça, Julien retira sa verge d'entre les rondeurs jumelles de la croupe qui l'enserraient. Crachant dans sa paume, il enduisit de salive son gland dilaté afin de lui faciliter son introduction à l'intérieur de la chatte que sa femme lui offrait. Guidant sa bitte tendue d'une main, il présenta son bourgeon de chair luisant de salive devant l'orifice sexuel. Ne pouvant résister à l'intense désir qui le travaillait depuis le matin, il enfonça la totalité de sa virilité dans le vagin torride d'un brusque coup de reins. La chatte abondamment lubrifiée par le désir accepta sans aucune difficulté l'intromission de sa queue dilatée.
L'intense chaleur qui enroba aussitôt son membre déclencha chez Julien une telle félicité qu'il s'immobilisa, le bas-ventre accolé à la croupe tendue de son épouse. Chaque nouvelle pénétration à l'intérieur du sexe embrasé de sa femme était pour lui un nouveau ravissement.

Sous cette violente pénétration, Germaine se cambra sous l'intense plaisir qui se diffusait à l'intérieur de ses entrailles. Dans une euphorie sensuelle, il lui sembla sentir le gland volumineux emplir son vagin affamé. Fermement agrippée au rebord de la baignoire, lançant ses fesses au-devant du membre planté en elle, elle attendit avec une impatience érotique la suite du pilonnage sexuel.

*
* *

Restée seule dans sa cuisine, Monique s'occupa à préparer le plateau du petit déjeuner pour son petit-fils. Mais si ses mains s'activaient presque machinalement à leurs tâches culinaires, son esprit, lui, restait polariser sur les instants qu'elle venait de vivre. La présence de Julien ne cessait de la troubler sexuellement, il suffisait que son gendre la fixe de son regard séducteur pour qu'elle se sente fondre de désir. Aucun homme, hormis son mari, ne lui avait fait perdre la tête à ce point. Elle se savait prête à accepter tout ce que Julien voudrait lui demander et cela avec d'autant plus de plaisir que présentement tout son corps appelait à une délivrance sexuelle. Le simple frottement du tissu de sa chemise de nuit sur ses tétons érigés par le désir déclenchait en elle des ondes de plaisir qui lui irradiaient le creux des reins et le bas-ventre. Si elle ne parvenait pas à canaliser cet insidieux désir qui l'envahissait à chaque fois que Julien l'approchait, elle allait endurer un véritable supplice durant tout le temps que ce dernier resterait sous son toit. Elle songea à ce godemiché que lui avait offert Lucienne, qui reposait dans l'un des tiroirs de sa commode, celui où étaient rangés ses sous-vêtements. Elle devrait certainement l'utiliser le soir même pour calmer cette envie qui lui consumait les entrailles si rien ne venait mettre un terme à ce désir qui lui taraudait les entrailles. Mais elle savait que ce ne serait qu'un apaisement facultatif : tout son corps réclamait de véritables caresses que seul un homme pourrait lui dispenser. Seule une verge chaude et vivante pourrait éteindre le brasier qui lui consumait le vagin.
Avec émotion, Monique s'avoua qu'elle était prête à accepter de la part de son gendre, ce à quoi elle s'était toujours refusée depuis la disparition de son mari. Elle savait qu'elle ne pourrait lui refuser qu'il lui fasse l'amour s'il le lui demandait ; il pourrait emprunter le corridor secret qui menait à sa grotte intime, que seul son mari avait eu droit d'accéder. Les sens complètement chamboulés par ses pensées indécentes, le bas-ventre torturé par le désir, les jambes chancelantes, Monique porta une main à hauteur de son pubis qu'elle pressa à travers sa chemise de nuit, comme elle aurait pressé un fruit pour en extraire son jus. Entre ses cuisses, une liqueur abondante imprégnait sa vulve, comme pour faciliter l'introduction de ce membre masculin qui la délivrerait de ce supplice qui lui martyrisait les entrailles. Esclave de ses sens, Monique frotta son majeur le long de sa fente à travers sa chemise de nuit. Lorsque sa phalange appuya sur son bouton d'amour, une myriade de pulsions sexuelles se répandit de par son corps, la faisant se cambrer de volupté. Agrippée d'une main à la table de la cuisine, Monique accentua son frottement le long de sa vulve d'où suintait un véritable filet de cyprine.
Sentant le plaisir s'emparer de ses organes, Monique s'acharna sur son clitoris maintenant dilaté, cherchant à atteindre cette jouissance qui la délivrerait de ce brasier qui la consumait intérieurement. Mais alors qu'elle tentait de se faire jouir, sans vraiment y parvenir, les carillons de l'horloge résonnèrent dans la maison, la ramenant brusquement à la réalité. Prenant conscience de sa posture et du risque d'être ainsi surprise dans une situation extrêmement gênante par sa fille ou son gendre, Monique abandonna vivement sa caresse et malgré le désir qui lui mordait le bas-ventre, elle s'empressa de terminer la préparation du petit-déjeuner de son petit-fils.
Tachant de chasser de son esprit les pensées grivoises qui la perturbaient, elle plaça le bol et les tartines sur un plateau équipé de quatre pieds, conçu pour déjeuner au lit, puis elle se dirigea en direction de la chambre dans laquelle dormait encore son petit-fils. Passant devant la porte de la salle d'eau, elle n'imagina pas un instant ce qui se passait à l'intérieur. L'aurait-elle conçu, qu'elle aurait collé son oreille à la porte et peut-être aurait-elle discerné les gémissements de plaisir de sa fille. Ce qui n'aurait évidemment pas amélioré son état.
Arrivée devant la chambre qui avait été réservée à l'adolescent, Monique poussa doucement la porte. La pénombre régnant dans la pièce l'a surpris. Posant délicatement son plateau au sol, elle se dirigea vers la fenêtre afin d'ouvrir les volets et laisser entrer le soleil ; la chambre fut aussitôt illuminée par la lumière du matin et avec elle les roucoulements des tourterelles rompirent le silence de la pièce... Alors seulement, Monique s'en retourna vers le lit où Michel dormait paisiblement. Emue, elle s'approcha doucement de son petit-fils, le c'ur débordant d'un amour considérable.
Du fait de la moiteur de la nuit, l'adolescent avait repoussé les draps loin de lui. Ce qui permit à Monique de découvrir que son petit-fils couchait dans le plus simple appareil, aucun pyjama ne venait couvrir sa nudité. Tourné sur le côté, une jambe repliée sur elle-même, Michel lui présentait la totalité de son dos. La dernière fois qu'elle avait vu son petit-fils nu remontait à plus de dix ans, lorsqu'il n'était encore qu'un enfant. Immobile à quelques pas du lit, Monique contempla attendrie l'adolescent assoupi, songeant émue combien son mari aurait été fier de son petit-fils. Elle laissa son regard s'attarder sur le corps nu qui s'offrait à sa vue. Michel possédait une taille étonnement fine par rapport à ses hanches particulièrement courbées du fait de la position, les fesses rondes paraissaient fermes et musclées. Cette vision de l'anatomie de son petit-fils attira plus particulièrement l'attention de Monique ; cette partie du corps masculin avait toujours eu chez elle un effet attrayant. Elle aimait regarder les fesses des hommes qu'elle croisait dans la rue ; c'était là son seul plaisir sexuel qu'elle se permettait. Adolescente elle s'était découvert une forte attirance pour les fesses de son professeur de math, attirance qui la faisait longuement fantasmer le soir dans son lit de jeune fille.
Mais comme Monique demeurait immobile à contempler avec énormément de plaisir le merveilleux corps fin et élancé de son petit-fils, ce dernier changea de position. Poussant un petit soupir il pivota sur lui-même, se plaçant sur le dos, un bras replié sur sa poitrine, l'autre étendu à ses côtés. Monique sentit soudainement son c'ur manquer un battement tandis que sa gorge se nouait. Dans cette nouvelle position, son petit-fils lui offrait la vision de son sexe ; et celui-ci était prodigieusement raide et gonflé. Bien qu'encore endormi Michel était victime d'une fabuleuse érection. Statufiée sur place, Monique fixa incrédule et quelque peu perturbée la verge gonflée qui se dressait orgueilleusement au bas du ventre de l'ado. Ce ne pouvait être vrai, songea-t-elle, son petit-fils n'était encore qu'un enfant, il ne pouvait connaître ce genre de contingences' Cependant, ce qu'elle découvrait sous ses yeux lui prouvait le contraire, Michel était bien devenu un homme comme l'attestait son membre viril aux dimensions imposantes.
Alors qu'elle fixait dubitative le jeune sexe érigé, Monique ressentit un trouble insolite la gagner. C'était la première fois, depuis le décès de son mari qu'elle avait la possibilité de contempler une verge en érection, et le fait que cette virilité raidie appartienne à son petit-fils, ne freinait en rien l'excitation qui là gagnait. Depuis la veille ses sens réagissaient avec une vivacité inhabituelle sans qu'elle ne puisse les contrôler. Cela avait commencé dès le premier contact avec son gendre, et ce matin voilà que ça recommençait avec son petit-fils !... Le désir insistant qui la perturbait depuis le matin dès son réveil venait de nouveau l'agresser traitreusement en un moment inopportun. Comment pouvait-elle éprouver être troublée à la vue du sexe de son petit-fils, même si celui-ci lui montrait à son insu qu'il était bel et bien monté comme un homme? Une grand-mère ne pouvait éprouver un quelconque désir sexuel pour son petit-fils ; cet enfant qu'elle avait bercé dans ses bras, qu'elle avait vu grandir. Cela était contre nature? Et pourtant ! Le brasier qui s'était ravivé au fond de ses entrailles lui prouvait le contraire?
Tâchant de reprendre ses esprits, Monique s'obligea à quitter des yeux la queue juvénile, la vision de ce sexe masculin en érection lui échauffant perfidement le bas-ventre. Ne voulant pas que Michel, s'il venait à se réveiller découvre que son érection matinale ait une spectatrice, elle se pencha sur le lit pour remonter le drap sur le ventre et le sexe dénudés.

Emergeant doucement de son sommeil, Michel découvrit d'un oeil curieux son environnement : le plafond aux poutres apparentes l'intrigua, ne se souvenant pas de ce genre de détails dans sa chambre. Mais la mémoire lui revenant, il rappela qu'il ne se trouvait évidemment pas dans sa chambre parisienne, mais chez sa grand-mère à Martigues. Cependant, un mouvement à ses pieds attira son attention, portant son regard dans cette direction il découvrit sa grand-mère occupée à s'affairer au pied du lit.
- Mamie ? interrogea-t-il étonné.
Mais dans le même temps, Michel se rendit compte qu'il était entièrement nu sur sa couche, comme il en avait l'habitude, mais encore qu'il était, comme chaque matin, victime d'une incontestable érection. Soudainement gêné, il porta vivement ses deux mains à son pubis afin de cacher son sexe gonflé au regard de sa grand-mère.

Surprise par l'interpellation de son petit-fils, alors qu'elle tentait de le recouvrir du drap, Monique pivota sur elle-même : le spectacle qui s'offrit alors à ses yeux l'amusa. Michel la regardait d'un air confus, les deux mains largement étalées sur son sexe bandé.
- Excuse-moi Mamie? Ce n'est pas de ma faute ! Tenta de se défendre l'ado.
Tirant le drap sur le ventre nu de son petit-fils, Monique comprit qu'elle se devait de le rassurer. Se penchant, elle lui embrassa tendrement le front tout en lui ébouriffant les cheveux de ses doigts :
- Tu n'as pas à t'excuser mon chéri? Ce qui t'arrive est tout à fait normal' Tu es devenu un homme maintenant'
Puis attrapant le plateau du petit-déjeuner elle le plaça correctement sur le lit, dans lequel Michel s'était assis.
- Tiens mange pendant que c'est chaud'
Comme son petit-fils continuait de la regarder avec appréhension, elle se décida à rester un moment près de lui en s'asseyant sur le bord du lit.
- Tu ne diras rien à maman, implora Michel, tout en dégustant une tartine de confiture.
- C'est promis mon chéri, ce sera notre secret, tu veux bien ?
- Oui, répondit Michel, la bouche pleine.
Cependant, Monique, que la vision de ce jeune sexe masculin en érection n'avait fait qu'intensifier le désir qui couvait en elle, éprouva soudain l'envie perverse d'interroger l'adolescent.
- Il y a longtemps que tu es victime de ce genre de problème, demanda-t-elle, voyant encore en esprit la grosseur de la verge juvénile.
- Heu oui? Ça fait quelques mois déjà !...
- Et comment fais-tu pour te soulager, continua Monique entraînée dans son jeu érotique ?... Tu te branles ?
- Oh mamie ! s'exclama Michel surpris que sa grand-mère emploie un tel langage.
- C'est bien comme ça que l'on dit, non ?... Mais mon chéri, tous les garçons de ton âge le font... Ton père l'a fait avant toi?
Bien qu'étonné par le langage imagé de sa grand-mère, Michel se trouva réconforté par le fait que cette dernière lui parle comme une copine de son âge.
- Tu crois que papa se branlait à mon âge ?
- Il ne m'en a jamais parlé, tu t'en doutes bien, mais je suis certaine qu'il le faisait. Tous les adolescents le font. Ton grand-père m'avait avoué qu'il avait commencé à se masturber à l'âge de treize ans.
- Papi !... A treize ans ?... Toi aussi mamie tu t'es branlée quand tu avais mon âge, osa-t-il ?
- Tu sais mon chéri, pour nous les femmes c'est un peu différent par rapport à vous les hommes. Mais bien sûr, ça m'est arrivé de me caresser?
Michel demeura un instant silencieux à assimiler la réponse de sa grand-mère, tentant de s'imaginer celle-ci en train de se caresser, comme elle disait. Soudain un mouvement le tira de sa rêverie érotique. Cherchant à s'installer plus commodément, sa grand-mère avait modifié sa position en repliant sa jambe droite sur le lit, alors que la gauche reposait sur le plancher. Ce qu'il découvrit l'empêcha de poser la question qui lui brûlait les lèvres ; à savoir si sa mère s'était elle aussi caressée lorsqu'elle était adolescente. Du fait de la nouvelle posture qu'avait adoptée sa grand-mère, la robe de chambre de cette dernière s'était largement écartée dévoilant à son regard une bonne partie des cuisses que la courte chemise de nuit ne parvenait pas à dissimuler. Incapable de détourner les yeux, Michel fixa médusé les cuisses nues de sa grand-mère. Ce n'était pas la première fois qu'il voyait les cuisses d'une femme ; à la piscine où il avait l'habitude de se rendre, à Paris, il en côtoyait de tous les âges : depuis des gamines de dix ans et moins, jusqu'aux mamies de plus de soixante ans. Mais du fait que ces différentes ondines étaient toutes vêtues de maillots de bain une ou deux pièces, rendaient ces visions moins excitantes, que ce qu'il devinait présentement ; mystère du cerveau masculin' Ce que sa grand-mère lui montrait sans s'en douter l'excitait beaucoup plus, d'autant que la fine chemise de nuit largement retroussée lui laissait deviner des horizons affriolants. Sous le drap, il sentit sa jeune virilité reprendre de la vigueur.

Comme elle contemplait son petit-fils avec énormément de tendresse, Monique s'aperçut que celui-ci semblait fixer un point précis sur sa personne. Étonnée par le regard que l'ado portait sur elle, elle baissa les yeux, curieuse de découvrir ce qui semblait tant attirer l'attention de Michel... Découvrant l'indécence de sa posture et persuadée que son petit-fils pouvait d'où il était, plonger son regard sous sa chemise de nuit, elle ressentit une brusque chaleur l'envelopper toute. Ses joues s'empourprèrent alors qu'une pellicule de sueur lui couvrait le front. Mais alors qu'elle aurait dû immédiatement corriger sa tenue, Monique demeura un long moment sans réaction, éprouvant une singulière bouffée de désir à s'offrir ainsi aux regards de son petit-fils, devinant que le spectacle qu'elle offrait bien involontairement à ce dernier ne devait pas calmer son érection matinale. L'immoral désir qui depuis son réveil venait la harceler se fit aussitôt plus insistant, lui échauffant les sens. Luttant contre ce besoin sexuel qui la consumait, Monique décida qu'il valait mieux quitter le chevet de son petit-fils au plus vite afin d'empêcher l'irréparable. Le c'ur battant, elle se redressa au grand désespoir de Michel.
- Je te laisse finir de déjeuner, parvint-elle à articuler? Puis repose-toi aussi longtemps que tu le désireras, tu es en vacances après tout'
Ressentant un immense amour pour son petit-fils, encore accentué par les confidences qu'elle avait réussi à lui arracher, Monique se baissa pour l'embrasser tendrement. Mais avant de se redresser, elle ne put s'empêcher de poser sa main à hauteur du bas-ventre de l'ado. A travers le drap qui la recouvrait, elle sentit la grosseur de la verge en érection, ce qui provoqua une nouvelle bouffée de chaleur au niveau de son bas-ventre. Pressant doucement la juvénile virilité entre ses doigts, elle murmura d'une voix chargée de désir :
- Si tu te branles, fais attention de ne pas tacher les draps.
- Oh ! Mamie !
- Chut, ce sera notre secret mon chéri.
Puis Monique quitta précipitamment la chambre, comme pour échapper à cette pieuvre sexuelle qui tentait de la retenir dans ses tentacules, et c'est d'un pas rapide qu'elle gagna sa propre chambre dans laquelle elle s'enferma, les sens en complète tourmente.

*
* *

A quelques mètres de là, courbée en avant sur la baignoire maintenant remplie d'eau chaude, les reins incurvés, la croupe tendue, offerte aux coups de boutoir répétés de son époux, Germaine subissait avec délectation les assauts répétés du membre viril. Les va-et-vient du piston de chair dans le fourreau lubrifié de son vagin, tantôt lents, tantôt fougueux lui avaient déjà fait connaître une première jouissance qui l'avait figé dans un spasme de tout son corps. Elle avait dû faire un effort incroyable pour ne pas crier son plaisir, comme elle en avait l'habitude ; elle avait joui dans un long gémissement.
Or à peine avait-elle repris ses esprits que de nouvelles vagues de plaisir la submergeaient. Avec une réelle volupté elle s'arqua pour mieux offrir sa chatte trempée d'une mouille abondante, à la bitte qui la pourfendait. Lors de son engourdissement sexuel, dû à sa première jouissance, Julien les doigts crochetés dans ses hanches, n'avait pas cessé de lui pistonner le vagin de son pal de chair, immobilisant son corps dans un bien-être voluptueux. Les ondes voluptueuses ne cessaient d'irradier son bas-ventre et le creux de ses reins, lui arrachant de petits cris de plaisir.

Fermement agrippé aux hanches de son épouse, le corps en sueur, Julien s'activait fiévreusement, plongeant et retirant sa queue monstrueusement gonflée, dans les profondeurs vaginales aux parois brûlantes. Pistonnant avec ivresse le vagin accueillant, il fixa avec excitation la croupe ronde et adorablement élargie de par sa position qui se tendait vers lui. L'esprit embrumé par le désir, ce n'est pas sa femme qu'il voyait se tordre de plaisir sous les pénétrations de son dard, mais la mère de celle-ci ; c'était Monique qu'il baisait ! Les fesses que son ventre frappait en cadence appartenaient à Monique !? Obnubilé par son fantasme, Julien pétrissait les chairs élastiques des hanches de sa belle-mère ; les cris de plaisir qui résonnaient à ses oreilles n'étaient non pas émis par Germaine, mais par la mère de cette dernière !... Dans une espèce de rage érotique, il accentua encore le va-et-vient de sa verge dans la chatte béante d'où un véritable torrent brûlant s'échappait, imprégnant sa queue d'une écume onctueuse.

Arcboutée sur le rebord de la baignoire, Germaine subissait avec un réel plaisir les coups d'estoc de son mari, chaque percussion à l'intérieur de son ventre déclenchait une onde jouissive qui lui arrachait un râle de félicité. Il y avait longtemps que Julien ne l'avait baisé avec autant de fougue. De sa chatte furieusement pistonnée, un flot continu éclaboussait la bitte et les couilles de son mari, lubrifiant le piston de chair coulissant à l'intérieur de son conduit vaginal. Loin de se douter que la furia sexuelle que Julien mettait à la baiser provenait des fantasmes de celui-ci pour sa mère, Germaine accepta cette impétuosité avec un réel bonheur ; il y avait longtemps que son mari ne s'était montré aussi ardent lors de leurs rapports amoureux. Ce formidable piston qui coulissait en une cadence extrême dans entre les chairs gorgées de sa chatte, la maintenait dans une espèce de coma voluptueux.

*
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Dès la porte de sa chambre refermée, Monique se précipita vers la commode placée à droite de son lit. Tirant le dernier rayon où étaient rangés ses sous-vêtements, elle fouilla parmi ses culottes à la recherche de ce merveilleux instrument, cadeau de son amie Isabelle, qui lui permettrait de calmer ses sens attisés. Avec un frisson de désir, elle ramena de dessous ses slips, une imitation des plus réussies d'un sexe masculin en érection. Lucienne, collectionneuse de sextoy, en possédait une quantité incroyable, qu'elle faisait venir de tous les pays. Celui qu'elle lui avait offert pour son anniversaire faisait partie de sa collection privée. En latex, ce qui lui donnait véritablement l'aspect d'une verge dans ses moindres détails, il devait mesurer dans les vingt-cinq centimètres, pour un diamètre de cinq centimètres'
Telle une adolescente en mal d'amour, Monique, son jouet érotique bien serré dans la main, se jeta sur son lit' Rejetant prestement les pans de son peignoir de chaque côté de son corps, elle retroussa sa chemise de nuit sur son bas-ventre affamé. Comme pour calmer son sexe impatient, elle posa son majeur sur son clitoris que les évènements récents avaient fait jaillir de son repaire. Délicatement elle entreprit d'agacer son bouton d'amour, le frottant à l'aide de sa phalange. De nouvelles ondes de plaisir irradièrent son bas-ventre pour ensuite se répercuter jusqu'aux mamelons gonflés de ses seins, rigidifiant les deux petites bites qu'étaient ses tétons. Ce qu'elle escomptait ne tarda pas à se réaliser : le plaisir qu'elle se dispensait d'un doigt expert déclencha une montée de cyprine à l'intérieur de sa chatte qui se trouva envahie par un flot de mouille, qui lentement s'écoula de sa vulve en un fin ruisselet avant de suivre le sillon de ses fesses.
Ayant atteint l'état qu'elle espérait, Monique présenta le godemiché, qu'elle avait longuement léché pendant tout le temps où elle s'était masturbée, entre ses cuisses moites de désir. Elle remplaça son doigt par le bout en forme de gland du sextoy. Bien que le frottement se fasse aussitôt plus rude, le plaisir que Monique en ressentit s'en trouva décuplé. Des vagues voluptueuses parcoururent son bas-ventre, la faisant onduler des hanches de plaisir. Le désir devenant plus impétueux à mesure que les ondes sensuelles se répercutaient dans son corps, elle décida qu'il était grand temps de calmer le feu intérieur qui la consumait. Habilement, elle fit glisser le bout arrondi du godemiché le long de sa fente ruisselante, jusqu'à l'ouverture qui menait à son vagin. Doucement, elle appuya sur l'instrument le faisant lentement pénétrer à l'intérieur de son sexe. Abondamment lubrifié, celui-ci accepta sans difficulté l'intromission de l'olibos, malgré sa taille non négligeable.
Le godemiché entièrement enfoui au plus profond de son vagin palpitant, Monique demeura immobile appréciant avec volupté le fait d'avoir qu'un corps étranger lui emplisse la chatte. Ça n'avait certainement pas la douceur d'un véritable membre viril, mais l'effet n'en était pas moins délicieux. Au bout de quelques minutes, s'étant suffisamment délectée de cette présence au plus intime de son sexe, elle entreprit alors de faire coulisser le jouet sexuel entre les grandes lèvres de sa vulve. Avec une espèce d'ivresse sexuelle, elle fit lentement coulisser le gode dans sa chatte de plus en plus ruisselante, lui imprimant ce mouvement de va-et-vient imitant la pénétration d'un membre masculin lors d'un accouplement.
Fermant les yeux sous le pernicieux plaisir qui peu à peu prenait possession de ses entrailles, Monique revit avec un émoi sexuel, la découverte quelques instants auparavant de la jeune virilité de son petit-fils. Il y avait longtemps qu'elle n'avait contemplé un sexe masculin en érection. La découverte de la jeune virilité de Michel la perturbait énormément, même si l'ado au sexe érigé était son petit-fils. Que n'aurait-elle donné à cet instant pour sentir un membre masculin la pénétrer, la fouiller comme le faisait présentement le godemiché en latex. Percevoir la douceur d'une véritable verge glisser entre les grandes lèvres de sa vulve, écarteler les chairs de sa chatte pour enfin venir percuter le fond de son vagin.
Se polarisant sur l'image bien présente de la jeune bite érigée de Michel, telle qu'elle l'avait découverte, Monique accéléra les va-et-vient du gode à l'intérieur de sa chatte ruisselante. La liqueur vaginale, dont étaient imprégnées les parois de son vagin, engluait le sextoy, permettant à celui-ci de coulisser avec aisance dans les chairs détrempées de son sexe. A chaque pénétration du pénis artificiel, le gland factice frottant les parois internes de sa vulve déclenchait chez Monique une onde de plaisir qui la faisait se cambrer sur sa couche. Bientôt, tout son corps ne fut plus qu'une boule de nerfs exacerbés, tressautant à chaque nouvelle vague de jouissance. Pareille à une bouche affamée son vagin se dilatait et se refermait fébrilement autour du gland en latex, comme pour le presser et en faire jaillir les jets qui viendraient le remplir. Sa respiration s'était peu à peu transformée en un halètement précipité.
Mais comme le plaisir la faisait s'arquer une énième fois, Monique se surprit à prononcer le prénom de son gendre, l'exhortant dans sa folie érotique à venir lui faire l'amour ; le suppliant de répondre à ses besoins sexuels, à calmer le brasier qui lui consumait les entrailles. Dans son esprit enfiévré, le visage de Julien et la jeune bite de Michel se superposaient dans un caléidoscope sulfureux.
Tout le corps agité de soubresauts, percevant la jouissance proche, Monique s'empressa de porter sa main gauche entre ses cuisses et d'un doigt habitué à ce genre d'attouchement, elle entreprit de malaxer son bouton d'amour dilaté. Sous ces différentes caresses ; masturbation de son clitoris et va-et-vient du pénis en latex à l'intérieur de sa chatte, un véritable séisme se déclencha au plus profond de son vagin déclenchant une vague voluptueuse gigantesque qui la submergea entièrement. Un orgasme d'une rare la tétanisa. Pendant tout le temps que dura sa folle jouissance, elle demeura entièrement cambrée, reposant sur le lit défait, que par la nuque et les talons, lançant fiévreusement son pubis en avant.

*
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A quelques mètres de là, une scène à quelque chose près identique se déroulait.
Toujours accrochée à la baignoire, les reins arqués, Germaine éprouvait pour la troisième fois de suite un orgasme dévastateur ; déclenché par la soudaine aspersion de son vagin, par les jets puissants lâchés par le gland enfoui dans ses entrailles. Dans un grognement plus animal qu'humain, Julien avait déchargé sa semence à l'intérieur de son sexe, et comme à chaque fois, cette douche intime avait déclenché la jouissance dans son utérus aspergé. Lorsqu'elle sentait la verge tressauter à l'intérieur de sa chatte, Germaine éprouvait un plaisir énorme à imaginer les giclées de sperme jaillissant du gland enfoncé dans ses chairs, venir souiller son vagin. Cette évocation des jets puissants et copieux arrosant lui aspergeant les entrailles lui apportait toujours une réelle volupté.

Libéré de son fantasme en même temps que de sa semence intime, Julien prit conscience que le corps qu'il venait de remplir de son sperme n'appartenait pas à sa belle-mère ; les hanches qu'il pétrissait avec passion étaient celles de Germaine sa femme. Subitement dégrisé, un immense sentiment de tendresse pour celle qui partageait sa vie l'envahit. Se penchant sur le dos moite de sa partenaire sexuelle depuis seize ans, il y déposa un tendre baiser, comme pour se faire pardonner de l'avoir trompée en imagination.
- Oh, chéri, murmura Germaine d'une voix fatiguée, c'était merveilleux? Il y a longtemps que je n'avais éprouvé un tel plaisir?
- C'est vrai ? Interrogea Julien lâchant les hanches qu'il enserrait depuis le début de leur étreinte amoureuse, pour se saisir des seins gonflés qu'il pressa tendrement.
- C'est l'air du midi qui te fait cet effet ?... Tu m'as régalé? J'en suis trempée?
- Peut-être surenchérit Julien, ne pouvant avouer à sa femme qu'elle devait ses orgasmes au fantasme qu'il ressentait pour sa mère.
Comme il retirait doucement son membre maintenant amolli de la sensuelle caverne intime de sa partenaire, celle-ci s'exclama :
- Oh, mon dieu, qu'est-ce que tu m'as mis' J'en ai plein les cuisses'
Plaçant vivement une main contre sa vulve d'où s'écoulaient en fins filets le sperme de son mari mêlé à ses propres sécrétions vaginales, Germaine s'empressa de plonger dans la baignoire.

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Loin des débauches érotiques de ses parents et de sa grand-mère, Michel connaissait lui aussi les troubles sexuels dus à sa jeunesse.
Sitôt que sa grand-mère eut quitté sa chambre, le laissant seul avec son érection, il s'empressa de repousser les draps, mettant à jour sa jeune virilité brandie, tel le mât de cocagne des fêtes foraines. Comme il le faisait chaque matin depuis quelque temps, il referma sa main autour son membre viril raidi, la faisant coulisser de bas en haut dans une voluptueuse masturbation.
Mais contrairement aux autres jours, ce matin son excitation avait une raison plus particulière : les cuisses de sa grand-mère qu'il avait pu apercevoir l'espace d'un instant. Contrairement à ce qu'il aurait pu imaginer, il avait découvert que sa grand-mère, malgré son âge, possédait des cuisses étonnamment fermes. Et à la vue de ces chairs blanches, et lui semblant extrêmement veloutées, son désir matinal s'en était renforcé. Il lui avait même semblé apercevoir, lors d'un mouvement de sa grand-mère, une partie plus sombre sous la chemise de nuit retroussée.
C'est la tête pleine de cette vision des plus affriolantes que Michel agita sa main autour de sa queue frémissante, dans une masturbation de plus en plus rapide. Or, était-ce dû à l'image des chairs nues de sa grand-mère qu'il avait découverte quelques instants plus tôt, il sentit la jouissance prendre rapidement possession de ses organes. Quand d'habitude il lui fallait bien vingt minutes de masturbation avant d'atteindre l'éjaculation libératrice, ce matin sa verge montrait déjà les signes avant-coureurs de la jouissance, alors qu'il venait juste de commencer à se branler. Incapable de retenir l'explosion finale qui le délivrerait, Michel se rappela la recommandation de sa grand-mère au sujet des taches sur les draps. Avant que son gland ne crache ses salves séminales, il referma vivement sa main autour, l'enfermant au creux de sa paume.
Dans un bien-être incommensurable qui le cloua sur sa couche, Michel jouit avec force, souillant sa main de son jeune sperme fluide, mais abondant.

Cette journée du 2 aout se présentait démarrait sous les meilleures prévisions pour toute la famille?


« A suivre »