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Proposée le 14/08/2012 par taurus01
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Lydia ouvrit la boîte de dessert que son collègue avait apporté et prépara le thé. La liqueur pétillante du repas avait délié les langues, on oscillait entre le ton badin et le sérieux.
Dans un élan de conversation, elle mettait sa main dans celle de son interlocuteur et il ne bronchait pas, trouvant cela assez charmant. La conversation s'étirait, mélange brouillon de réflexions et d'allusions équivoques, un peu coquines. Par moments, il avait envie de prendre congé.
- T'as envie ? Murmura Lydia. Elle était si près qu'il sentait l'haleine lui frôler.
- De quoi ? Elle sourit, ne daignant pas répondre à cette semi-naïveté.
Lydia déboutonna sa blouse qui s'ouvrit comme des rideaux sur une poitrine généreuse. Elle fit sortir du soutien-gorge ses seins, dévoilant les tétons cerclés de grosses aréoles. Puis elle s'installa confortablement à l'autre extrémité du sofa pour siroter calmement son thé.
Il baissait les yeux, quelques pensées dansaient dans sa tête. Fixant la boisson de couleur ambrée dans sa tasse, il se souvenait d'un article dans une revue qui déconseillait la liaison entre collègues, sujet facile de ragots. L'indécision quand on est sur le point de franchir le pas ou plutôt la ligne jaune.
Entre temps le jean de la femme avait glissé par terre. A la vue de la chatte sous le string transparent, il se décida.
- Viens, dit Lydia d'une voix douce.
A peine la porte de la chambre refermée, elle était déjà nue et posait ses mains sur les épaules du collègue. C'était une petite femme trapue aux jambes pleines, sa vulve était imposante et belle, presque aussi large que la paume de la main.
Il l'enlaça, ferma les yeux pour mieux sentir la douceur des seins opulents contre sa chemise.
Lydia alluma une cigarette pour lui laisser le temps de se dévêtir.
Elle laissa la cigarette lâcher ses volutes et mourir sur la table de chevet avant de masturber son invité. Ils étaient assis en tailleur au milieu du matelas. Sa main continuant à tirer le phallus en rythme, elle embrassait et brisait les dernières réticences de l'homme. Il se pencha vers sa collègue qui l'accueillait les cuisses ouvertes et le dos cambré pour mieux présenter son intimité.
Lydia soupirait, les bras croisés sous sa tête. Le sexe du nouvel amant était agréablement dur et chaud. Le gland tendu comme une prune satiné explorait son vagin, persévérait. Les va-et-vient envoyaient en elle des étincelles de satisfaction jusqu'à la racine des cheveux. Elle gémit de plaisir.
Visage contre visage, il passa ses doigts dans les cheveux drus de Lydia tout en continuant de ramoner. Les premiers spasmes de la chatte voluptueuse qui enveloppait entièrement son sexe le fit jouir sur le coup.
Pendant qu'il s'éloignait pour retirer le latex et se doucher, elle fumait rêveusement une cigarette en se frottant le mamelon.
Ils se prélassaient des heures nus sur le lit pour récupérer et se caresser. "On est comme des lézards au soleil", disait-il. Elle avait envie de refaire la fête mais, conscient de ses limites, il préférait déclarer forfait.
Lydia rigolait pour dédramatiser : "Bien, je te laisse recharger tes batteries."
Le lendemain, stimulé par l'érection matinale, il mit sa promesse à exécution et la pénétra d'un simple coup de reins. Elle le serra très fort contre elle avant de basculer tous les deux dans une nouvelle explosion d'extase.
Il quitta discrètement l'immeuble encore plongé dans la grasse matinée du dimanche, la tête dans les étoiles. Et dire qu'il avait hésité des minutes avant de prendre la perche que cette femme mûre et exotique lui avait tendue. Il se remémorait des sensations que la chatte veloutée de Lydia lui procurait.. Ah oui, le boeuf bourguignon était succulent.
Demain, au travail, il regardera Lydia de façon différente.