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Proposée le 28/07/2012 par HEClow
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Jean est marié, père de famille et est chauffeur routier depuis neuf ans maintenant. Il gagne particulièrement bien sa vie, travaillant majoritairement de nuit, et sur la majeure partie du continent européen. Il passe sa vie loin de ses proches, qu'il voit une fois par semaine quand tout va bien. Autant dire qu'il est plutôt du genre solitaire. Mais dans le métier, il a fini par se faire des amis, d'autres routiers qu'il croise en attendant les mêmes ferrys, en patientant dans les mêmes aires de repos.
Ce matin de juillet, il prenait son petit-déjeuner sur une table en extérieur, en allant jeter ses déchets, il passe devant un homme plutôt costaud agenouillé auprès de son camion, criant des jurons.
- Hé, l'ami, qu'est-ce qu'il se passe ?
- Je sais pas, j'ai dû rouler sur un truc pas net sur la route cette nuit. Mon moteur fait un drôle de bruit. Tu voudrais pas jeter un coup d'oeil, voir si j'ai rien raté ?
- D'accord.
Jean se baisse et inspecte le camion.
- Non, je vois pas le problème... Je peux monter dans ta cabine ?
- Fais comme chez toi !
Il démarre le moteur et rien ne se passe. Il réitère mais rien non plus.
- Euh... Je crois que c'est mort, là.
- Et merde, je rentre comment à Paris maintenant ? Il faut que j'y sois avant demain !
- Je peux toujours te faire monter sur Paris, tu contactes ton boss maintenant et il envoie une remorque pour ton chargement... Y a pas de mécano ici...
- T'as sûrement raison. Merci du service, tu me sauves la vie. Moi c'est Karim. Je vais appeler tout de suite.
Il s'éloigne pour passer son coup de fil. Et Jean l'observe. Karim doit bien faire 1,80m pour 85kg de muscles. Il porte des dockers et un jean mettant ses jambes fortes en valeur. Il porte une chemise à manches courtes noire un peu ouverte. Il remarque les tatouages sur ses avant-bras poilus. Karim raccroche enfin et se tourne vers Jean. Il fait mine de ne pas l'avoir regardé.
- C'est bon, je peux monter avec toi, il envoie du renfort pour ma livraison.
- Cool, on va pouvoir y aller alors. Mais avant, je vais aller pisser.
- Je vais faire pareil, faudrait pas qu'on s'arrête toutes les 5 minutes.
Ils se dirigent tous les deux vers les toilettes publiques de l'aire. Sans faire vraiment attention, ils se placent devant deux pissotières qui étaient côte à côte. Un peu gêné, Jean laisse Karim se déboutonner le premier. Il attrape son pénis au creux de ses jambes et le sort. Jean ne peut s'empêcher de regarder. Karim présente sa masse brune et épaisse à l'émail des toilettes. Jean reprend ses esprits et se dézippe à son tour. Il regarde son sexe, puis celui de son voisin et se dit qu'elles ne sont pas si différentes au niveau de la taille. Ils pissent tous les deux. Jean ne quitte pas le sexe de Karim du regard. Il est comme fasciné. Karim avait terminé mais gardait son pénis dans sa main. Il se décalottait lentement pour faire sortir les dernières gouttes d'urine de son sexe. Jean remarquait avec doute si son sexe n'était pas devenu un peu plus massif. Karim continue à déplacer sa peau sur la longueur de son membre, lentement. Jean se demandait s'il était toujours en train de se finir. Plus aucun doute, le sexe de Karim s'était allongé et épaissi. Jean lâche enfin son regard se rend compte qu'il bandait dur.
Karim sourit :
- Toi, ça fait longtemps que t'as pas baisé.
D'un coup, Karim range son arme et se tourne vers les lavabos. Choqué, Jean en fait de même et dit :
- Ça doit être ça ouais !
Jean sort des toilettes et se dépêche de monter dans la cabine mais ne parvient pas à oublier ce qu'il a vu. Ils s'installent, s'attachent et sont prêts à partir vers la Capitale. Quelques minutes plus tard, Karim s'endort dans son siège. Il ronfle un peu. Jean en profite pour continuer à le scruter sans se faire voir. Karim avait la tête penchée en arrière et les mains posées sur ses cuisses, écartées. Jean ne pouvait s'empêcher de fixer le massif paquet qu'il détenait entre les jambes. Il observant bien, il remarque plus tard qu'une bosse longiligne se dessinait dans son pantalon. Jean est un peu perturbé et sent son sexe durcir à son tour.
- Tu sais, si tu veux la revoir, il te suffit de demander.
Jean se remet à regarder la route, mine de rien.
- Ah, mais non, je remarquais juste que tu devais faire un rêve érotique, ha ha ! Toi aussi tu dois n'avoir rien fait depuis un moment !
- Ouais, rien depuis une semaine. Ça me démange vraiment là. Je bande sans arrêt, un rien m'excite.
Karim fixe Jean dans les yeux, et se caresse la cuisse, du genoux vers son sa bosse qui a depuis doublé de volume. Jean avale sa salive et invente.
- Tu sais dans la boîte à gants j'ai des revues porno, tu peux y aller ! Ou sinon je connais une aire ou des nanas peuvent te rendre service.
Karim l'ouvre et sort un magazine.
- Ça te dérange pas ? J'en peux plus là.
- Non, vas-y.
Karim ouvre sa braguette et sort son engin gigantesque. Il ferme les yeux. Jean se concentre pour ne pas détourner le regard de l'autoroute.
- Ça fait tellement longtemps que je ne me suis pas fait sucer... Ma femme n'aime pas du tout. Oh... ses gros seins me manquent... Oh...
C'en était trop, il fallait voir ça. Jean glisse ses yeux sur la droite et voit l'énorme sexe de Karim dans sa main, faisant des va-et-vient longs et sensuels. Elle devait au moins mesurer 22cm, la bête ! Jean a une pulsion. Il lâche le volant avec ma main droite et saisit le sexe de Karim.
- Je savais que tu pourrais pas résister... T'es pas le premier à vouloir toucher... Vas-y... Lentement, oui...
Le c'ur de Jean battait à 100 à l'heure. Il sentait la chaleur de cette queue dure et large dans sa main , et en l'agitant, la douceur de cette peau fine et veineuse. Il a une idée. La prochaine aire de repos est à moins d'un kilomètre.
- Tu t'es déjà fait sucer par un mec ?
- Je ne les compte plus, tu sais... Vous êtes tous là à parler de nanas, mais au fond tout ce qu'il vous faut c'est jouer avec la queue d'un autre. Faut pas avoir honte, on est des hommes, on n'aurait du mal à se passer de sexe, la preuve.
Jean arrête le camion dans le parking de l'aire. Sa queue va exploser dans son jean.
- Suis-moi. On va finir dans les toilettes.
L'un après l'autre, il se faufilent dans ce petit espace et ferment à clé derrière eux. Jean pousse Karim contre la paroi et passe sa main sur sa poitrine forte et musclée. Il descend et caresse le sexe de Karim à travers son jean déformé. Karim l'attrape par les épaules et lui fait faire demi-tour. Il le pousse à son tour de l'autre côté du local. Il place son bassin derrière Jean et décrit des cercles avec son sexe coincé de le tissu. Jean, surpris, ferme les yeux, et revoit les images du pénis de Karim.
- Tu la sens ? Tu la veux ? Je sais déjà que oui. Depuis l'autre aire, j'ai su qu'à un moment ou à un autre, je t'aurais laissé jouer. Ta curiosité m'a excité et maintenant on va pouvoir passer à l'acte.
Tout en se frottant, Karim emmène sa main entre les jambes de Jean. Il caresse sa queue dure et brûlante d'envie et s'amuse avec son gland au-dessus du tissu.
- C'est qu'on a affaire un gros morceau, petit cachottier...
Jean se détache de l'étreinte de Karim et se met à genoux. Il s'empresse de le déceinturer et de libérer le sexe qui envahissait ses désirs. Très vite, il l'avale. Un peu maladroit, il mord Karim à plusieurs reprise. Puis il se calme et s'ajuste à la grande taille de son première queue. Lentement, il glisse la langue sur toute la longueur de son sexe et s'amuse à imiter les femmes dans les films porno qu'il connaît. Jean se surprenait de son adresse et du plaisir qu'il prenait en suçant cette bite méditerranéenne. Karim prenait lui aussi son pied et se mit à saisir la tête de Jean pour qu'il ne devienne plus qu'un réceptacle. Karim se déhanchait profondément pour une meilleure amplitude et réenfournait son engin dans la cavité chaude et humide qu'était la bouche de Jean. Il accélère le rythme et se sent sur le point de jouir. Mais il s'arrête.
- C'est trop bon, on peut pas s'arrêter là... Je présume que tu t'es jamais fait baiser. Ne t'inquiète pas, c'est pas mon intention aujourd'hui. En revanche, toi tu vas me prendre. J'ai touché ta queue, et elle m'a l'air bien dodue. J'ai trop envie là... Tu veux ?
- L'idée m'a traversé l'esprit je dois bien t'avouer. Je me demande ce qu'une bite de cette taille me ferait... Mais ouais, si tu veux je t'encule.
Rien qu'à s'entendre parler, l'excitation de Jean a doublé. Ils abaissent tous les deux leurs pantalons, et leurs deux queues se croisent. Jean s'approche de Karim et lui saisit les fesses. Il le tire vers lui et leurs sexes entrent en contact. Jean exécute des mouvements de pénétration, en frottant son pénis contre le sien. Karim crache dans sa main et dépose sa salive sur le sexe de Jean. Il se retourne, relève un peu sa chemise et tend ses fesses. Timidement, Jean s'oriente vers l'anus velu de Karim. Il écarte ses fesses musclées et pose son gland sur l'entrée chaude et vibrante de son partenaire. Il pousse un peu et il entre en Karim.
- Oh... Ça fait du bien, ça fait longtemps qu'on m'a pas baisé. Entre complètement, mets-moi avec cette grosse queue, oui...
Jean est à la garde et son bassin est collé aux fesses de Karim. Ils soupirent tous les deux. Jean passe ses mains sous sa chemise et les remontent vers ses pectoraux. Il sent son torse velu et se rend compte que toucher ses tétons l'excite. A en entendre la respiration de Karim, ça l'excite aussi. Il ressort un peu son sexe et le pousse à nouveau à l'intérieur, plus loin cette fois. Karim lâche un râle grave en fermant les yeux et en lançant sa tête en arrière. Jean répète son mouvement, et trouve enfin son rythme. Jean improvise et tente de lui mordre et lui lécher le cou. La réaction est positive, à en sentir les contractions anales de Karim sur sa queue tendue. Avec une main, il attrape le sexe de Karim et commence à le branler rapidement.
- Oh, je vais jouir, continue, défonce-moi, oui, plus fort... Putain tu sais te servir de ta queue, toi, vas-y, je te sens plus raide, tu vas juter toi aussi, allez, viens en moi, je garderai tout, promis, oh, oh...
A ces mots, Jean ne se retient plus et se lâche entièrement au fond de Karim. Il sent Karim se contracter de plus en plus autour de sa queue et cracher à son tour tout son foutre sur la paroi. Jean sent son orifice encore plus chaud et humide que précédemment, c'était son sperme qui affluait encore vers ses entrailles.
Vannés et groggy, ils se rhabillent et sortent des toilettes.
- Ça fait longtemps qu'on m'a pas baisé comme ça... T'es un putain de bon coup ma parole. T'as tapé dans ma prostate, tu sais ? Je suis encore complètement ouvert et je dégouline. T'as dû m'en foutre au moins un litre...
- Je sais pas ce qui m'a pris, j'étais super excité. Sentir son cul serré presser et contenir ma queue, ça m'a plu. Regarde, rien que d'en parler, ça me refait bander. J'en envie de me faire prendre... Te voir comme ça, ça m'a donné des idées. Mais putain qu'est-ce que tu m'as fait !
- Je sais pas si on aura le temps, on est déjà bien à la bourre. On verra une fois sur Paris. Mais j'ai bien envie de tâter de ton cul prochainement.