Le chemin de Jacques : 2-Mes premières maîtresses

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Proposée le 6/07/2012 par CAVAL

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Résumé : Jacques a été initié aux jeux de l'amour par une femme d'âge mur.

2. Mes premières maîtresses

Lorsque j'ai eu 18 ans, j'ai décidé de partir de chez mon oncle afin de vivre ma vie. J'avais trouvé un travail dans une entreprise de Bourgogne. L'emploi n'était pas la panacée, mais il avait le mérite de m'offrir une évolution de carrière rapide si j'acceptais la mobilité qui s'y attachait. Bouger ne me faisait pas peur, bien au contraire j'avais envie de circuler en France et à l'étranger, découvrir d'autres personnes, d'autres régions, d'autres pays et qui sait me faire des copines avec qui je pourrais partager tout ce que m'avait apporté Sylvie.

Elle m'avait confié :
- Lorsque j'ai rencontré mon mari, j'étais une jeune femme coincée et bourrée de complexes. Grâce à lui je me suis découverte, comme une seconde naissance, je devenais femme à part entière. Il m'a prise comme un animal docile qui ne demande qu'à apprendre et nous avons ainsi gravi tous les stades d'une sexualité épanouie et sans tabou.
- Tu n'as connu que lui comme homme ?
- Non, il y en a eu d'autres. Ce ne fut même pas le premier, mais avant lui je n'ai eu que de piètres compagnons. Alors que j'étais en couple avec lui, avant et pendant notre mariage, j'ai eu quelques amants, mais toujours avec son accord. Par contre, je n'ai aimé que lui.
- Sait-il pour nous deux ?
- Naturellement et il trouve que c'est très bien que je m'occupe de l'éducation d'un jeune homme comme toi. Nous sommes très libres. A une époque nous visitions des clubs libertins et échangistes. Jacques, tout ce que je te montre, c'est pour que tu puisses jouir librement, mais également pour que tu puisses contenter tes partenaires. Promets-moi de t'occuper divinement de tous les sexes féminins qui s'offriront à toi.
J'ai promis à mon initiatrice et je comptais bien mettre en ?uvre mon nouveau savoir dès que possible.

Pour mon premier poste, en France, c'est mon chef qui m'offrit de loger chez lui :
- La maison est grande. Je vis avec ma femme et ma fille, mais nous n'allons pas nous marcher les uns sur les autres.
Je fus accueilli à bras ouvert par Maryse, la maîtresse de maison, une belle femme d'environ 40 ans. La fille, Audrey, me reçut cordialement, mais sans plus. C'était une jeune fille qui ne devait pas avoir 18 ans et que Proust aurait qualifié de « jeune fille en fleur ». Elle commençait à avoir de belles formes qui ne manqueraient pas de s'épanouir d'ici peu.

Les premières semaines se déroulèrent sans accrocs. Effectivement la maison était grande et j'avais près de ma chambre une salle de bain alors que les parents et la fille en avait un autre. Je mangeais à la table de cette famille dont l'accueil était fort agréable. Mais je me disais que si je souhaitais faire des rencontres, cette situation n'était pas des plus favorables. Je ne pouvais pas amener des filles et découcher risquait d'indisposer mes hôtes.

C'est alors qu'un samedi, dans la salle de bain, sortant de la douche, je me trouvais nez à nez avec Audrey. J'avais ouvert les battants transparents de la cabine de bain les yeux fermés et avais pris la serviette à tâtons. C'est après m'être séché la figure que je la vis se tenant face à moi l'air aussi surprise que moi. Je ne l'avais pas entendue entrer et elle ne s'attendait pas à m'y trouver. Je n'étais pas gêné par sa présence, mais seulement déconcerté, à tel point que je n'ai pas pensé à dissimuler ma nudité.
- Excusez-moi, dit-elle en s'éclipsant.
- C'est moi? J'aurais dû fermer le verrou.
L'oiseau s'était envolé.

L'après-midi, j'étais dans ma chambre lorsqu'on frappa.
- Oui, entrez !
C'était Audrey qui portait une tenue légère, une robe d'un seul tenant, au tissu très fin, presque transparent, sans même d'attache à la ceinture. Elle referma la porte sur elle et me dit :
- Jacques, je voudrais que vous me preniez? ma virginité.
- Mais, Audrey, vos parents ?
- Ils sont partis pour le reste de la journée. Je voudrais tellement que vous soyez le premier. Vous êtes si beau. Ce matin, dans la salle de bain, j'ai été ébloui par votre corps et votre?
Ce regard se posa sur mon entre jambe et je finis sa phrase :
- Mon sexe ?
- Oui, dit-elle dans un souffle.

Tout compte fait Audrey était très attirante et je pouvais lui faire découvrir les plaisirs de l'amour bien mieux qu'un copain de son âge qui la prendrait sans ménagement. Je savais que cette jeune vierge me demandait de la déflorer pour que cette première fois soit un souvenir inoubliable pour elle. Je me devais d'être à la hauteur et je souhaitais l'honorer de la meilleure des façons.

Après lui avoir demandé si elle le souhaitait vraiment, je la pris dans mes bras. Je fis glisser les bretelles de sa robe qui courut le long de son corps et s'échoua sur le sol. Audrey était totalement nue, elle ne portait aucun vêtement sous le tissu de son habit. Je fus charmé par la découverte de cette chair fraiche que j'admirais, tout en restant discret afin de ne pas l'effaroucher. Je l'embrassai sur la bouche ; elle tremblait d'appréhension et me rendit mon baiser. Je descendis le long de son cou et progressivement m'approchais de sa petite poitrine.
Je la pris tendrement en main et commençais à couvrir la chaire de baiser et de petits coups de langues en m'approchant progressivement de la pointe mais sans même l'effleurer. J'allais d'un globe à l'autre, partant à l'ascension du sommet, redescendant dans la vallée avant de l'avoir atteint, remontant sur l'autre versant. Je sentais sous mes doigts que la poitrine durcissait. Il était temps que j'honore les deux fruits rouges des bois bien murs qui pointaient au sommet de ses deux nichons réceptifs.

Je l'ai allongée sur le dos et me plaçant au-dessus d'elle, je glissai vers son ventre tout en gardant mes mains sur ses seins que je continuai à malaxer avec douceur. Je fis une pause sur son nombril avant de continuer mon exploration. Je stoppai à l'orée de sa chatte aux poils blonds. Je contournai ce duvet et descendis sur ses hanches apposant sur sa peau une pluie de baisers. Puis mon visage remonta vers son aine. Avec les mains, je dus lui faire desserrer les jambes qui étaient collées l'une contre l'autre. Elle se laissait faire, encore tremblante. Mais dans cette fébrilité il y avait également le plaisir qu'elle ressentait par les seules caresses que je lui prodiguais sur ses seins.

Je m'approchais de son sexe progressivement jusqu'à ce que sa fente totalement close, malgré son excitation, apparaisse au milieu de ses poils pubiens. J'ai commencé à la caresser, puis, lorsqu'elle s'entrouvrit, j'y ai mis mes lèvres, ma langue. Audrey se tendait de désir. Je voulais qu'elle ressente un maximum de sensation sans que je la pénètre, tout en sachant que je ne pourrais pas tenir longtemps. Je me dis qu'une fois en elle, c'est moi qui donnerait le tempo et que j'arriverais à la faire jouir quand je le voudrais. Je la sentais prête à accepter la jouissance. Je pris un préservatif, le déroulai le latex sur ma queue parfaitement tendue. J'ai placé mon sexe à l'entrée de son vagin. Je l'interrogeai du regard pour savoir si elle voulait toujours que je la déflore. Elle me l'a confirmé en ferment les yeux. J'ai commencé à enfoncer mon sexe en elle, très lentement et délicatement. Je sentis une légère résistance au bout de mon gland et elle émit un petit cri. Je savais que je venais de briser son hymen. Elle avait peut-être légèrement mal, mais qu'en aucun cas je ne devais interrompre ma pénétration. Pour éviter qu'elle ne souffre trop, j'allais doucement. Nonobstant je sentis que son corps tendu se relâchait et que chez elle, la souffrance s'estompait et même qu'elle se muait en plaisir. Elle dit même :
- C'est bon.
La pénétration de son vagin étroit avait quelque chose d'étrange, aussi étroit que si j'avais fait une sodomie, mais dans un conduit beaucoup plus souple, puis humide. Les plaisirs de découvrir le con d'une pucelle.

Sentant sa jouissance arriver, je l'accompagnai et éjaculai dans mon préservatif, mon sexe enfoncé en elle. Ce fut absolument divin, d'autant plus qu'Audrey paraissait avoir pris beaucoup de plaisir. J'avais donc rempli totalement le contrat que m'avait fixé mon initiatrice. Sylvie ne savait pas que j'allais déflorer une toute jeune fille, mais ses leçons pour donner du plaisir aux femmes pouvaient s'appliquer également à une pucelle. Celle-ci eut l'effronterie de me dire alors que nous étions allongés tous les deux nus sur le lit :
- J'ai 18 ans depuis une heure. Tu vois je suis majeure et à présent je suis une femme.
- Tu as donc aimée ?
- Pour une première expérience, je dois dire que tu m'as comblée. Il y a des copines qui disent que c'est un mauvais moment à passer. C'est qu'elles ne t'ont pas eu pour amant. Maintenant que je me suis débarrassée de mon hymen, on peut remettre ça.

Je ne pouvais refuser une si charmante sollicitation, tout en me disant que je pouvais peut-être lui en demander un peu plus :
- Tu veux bien me sucer ?
- Heu, d'accord, mais je ne sais pas faire, alors il faut que tu me guides.
- Ne t'inquiète pas, prends déjà ma queue dans ta main. Un peu mieux, voilà. Branle là doucement. C'est bien. Approche le visage pour lécher le gland, du bout de ta langue.
- Ca a un drôle de goût.
- C'est mauvais ?
- C'est pas très bon, mais ce n'est pas immonde.
- C'est mon sperme.
- Ah ! Je suis en train de goûter ton sperme ! Putain ! Et les copines qui en font tout un plat. Si je leur racontais ça, elles me traiteraient de salope.
- Aller, Audrey, reprend mon sexe. Lèches le sur toute sa longueur, de la base au sommet. Puis prends-le en bouche.
Elle obéissait à tous mes commandements et s'y prenait fort bien pour une débutante. Le maître y était-il peut-être pour quelque chose.

Nous avons fini en 69, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis elle me demanda une nouvelle fois de la pénétrer. Elle a tenu à m'enfiler elle-même le préservatif. Elle s'amusait de toutes ses nouveautés, sans complexe, sans gêne. Elle ne rechigna sur aucune des positions que je lui proposais, le 69, la position de la cuillère en étant allongés sur le flanc, en chien de fusil mon corps collé à celui d'Audrey, ou celle d'Andromaque en venant s'empaler sur mon sexe turgescent. J'ai pu entrer en elle en profondeurs, avec une grande d'amplitude, dans un bon nombre de positions. J'ai pris beaucoup de plaisir et crois lui en avoir donné autant.
- C'était vraiment amusant, m'avoua-t-elle, tous ces trucs à faire pour la première fois.

L'heure du retour de ses parents n'allait pas tarder. Il fallut donc se quitter. Un petit problème se posa, mon drap faisait apparaître une tache de sang. Sans se démonter, Audrey prit les choses en main. Elle était là, devant moi, totalement nue, belle, sans pudeur, à se déplacer dans la chambre. En un tour de main elle avait refait mon lit avec des draps propres et disparut toujours dans la même tenu avec dans ses mains les draps maculés de son sang et sa petite robe.

Cette liaison avec Audrey fut de courte durée finalement, car elle me dit très vite :
- Il est temps que je fasse l'amour avec son copain. Je n'ai baisé avec toi que pour m'initier en matière de sexualité et surement pas en tant qu'amante. Et puis je préférais perdre ma virginité avec toi plutôt qu'avec lui qui n'a jamais baisé une fille. Au moins l'expérience c'est moi qui l'aurait avec lui.

Je fus décontenancé par l'attitude qu'avait manifestée à mon égard Audrey. Je n'avais aucune aspiration à ce qu'elle devienne ma maîtresse attitrée, cela m'aurait d'ailleurs gêné de jouer à cache-cache avec ses parents pour vivre de doux moments avec elle. Cette rupture était presque une aubaine, même si elle me parut cavalière.

Pourtant, je n'étais pas au bout de mes surprises. Quelques jours après ma liaison avec Audrey, Maryse vint me retrouver alors que je me détendais dans le jardin de la maison. Un grand jardin arboré avec, éloigné de la maison et séparé d'elle par de grands arbres, une grande pelouse aux herbes folles.
- Jacques, me dit-elle, je ne veux pas y aller par quatre chemins. Je pourrais vous dire que le temps est beau, que le jardin est resplendissant, que la nature est belle. Tout cela est vrai, mais mon propos est tout autre. M'entendez-vous ?
- Je ne fais que cela Sylvie. Que voulez-vous me dire.
- Vous avez couché avec ma fille.
- ?
- Ne niez pas, je le sais de source sûre, en fait de sa propre bouche et je crois ma fille, surtout qu'elle m'a montré les preuves. N'ayez crainte, pour ma part je ne vous jetterai pas la pierre. Il fallait bien que quelqu'un le fasse, alors que ce soit vous ou un autre? Vous n'avez rien à dire.
- Sylvie, puisque vous savez tout et que vous n'avez rien à y redire, je ne vais pas nier ni me glorifier d'avoir pris la virginité de votre fille. Qu'elle me l'ait demandé expressément n'enlève rien à la chose.
- Oui, pour moi, je n'y vois pas de problème. Par contre, son père risque de le prendre beaucoup moins bien.
- Comment pourrait-il l'apprendre ?
- Par ma voix.
- Mais, si cela ne vous pose pas de problème que j'ai eu une relation avec votre fille, relation qui ne se renouvellera pas d'ailleurs, pourquoi ne pas le taire à son père. Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire ou même à savoir. S'il veut sa fille vierge, autant qu'il la croit réellement vierge ; ainsi tout le monde est content.
- Non, moi je n'y trouve pas mon compte.

Je ne comprenais pas ce que cherchais réellement Maryse.
« Que veut-elle de moi ? »
Je ne saisis la chose que lorsqu'elle s'exprima clairement en me disant :
- Vous avez fait l'amour à ma fille, alors que moi aussi j'ai besoin d'amour, j'ai besoin qu'on me prenne, qu'on me baise. Jacques, faites-moi l'amour, ici, dans ces grandes herbes, tout de suite et je vous assure de mon silence. Je veux que vous me caressiez, je veux votre queue au fond de moi.

Maryse tout en parlant avait exhibé sa poitrine : deux nichons, pas très gros, mais bien proportionnés apparurent. Je me retrouvai coucher avec elle parmi les herbes folles. Je n'avais pas forcément envie de cette femme mure, mais cela ne me déplaisait pas. J'avais eu la fille et maintenant j'avais la mère. La seconde avait beaucoup plus d'expérience que la première, avec tout de même plus de pudeur. Elle n'était pas du genre à se balader à poil devant son amant après avoir fait l'amour avec lui. Par contre, de corps de Maryse ne connaissait pas les tremblements de frayeur d'Audrey.

Je garde un très bon souvenir de cette mère de famille qui s'offrait à moi dans son jardin. Avant que je la prenne, elle suça mon sexe avec délectation, comme elle l'aurait fait avec un sucre d'orge. Puis c'est moi qui ai caressé son sexe, agité son clitoris et pénétré avec mes doigts son vagin.
- Prends-moi, me demanda-t-elle.
- Non, je n'ai pas de préservatifs sur moi.
Elle avait tout prévu, car elle sortit une boite de sa poche.
- Tiens, mets en un.

J'ai donné à la mère autant de plaisir qu'à la fille, bien que je me sois moins appliqué à baiser la seconde que la première. Avec la jeune il fallait que j'y aille avec précaution, pas à pas, sans l'effaroucher. Pour ce qui est le la femme mure, elle savait ce qu'elle voulait, elle savait ce qu'il l'attendait. La voie était tracée sans barrière.

Nous n'avons jamais réitéré cette séance. Elle ne m'a jamais sollicité pour profiter de mes caresses et de mon sexe qu'elle avait visiblement aimé. Pour ma part, tout comme pour la fille, je ne souhaitais pas nouer des liens plus étroits avec cette femme chez qui je logeais avec un mari très souvent présent. D'ailleurs, Maryse n'a jamais évoqué avec moi ces instants de jouissance dans les herbes folles, comme si rien n'avait existé.

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