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Proposée le 18/07/2012 par UNPEUPLIER
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Samedi matin.
Ma mère s'est levée tôt. Après le petit-déjeuner, elle termine sa toilette.
- Je vais faire les courses. Laurent doit arriver dans la matinée. Dis lui de me téléphoner pour me préciser s'il veut déjeuner avec nous ce midi. Ce soir, je compte sur lui, bien entendu.
- OK, Maman. A tout à l'heure.
Cette allusion discrète à la soirée avec Laurent me laisse présager qu'elle accèdera à sa demande. Il est vrai qu'avant mon accident, presque tous les week-end, Laurent passait en trombe à l'appartement, allait aussitôt déjeuner avec ses amis et passait la plupart du temps ses soirées du samedi soir avec eux. Il ne nous consacrait vraiment que le dimanche, avant de repartir vers Lyon.
Je constate aussi que contrairement aux autres samedis, Maman s'est habillée comme pour aller au travail, c'est-à-dire de manière chic, son poste exigeant un certain look, alors qu'habituellement, le week-end, sa tenue est plus décontractée. Bizarre !
Vers 10 heures, Laurent débarque de son train.
- Comment vas-tu ?
- Bien, bien. Maman demande si tu déjeunes ce midi avec nous. Par contre elle compte absolument sur toi pour le dîner de ce soir.
- Oui, ce midi je reste ici. Et pour après, c'est toi qui doit me dire comment va se passer la soirée.
- Téléphone lui pour ce midi, car elle fait ses achats en conséquence.
Laurent appelle donc notre mère sur son portable. C'est d'accord pour le déjeuner. Il lui confirme aussi qu'il passera la soirée avec nous. Ma mère lui parle longuement ensuite. Il acquiesce en émettant quelques "oui". Il raccroche enfin.
- Que t'a-t-elle dit pour ce soir.
- Qu'elle essaye de nous faire passer une soirée agréable et que sera peut-être la dernière fois qu'elle pourra être aussi proche de ses enfants, que le temps qui s'écoule nous change et qu'on ne peut pas malheureusement jouer aux mêmes jeux toute sa vie. J'ai l'impression que tu lui as parlé de ma demande.
- Oui, mais elle n'a dit ni oui, ni non.
- Avec ce qu'elle m'a dit au téléphone, j'ai l'impression que ce sera oui. Putain, je suis excité.
- On verra bien, dis-je en prenant l'air le plus détaché possible, mais j'avoue que ça m'excite autant que Laurent.
Je n'ai pas à évoquer avec lui les folles soirées que j'ai vécues toute cette semaine grâce à Maman, car très rapidement il désire me raconter ce qu'il a fait ces derniers jours et il se lance dans son récit. Je ne suis pas certain de pouvoir lui narrer aussi crûment les deux soirées super érotiques de ma semaine écoulée. Qu'on en juge.
- Il faut que je te raconte, ce que j'ai fait avant-hier.
- C'est à dire ? Je l'écoute donc avec intérêt et bientôt son récit me fait bander à mort.
- Eh bien, après tes douches avec Maman, tu sais, ce que tu m'as raconté la semaine dernière et parce que je fantasme sur ce qui va peut-être se passer ce soir, je suis depuis une semaine en rut permanent. Je n'arrête pas d'avoir des pensées érotiques, je bande 50 fois par jour et même si je me soulage en me branlant, ça recommence deux heures après.
- Eh ben dit donc !
- Mon fantasme est vachement puissant. En fait, je ne rêve que de femmes de l'âge de Maman, entre 40 et 50 ans, les Matures comme on les appelle sur les sites érotiques. Tu vois, des femmes qui ont de l'expérience, qui te dorlotent comme un enfant, qui sont un peu enveloppées, avec des bons nichons et un cul un peu gros, mais pas trop tout de même, comme Maman. J'ai passé une nuit sur des sites pornos, à regarder des photos ou des vidéo de femmes matures qui se tapent des ados, à aller voir les annonces des escorts qui donnent leur âge et qui affichent leurs photos, leurs pratiques sur leur site internet.
- Alors ?
- Alors, mercredi matin en quittant mon immeuble en même temps qu'un voisin nous croisons une femme d'une quarantaine d'années assez belle, un peu forte, assez grande et plutôt bien habillée. Elle sort de l'immeuble d'à côté. Le voisin me dit, quand elle s'est un peu éloignée, que c'est une escort qui habite là et qui reçoit des clients l'après-midi dans son appartement. Je lui dis qu'elle n'a pas l'air trop moche. Il me répond avec enthousiasme qu'il la trouve très belle. A croire qu'il a été déjà lui rendre visite. Du coup je n'ai qu'une idée, c'est aller la voir. Comme j'ai fait un peu d'économies en donnant des cours à des gamins de 3ème, je pense que je peux me payer cette femme. Mais je n'ai pas ses coordonnées. J'ai donc fait le guet à partir de 14h30 en face de son immeuble. Au bout d'une demi-heure, je vois un type qui arrive devant la porte, qui vérifie le numéro, sort son téléphone et appelle. Quand il a une réponse, il tape quelques touches sur le digicode, regarde à droite et à gauche et franchit rapidement la porte. Je me dis qu'il faut que j'ai le culot de l'aborder à sa sortie en espérant qu'il est venu voir cette dame. Je continue mon pied de grue et une heure après, environ le type sort en regardant encore de chaque côté. Je me dis que ça doit être le bon client.
- Donc ?
- Je fonce vers le bonhomme avant qu'il ne disparaisse. Je l'aborde poliment en m'excusant d'être aussi indiscret et je lui demande aussi sec, s'il ne sort pas de chez une dame qui habite l'immeuble et qui reçoit des messieurs. Il est un peu choqué, mais heureusement ça le fait rapidement sourire. J'ai de la chance, il est cool. Il me répond que c'est le cas. Je lui raconte un bobard, comme quoi j'ai fait le pari avec des copains que je ramènerai le n° de téléphone de cette personne. Il est sympa, regarde sur son portable et me donne un numéro. Il ajoute même que si je veux qu'on lui fasse une visite ensemble, il serait partant et il me donne aussi son propre numéro que j'enregistre sur mon clavier.
- T'as eu du bol. Alors tu l'as appelée.
- Ben oui, j'ai fantasmé encore toute la soirée. Je décide de sécher les cours jeudi après-midi et je l'appelle vers 14h. Elle décroche tout de suite. Je lui dis que j'aimerais bien la rencontrer dans l'après-midi Elle répond que c'est possible. Elle me demande si je connais les conditions. Pas vraiment lui dis-je. Elle me répond que c'est 200 euros pour une heure, mais qu'elle n'est pas à 1/4 d'heure près. Je dis OK, car c'est le prix moyen que j'ai trouvé sur Internet. Elle me demande mon âge. Je le lui donne. Elle me demande si je peux venir dans l'heure qui suit en me précisant sa rue et son quartier. Je réponds oui, que je suis justement tout près. Elle me dit alors qu'elle me demande ça parce qu'elle est avec une amie qui a un faible pour les jeunes hommes et qui, si je lui plaisais, pourrait rester avec nous pour s'amuser à trois. Je ne te dis pas dans quel état cela m'a mis. Je lui demande tout de même s'il y aura un supplément, même si j'étais aussitôt décidé à payer plus cher devant cette opportunité. Tu parles. Deux femmes à la fois ! Elle me répond que son amie fait cela pour son plaisir et qu'elle ne réclame rien.
- Veinard. Alors, la suite ?
- On prend donc rendez-vous à 16h. Je passe une heure dans les transes. A moins cinq je descends et je la rappelle. Elle m'indique la boutique de fleurs qui est juste en face, je dois garder mon portable allumé. En trente secondes je suis devant le fleuriste, elle me donne le numéro de son immeuble que je connais déjà, mais surtout le code de la porte et l'étage. Une fois entré, plutôt que de prendre l'ascenseur, je monte les trois étages à pied. Je t'avoue que depuis le moment où j'ai fait son numéro jusqu'à ce que j'arrive à son étage, je sens mes jambes de plus en plus molles et j'ai le c'ur qui bat à toute vitesse.
- C'était la première fois que tu allais voir quelqu'un en payant ?
- Oui et c'est bizarre d'être comme ça ému et très excité par une inconnue qu'on n'a jamais vue et qui peut décevoir. Bref quand j'arrive à l'étage, une porte s'entrouvre légèrement et une voix murmure " Laurent ?". J'avais donné mon prénom au téléphone. Je réponds "oui" et elle me fait entrer dans un vestibule assez sombre, puis dans un salon bien éclairée par la rue, mais avec des rideaux qui cachent la vue. La femme qui me reçoit est grande, elle me dépasse, blonde avec un très joli sourire qui me met à l'aise. Elle est peut-être un peu plus âgée que Maman et un peu plus grosse, mais pas énorme. Elle est habillée simplement, pas spécialement sexy, comme je l'imaginais un peu. Elle me fait la bise, que je lui rends et me présente à sa copine. Celle-ci est plutôt brune, avec des cheveux courts, des yeux bleus, juste un nez un peu en coin, comme si elle avait eu un accident en cognant le pare-brise. Elle est plutôt mince et quand elle se lève de son fauteuil, elle paraît plus petite que son amie. J'ai oublié son prénom que j'avais mal entendu, la maîtresse de maison s'appelle Séverine. On se fait la bise également.
- Comment le trouves-tu ? Demande donc Séverine.
- Plutôt sympa lui répond la brune. Je sens que je vais rester.
- Du coup, je dis "Merci". Séverine me propose quelque chose à boire, elle a du coca et m'en verse un verre. Pour ne plus en parler, elle me propose de lui régler tout de suite les 200 euros et me dit qu'on a le temps jusque 17h30 au moins. On discute quelques minutes, elles me demandent ce que je fais, me questionnent un peu sur mes études, parlent surtout du mauvais temps et de la pluie qui tombe presque tous les jours et alors que mon émotion et mon excitation sont un peu retombées, Séverine me propose de passer aux choses sérieuses.
- Tu peux te déshabiller, mets tes affaires sur la chaise. N'aie pas peur, on ne va pas te manger, enfin pas trop.
- Je commence à me déshabiller lentement, tandis qu'elles ne bougent pas du canapé, me regardant en souriant. J'enlève ma veste, mon pull, ma chemise, les chaussures, les chaussettes aussi et j'attends un peu. J'étais un peu gêné. Elle m'invite à enlever le reste. J'enlève donc mon pantalon. Elles me félicitent à propos de mon boxer rouge que j'avais mis et me disent de l'enlever. Je suis nu comme un ver, et bien sûr j'ai déjà la trique. Elles me complimentent, disant que ma queue est très belle. Même si ça n'est pas toujours vrai, ça fait plaisir.
- Et elles alors ?
- Séverine me dit de la suivre dans la salle de bains, sa copine nous suit. Elle me fait asseoir sur un bidet qu'elle remplit d'eau tiède, elle se met sur un tabouret face à moi et commence à me savonner la queue, les bourses, les fesses. C'était très agréable et je lui demande de ralentir un peu ses mouvements pour m'éviter de jouir trop vite. Elle me rince et sa copine prend une serviette propre pour me sécher. Il faut avouer qu'être à poil, devant deux "bourgeoises" bien habillées qui vous font une toilette intime, ce n'est pas banal et drôlement bandant.
- Ensuite ?
- Séverine m'accompagne dans une belle chambre à coucher avec un grand lit, recouvert d'un drap propre.
- Installe-toi sur le lit me dit-elle, nous faisons notre petite toilette et nous arrivons. Pour calmer mon impatience, elle allume une télé qui diffuse sans doute un DVD, car c'est un porno où un jeune mec se fait longuement sucer la bite par une belle rousse et autre mec, qui se roulent un patin toutes les trente secondes, avant de resucer le jeune. La suite, je ne l'ai pas vue, car quand elles sont rentrées dans la chambre, j'ai aussitôt oublié de regarder la télé.
- Elles s'étaient déshabillées ?
- Presque. Séverine avait encore un bustier qui remontait les seins, mais en laissant les tétons à l'air. Il s'arrêtait au niveau du ventre, avec des jarretelles qui retenaient des bas. Elle avait les fesses et la chatte totalement rasée, à l'air. Elle n'était pas vraiment grosse, disons confortable. La copine avait enlevé son soutif, elle avait des gros seins qui restaient très fermes. Elle portait juste un porte-jarretelles, sans bas et une espèce de déshabillé transparent qui ne cachait rien. Elle était, et elle l'est sans doute encore deux jours après, très bien foutue. Sa foufoune est rasée aussi.
- A nous, ont-elles dit en s'installant sur le lit, l'une à ma droite, l'autre à ma gauche. Tu veux que je te décrive ce que nous avons fait ?
- Et comment donc !
- Attends, car rien que d'y penser je bande très dur.
Et Laurent se lève du fauteuil pour fourrager dans son jean, remonter sa bite qui était coincée. Il se sent plus à l'aise et reprend son récit. Entre parenthèses, moi qui suis encore en pyjama, j'ai la queue à l'air, bien dressé à travers la braguette toujours ouverte, mais j'en ai l'habitude et Laurent tout à ses souvenirs de l'avant-veille ne semble pas le remarquer.
- Pour commencer, la brune vient mettre ses seins à hauteur de ma bite et commence à me la caresser du bout des seins, pendant que Séverine baisse un peu son bustier pour me mettre ses seins sur la figure. Comme elles sont toutes les deux bien pourvues, c'était super. J'en avais plein la bouche et même si je ne voyais pas ce qui passait à l'étage en dessous, le frottement des seins sur ma queue était super agréable. Ensuite Séverine s'est dégagée et la copine s'est installée entre mes jambes. Elle a enduit ses seins d'une huile de massage et m'a branlé entre ses nichons en me donnant de temps en temps un coup de langue sur le gland quand il était à sa portée. C'est "une cravate de notaire" m'ont-elles dit. Moi je pensais que ça s'appelait une branlette espagnole.
- Moi aussi.
- Elles m'ont dit que les deux voulaient dire la même chose. Et elles ont continué. J'avais du mal à me retenir, mais je ne voulais pas jouir trop vite. Elles m'ont rassuré. "Ne t'en fait pas. A ton âge, tu pourras remettre ça, ça va durer plus longtemps et ce sera meilleur. Laisse-toi faire, laisse-toi aller.". Quand on te dit ça, tu ne tiens pas longtemps. J'ai explosé entre les seins. Elle en a reçu sur la poitrine, sur la figure et moi sur tout le ventre. C'était vachement bon, mais un peu bref. On s'est reposé 5 à 10 minutes, pendant que la copine me caressait doucement la bite, les couilles et le ventre en faisant glisser sa main avec mon sperme. Pendant ce temps, on regardait la télé où l'un des mecs baisait la fille en levrette, en même temps il léchait la queue de son copain, puis il s'est fait enculer. Bref, j'ai à peine débandé et j'ai vite senti que ça repartait.
- Salaud, j'aurais bien voulu être là aussi. Et après ?
- La copine brune m'a emmené à la salle de bains et nous avons pris une douche ensemble. Elle m'a lavé et m'a demandé de la savonner sur la poitrine et pendant que j'y étais, elle m'a fait savonner sa chatte. Super doux? Ensuite, une fois secs on est revenu dans la chambre. Séverine avait enlevé son bustier, elle était à poil assise sur une chaise.
- Viens ici, me dit-elle. Je m'approche et quand j'arrive tout près elle me fait basculer par surprise à plat ventre sur ses genoux. Elle ajoute: "Alors, tu veux baiser ta maman.". Je ne réponds pas. Si, si, elle insiste. Quand un jeunot comme toi vient me voir, c'est parce qu'il a envie de baiser sa mère. Mais, ce n'est pas grave. Ça mérite juste une fessée.". Et elle commence à me claquer les fesses. Bon, elle ne tape pas très, très fort et je me rends compte que ce n'est pas désagréable du tout. Au bout d'une dizaine de coups, elle s'arrête. Est-ce la fessée ou le contact de ses cuisses ou les deux, mais je n'ai jamais bandé aussi fort.
- Je sens, dit-elle, que ta queue est de plus en plus dure. Tu vois, une fessée c'est un bon truc pour les jeunots qui le méritent. Qu'est-ce que tu en penses, Claire ?
- Oui, du coup, je m'en souviens, la copine s'appelait Claire. Bref Claire répond quelque chose comme : "Je suis de ton avis et d'ailleurs, quand tu auras fini, je vais m'occuper aussi de ses fesses.".
Séverine se relève et je me retrouve debout. Claire prend sa place et me place de la même manière sur ses genoux. Elle me caresse d'abord les fesses, me fait écarter les cuisses et vient m'effleurer les couilles du bout des doigts. C'est géant. Et puis, comme pour compenser cette gâterie, elle me flanque une fessée plus vigoureuse que celle de Séverine, mais même si ça me fait assez mal, j'ai plutôt envie qu'elle continue, tant c'est excitant.
- Tu t'es donc fait fesser comme un gamin, dis-je à Laurent. Maman ne nous a jamais fessés comme ça.
- Non, tu vois ce n'est pas si terrible. Tu veux la suite ?
- Et comment !
- Après ça, elles m'ont fait coucher sur le lit. Séverine a sorti d'un tiroir deux martinets et elles ont commencé à m'en donner des coups assez légers sur les cuisses et sur la bite. Puis elles m'ont fait mettre à quatre pattes pour me taper encore sur les fesses plus fort. C'est assez humiliant, mais aussi très excitant. Comme je ne me plaignais pas, elles ont tapé plus fort, jusqu'à ce que je leur demande d'arrêter. Elles m'ont félicité pour mon "courage" et m'ont donné ma "récompense". Claire a commencé à me sucer la queue, tandis que Séverine s'est littéralement assise sur ma bouche, les cuisses écartées, me demandant de la lécher. C'était très bon et ça me plaisait tellement que j'en oubliai presque ce que me faisait Claire. Comme j'avais joui peu de temps auparavant, je pouvais tenir. Ensuite on a changé de position. Séverine s'est couché sur le dos les jambes largement écartées. Claire et moi, on l'a léchée en même temps. Moi, je me suis mis au dessus de Séverine, qui du coup m'a attrapé la bite et s'est mise à me sucer et Claire me faisait face couchée à plat ventre entre les jambes de Séverine. On l'a léché chacun son tour, et on s'est roulé des patins en ayant sur la langue la mouille de Séverine qui était abondante. Je te dis pas, c'est super bon et j'aurais bien continué toute la journée à lécher, surtout que pendant ce temps là, elle s'occupait de ma bite.
- Et après ?
- Ensuite, Séverine a suggéré que je baise Claire, qui voulait bien. Elle s'est donc mise à quatre pattes, en levrette au bord du lit. Je me suis mis derrière elle, elles m'ont dit de la sucer d'abord. Elle s'est bien cambrée pour me présenter sa chatte, bien ouverte. J'ai sucé et léché comme un dingue ses deux trous et son clito. Elle m'a dit,
- C'est très bien, continue encore un peu et viens m'enfoncer ta queue bien raide.
- Donc Séverine m'a pris la queue dans la main, elle l'a recouverte d'un préservatif (y'en avait un stock sur la table de chevet) et l'a introduite tout doucement dans sa copine. J'ai commencé à la baiser. Elle est un peu serrée, c'était vachement agréable. Pendant ce temps là, Séverine s'est placée derrière moi, elle a frotté ses seins sur mon dos, son vente sur mes fesses, elle a mis ses mains sur ma poitrine et s'est mise à me pincer les tétons entre ses doigts, en me faisant un peu mal. En fait, j'ai eu l'impression que ça augmentait mon plaisir. Elle pinçait à me faire hurler et du coup je pilonnais encore plus fort Claire qui criait de ne pas m'arrêter. Sacré ambiance.
- Ah, putain, j'aurais bien voulu être là, dis-je à Laurent. J'ai la bite douloureuse à force de bander à mort, sans pouvoir la caresser. Je remarque par contre que Laurent qui bande dans son jean, a rentré sa main sous sa ceinture et doit être en train de se tripoter le gland tout en me racontant ses exploits.
- Je ne suis pas parti trop vite. Ma première éjac m'a permis de prendre mon temps. Claire, avec toujours ma queue en elle, s'est allongée à plat ventre en mettant un coussin à bonne heure pour bien présenter son cul. Je l'ai suivie en m'allongeant sur elle. Séverine est partie se mettre à quatre pattes, les cuisses bien écartées à hauteur de nos têtes et m'a demandé de la sucer, tout en baisant sa copine. Elle m'a dit que je faisais trop bien ça. J'en ai profité aussitôt et ça a été le bouquet final. J'ai éjaculé longuement. Elles ont eu l'air de jouir en même temps, mais comme ce sont des professionnelles, je n'en suis pas certain. Claire peut-être, qui n'est pas une vraie pro. Bref on s'est affalé sur le lit pendant 5 minutes avant d'émerger. Séverine avait juste retiré la capote et posé un kleenex sur ma bite.
- Et t'as pu tirer un troisième coup ?
- Non, je ne pouvais plus. Claire m'a de nouveau lavé la verge dans le bidet, mais je ne bandais plus autant. Elle m'a roulé pendant 5 minutes un vrai baiser de cinéma en me disant merci. Je me suis habillé et je suis parti. Séverine m'a dit que quand je reviendrais, il faudra que je lui demande de vérifier si Claire est disponible. C'était sympa, mais je ne peux pas me payer ces filles trop souvent. En tous cas, j'aurai des choses à appendre à mes copines.
- Super. Ça fait drôlement envie.
Laurent me propose de m'aider à m'habiller. Il est plus que 12 heures. Cela fait trois heures que Maman est partie faire des courses qu'elle expédie en général en moins de deux heures. Nous ne sommes pas inquiets, c'est une grande fille, mais nous sommes un peu étonnés. Nous évoquons encore l'après-midi de Laurent chez sa voisine. Il retrouve un ou deux détails croustillants qui manquaient à son premier récit. A peine a-t-il terminé que notre mère ouvre la porte.