Dépucelage anal

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 8/07/2012 par bouffareu1

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Et voilà, réussite totale. On a un nouveau p'tit cul en rodage. Marion a déboulé avec la copine à 2h du mat en sortant de boite. Toutes les deux pompettes et bien chaudes. j'étais allongé au lit en train de visionner les vidéos prises sur le vif quand elle joue à la pute pendant nos partouzes.

Elle vient direct s'allonger sur moi pour me rouler une pelle. J'aime le goût sucré de l'alcool sur ses lèvres que je suce pendant qu'elle se trémousse en emprisonnant ma queue entre ses cuisses.
Elle sont passées chez elles pour se changer et se lécher le minou pour se mettre en train. Marion, juste une robe légère qui lui laisse la chatte et le cul à l'air. la copine c'est Vaïté, un petit bijou de type Polynésienne moulée dans un short qui met en valeur ses hanches évasées et ses fesses rondes. Petits seins arrogants, longs cheveux noirs et les yeux noirs d'encre pétillants de malice. Je lis dedans tous les détails croustillants que Marion a dû lui raconter de l'apprentissage de ma bite dans son petit trou.

Elle a le rire gloussant qui annonce une belle musique pour accompagner les coups de butoir dans les reins. Autant dire que l'effeuillage est rapide. Elle sont vite en 69 à se bouffer la minette et j'ai le loisir de comparer de près les atouts en caressant.

La copine est vite rassurée et je passe les détails de la prise en main pour décrire les épisodes les plus bandants. Marion me fait monter la perle, comme elle dit si bien. Je suis allongé sur le dos, elle me suce l'anus en branlant ma queue sous le nez de l'autre qui lèche doucement la goutte de mouille sur le méat du gland. Les yeux souriants au niveau des burnes, elle me fixe. Quand elle sait que je vais lâcher du foutre, elle comprime fortement la base de la tige tout le temps des contractions anales qu'elle sent avec la langue.

J'appelle ça jouir à blanc et c'est délicieux: presque le plaisir de l'éjaculation sans lâcher trop de foutre. Elle relâche alors la pression et remonte le poignet le long de la tige pour libérer la goutte de foutre si épais qu'elle tient sur le gland.

La copine s'attendait à prendre la purée au visage et elle est enchantée de pouvoir goûter tranquillement mon sperme. Elle m'en ramène en bouche et je m'en sers pour le graissage de l'anus.

Bien sucée par Marion, la chatte est violette et le petit trou plissé presque noir, au pourtour marron. je teste du bout de la langue l'élasticité des muqueuses avant de présenter le gland.

En position levrette, la tête enfouie entre les cuisses de Marion qui assure la prise sur les hanches en écartant les globes. Je pousse doucement, sans à-coup. La petite se trémousse en serrant : "Arrête, arrête, ça fait mal !", elle gémit, pleure et la sensation est si vive au moment où le gland passe que je lâche la sauce sans enfoncer.

J'attends de débander un peu pour ne pas lui faire mal en déculant. Elle pleure et je viens lui lécher les larmes aux yeux. Elle veut aller au bidet mais on la persuade de garder le foutre en cul en serrant les fesses. L'anus est blanc baveux, il se resserre vite en palpitant et elle ne perd pas une goutte.

On cause, on boit un coup et Marion me remet rapidement la queue en position de combat. Elle teste la rigidité en se la plantant au cul. Je suis en terrain connu et elle gradue bien les secousses. Je lime la copine, allongée sur le dos, les fesses en porte à faux à l'angle du lit en maniant les tétons. Je bute en fond de chatte aux 3/4 de ma pine et sort bien bandé pour descendre d'un cran.

Cette fois, c'est la fête: elle remue bien le cul et ça rentre en douceur. j'écarte la chatte offerte à deux mains pour suivre les progrès de ma bite jusqu'à buter, les couilles contre les poils.

Le bassin est large: quand elle est debout les jambes serrées, on peut glisser à l'aise le poignet de la chatte au cul sans écarter les cuisses.

Je lime de toute ma longueur avec des passages de gland contre l'entrée. elle gémit et ronronne. De plus en plus vite jusqu'à me vider dans les reins. Elle pousse un rugissement rauque de fond de gorge quand je lâche tout. Elle me demande de continuer de la bourrer jusqu'à son orgasme, bref mais intense.

Je lui fait goûter ma queue qui ressort de son cul et on se repose.

J'appelle mon pote au petit matin car Marion réclame une bite fraiche. Elle en peut plus de désir et sait aussi que dans l'état où je suis, il me faut un ramonage anal. La petite dort, mignonne en position du foetus, rassasiée, le foutre qui lui dégouline sur les cuisses, en longues trainées blanches. Je me réveille les lèvres sur le cul de ma belle fille et elle me supplie :
- Mon papa, t'es pas en état de m'enculer mais j'ai vraiment le feu. Il me faut une bite tout de suite.
- Elle arrive, ma doudoune, tu me la guideras au cul mais tout le foutre pour toi.