Mon Oncle - 2

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Proposée le 26/07/2012 par HEClow

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Présence d'inceste!



Deux semaines s'étaient écoulées depuis l'anniversaire de Thomas, mon oncle, avec qui j'ai passé une nuit merveilleuse. Nous nous sommes passés de nombreux coups de fil et nous sommes envoyés des SMS chauds. Je n'attendais qu'une chose, le revoir. Je sortais de la fac après mon entraînement de rugby quand j'ai reçu ce message : « Salut ! Tu fais quelque chose ce soir ? J'ai fini de bosser et je vais passer un peu de temps à l'atelier. Si tu veux passer prendre l'apéro... » Je ne tenais plus. Je réponds immédiatement que je suis libre. Je dis à mes amis et coéquipiers que je n'irai pas au café ce soir et m'en vais. Je saute dans le premier bus et me dirige vers la boîte de mon oncle. Sur le trajet, je repense à notre dernière fois et un énorme sourire sur ma face se dessine. J'ai surtout une énorme érection que je tente de contenir. Je suis encore dans mon maillot, faudrait pas que ça se voie ! J'arrive devant le rideau de fer et je frappe. Le rideau s'active et remonte. La silhouette de Thomas se laisse découvrir de bas en haut. De grosses chaussures jaunes d'ouvrier, un jean troué et abîmé et un débardeur blanc tâché de graisse et de suie. Son jean est moulant malgré son état critique. Il ne s'est pas rasé depuis quelques jours. Et ses cheveux, c'est toujours pas ça. Je souris.

- Salut neveu ! Désolé, j'ai déjà fermé l'entrée principale, je peux que te faire entrer par ici. Comment tu vas ?
- Bien merci ! T'es pas présentable ! On dirait que tu sors d'une mine.
- Ouais, ouais, je reviens d'un chantier, j'ai même pas eu le temps de me changer ou de prendre une douche !
- Je trouve que ça te va bien bien.

Il referme la grille. Il s'approche de moi et descend vers mon visage. Il m'embrasse tendrement. Je vois son atelier. Une gigantesque surface avec des outils et des machines partout, et au fond, une porte qui donne sur un bureau.

- Va t'installer là-bas, je vais chercher ce qu'il nous faut. A boire, je veux dire !

Je rigole. Il revient avec deux bières et des cacahuètes. Il s'installe dans un fauteuil basique en face de moi en écartant les jambes. Son jean serré ne laisse aucun doute sur ce qu'il a entre les jambes. Son paquet bombé me défait du regard. Mon sang filait vers mon abdomen. Cette vue plus qu'appétissante me donnait de nombreuses idées.

- Alors, ton entraînement ? Tu penses t'améliorer au rugby ?
- Oui, mon coach me suit de près. Il a joué semi-pro pendant 10 ans et s'est tourné vers l'entraînement après un accident au genoux. Physiquement il nous en demande beaucoup. Je pense qu'il voudrait qu'on suive son exemple. D'ailleurs en y réfléchissant, il me fait penser à toi.
- A moi ? Pourquoi ?
- Son apparence, pour commencer. Disons que je passe un certain temps à le regarder. Il est très musclé et plutôt charmant. Il est très sympa.
- Ah... Je vois...

Je souris à l'idée de le voir un peu jaloux. Je me lève vers lui.

- Mais j'espère que tu sais que seul toi a le pouvoir de me combler. Toi et personne d'autre.

Il lève la tête et sourit timidement. C'est la première fois que je le vois perdre sa confiance en lui. Je tends ma main sur son épaule et la caresse. Je descends ma main sur son biceps gonflé et il se redresse pour me prendre dans ses bras.

- Tu m'as inquiété un moment. Tu sais, ce qu'il s'est passé dans la maison familiale, c'était très spécial. Et j'adore revivre des instants pareils avec toi.
- Je sais, ça l'était pour moi aussi.
Je laisse ma main se balader sur son débardeur sale et légèrement parfumé du musc de son labeur. Je dessine les contours de ses pectoraux avec les doigts et empoigne fermement les muscles en le regardant.

- Je crois avoir compris que tu aimais ma poitrine.
- Oui, c'est une de mes parties préférées sur ton corps. J'adore leur forme, larges et puissants. Et ces poils... Je pourrais te les caresser tous les jours.
- J'aime beaucoup les tiens aussi.

Il me retourne brusquement en me maintenant. Il m'embrasse le cou et le caresse à son tour ma poitrine à travers mon maillot. Ses mains descendent vers mon ventre puis mon sexe. Je bandais déjà très dur.

- Oh, ça faisait longtemps.

Il approche son bassin du bien dans un mouvement de pénétration. Je sens une déformation me frotter les fesses.

- Je te sens aussi...

Avec une main, j'attrape son sexe à travers son jean. Cette bosse est énorme. Je bave déjà d'envie de le sentir en moi encore une fois. Il fait passer sa main dans mon short et je lâche un grand soupir. Il saisit ma queue et se met à me branler lentement. Je retourne ma tête pour l'embrasser au-dessus de mon épaule. Il glisse sa langue en moi et on échangeons un nouveau baiser humide. Les poils de sa barbe me chatouillent un peu. Je sors de son étreinte et fais un demi pas en arrière. Je prends le temps de l'observer. Son jean va craquer. Je reviens vers lui et retire les deux bretelles de son débardeur sous ses bras. Ses tétons apparaissent sous mes yeux. Je m'empresse d'en avaler un, de lui lécher comme jamais. Il lance sa tête en arrière et soupire. Avant de passer à l'autre, je m'attarde sur son sternum et lèche sa toison d'homme. Je soulève et de ses bras et hume longtemps l'odeur qui s'en dégage. J'ai soudain la tête qui tourne, comme défoncé pas ses phéromones. Je sors ma langue et la passe sous son aisselle. Je m'abaisse pour me mettre à genoux. Je suis devant son pénis, et je n'ai qu'une envie, le revoir. Lentement, je le déboutonne et mets à jour son boxer blanc. J'y suis presque. Je pouvais voir une tâche humide à l'extrémité de la protubérance que créait sa queue. Il avait commencé à mouiller. Il me voulait, moi. J'abaisse l'élastique et la bête reprend vie à l'air libre. Un long cylindre, parcouru en tout point par de vives veines, se présente à moi. Une goutte apparaît en son bout. Un coup rapide, je la lèche. Je fais le tour de son gland avec ma langue et il se met à haleter. J'ouvre grand ma bouche et englobe son sexe en prenant soin de déposer beaucoup de salive. Toujours agenouillé, je le pousse vers son fauteuil. Je continue ma fellation en caressant son corps, ses poils, ses muscles. Lui a saisi mon crâne et accompagne mes mouvements du bas vers le haut. Par moments, il attrape mes cheveux en une touffe et force le geste en accélérant la cadence, mais toujours dans la douceur.

- Qu'est-ce que tu suces bien... Continue, oui... Tu aimes ma queue, hein ? Oui... Prends-là au fond de la bouche... Arrête... Arrête, sinon je vais jouir et je pourrai pas te faire du bien à ton tour.

Il se lève, la queue pointée vers le ciel et me pousse à son tour, vers son bureau. D'un coup, il me fait une place en poussant les objets qui s'y trouvaient. Je m'assois et il me fait basculer sur le dos. Il abaisse mon short et mon boxer et c'est à ma queue de faire son entrée. Mon gland brillait avec tout le liquide séminal que j'ai produit. Il me branle fort et rapidement et je me mets à respirer rapidement. Sans que je n'ai eu le temps de le voir, il m'avait déjà pris en bouche. Il me suce de plus en plus rapidement et je me sens de plus en plus chaud. Oui, c'est ça, je vais jouir. Je tente de pousser sa tête pour lui faire comprendre mais il ne s'arrête pas. Il accélère ses mouvements et mon corps est comme paralysé. Je crie et je me vide dans sa bouche. Je ne le vois pas se redresser. Il a tout avalé. Il descend vers moi et m'embrasse. Je sens le goût salé de mon sperme s'échanger entre nos langues. Je souris en me regardant. Il lève mes jambes et disparaît de nouveau. Je sens une chaleur humide sur mon anus. Il a décidé de me lécher le cul. Je me tords dans tous les sens entre l'expertise de sa langue et les doigts qu'il introduit en moi. Puis il s'arrête. Il retire son débardeur et tiens son sexe entre ses mains.

- T'es prêt ? J'en meurs d'envie, je vois que toi aussi.
- Oh oui, j'attends que ça, prends-moi vite... Fais-moi goûter ta queue encore une fois.

Il fait d'abord entrer son gland chaud et imbibé de mouille dans mon anneau. Centimètre par centimètre, il déforme mon trou. Je n'ai pas mal. Faut dire que depuis l'autre fois, je me suis masturbé l'anus plus d'une fois par jour. Je voulais être prêt à le recevoir à nouveau. Il a inséré la totalité de sa queue en moi. Nous lâchons tous les deux un grand soupir et nous sourions. Il effectue le mouvement inverse et sors de moi. Il prend son sexe et le frotte contre mon cul, comme pour jouer avec ma patience. Il pousse à nouveau, plus rapidement cette fois. Il reste en moi et fait de petits mouvements circulaires avec son bassin.

- Fais-moi l'amour !

J'attrape ses gros bras et enserre mes jambes au-dessus de ses fesses. Il s'allonge sur moi sur son bureau et vient m'embrasser. Il place ses bras sous mon corps et commence à ses va-et-vient. Tendre et modéré au début, il accélère la cadence. Je suis ailleurs. Je le sens atteindre des parties non explorées de mes entrailles et je gémis.

- Plus fort, oui, plus loin, oh oui...
- Tu aimes quand ton oncle te fait l'amour ? Tu aimes que je te baise ? Tu sens ma queue au plus profond de toi ? Je vais te faire jouir encore une fois.

Je ne m'en étais pas rendu compte, mais je bandais à nouveau, et fort. Toujours loqué sur son sexe, il se redresse et me porte. Il est debout et je suis à cheval sur sa queue. Nos visages se font toujours face et mes bras sont autour de son cou. Je place ma tête dans le creux de son épaule et il se met à me faire sautiller adroitement sur toute la longueur de son sexe. Je peux voir ses biceps gonfler et dégonfler à mesure qu'il me prend. Un peu fatigué, il me laisse redescendre. Je me dirige vers l'un des murs et m'y colle. Il me suit avec un sourire en coin, avec quelques gouttes de sueur à son front et partout sur sa poitrine brillante. Nous nous faisons face. Il attrape une de mes jambes et la pose sur son avant-bras. Avec son autre main, il oriente sa bite vers mon trou béant. D'un coup de bassin maîtrisé, il remonte mon anus. Je vois des étoiles partout. Je promène mes mains sur son corps luisant et savoure le contact avec les poils sombres de ses pectoraux impressionnants. Il me mord le cou, le lèche, tout en prodiguant ses puissants assauts. Mon orifice est sur le point de brûler tellement il s'y prend bien. Je sens son membre en moi chatouiller ma prostate et je suis possédé. Je me serre contre lui et m'emplis de son odeur de mâle. Je caresse son dos mouillé par sa transpiration et j'atteins ses fesses rondes et musclées. Il m'embrasse langoureusement. Je vois son visage rougir, ses muscles se tétaniser, ses yeux se fermer, ses sourcils froncer. Le moment que j'attendais, il va jouir.

- Viens en moi, donne-moi tout, tout ton jus, mon cul va te boire, totalement. Vas-y, crache tout, je veux sentir ta chaleur au fond de moi.
- Oui, je vais jouir, laisse-moi te remplir de mon sperme, te gicler dedans... Je...

Il a commencé. Je sens ses pénétrations de plus en plus chaudes et plus lubrifiées. Son sperme recouvrait maintenant son sexe et avait tapissé mon cul. Je sens d'autres vagues de jus en moi ainsi que les pulsations de son grand membre. Je m'empressais de me masturber pour jouir avec lui et au bout de quelques secondes, ce fut chose faite. Mes jets ont atteint nos poitrines. Les contractions de mon anus étaient tellement puissantes qu'elles ont fait réagir mon oncle qui était encore dur et profondément inséré en moi. Mon trou assoiffé reçoit une seconde éjaculation puissante et fumante des restes des ses testicules. Je me sens satisfait et complètement humide et ruiné. J'apprécie encore quelques instants cette sensation de remplissage.

- Tu m'as encore vidé.
- Ouais, et j'ai encore tout avalé. Tu m'as encore fait l'amour comme un dieu. Si ça continue je ne vais pas pouvoir me passer de toi. D'ailleurs j'ai encore envie de toi.
- Oh mon grand, moi aussi j'ai envie. Je veux te prendre de toutes les façons qui existent, je veux te voir jouir jusqu'au plafond, te faire pleurer de plaisir.

Je fais tomber ma tête dans son cou, simplement épuisé. Il me prend dans ses bras musclés et me serre fort.