Madame SIMITIS

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Proposée le 11/07/2012 par libero

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Le vrombissement du ventilateur ne parvenait pas à rafraichir l'air étouffant de l'appartement, j'avais beau ouvrir les portes fenêtres en grand, arroser la terrasse le soir comme on me l'avait conseillé rien n'y faisait, Athènes était une ville infernale pendant l'été. Depuis six mois j'étais en poste pour un grand voyagiste en Grèce et l'appartement de fonction n'était pas équipé de climatisation, au début des années 80 leur utilisation n'était pas encore très répandue. Je me retournais et me retournais dans mon lit en pensant et en repensant à Mme Catarina Simitis ma voisine du dessous, une belle divorcée de 40 ans qui régulièrement m'attendait sur le pas de la porte quand je rentrais du bureau ou de l'aéroport. Elle était très francophile et parlait un français un peu désuet avec un fort accent, toujours habillée avec soin et élégance, elle était distinguée et se targuait de connaitre beaucoup de gens de la communauté française d'Athènes.

J'étais très attiré par cette femme et je pensais que demain j'allais finalement accepter son invitation à prendre l'apéritif comme elle me l'avait proposé de nombreuse fois. Je n'avais aucune expérience avec une femme beaucoup plus âgée que moi, 17 ans de différence c'était beaucoup ! Comment me comporter ? Une relation était elle possible ? Etait-ce envisageable en Grèce un pays certainement moins ouvert à la liberté sexuelle que nous connaissions en France.

Le lendemain matin en prenant mon petit-déjeuner sur la terrasse j'aperçus Mme Simitis qui arrosait ses fleurs, elle était déjà debout. En partant pour le travail je sonnais à sa porte.
- C'est Julien du 4°, votre voisin ! Elle ouvrit la porte et m'accueillit avec un grand sourire.
- Kalimera Jeune monsieur français comment allez-vous ?
- Très bien et vous-même ?
- Ça va j'arrose mes plantes qui en ont bien besoin avec cette chaleur !
- Je voulais vous demander si nous pouvions nous voir pour boire quelque chose à l'apéritif ? je vous invite dans un endroit très sympa dans le centre a côté de mon bureau et' vous pouvez m'appeler Julien c'est mon nom.
- Très bien jeune homme j'accepte cette invitation avec grand plaisir, je dois voir une amie dans le centre nous pourrions nous retrouver sur la place syntagma?
- Venez directement me retrouver à mon bureau a 18h00 c'est à coté, vous connaissez Panelastour !
- Oui je vois, à ce soir alors, passez une bonne journée.

Je pris ma voiture pour m'engouffrer dans le trafic chaotique de la ville et tout en conduisant je pensais au culot que j'avais eu, mon esprit commença à vagabonder sur les possibilités que m'offrait ce rendez-vous.

A 18h00 précise elle se présenta à l'entrée de mon bureau
- Alors, c'est ici que vous travaillez jeune Français ? C'est très agréable cet air Conditionné, dehors le thermomètre affiche 38°.

Elle était vêtue d'un tailleur Chanel léger avec des boutons et une petite ceinture dorés, la jupe était courte, au-dessus des genoux et très cintrée, ce qui mettait en valeur sa silhouette élancée, elle tenait sa veste jetée sur son épaule, son chemisier était légèrement tendu par sa poitrine retenue par un soutien-gorge dont j'apercevais le tissu légèrement plus sombre.
- Mme Simitis, profitons de cette fraicheur avant de sortir, j'ai une bouteille de champagne au frais, elle arrive par la « valise diplomatique ».
- Pas de Mme Simitis, vous voulez me vieillir mon jeune ami, pour vous ce sera Catarina, j'insiste ! Pour le champagne ma fois ce sera avec plaisir, les bulles nous font tourner les tètes.

Etait-ce une invitation ? Elle s'assit dans le fauteuil en face de mon bureau en croisant ses jambes et mettant en valeur ses pieds chausses d'escarpins vernis avec une boucle dorée et un petit talon. Elle dégustait son champagne petit à petit tout en me faisant la conversation. Ses cheveux blonds étaient tirés en arrière par une petite queue de cheval ce qui accentuait un peu ses traits aquilins et faisait ressortir ses yeux très sombres. C'était une belle femme dont la décontraction et l'autorité naturelle me troublaient. Elle me raconta un peu de son divorce qui lui avait été très profitable, elle travaillait de temps en temps pour une société qui avait besoin de traductions et elle fréquentait la communauté française d'Athènes où elle avait de nombreux amis.

Il me fallait oser :
- Catarina, avez-vous déjà eu un amant français ?
- Bien-sûr mais certainement plus âgé que vous !

Je me levai, l'invitai à faire de même en lui prenant la main, je l'attirai vers moi un peu brusquement et j'embrassai sur la bouche. Elle me rendit mon étreinte et mon baiser qui devint rapidement passionné. Mes mains commencèrent à lui caresser les seins à travers le tissu de son chemisier en la poussant petit à petit vers le bureau où elle m'arrêta.
- Vous voulez me prendre comme ça sur votre bureau, c'est un peu cavalier jeune homme !

Je m'écartai un peu en la regardant fixement.
- Cela va être dur d'attendre je vous désire tant Catarina ! Je continuais à la vouvoyer, c'était très troublant de jouer le jeu de ce rapport formel dans cette situation scabreuse.

Elle sembla perdue dans ses pensées pendant un court instant et d'un coup se baissa, releva sa jupe autour de sa taille et s'assit sur le bord du bureau. De nouveau je m'approchai d'elle et l'embrassai avec fougue, elle se pencha en arrière en s'appuyant sur les mains, j'enfouis mon visage entre ses seins et commençai à déboutonner son chemisier et a lui palper sa poitrine à travers son soutien-gorges en dentelle. Elle se releva un instant et se pencha pour ôter sa culotte et son chemisier qui atterrirent sur le plancher, puis elle déboutonna mon pantalon, me baissa le caleçon, empoigna mon sexe et m'attirant vers elle, s'allongea complètement sur le bureau tout en relevant les jambes. Penché sur elle je lui caressais son sexe recouvert d'une toison souple, après avoir introduit un doigt je m'aperçus qu'elle n'avait pas besoin de lubrification supplémentaire et je m'introduisis dans son intimité, guidé par sa main experte. D'une main je malaxais ses fesses et de l'autre ses seins toujours retenus par son soutien-gorge tout en lui donnant de nombreux baisers humides et passionnés, nos dents s'entrechoquant doucement. Ses jambes se croisèrent dans mon dos et après quelques instants j'éjaculai en elle.

Je restai en elle quelques temps, mais sentis mon excitation revenir, mais elle se relava et commença à se rhabiller.
- Je n'ai plus l'âge de faire des galipettes sur un bureau, nous serions mieux dans un lit vous ne trouvez pas. Finissons notre champagne et allons manger quelques choses

Après avoir dîné dans un restaurant du centre-ville et passé une soirée des plus agréables, nous rentrâmes à notre domicile avec ma voiture, je la déposai devant l'immeuble en lui demandant de patienter, car je devais aller me garer. Elle m'embrassa tendrement, mais me dit de ne pas l'attendre, car elle était fatiguée et devait partir très tôt demain matin.

Effectivement le lendemain matin je m'aperçus que son appartement était vide je partais pour l'aéroport ou de nombreuses arrivées étaient prévues. Elle me téléphona au bureau dans l'après-midi en me demandant si j'étais libre le jour suivant, elle voulait me faire découvrir une plage magnifique dans le haut du Péloponnèse. Je pouvais m'arranger et bien-sûr acceptai sa proposition, rendez-vous en bas de l'immeuble à huit heures.

Elle portait un grand chapeau de paille et était vêtue d'une ample robe blanche en lin et je devinai son maillot de bain une pièce noir en dessous. Finalement je pourrais observer son corps à loisir. De grandes lunettes de soleil cachaient son regard et une partie de son visage. Après être sortis des embouteillages à la sortie d'Athènes, longé le spectacle magnifique de l'Ile de Salamine et passé le pont sur le canal de Corinthe nous nous engagions le long de la côte découpée du Péloponnèse. La mer d'un bleu profond baignait de nombreuses petites criques ou de petites plages de galets brillaient au soleil. Elle m'expliquait que son ami Manolis lui prêtait quand elle le voulait cette maison à côté d'Ermioni, situé le long d'une plage de petits galets pratiquement toujours déserte.

Après avoir ouvert le portail je garai la voiture dans le jardin sous un arbre en espérant la retrouver plus fraiche en repartant. Catarina ouvrit la porte de la petite maison qui était très modeste, nous la traversâmes pour nous retrouver de l'autre côté sur la terrasse, face à une mer d'un bleu profond et étincelante. La plage étroite de sable et galet était bordé d'arbres d'eucalyptus qui offraient une ombre et une fraicheur bienvenue.

Elle ouvrit une petite cabane d'où elle sortit deux lits de plage et un parasol, nous nous installâmes sur la plage dans un endroit qui devait être habituel, car il y avait une petite table basse et un pied pour notre parasol. Pas un nuage à l'horizon comme presque tous les jours l'été en Grèce, la plage était complètement déserte et les quelques autres habitations étaient éloignées et semblaient fermées. Le Paradis !
- On va tout de suite se baigner il fait trop chaud.
- Attention au contraste l'eau est très fraiche par ici dit-elle en enlevant sa robe son chapeau et ses lunettes.

La longueur de ses jambes était accentué par son maillot de bain une pièce qui était très échancré, sa poitrine serrée par le tissus ne semblait pas être volumineuse. Je l'ai pris par la main et en courant sur le sable brulant nous nous jetâmes à l'eau. Après quelques brasses je la rejoignis et l'embrassa avec vigueur, on avait pied et la fraicheur de l'eau faisait ressortir la pointe de ses seins sous le tissu mouillé. Elle m'échappa en riant et nagea vers le large.

Je retournai sur la plage et m'allongeai sur mon matelas en l'attendant. Je la vis sortir de l'eau et marcher vers moi de sa démarche élégante et racée.
- Maintenant je vais me faire bronzer, cela vous dérange si je retire mon maillot ? Je n'aime pas les marques de bronzage sur mon corps.
- Si ça me gêne ? Vous rigolez ! Catarina vous êtes très belle et je vais pouvoir vous regarder toute nue !
- Regardez, mais je ne veux pas le savoir.
Elle enleva son maillot et s'enduit doucement de crème, elle me demanda de l'aider sur ses omoplates qu'elle n'arrivait pas atteindre, elle déplia sa serviette sur son lit et s'allongea sur le dos en fermant les yeux de plaisir.
Je restai assis à la regarder comme bon me semblait. Sa peau déjà bronzé était légèrement cuivrée, elle devait faire de la gymnastique, car elle n'avait pas un gramme de graisse sur le corps. Ses seins de moyenne dimension avec de petites auréoles n'avait plus la fermeté d'une jeunette de 20 ans, mais ses pointes étaient proéminentes. Sa toison sombre, ce n'était pas une vraie blonde, était clairsemée et rasé sur les côtés pour suivre la forme de son maillot.
- Arrêtez de me regarder, me dit-elle en tournant la tête vers moi, elle prit son chapeau de paille dont elle se coiffa et toujours en me fixant, écarta les jambes de chaque coté de son lit, me dévoilant son intimité dans un geste impudique.
- Vous devriez retirer votre maillot, il me semble que vous êtes a l'étroit.
Elle pouvait voir, bien sûr, mon érection qui tendait mon short. Je vins m'asseoir sur le bord du lit pour observer de plus près son sexe, sa fente remontait haut sur son pubis et ses petites lèvres fripées ressortaient. Je me penchais et l'embrassai sur le ventre les cuisses et entrepris de lécher son intimité. Sous mes coups de langue elle commença à tressaillir et appuya ma tête contre elle, m'encourageant à continuer. Elle était très mouillée et n'y tenant plus, je retirai mon short et m'allongeai sur elle en la pénétrant facilement. Avec la chaleur la sueur et la crème solaire nos corps glissaient l'un contre l'autre comme si nous étions enduit d'huile, c'était une sensation très agréable.
- Julien attendez, j'ai vraiment trop chaud, je vais venir sur vous !
Je me retirai et m'allongeai sur le dos, elle remit son chapeau qui était tombé par terre et vint se positionner au-dessus de moi en écartant les jambes de chaque côté du lit. Elle empoigna mon pénis et pliant les jambes m'introduit dans son antre brulant, mes mains sur ses fesses je lui donnai le rythme. Puis elle se retourna et s'assit de nouveau sur moi en me montrant son dos fin luisant de sueur. Avec son derrière en premier plan je pouvais voir au milieu de quelques poils fins son anus étoilé où j'introduisis un doigt après l'avoir humecté avec son suc intime qui coulait abondamment autour de mon sexe. Elle se masturbait tout en accélérant le rythme appuyant sur ses pieds calés dans le sable, notre jouissance fut simultanée avec des exhortations de satisfaction.
D'un commun accord nous retournâmes nous baigner pour nous rafraichir et laver de nos liquides corporels et de la sueur qui avait envahit nos corps.

Le déjeuner fut composé de melon jaune et pastèque qu'elle avait mit dans une glacière, le tout arrosé d'un vin blanc résiné qui me fit rapidement tourner la tête, après m'être allongé sur mon matelas je m'endormis comme un bienheureux sur mon matelas.

A mon réveil je m'aperçus que j'étais seul, Catarina avait disparu, je la cherchai dans le jardin puis dans la maison ou une fraicheur bienvenue régnait. Je la trouvai dans une chambre allongée sur un grand lit où le drap blanc contrastait avec son corps nu. Elle avait entrouvert la porte fenêtre et une légère brise pénétrait dans la pièce. Elle était couchée sur le ventre légèrement penchée sur le côté les jambes entrouvertes, son sexe largement offert à mon regard. Je sentis l'excitation revenir au galop et je me penchai vers elle pour embrasser son coup gracile, elle se tourna vers moi et avec un sourire me rendit mes baisers.

Après l'avoir caressé et introduit mes doigts troglodytes en elle, Catarina se mit tête-bêche sur moi et après m'avoir léché de bas en haut elle engloutit mon pénis. De mon côté avec ma bouche et ma langue je la besognais avec ferveur, j'eus rapidement le visage couvert de son suc intime. J'avais du mal à me contrôler et avant de venir dans sa bouche je me retirai et lui demandai de se mettre à quatre pattes sur le bord du lit.
- Si vous voulez me sodomiser allez y doucement, prenez un peu de crème solaire dans mon sac.
- Où est-il ? il est resté dehors !
- Catarina je vous en supplie ne bougez pas, j'arrive.
Je retournai sur la plage le sexe dressé se ballottant de droite à gauche sans me préoccuper d'éventuels promeneurs, récupérai son sac et revint presque en courant dans la chambre. Elle était toujours en position se masturbant doucement. Je pris énormément de plaisir à lui enduire son anus avec mon doigt utilisant la crème solaire et un peu de salive.
- Mettez en aussi sur vous, ça doit bien glisser ! me dit-elle, cela ne devait pas être sa première expérience?
Je présentai mon pénis à l'entrée de son anus et poussai légèrement, à ma surprise après une petite résistance je m'introduisis assez facilement en elle, c'était délicieusement serré et après quelques va-et-vient j'étais complètement enfouie dans étroit couloir. Mes deux mains positionnées de chaque côté de sa taille je la besognais avec vigueur. De temps en temps je changeais d'orifice, mais décidément c'était plus excitent de la sodomiser. Je finis par éjaculer sur son dos où je laissai quelques traînées blanches.
- Vous les Français vous de très bons amants, me dit-elle en s'écroulant sur le lit.
- Pourquoi vos amants Grecs ne sont à la hauteur ?
- Je vous ai déjà fait un compliment n'en demandez pas trop mon cher Julien !

Dans la soirée après un diner dans une petite taverne d'Ermioni, nous rentrâmes à Athènes assez tard et je m'écroulai sur mon lit pour une nuit de sommeil réparatrice.

Nous fîmes l'amour encore occasionnellement et je dormis même deux fois avec elle dans son appartement. Quelques jours plus tard elle m'annonça qu'elle partait quelques jours chez des amis dans l'Iles de Skiathos, moi-même je dus renter à Paris pour faire un stage. A mon retour elle n'était pas encore rentrée et je ne la revis qu'à la mi-septembre. D'un commun accord tacite nos relations toujours cordiales ne furent plus que de bon voisinages jusqu'à la fin de mon séjour en Grèce.