Le chemin de Jacques : 4- Les petites Anglaises

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Proposée le 23/07/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques a été initié sexuellement par une femme mature. Son travail le fera voyager dans le monde. Après un premier poste en France et un séjour aux USA?



4. Les petites Anglaises

Je ne suis resté que trois mois aux Etats-Unis, trois superbes mois que j'ai passés avec cette jolie black prénommée Annette. Notre activité favorite était de faire l'amour ensemble dans son appartement sans aucun vis-à-vis. Nous aimions nous tenir enlacés nus, l'un contre l'autre à contempler la ville de New-York illuminée à nos pieds. Sans même nous regarder, face aux lumières de la ville, nous faisions courir nos mains sur nos corps.


Je passais ensuite deux ans en Angleterre où j'eus trois copines successives sans grand éclat. C'est surtout qu'elles étaient très réservées, parfois même pudibondes ou prudes en matière de nudité des corps et peu enclines à prendre du plaisir librement dans la sexualité. Grâce à l'enseignement de mon initiatrice, Sylvie je réussissais tout de même à les faire plier avec douceur et patience vers la pente des délices de l'amour.

La première, Sian, aimait se blottir entre mes bras. L'attirance qu'elle avait pour moi me permit de la mettre dans mon lit avec assez de facilité. Lors des ébats elle restait passive et me laissait visiter son corps sans m'offrir la pareille. Cependant, j'embrassais ses seins, je léchais son abricot comme l'aurait fait un aveugle, puisqu'elle ne se donnait que si l'obscurité était totale. Je me disais que cette pudeur allait s'estomper rapidement.

« Une femme qui se donne, qui accepte qu'on lèche son sexe, qui accepte que j'entre en elle et qui jouit entre mes bras me livrera la beauté de son corps en pleine lumière d'ici peu. »

Je me trompais, car après plusieurs douces et chaudes rencontres, elle ne supportait toujours pas que je regarde son corps nu en pleine lumière, elle le recouvrait toujours d'un drap. Juste pouvais-je apercevoir son petit cul lorsqu'elle quittait le lit. Autrement, elle s'y prenait fort bien pour ne rien montrer lorsqu'elle me rejoignait sous mes draps, lorsqu'elle sortait de la salle de bain, qu'elle s'habillait ou se déshabillait.

J'étais très frustré de ce comportement et je lui en fis part, un jour que je la rejoignais dans la cuisine, elle portant un peignoir et moi, étant resté nu :
- Pourquoi ne veux-tu jamais être nue ?
- Je n'aime pas mon corps.
- Laisse-moi te regarder, je suis certains que tu es très belle.
- Non, arrête. Je n'aime pas me montrer nue devant les autres.
- Mais, je ne suis pas les autres. Je suis ton copain, je te fais l'amour et ton corps je le parcours chaque nuit. Je ne vois pas ce qui te gêne. Regardes, moi je suis nu, je n'ai aucune pudeur vis-à-vis de toi.
- Oui, mais tu es un mec.
Je ne pus rien tirer d'autre d'elle.

Un jour elle invita à diner son frère et la femme de celui-ci, une Américaine.
- Je te préviens, ils sont puritains. Mon frère me reproche de vivre avec un garçon sans être mariée. Mais comme il n'est que de passage ici, je ne peux pas faire autrement que de l'inviter. Et je veux qu'il voie avec qui je vis, même si cela ne lui plait pas.

Spencer, le frère de ma copine était réservé dans ses paroles et fit bonne figure lorsqu'il me vit, même si les relations que je partageais avec sa s'ur ne ravissaient pas. Anita, son épouse était une belle jeune femme, les cheveux bruns bouclés, un visage un peu anguleux. Elle paraissait belle, mais malheureusement elle ne mettait pas en valeur ses charmes. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle arrive dépoitraillée, mais tout de même, par cette chaude soirée d'été j'augurais des habits dévoilant un peu plus de peau. Tandis que là, on ne voyait que la tête, les mains et les mollets : tout le reste était dissimulé sous le tissu de ses habits et par l'ampleur de ceux-ci, les formes de son corps n'étaient pas perceptibles.

Je ne sais plus comment la discussion est venue sur le thème de la couverture d'un magasine destiné aux jeunes parents publié aux Etats-Unis.
- La photo de couverture d'un numéro, commença Anita, m'a vraiment choquée. Elle montrait un bébé en train de téter le sein de sa mère.
- C'est pourtant, dis-je, le geste le plus naturel du monde depuis la nuit des temps.
- C'est tout de même un sein nu qu'on voyait. C'était un sein pleinement exposé, c'est-à-dire montrant le téton ou l'aréole. J'estime que ça portait atteinte à notre pudeur de femme. Et en plus l'enfant contre ce sein' Je le dis c'était choquant et révoltant. Jamais je n'aurais osé acheter ce magazine à la vue de tous.
- Pour ma part, la vue d'une photo montrant une femme donnant le sein me procure un sentiment d'apaisement, de douceur et voir même d'espoir en notre civilisation. Je me dis qu'il reste encore de belles choses sur cette planète gangrenée par la pauvreté, la pollution et le vice. Il faut associer à cette image de la mère donnant son lait à son enfant l'allégorie de l'amour maternel le plus pur et non pas, comme tu sembles le faire, l'apologie de ce qu'il y a de dégradant et de vulgaire pour la femme.
- Tout de même montrer cela à un public non averti.
- Quel public non averti. En France, dans un restaurant libre service, un jour, j'ai vu une femme avec un bébé. A un moment il a réclamé sa tété. Elle a discrètement sorti son sein et lui a donné.
- Elle se montrait ainsi à tous sans pudeur.
- C'était très discret, pas du tout d'une manière ostensible, mais naturellement.
- Elle aurait du s'isoler.
- Elle n'allait tout de même pas aller allaiter son bébé dans les toilettes.
- Et les autres personnes tout autour, ils n'ont pas protesté, ils n'ont pas été choqués.
- Personne n'a rien trouvé à y redire. Il y avait de nombreux clients, des femmes, des hommes, des enfants. Personne n'a été choquée.
- C'est bien la France ça ! Je ne risque pas de me mettre à poil ainsi en public.
- Si tu as un enfant un jour, tu lui donneras le sein ?
- Certainement pas. Il y a des laits pour nourrissons qui sont sans doute bien plus équilibrés que ceux de la mère. Et puis je ne sais pas si c'est bien pour un enfant de téter sa mère? J'ai l'impression que?
- Qu'il y a comme une relation incestueuse, lançais-je pour évoquer le fond de sa pensée.
- Non, je n'irais pas jusque là. Encore que ces femmes qui continuent à donner le sein à des enfants jusqu'à l'âge de 12 mois, voire plus, je me demande si parfois cela ne cache pas quelques perversions sexuelles.

J'ai fini par éclater devant ce tissu d'idioties :
- Voilà où on en est. On a tellement sexualisé la poitrine des femmes que son exposition est obscène quel que soit le contexte. Le caractère pratique, je dirais même plus, sacralisé et sain de l'allaitement maternel a disparu. Maintenant les mères ont recours à tous les types de comportements stupides pour nourrir leurs bébés. Il s'agit d'une folie totale ! L'allaitement maternel en Amérique est tellement peu commode, en raison de cette croyance absurde qu'une poitrine est obscène, que beaucoup de femmes ont simplement choisi de ne pas allaiter, en dépit du fait que l'allaitement maternel est plus sain pour leurs enfants. Ainsi, la santé de nos enfants est compromise à des fins de vanité ! Remarquez, en Europe ce n'est pas bien mieux. La poitrine d'une femme doit retrouver sa fonction originale et primordiale, c'est en cela qu'elle ne sera que plus noble. Il faut accepter que vos seins soient là pour nourrir vos enfants et ne plus les considérer comme uniquement des objets de luxure et de plaisir pour nous les hommes. La société devrait tout faire pour que les femmes puissent allaiter leurs bébés où, quand et comme elles veulent sans qu'elles aient besoin de se cacher.

Quelques jours plus tard, Sian me dit qu'Anita l'avait appelée.
- Elle a parlé de toi.
- Ah bon ? Qu'a-t-elle dit ?
- Que tu étais un obsédé sexuel.

J'ai quitté Sian, non parce qu'elle pensait de plus en plus, comme sa belle-s'ur que je pouvais être un obsédé, mais parce que pour moi, la relation que j'avais avec elle ne pouvait aboutir à rien de constructif.


Incontestablement, Jenny fut plus libérale puisqu'elle me laissait complaisamment admirer sa nudité. Pourtant, jamais elle ne voulut déambuler nue dans l'appartement, comme je le faisais pour l'y inciter. Elle revêtait toujours une nuisette ou une chemise. Quand en dehors de la chambre je m'insinuais sous le tissu pour flatter sa croupe ou soupeser ses seins, elle n'aimait pas beaucoup et faisait tout pour me faire cesser mes « enfantillages » comme elle disait en Français. Quant au lit, ce fut un peu le désert, tout au moins la morne plaine. Elle se laissait faire, me laissait la posséder sans éprouver le moindre désir. Lorsque je lui faisais l'amour, j'avais parfois l'impression que pour elle c'était une corvée.
- Tu n'aimes pas lorsque je te fais l'amour.
- Si, si, j'aime bien. Mais pour nous les femmes, c'est secondaire. Pour vous les hommes c'est très important, alors comme je t'aime je te laisse me faire l'amour. Ce n'est pas désagréable?
- Arrête avec ses conneries, les femmes comme les hommes sont capables de prendre du plaisir en faisant l'amour.
- Je ne crois pas. Je ne peux pas imaginer que ma mère puisse avoir des orgasmes avec mon père. Lorsqu'elle faisait l'amour c'est pour avoir des enfants.
- Et avec un amant, elle aurait pu avoir des orgasmes ?
- Mais t'es con des fois. Ma mère, ce n'est pas une pute, elle n'a jamais eu d'amant !
- Qu'en sais-tu ? On n'imagine pas que son père ou sa mère soient des chauds lapins et pourtant c'est parfois la réalité.
- Non, ma mère a été la femme d'un seul homme.
- En es-tu bien certaine.
- J'en suis persuadée.

Je réussis tout de même à la faire jouir. Elle n'explosa pas dans une jouissance extraordinaire mais tout de même il s'agissait bien d'un orgasme et il n'était pas simulé. Je pensais que cette découverte du plaisir allait permettre à Jenny de se donner en oubliant cette croyance que la jouissance ne pouvait être que pour les hommes.

Ce fut tout le contraire. Jenny me fit la gueule après cette nuit.
- Tu m'as prise par surprise. Je ne sais pas comment tu as fait.
- Mais c'est naturel, tu as joui ma chérie.
- Non, j'ai été dans les vapes pendant' je ne sais pas pendant combien de temps, et qui sait ce que tu m'as fait pendant que j'étais inconsciente.

Par la suite nos rapports furent un désastre complet. Elle n'avait jamais été si fermée, si tendue sous mes doigts. Elle me laissait la pénétrer sans faire le moindre mouvement. Je suis persuadée qu'elle se maîtrisait pour éviter d'avoir un nouvel orgasme. Tant et si bien que je ne prenais plus aucun plaisir à faire l'amour avec elle. Je la quittai à regret sans avoir pu discuter sérieusement avec elle.



Quant à Tanya, ma troisième et dernière amante d'outre-manche, elle m'acceptait comme amant, mais sous certaines conditions. Elle me parut tout d'abord assez coincée. Je n'eus droit à des fellations de brève durée qu'après une longue insistance. Elle prenait ma queue sans souillure (pas une goutte de sperme ni de cyprine), récurée dans la minute qui précédait l'action, au début de l'érection et bien entendue, jamais totale. Elle n'a pas même voulu gouter mon sperme recueillit sur le bout de mes doigts. Pour approcher ma bouche de son sexe, cela demanda beaucoup de temps. Elle refusait d'ouvrir les jambes ressentant une véritable pudeur à ce que puisse regarder de prêt ses muqueuses intimes, que je vois sa fente ouverte, que je découvre son clitoris et que j'envisage l'entrée obscure de son con humide.

Quand arriva le moment de la pénétrer, elle me dit :
- Non, pas par devant.
- Tu veux que je te prenne en levrette ?
- Non, je veux arriver vierge au mariage. Prends-moi par le cul.
Je restai interdit pendant un petit moment.
« Si elle veut que je la sodomise, je ne vais pas refuser », pensais-je, « mais, est-ce bien cela qu'elle veut ? »
- Tu es certaine, tu veux que je te sodomise.
- Oui, dans le cul il n'y a pas d'hymen, tandis que pour le vagin'
- C'est la première fois ?
- Non, déjà avec mon copain d'avant, on a fait comme-ça. Ce n'est pas que j'adore particulièrement, mais vous, les mecs, vous ne prenez votre pied que si vous entrez dans la fille.
- Tu n'y prends aucun plaisir, vraiment ?
- Si tu t'y prends bien, peut-être que je prendrais du plaisir.

Donc je l'ai sodomisée et elle a joui. Je pris d'infinies précautions en lui lubrifiant et en préparant son petit trou. Je voulais qu'elle puisse ressentir du plaisir alors que je serais en elle et qu'elle conçoive cette pratique comme jouissive et non pas comme une obligation par laquelle elle était obligée de passer pour satisfaire les hommes sans perdre sa virginité. Lorsque mon gland perfora l'entrée, je sentis qu'elle n'était pas étroite, mais assez détendue, d'où une introduction assez aisée. Elle n'a pas geint un seul instant alors que ma colonne de chair entrait dans son anus. Une fois bien en place, j'ai commencé à faire des petits va-et-vient, léger d'abord, puis avec un petit peu plus d'amplitude. J'entendais la respiration de ma partenaire s'accélérer. Lorsqu'elle poussa un gueulement je savais que ce n'était pas de la douleur, mais de la jouissance. Elle accompagnait mes mouvements de cris étouffés, puis je l'entendis dire :
- Yes ! Yes ! Go ! Oh Yes ! oh my God'
Elle eut un orgasme fulgurant qui l'anéantit sur le lit. Je me suis retiré de son cul béant, j'ai quitté mon préservatif (french condom pour les Anglais, capote anglaise pour les Français), j'ai retourné le corps pantelant de la belle sodomisée et je me suis branlé pour éjaculer sur ses seins, une privauté qu'elle avait fini par accepter.

Elle m'a avoué après de premier round :
- Jacques, jamais je n'ai joui ainsi lorsqu'on m'a prise par le cul.
Après, je l'ai sodomisé de nombreuses fois puisque c'était la seule possibilité d'être en elle. Pourquoi voulait-elle donc garder sa satanée virginité ? Pour un époux qui lui ne se sera pas privé d'aller déflorer des cons vierges. A une époque, en Angleterre cela avait encore de la valeur dans certains milieux. Lorsque la princesse Diana s'est mariée avec le prince Charles, elle avait subi un examen gynécologique pour vérifier qu'elle était bien vierge. Pour du mariage de William et de Kate, s'il y avait eu un tel examen, elle aurait été recalée : ils n'avaient pas que sucer de la glace en ce regardant dans le blanc des yeux avant le mariage ces deux-là et ils ont eu bien raison.

Elle était beaucoup moins pudique que Sian ou Jenny, puisqu'elle ne chercha jamais à dissimuler son anatomie. Elle était très belle d'ailleurs, avec une poitrine ronde et charnue, les pointes de ses seins bien relevées. Son ventre était plat et musclé, sans la moindre once de graisse. Sa chatte était partiellement rasée, type maillot, laissant une belle quantité de poil brun qu'elle égalisait aux ciseaux. Son sexe était totalement caché par cette toison soyeuse dont elle prenait un soin extrême. Pourtant, lorsqu'il s'ouvrait, c'est tout un paysage merveilleux qui apparaissait, comme une vallée secrète enfouie dans une forêt vierge. Il m'était donné de la découvrir et bien que je ne déteste pas les chattes poilues, je peux dire que ma mission d'explorateur n'était pas des plus faciles.

Il était fréquent que nous passion des week-end totalement nus tous les deux dans son appartement sans vis-à-vis. Elle aimait être nue avec moi. Cet état de nudité était d'ailleurs une découverte pour elle :
- Avant de te connaître, je n'aurais pas imaginé rester nue une journée entière chez moi.
- Même pour faire ta gym, tous les matins, tu t'habillais.
- Oui. Je reconnais que c'est con, car finalement je salissais des vêtements totalement inutilement. Maintenant de sue à poil et une seule douche permet que tout rentre dans l'ordre : moins de lessive.

Oui, le seul problème avec Tanya, c'était le fait que la seule introduction qu'elle acceptât soit la sodomie. J'aime beaucoup visiter le puits secret entre les fesses de mes partenaires, mais ce n'est pas non plus une fin en soit. Dans notre relation sexuelle, moi j'étais demandeur et elle acceptait de me donner le minimum, même si son cul peut sembler le maximum qu'une femme puisse offrir à un homme. Lorsque je lui faisais l'amour, je la menais à la jouissance, elle avait des orgasmes et elle semblait prendre du plaisir. Seulement, malgré la douceur que je déployais, la tendresse de je dégageais, l'amour (qui n'était pas feint) que je lui témoignais, il me semble qu'elle ne me fit jamais totalement confiance.


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