Marilyne et le livreur.

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Proposée le 13/08/2012 par Gérard le Matou

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Il y a quelques jours alors que dès le matin, je m'étais connectée sur un site érotique pour attirer quelques amateurs pour une séance privée habillée en soubrette coquine, j'ai reçu la livraison d'un colis volumineux. J'avais complètement oublié que deux jours auparavant j'avais reçu un courriel indiquant que cette livraison devait avoir lieu ce jour là entre 9 heures et 12 heures.

Lorsque j'ai ouvert la porte de l'appartement, le livreur a écarquillé ses yeux. C'est vrai que ma tenue avait de quoi le surprendre : petite coiffe blanche en dentelle dans mes cheveux noirs coiffés en chignon, tablier blanc descendant à mi cuisses et dont la bavette avait bien du mal à cacher mes seins tout juste maintenus par un soutien gorge à demi bonnet. Le cordon de mon string était quant à lui masqué par celui du tablier.
Comme le colis était volumineux et assez lourd, j'ai demandé au livreur de bien vouloir aller le déposer sur la table de ma cuisine. Je l'ai guidé vers cette pièce, lui offrant ainsi la vue sur mon anatomie arrière barrée uniquement par le soutif et le cordon du tablier noué et dont les extrémités descendaient entre mes fesses nues.

Nous sommes retournés dans le salon pour signer le bordereau de livraison. Là il a découvert mon ordinateur qui était resté branché sur la page d'accueil du site. Il a semblé très intéressé et je lui ai alors expliqué comment cela fonctionnait et quel était mon rôle d'animatrice. Je lui ai rapidement fait une démonstration en prenant en ligne quelques correspondants mais ensuite je me suis déconnectée.

Pendant tout ce temps, j'avais pu constater que mon livreur était émoustillé par le spectacle que je lui offrais. Le devant de son jean montrait une bosse de plus en plus proéminente. J'ai fait pivoter mon siège et posant ma main droite sur cette bosse, j'ai commencé à masser sa bite par dessus le pantalon.

Quand il a dirigé ses mains vers mes seins en passant sous la bavette, je fais coulisser le zip de son pantalon et son sexe à jailli comme un ressort. Ce coquin ne portait même pas de slip ! J'ai fait quelques aller et retours de la main sur sa hampe et je l'ai embouchée pour tailler une plume à mon livreur.

Pendant ce temps il continuait à masser mes seins, pinçant les tétons qui étaient bandés tant j'étais excitée. Lorsque j'ai senti quoeil était à point, je me suis levée, je lui ai tendu un préservatif et je me suis positionnée en levrette sur un des fauteuils du salon :
- Viens, profites-en, le virtuel et la masturbation ne valent pas une bonne baise !

Il ne se l'est fait dire deux fois. Dénouant rapidement la ceinture de son pantalon qui est descendu sur ses genoux, il a fait glisser le cordon de mon string sur une de mes fesses et d'une poussée énergique, il a pénétré ma chatte qui n'attendait plus que cela tant elle était humide. Il a pris ma taille entre ses mains et il a commencé à me copuler assez rapidement.

A chaque fois, il faisait claquer son ventre contre mes fesses et je sentais son gland butter au fond de ma chatte. J'étais bien baisée et je sentais la jouissance monter de plus en plus pressante. Quand j'ai senti les mouvements s'accélérer, je me suis laissée aller. Nous avons joui tous les deux presque en même temps. J'ai senti au fond de la chatte les puissantes giclées de sperme jaillir dans le préservatif.

Nous nous sommes désunis. Mon livreur m'a relevée, pris dans ses bras pour m'embrasser :
- Merci Maryline, cela faisait presque un mois que je n'avais pas baisé. C'était génial !

Nous avons encore bavardé quelques instants et il a poursuivi ses livraisons. Hier soir il m'a téléphoné. Nous allons passer le weekend ensemble. Cela promet d'être chaud car il m'a semblé être très endurant et je vous dis pas, sa bite est d'une taille à satisfaire mon appétit de coquine lubrique.