Chemin de Jacques : 6- Massage

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Proposée le 21/08/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques travaille pour une entreprise française qui l'envoie à l'étranger pour des plus ou moins longs séjours. En Allemagne il rencontre Evi avec qui il partage d'agréables moments et toutes les joies de la sexualité.


6. Massages


Evi me proposa d'aller dans un centre de remise en forme avec sauna, jacuzzi, bains chauds et glacés' et massages. J'acceptai naturellement me disant que cela me permettrait de récupérer pour l'honorer plusieurs fois dans la soirée. Elle était demanderesse de nos joutes sexuelles et je devais donner beaucoup, bien que cela soit pour moi toujours avec beaucoup de bonheur et de plaisir.

Lorsque nous sommes entrés dans le centre, ce fut un choc pour moi : je constatai que le fameux centre était naturiste. En Allemagne les bains publics ou les saunas naturistes sont très nombreux et c'est dans un de ces établissements que mon amie m'avait mené. Dans ce centre, il y avait plusieurs saunas avec des températures différentes : 90, 60 et 45°. Certains pouvaient accueillir plus de trente personnes, d'autres étaient plus intimistes, et même certaines cabines étaient vouées à la quiétude et à l'intimité. Par ailleurs il y avait différents piscines et bassins plus ou moins chauds. Pour les douches, on pouvait choisir de l'eau chaude à l'eau froide, vivifiante à la sortie du sauna surchauffé.

La nudité n'était pas obligatoire, mais très largement pratiquée. Certaines personnes se dissimulaient derrière des serviettes de bain (qu'ils quittaient rapidement d'ailleurs) et d'autres dans leurs peignoirs. Ce vêtement était tout de même obligatoire pour le restaurant et la brasserie du lieu, sans qu'il soit besoin de le nouer bien serré, tant et si bien que les femmes restaient souvent seins nus. Dans les salles de sport, les gens étaient parfois nus, mais plus fréquemment en body ou en survêtement. C'est vraiment dans la partie sauna, bains et soins que tout le monde était nu sans aucune gêne, la serviette n'étant là que pour s'asseoir, mais certainement pas pour dissimuler sa nudité.

Malgré ma surprise, je ne dis rien, je ne voulais pas froisser Evi et fis comme elle, je me suis déshabillé et l'ai suivie à travers le centre. Elle semblait être une habituée du lieu. Elle salua d'ailleurs quelques connaissances trois filles et deux garçons. Elle leur fit la bise le plus naturellement du monde, comme si elle avait été dans la rue, alors que là elle était tout aussi nue qu'eux. Je fis la bise aux filles, je serrai la main au garçon et je priais Dieu ou Satan (je ne sais plus trop) pour ne pas me mettre à bander en public, ce qui aurait été déplacé. Je me laissais guider en ce lieu qui pour moi était une véritable nouveauté. Je n'étais pas pudique, mais jamais je ne m'étais mis nu en public devant tant de personnes que je ne connaissais pas. D'un autre côté, jamais je n'avais vu autant de gens nus vivant et agissant le plus naturellement du monde, sans qu'il n'y ait rien de sexuel entre eux. Et ce n'est qu'après un bon moment que je me suis dit :
« Mais, je n'ai même pas bandé depuis que je suis ici, nu ave Evi et des hommes et des femmes dans le plus simple appareil. »

J'étais surpris, car j'avais toujours pensé que si un jour j'allais sur une plage où les gens étaient nus, j'allais bander. C'est une des raisons pour lesquels je n'avais jamais tenté osé franchir le pas. Cela ne m'aurait pas déplu d'ailleurs de tenter l'expérience, mais voilà, j'avais vraiment trop peur d'avoir la honte que mon sexe de dresse à la moindre vue d'une chatte à la coupe exquise ou à la paire de seins appétissant. Or, je m'apercevais avec contentement que ce n'était pas le cas.

Nous sommes rentrés dans un sauna où se trouvaient déjà un homme et deux femmes. J'étalai ma serviette sur une des banquettes et m'allongeais sur le dos. J'étais bien, je sentais mon c'ur s'accélérer un peu sous l'effet de la chaleur, mais j'étais décontracté, totalement détendu. Je ne pensais même plus que j'étais nu, que je présentais mon sexe à ces deux femmes inconnues qui se trouvaient dans la pièce embuée, un peu au-dessus de moi.

Evi, tout comme si nous avions été dans son appartement, vivait sa nudité avec un naturel désarment. Elle allait jusqu'au petit braséro au centre de la pièce pour y verser un peu d'eau, elle revenait à sa banquette, se couchait comme si rien n'était. A un instant je me relevais et je là vis, les jambes légèrement écartées, le sexe bien visible dans l'axe de l'homme qui se trouvait en retrait. Il ne pouvait ignorer l'intimité de ma compagne. Je n'en ressentis aucune jalousie, mais une certaine gêne pour elle. Je regardais l'homme, il contemplait le spectacle. Il croisa mon regard et me lança un sourire complice. Son sexe était légèrement gonflé, mais il contrôlait parfaitement son excitation. Pour ma part, je n'étais pas certain de pouvoir avoir la même bonne tenue que lui si je restais ainsi. Je me suis donc recouché, mais cette fois-ci sur le ventre.

Mon début d'érection se calma assez rapidement et je pus sortir du sauna surchauffé arborant une attitude tout à fait neutre. Evi m'entraîna vers les douches d'après sauna en m'avertissant :
- Celles-là sont glacées, et celles-ci simplement froides. Moi je préfère les premières, c'est beaucoup plus vivifiant.
- N'ayant pas trop l'habitude, je vais prendre juste froid.
- Les nordiques, eux, se jettent dans la neige ou dans l'eau d'un lac gelé l'hiver? après avoir fait un trou dans la glace.
- Je ne suis pas nordique. Je suis véritablement latin, nous n'avons pas la même éducation et la même résistance au froid.
- Oui, vous n'avez même pas le même genre de centre en France.
- Si, nous avons des saunas.
- Oui, mais pas où on peu se balader à poil comme ici.
- Effectivement, je n'en connais pas. Ça doit pourtant exister.
- Ah si, vous avez des centres qui se disent de remise en forme où l'on peut être nu, mais qui sont en réalités des lieux libertins. J'ai même entendu parler d'instituts de massages naturistes ou le massé comme la masseuse sont à poil' Un concept qui ressemble plus à de la prostitution déguisée qu'à des lieux de détente.
- S'il n'y a pas de rapport sexuel, il n'y a pas de prostitution.
- Oui, enfin, la tarification de la branlette est prévue à la carte, mais rien ne dit que certaines autres prestations plus poussées sont possibles avec un supplément. Aux masseuses de donner plus ou moins d'elles-mêmes. Il faut satisfaire le client qui est roi et lui donner envie de revenir, aussi tous les moyens sont bons. Non, ça n'a rien de naturiste, car même dans les lieux naturistes, les masseuses ou les masseurs ne sont jamais nus, seule la personne qui se fait masser est nue. Et on ne touche jamais à son sexe.

La douche froide me parut glacée et je ne pus me retenir de pousser un cri à l'agression de l'eau sur mon corps surchauffé. Je n'ai jamais pu m'habituer à cette sensation chaud-froid qui plait temps aux adeptes des saunas et autres hammams.

Avec Evi, nous avons ensuite plongé dans un bassin aux eaux beaucoup plus clémentes. Il y avait plusieurs personnes dans l'eau. Deux couples beaucoup plus âgés que nous, trois jeunes filles, des étudiantes ou des collègues, elles n'avaient pas plus de 25 ans, et deux hommes d'un certain âge, genre cadres d'entreprise qui avaient tout l'air de parler affaires. Tout le monde était nu dans cette piscine et il n'y avait rien de choquant à voir les trois couples (avec le nôtre) se coller étroitement parfois échangeant de discrets petits baisers, les trois copines s'amusant beaucoup mais discrètement afin de préserver de la quiétude du lieu et ses hommes qui traitaient leurs affaires totalement détendus. Moi aussi je me trouvais parfaitement bien, envahi par la sérénité du lieu. Le décore de plantes vertes tropicales, les vapeurs d'eaux, la musique douce en fond sonore, le silence si ce n'est le clapotis de l'eau, tout cela avait pour effet de retrouver la paix intérieur pour le plus stressé des hommes, ce que je n'étais pas.

Le fait qu'on soit tous nus, sans gêne, augmentait cette atmosphère de paix, par la liberté que cela procurait. Il n'y avait plus de personne d'un sexe ou d'un autre, mais des hommes et des femmes qui conversaient sans avoir d'attirance sexuelle l'un pour l'autre. Les couples n'étaient pas là pour baiser, mais pour passer du bon temps ; les filles entre elles, nues, sans ressentir de gêne dans ce lieu mixte, n'étaient pas là pour braver l'interdit de la nudité, mais ne pensaient qu'à se détendre ; les hommes d'affaires, ne cherchaient pas à se rincer l'oeil ou à se retrouver dans un lieu licencieux, mais rechargeaient simplement leurs accus avant une réunion importante. Tous les codes volaient en éclat, toutes les différences de classe, de religion, de nationalité, d'âge n'avaient plus lieu d'être.

Evi sortit de la piscine et je la suivis. Elle entra dans l'espace massage et s'allongea sur une table tandis que je m'étendis sur la seconde. Je disposais ma serviette sur mon bas ventre et m'attendait à voir entrer un masseur pour s'occuper de moi et une masseuse pour ma copine. Ce fut une surprise de voir arriver deux femmes dans la pièce pour s'occuper de nous. Elles portaient une sorte de blouse sous laquelle, apparemment elles ne portaient pas grand-chose, voire rien du tout. J'en eu la certitude, lorsque celle qui se dirigeait vers Evi enleva sa blouse dévoilant un corps totalement nu, musclé et fin, avec des seins imposant et tombant légèrement et un pubis intégralement rasé.

- Je croyais, dis-je à Evi, que les masseuses, même naturistes restaient habillées ?
J'avais parlé en Français pensant que les deux masseuses ne comprendraient pas mes propos. Pourtant, à ma grande surprise, la fille qui allait s'occuper de ma personne répondit dans un Français parfait si ce n'est un léger accent germanique :
- Il peut y avoir des variantes à cette règle.
- Si tu promets de ne pas toucher, quoiqu'elle fasse, ta masseuse aussi peut quitter sa blouse pour un vrai massage naturiste et sensuel.
- OK, dis-je, ça me va. Je n'étendrai même pas la main pour l'effleurer.

Ma masseuse quitta donc sa tunique sans tergiverser et je pus contenter mes yeux tout en réfrénant toute tentative d'effleurement. Elle aussi avait le pubis totalement lisse, mais une poitrine plus ferme quoique moins imposante que sa collègue. Elle m'ôta la serviette que j'avais posée sur mon sexe qui commençait à manifester son excitation montrant un gonflement. Heureusement, elle me demanda de me mettre sur le ventre. Je me disais qu'ainsi au moins je pourrais dissimuler mon début d'érection et me calmer.

Ma soigneuse enduisit mon corps d'une huile chaude et odorante. Elle frictionna mon corps recouvert de cette lotion : dans le haut de mon dos, le long de ma colonne vertébrale, mes lombaires, mes fesses sur toute leur surface, l'arrière de mes cuisses et de mes mollets. Elle opérait par des caresses et des effleurements avec beaucoup de douceur ou par des pressions fermes entrant dans les chairs comme pour les attendrir. J'offrais mon corps à cette charmante créature qui s'activait autour de moi dans la tenue d'Eve. D'être tous nus ainsi, la praticienne s'occupant de moi, mon amie et sa masseuse, avait quelque chose d'irréel. Aussi, au bout de quelques minutes je ressentis un bien être immense, je trouvais ainsi la plénitude de la détente, un retour aux sources spirituelles et sensuelles.

La femme massait toutes les parties de mon corps, allant de ma nuque à la pointe de mes pieds en passant naturellement, et sans les oublier, par mes fesses qu'elle malaxa habilement et divinement ; rapprochant les deux globes, les écartant l'un de l'autre, ce qui devait faire apparaitre mon anus, puis massant, raffermissant. Parfois ses mains arrivant au bas de mes fesses, descendaient entre mes cuisses jusqu'à entrer en contact avec mes testicules ou ma verge qui ne débandait pas. Je ne faisais rien pour, mais même si je l'avais voulu, l'ambiance était tellement chaude, que j'aurais été incapable de calmer mon érection.

Puis vint le moment où elle me demanda de me mettre sur le dos. J'eus une petite hésitation, mon érection s'étant transformée en une trique énorme. Je croisais le regard de ma compagne qui, à ce moment-là, se faisait masser les seins dont les pointes étaient outrageusement érigées. Elle me dit :
- Tu n'as pas le droit de toucher, mais tu as le droit de bander? ce serait même impoli si tu n'étais pas en érection, cela voudrait dire que ta masseuse n'est pas à la hauteur. N'ai aucune crainte, elle en a vu des centaines comme la tienne, cela ne va pas l'offusquer, bien au contraire.
- J'adore, renchérit la masseuse, voir de belles pines pleines de vigueur.
Et la mienne n'en manquait pas.

Je me retournai donc, mon sexe jouant les mâts de cocagne. Effectivement la femme qui s'occupait de moi avec tant d'attention ne se formalisa pas de mon état d'excitation et fit comme s'il n'y avait rien, même si, suivant son regard, je savais qu'elle regardait ma tige en la détaillant. Peut-être se disait-elle :
- Tiens elle est plus longue que celle de machin, mais plus fine que celle de truc'
Encore que cette réflexion est vraiment celle d'un mec où la compétition, notamment en matière de grosseur et de longueur de verge est toujours présente.

Que je bande sous l'action des mains de cette femme nue qui me massait ne semblait pas être un problème, en tout cas, cela n'avait rien de déplacé. Nous étions dans le cadre d'un massage d'une grande sensualité et non purement celui qu'aurait pratiqué un kinésithérapeute. Cela allait beaucoup plus loin qu'un simple soin. Là encore, je ressentis un bien-être immense en me laissant totalement aller, avec la combinaison de caresses charnelles et d'effleurements douillets. La femme qui prenait ainsi possession de mon corps avait des mains expertes qui avaient de don de me transporter dans un état de plénitude absolue.

D'autant plus qu'en étant sur le dos, je pouvais admirer son corps tout à loisir s'activer sur le miens. Je voyais ses seins balloter au gré de ses mouvements, son bas ventre dénué de tout poil était délicatement estampillé d'un petit tatouage à la naissance de ses lèvres vaginales. Celles-ci étaient décorées de deux piercings, l'un était un anneau, l'autre un brillant. Lorsque ses jambes s'écartaient, la fente s'entrouvrait et me laissait deviner des chairs roses et délicates. Parfois, me tournant le dos, se penchant au-dessus de moi, elle me donnait une vue magnifique sur la corole de son appendice génitale suivi, un peu plus haut, du trou de son anus.

Elle descendit le long de mon anatomie en commençant pas mon buste, puis mon ventre, la naissance de mon pubis effleurant par la même occasion le bout de ma verge tendue contre mon ventre. Je pensais qu'il s'agissait d'un attouchement involontaire, jusqu'au moment où je sentis sa main enduite d'une huile parfumée se poser sur la base de mon sexe et le masser. Je me laissais totalement aller, gardant seulement à l'esprit que je n'avais pas le droit de la toucher, quoiqu'elle fasse. J'acceptais qu'elle prenne possession de mon corps, de mon sexe, tout en respectant ce pacte presque impossible à tenir : ne pas effleurer la peau de cette créature.

Je ne voulais surtout pas interrompre cette douce et merveilleuse sensation, cette exquise caresse de cette main allant et venant sur mon sexe en érection. Je la laissais faire, gardant mes membres contre mon corps pour éviter qu'elles ne partent involontairement vers un épiderme dénudé si proche. Cette femme superbe, nue mais au corps défendu, me branlait avec une douceur inimaginable, faisant monter le plaisir sans pourtant me faire atteindre la jouissance absolue. J'éprouvais à son contacte une douceur diabolique ; la douceur par la manière qu'elle avait de s'occuper de mon sexe tendu à l'extrême, le côté diabolique par son savoir pour interrompre ma jouissance alors que je la savais imminente et incontrôlable. C'est elle qui contrôlait tout au contraire. Elle prenait possession de mon corps, de ma verge et de ma jouissance.

Elle quitta mon membre dressé pour continuer sa descente sur mes cuisses, mes genoux, mes mollets et enfin mes pieds. J'étais bien, j'avais l'impression de flotter dans les airs. Puis elle revint à mon sexe pour reprendre ses attouchements, soutenant mes bourses dans une main et malaxant ma verge de l'autre allant du gland à la base de la base au gland. Sa main était aussi douce qu'une langue. Je regardais Evi. Sa masseuse avait placé ses deux mains entre ses jambes et devait lui branler le clitoris et les lèvres vaginales. Peut-être l'une de des mains était-elle enfoncée dans son con. Vu l'état d'extase apparent dans lequel se trouvait mon amie, je n'avais presque aucun doute.

La masseuse ne s'occupait plus que de mon sexe à présent, elle faisait venir sa main de la base au gland, avec de délicates et savantes caresses, elle visitait les moindres recoins de mon gland me provoquant des frissons invraisemblables. Je pensais que je n'allais pas résister longtemps à un tel traitement et que j'allais éjaculer dans les mains de ma masseuse. Mais celle-ci arrêta ses bons offices pratiquement au point de non retours. Ne sentant plus rien, n'entendant plus rien, j'ouvris les yeux. Je découvris au-dessus de moi, Evi que les deux masseuses avaient aidé à se hisser sur ma table. Sa masseuse ouvrait son sexe dégoulinant de mouille, tandis que la mienne dirigeait ma pine vers cet orifice humide. Ma copine, grâce aux bons offices des deux charmantes créatures, vint s'empaler sur moi.

Cette chevauchée ne dura que peu de temps, tant les préliminaires avaient été poussés à leur extrême, mais notre jouissance a été absolument fabuleuse. Nous fûmes saisis d'un orgasme simultané qui nous laissa tétanisés sur place. Evi se retrouva couchée sur mon corps, mon sexe encore fiché en elle, mais bien incapable de faire quoique ce soit avant un bon moment.

Après une douche réparatrice, nous sommes rentrés, Evi et moi, dans son appartement plus amoureux l'un de l'autre que jamais. Je ne pouvais dire si ma maîtresse allemande était la femme de ma vie, mais j'étais certain que je ferais tout pour qu'elle fasse un bout de chemin à mes côtés.



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