Un triangle amoureux

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Proposée le 8/08/2012 par Gérard le Matou

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Depuis un an environ, je fréquente deux jeunes femmes que j'ai rencontrées lors d'une soirée dans une discothèque. Elles étaient seules et leur attitude en dansant m'a immédiatement fait penser à un couple lesbien : Ce n'était que frôlements, caresses légères sur les fesses, des baisers dans le cou. Bref tous les signes de deux filles qui s'aiment tendrement.
Lorsqu'elles sont venues au bar pour se désaltérer après une longue séquence de danse, je les ai invitées à partager le pot que je leur offrais. Elles n'ont pas refusé et nous nous sommes mis à bavarder longuement comme de vieilles connaissances qui se retrouvent.
Âgées de 25 ans environ, elles ont une silhouette assez semblable, longiligne avec des jambes interminables gainées d'un pantalon très ajusté en lycra et des bottines à talons, des hanches étroites et une poitrine menue libre sous le débardeur en maille dorée. L'une, Colette, est très brune avec des grands yeux marrons alors que la seconde, Justine, est blonde comme les blés murs avec des yeux d'un gris profond. Elles sont coiffées d'une manière identique : les cheveux mi-longs avec une mèche qui revient sur le côté droit.
J'apprends qu'elles travaillent dans une agence de tourisme bien connue pour ses gentils organisateurs et qu'elles vivent ensemble dans un petit appartement de la banlieue est. Elles ne cachent rien des relations qui les unissent librement car elles indiquent aussitôt qu'elles sont bisexuelles et qu'il leur arrive de temps à autre de flirter avec des garçons et de coucher avec.
Lors d'une séquence de slows sur une piste annexe, je peux découvrir un peu plus de ces deux jolies filles en dansant tous les trois corps à corps. Effectivement elles ne fuient pas le contact mâle, quand l'une est devant moi, son corps lové contre le mien, l'autre est collée derrière moi au point que je sens ses seins contre mes omoplates. C'est chaud...
La soirée se termine aux petites heures du jour. Faute de mieux nous échangeons nos numéros de téléphone et adresses internet en nous promettant de rester en contact. C'est toujours ça ! Peut-être y aura-t-il des lendemains ? Dans la mesure où depuis six mois, je n'ai plus de copine, si quelque chose doit se passer avec l'une ou l'autre, je suis partant.
Nous sommes sortis à plusieurs reprises en boîte pour danser. La première fois, j'avais amené un copain de travail pour faire le quatrième mais ça n'a pas marché. Après avoir bavardé cinq minutes, Colette et Justine l'ont ignoré et sont allées danser ensemble. Bref, elles préféraient ma seule présence auprès d'elles, éloignant discrètement les autres garçons qui tournaient autour d'elles.
La dernière fois, la soirée en boite a tourné court, un début de bagarre et l'arrivée des flics ont rapidement fait le vide dans les salles. L'heure du premier métro était encore loin' mais ma voiture se trouvait dans un garage souterrain à quelques minutes de là. J'avais eu comme un pressentiment en prenant ma voiture, j'allais pouvoir reconduire mes deux copines chez elles.
- Non, allons chez toi, ton appartement est plus grand que le notre ! En plus, il est plus proche. Nous y serons mieux pour finir la nuit.
Je n'en demande pas tant. Avais-je une chance à tenter ? C'est vrai que j'avais décrit ce grand logement au dernier étage d'un immeuble bourgeois de la fin du XIXème hérité de mes parents alors que j'avais tout juste 20 ans. J'avais aussi indiqué que parfois j'envisageais de louer certaines chambres mais je n'étais pas encore près à sacrifier une parcelle de mon indépendance et de ma tranquillité.
Cinq minutes de marche et moins de dix minutes de voiture après, je me gare à mon emplacement habituel dans le sous-sol de l'immeuble. Pendant que je verrouille les portières, Colette et Justine se dirigent vers la porte de l'ascenseur en se tenant par la taille. Elles chuchotent des mots que je n'entends pas.
A peine les portes de l'ascenseur refermées, Colette se colle à moi de tout son corps et cherche mes lèvres. Jusqu'à présent, nous nous étions embrassés sur la joue, comme deux amis. Là, elle s'offre carrément et je ne la repousse pas. Puis Justine se colle derrière elle et passe ses bras autour de nos deux corps et dépose des petits baisers dans la nuque et dans le cou de Colette. Je suis un peu perdu'
Dans ma pièce à vivre, je les installe sur le divan et je vais rapidement dans la cuisine chercher une bouteille de champagne, des coupes et de quoi nous offrir un petit en-cas solide. Pendant ces quelques minutes, je les entends bavarder à mi voix. Qu'ont-elles à se dire ? Lorsque je reviens près d'elles, elles sont enlacées et s'embrassent sur la bouche. Leurs mains partent à la découverte dans le décolleté de leur robe légère pour ensuite faire glisser les fines bretelles qui les maintiennent sur les épaules. Les poitrines se découvrent, celle de Colette prise dans un soutien gorge ivoire qui tranche sur sa peau mate et Justine porte elle un body formé de couleur noire. Les robes fluides sont descendues jusqu'à la taille.
Lorsque je leur tends les coupes, elles s'exclament :
- A l'amour ! Nous avons envie d'un homme ce soir ! Tu vas nous baiser successivement mais c'est la chance qui choisira celle à qui tu feras l'amour en premier !
Quelle belle proposition. Voila ce que ces deux coquines mettaient au point dans leur bavardage discret. Justine sort de son sac une pièce de monnaie qu'elle lance en l'air et rattrape dans sa main fermée.
- Face, c'est Colette, pile c'est moi !
Le sort désigne Justine. Elle se lève, s'approche encore plus de moi qui la prends dans mes bras et l'embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent en un ballet ardent pendant que son bassin frotte contre le mien. Il y a déjà bien longtemps que mon sexe est dressé dans mon boxer et son manège le fait se dresser encore plus.
Colette fait glisser la robe de Justine qui ne porte plus que son body, des bas qui y sont reliés et un string très réduit qui glisse à son tour jusqu'au sol. Colette se met nue entièrement, ne conservant que ses bas auto-fixant pour s'approcher de moi et me déshabiller entièrement comme elle l'a fait pour Justine.
Quand elle baisse mon boxer, elle prend ma bite dans une main et l'embouche pour l'enduire d'une abondante salive et la couvre d'un préservatif. J'allonge Justine sur le divan et je me place entre ses cuisses. Sa toison est peu fournie mais artistement rasée en forme de c'ur. C'est très érotique.
- Viens, prends moi maintenant, ne me fais plus languir !
Doucement je la pénètre et lorsque je suis bien au fond de sa chatte, je commence les mouvements de va-et-vient dans son puits d'amour chaud et humide. Il ne nous faut pas de longues minutes pour atteindre le point de non retour. La situation au milieu de ces deux jeunes femmes chaudes est suffisamment excitante en elle-même. Justine se déchaîne sous moi qui la baise de plus en plus vite jusqu'au moment où notre jouissance explose.
Pendant tout ce temps Colette nous observe, une main caressant ses seins, l'autre posée à plat sur son pubis qu'elle masse doucement. Lorsque je sors de la chatte de Justine, c'est elle qui ôte le préservatif et aussitôt prend ma bite dans sa bouche pour me faire bander à nouveau. Ce n'est pas difficile car je n'ai pratiquement pas débandé après avoir éjaculé dans la chatte de Justine. Lorsqu'elle sent que je suis à point pour baiser à nouveau, elle se met en levrette sur le divan, les bras reposant sur le dossier.
- Viens, prends moi en levrette, j'adooore !
Je me couvre à nouveau et je viens derrière elle en la prenant par les hanches. Je m'introduis lentement dans sa chatte inondée de cyprine et ses fesses viennent se mouler dans le creux de mes hanches. Je suis tellement excité que je m'oblige à réfréner mon ardeur. Justine viens se glisser sous Colette et lui caresse les seins d'une main et mes couilles de l'autre. Oh, quelles belles coquines !
- Vas-y plus fort ! Défonce-moi bien la chatte, c'est meilleur qu'un gode !
Je ne me fais pas prier et j'accélère mes mouvements, sortant de son vagin pour mieux y entrer ensuite en faisant claquer mon bas ventre contre ses fesses jusqu'au moment où je me répands au fond du préservatif, déclenchant sa jouissance.
Nous terminons la nuit dans mon lit où le sommeil (et la fatigue) nous terrasse. C'est merveilleux de se réveiller vers midi entre ces deux jolies filles. Je n'ose bouger. Soudain, je sens deux mains s'emparer de ma bite à moitié bandée (comme souvent au réveil) et la masser doucement. Quelques minutes après, une tête brune et une tête blonde disparaissent sous la couette et deux bouches se partagent mon sceptre. J'ignore qui fait quoi ! Quand une bouche lèche la hampe, l'autre engloutit le gland et agace le méat. Une fellation à deux bouches, je n'en n'avais jamais eu et c'est délicieusement érotique.
La position de Colette et de Justine, la tête sous la couette m'offre la vue sur leurs fessiers fendus qui émergent de la couette. C'est une sorte d'appel ! Je pose mes mains sur les globes charnus et doucement je les fais glisser jusqu'à la chatte de mes fellatrices où j'introduis deux doigts pour les masturber.
- Oui ! Continues comme cela, tu vas nous faire partir !
Je ne sais pas qui l'a dit mais je n'avais pas besoin de cet encouragement. J'avais bien l'intention de les faire jouir ainsi. De mon côté, je sens que je ne vais pas tarder à en faire autant aussi, je me concentre sur ma pénétration digitale. Au moment où je crache mon sperme sur mon pubis, Colette et Justine jouissent à leur tour.

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Quelques semaines plus tard, Justine et Colette emménagent chez moi. Elles disposent chacune d'une chambre de part et d'autre de la mienne. Selon les humeurs de la soirée, nous nous retrouvons à trois dans le même lit ou les deux filles partagent l'une ou l'autre de leur chambre ou chacun passe la nuit seul dans son lit.
Pour couronner le tout, à deux reprises elles m'ont gratifié d'une baise lesbienne ! Oulla c'était chaud et j'avais une trique d'enfer à les voir se caresser, se faire plaisir en 69 et se prendre le minou avec un gode à double tête, leur cuisse emmêlées en ailes de papillon. Mais, après avoir bien pris leur plaisir ensemble, Colette et Justine ne m'ont pas laissé sur ma faim. La première fois, j'ai eu droit à une belle fellation en double comme celle du réveil après notre première nuit. La seconde fois, elles se sont mises toutes les deux en levrette sur le divan et je les pénétrais successivement, passant de l'une à l'autre et je suis arrivé à les faire jouir presque en même temps.

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Cela fait bientôt huit mois qu'elles sont installées chez moi ! Officiellement elles sont mes locataires mais pour moi, elles sont bien plus que cela : mes deux chéries !