Par pure charité

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Proposée le 4/07/2012 par Infidele

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Pour les vacances de printemps, Fabien avait réussi à prendre une semaine de congés. Chose que je n'avais pas pu me permettre ayant des dossiers importants et urgents à terminer. Nous avions décidé qu'il irait chez ses parents dans le midi avec nos enfants. J'avais accompagné ma petite famille et je rentrais le dimanche soir par le train. En entrant dans le hall de notre immeuble, je vis un jeune homme assis sur les premières marches de l'escalier. Je supposais que ce jeune homme devait être un étudiant qui devait habiter une chambre au dernier étage de notre immeuble. Tous les propriétaires des anciennes chambres de bonnes les avaient reconverties en studio pour étudiants. Il ne passait pas inaperçu, d'abord à cause de sa taille. Il devait faire près de deux mètres et était d'une carrure impressionnante. Mais aussi par le saisissant contraste entre son corps d'athlète et son visage rond, avec des petites lunettes rondes et des cheveux blonds en brosse, qui avait l'air presque enfantin. Dès que je franchis la porte d'entrée, il se leva comme soulagé de me voir.
- Bonjour, madame, est-ce que je peux vous demander un service.
- Bonjour. Bien sûr, si je peux vous aider. Qu'est-ce que je peux faire ?
- Ben, voilà. J'habite au sixième et je viens de rentrer de week-end. Et je me suis rendu compte que j'ai oublié mes clés chez mes parents. Et, en plus, mon téléphone n'a plus de batterie. Est-ce que je pourrais téléphoner de chez vous ?
- Bien sûr. Suivez-moi !
Beaucoup penseraient que je faisais une bêtise de laisser entrer un inconnu chez moi. J'avais pensé à cela mais le jeune homme n'était pas un inconnu puisque il habitait dans cet immeuble, et enfin il s'exprimait correctement avec une politesse peu fréquente de nos jours.
Il me suivit dans l'escalier en portant son gros sac de sport. Je le fis entrer et lui indiquais le téléphone. Il appela pendant que je portais ma valise dans la salle de bains. Il raccrochait quand j'entrais dans le salon. Je lui demandais :
- Alors, c'est arrangé ?
- Oui et non. Mon père a trouvé mes clés. Il a râlé mais il les apportera demain. Mais je ne sais pas où passer la nuit' Est-ce que je peux charger mon téléphone ? Je vais essayer d'appeler des copains qui pourraient m'héberger?
- Bien sûr. Il y a une prise juste à côté du fauteuil. Mais vous pouvez les appeler avec le fixe, ce n'est pas un problème.
- Merci, mais je ne connais pas les numéros de mes potes par c'ur.
Je le laissais quelques minutes pour vider ma valise pendant qu'il tentait d'appeler ses copains.
Je dois bien avouer qu'à ce moment-là, j'espérais qu'il n'obtienne pas de réponse?
Je m'étais résignée à passer une semaine seule. Par prudence, Richard ne voulait pas me rencontrer en dehors de nos déplacements à l'étranger. Yasmina était elle aussi en vacances. Je m'étais donc préparée à vivre ces quelques jours sans sexe mais le hasard venait de mettre ce beau jeune homme sur ma route. Sa présence m'électrisait' j'avais envie de me faire baiser par ce bel apollon.
D'aucun penserons que je suis une belle salope, d'ailleurs certains des lecteurs me l'ont fait comprendre. Je dois me rendre à l'évidence qu'effectivement, j'étais devenue une salope, une chienne avide de sexe depuis que j'avais trompé mon mari pour la première fois. Je baisais avec Richard environ une semaine par mois, avec Yasmina une à deux fois par semaine et tout cela ne m'empêchait nullement de baiser avec mon mari presque quotidiennement, bien au contraire. Cette semaine d'abstinence m'avait fait un peu peur et j'envisageais de me masturber pour combler ce manque? mais aujourd'hui, il y avait ce jeune étudiant dans mon salon... j'espérais qu'il ne trouve pas d'endroit où dormir cette nuit. Voilà ce qui me traversait l'esprit pendant que je rangeais mes affaires dans la salle de bains. Quand l'idée que la taille de son membre viril pouvait être en proportion de son physique? ma décision fut prise. J'allais tout tenter pour le garder avec moi ou bien l'inciter à me revoir. Je quittais mes vêtements, ne gardant que ma culotte et je me couvris juste avec un peignoir en satin saumon, qui arrivait à mi-cuisses et qui ne tenait fermé que par une ceinture. Je me fis la réflexion que si, ainsi, je n'arrivais pas à mes fins c'était à désespérer.
Je retournais dans le salon pour rejoindre le jeune homme qui m'attendait sagement.
- Alors, du nouveau ?
- Non, rien. La plupart des copains que j'ai appelé n'arriveront que demain et les autres sont avec des filles. Je suis vraiment dans la merde.
- Bon, c'est pas si grave. Je peux vous héberger pour la nuit. Il suffit que je mette des draps sur le canapé et vous pourrez dormir ici. Ce ne sera peut-être pas très confortable mais c'est tout ce que je peux faire pour vous.
- C'est vrai. C'est super mais' votre mari? il sera d'accord ?
- Mon mari est absent pour la semaine et les enfants aussi. Alors, vous acceptez ?
- Ben, je crois que je n'ai pas trop le choix. Vous êtes vraiment sympa? en fait j'ai eu de la chance de tomber sur vous.
- Il y a des jours comme ça?
Je ne pus m'empêcher de sourire.
Nous avons partagé un plat de pâtes en discutant. J'appris que mon hôte se prénommait Colin, qu'il était étudiant en première année de master. Je pensais alors amusée qu'il devait avoir la moitié de mon âge. Tout en dinant, je constatais avec délice que le regard de Colin se posait souvent dans l'ouverture de mon peignoir, juste entre mes deux seins, en haut de la profonde vallée qui les séparaient. Il devait me prendre, soit pour une totale ingénue, inconsciente de l'effet que ma tenue pouvait produire sur un homme normalement constitué, ou bien alors pour une parfaite salope, prête à se faire sauter par le premier venu. Il ne me restait plus qu'à lui montrer que la deuxième hypothèse était la plus probable.
Après le diner, je proposais un café à mon hôte qui accepta. Colin s'installa dans le canapé pendant que j'apportais les tasses et la verseuse de café sur un plateau. En versant le café fumant dans les tasses, je m'arrangeais pour prendre une position qui permettrait à son regard de pénétrer profondément dans l'ouverture de mon peignoir.
Je jetais un coup d'oeil sur son bas ventre pour me rendre compte de l'effet produit. Et l'effet était évident ! La bosse qui gonflait son jean ne laissait aucun doute.
Colin bandait. D'un coup, je me sentis presque effrayée par la taille de cette proéminence. Et je me pris à souhaiter qu'il soit effectivement en pleine érection, redoutant à présent que sa tige n'ait pas encore atteint sa taille maximale. Mais cette inquiétude passagère disparut aussi vite qu'elle était venue. Je me sentais très excitée à l'idée de profiter d'une queue de cette taille. Fabien, comme Richard, étaient l'un et l'autre membrés de façon tout à fait normale.
Au risque de passer pour une parfaite salope, ce dont, entre nous, je me fichais totalement tant j'étais accaparée par mon désir, je décidais de passer immédiatement à l'assaut de ce beau et jeune mâle. Je m'installais à côté de lui sur le canapé et je repliais mes jambes sous mes fesses. Cette position eut pour effet de dénuder totalement mes jambes déjà fort peu couvertes. Je sirotais mon café en observant discrètement Colin qui tentait de détourner son regard de mon corps. Ses joues devenaient de plus en plus rouges et je le sentais terriblement nerveux. Je remarquais le léger tremblement de sa main qui tenait la tasse et sa difficulté à déglutir chaque gorgée de café. Il arriva enfin à terminer sa tasse de café. Je lui pris des mains pour la poser sur la table basse avec la mienne. Et j'attaquais par une remarque digne d'une parfaite ingénue :
- Tu as l'air fébrile? Est-ce que tu vas bien ?
- Oui, oui, ça va mais' je? vous'
Colin bafouillait, ne sachant quoi répondre pour justifier son trouble. Je continuais en me levant :
- J'espère que ce n'est pas moi qui te mets dans cet état ?
- Ben si, un peu, vous êtes très' jolie.
- Très jolie ! humm, et comme ça qu'en penses-tu ?
Joignant le geste à la parole, j'avais dénoué la ceinture qui retenait mon peignoir fermé et je le fis glisser par terre. Colin ne répondit rien, mais me regardait les yeux exorbités, la bouche entrouverte, incapable de prononcer un seul mot. Il semblait totalement abasourdi qu'une femme s'offre ainsi à lui sans aucune forme de pudeur.
À cet instant, j'étais une chatte en chaleur, une salope, une putain vicieuse. Comme je l'avais dit à Yasmina, rien ne me faisait autant jouir que d'avoir une queue plantée dans mon ventre et la sienne, que j'imaginais grosse, longue et dure était en mesure de me procurer un plaisir extatique.
En me comportant de cette façon, en le provoquant ainsi, je n'espérais qu'une chose : Qu'il se jette sur moi, qu'il me couche en travers du canapé, ou bien sur la table basse, ou sur le sol et qu'il me baise comme une chienne. Qu'il arrache ma culotte en dentelle, frêle rempart qui protégeait si peu mon intimité. Qu'il me défonce, qu'il martyrise de son gros pieu ma foufoune inondée. Qu'il me fasse crier de plaisir et de douleur?
Mais pendant quelques secondes qui me parurent une éternité, il ne se passa rien. Colin resta assis comme paralysé devant tant d'audace, les mains posées à plat sur ses cuisses. Enfin, il se leva. Mais au lieu de se jeter sur moi comme je l'attendais, de me faire subir le viol brutal que j'espérais et que j'avais tout fait pour provoquer, il se planta devant moi, prit mes fesses à pleines mains et souleva mes petits cinquante kilos sans effort apparent. Je m'accrochais à son cou et nouais mes jambes autour de sa taille pendant qu'il m'emportait dans le couloir. Colin n'hésita pas et il entra directement dans notre chambre et me déposa en travers du lit conjugal.
Là, il quitta ses baskets et ses chaussettes, son tee-shirt et son bas de jogging. Quand il fit glisser son boxer distendu, je vis apparaître l'objet de mon désir : Sa belle queue tendue, gonflée, le gland décalotté pointait vers moi au bout de sa tige rectiligne, longue et grosse. Debout devant moi, il commença à se masturber. Alors que je tentais de me redresser dans l'intention de lui faire une gâterie, il me repoussa de sa main disponible sans arrêter de s'astiquer. Je refis une deuxième tentative mais il me repoussa encore en m'intimant l'ordre de ne pas bouger. Vaincue, sans vraiment comprendre où il voulait en venir, je m'appuyais sur les coudes en regardant son poing aller et venir rapidement sur sa tige.
Je dois admettre que la situation était assez inédite pour moi. Assister passivement au spectacle d'un homme se masturbant en guise de préliminaire ne m'était presque jamais arrivé, sauf une fois avec Richard mais cette fois-ci je me masturbais aussi et à sa demande. Là, Colin ne m'avait rien demandé de tel. Cette situation était aussi très excitante et je comprenais mieux pourquoi Fabien et Richard appréciait de me voir me faire jouir moi-même. Je sentais mes seins se gonfler de désir, mes tétons durcir et ma foufoune dégoulinante commençait à mouiller ma culotte
Je ne fus pas longue à attendre. Colin accéléra la vitesse de sa branlette et poussa un grognement. Je reçus un jet puissant de sperme chaud sur ma joue et les suivants atterrirent sur mon cou et ma poitrine alors que les dernières gouttes de sa semence terminèrent sur mon ventre. Colin récupéra quelques secondes avant de faire glisser ma culotte sur mes cuisses. Il s'en servit pour essuyer sa main et sa queue avant de s'agenouiller devant moi, de prendre mes jambes sous le pli des genoux et de les écarter en les remontant.
Il posa sa bouche sur ma foufoune dont j'avais soigneusement taillée la toison pendant qu'il passait ses coups de téléphone. Sa langue glissa dans ma fente détrempée de désir, écartant doucement les replis de chairs, s'attardant, rebroussant chemin au moment d'atteindre mon petit bouton dardé. Quand, après de longues minutes de ce qui semblait être de l'hésitation, il me titilla le clitoris de la pointe de sa langue, je laissais échapper un gémissement de plaisir. Les gouttes de sperme qui avaient atterri sur ma joue coulèrent dans ma bouche entrouverte. J'en goutais la saveur salée, un peu âcre. Je m'allongeais totalement pour me permettre de me caresser les seins. J'étalais voluptueusement le reste de sa semence sur ma poitrine pendant que Colin continuait de me sucer. Mon plaisir montait inexorablement. L'orage des sens semblait imminent. Mes gémissements devenaient des petits cris au fil des minutes, au gré des caresses de mon jeune amant. Mon bassin bougeait, allait à la rencontre de sa langue dans des mouvements que je ne contrôlais plus. Ma dernière pensée cohérente avant que l'orgasme ne me secoue fut de penser que ce bel étalon, ce si jeune amant avait l'expérience d'un homme mur, qu'il me baisait délicieusement. Je m'entendis crier, comme si ce cri sortait d'une autre gorge que la mienne, alors que tout mon corps était pris par les secousses de l'orgasme, que mes doigts se crispaient sur mes tétons, leur provoquant une délicieuse douleur.
Pendant que je reprenais mes esprits après cet orgasme ravageur, Colin se releva et enfila un préservatif sur son dard. Il attrapa l'oreiller qu'il glissa sous mes fesses puis il me saisit les chevilles et les posa sur ses épaules et s'allongea sur moi. Dans cette position, les jambes en l'air, le bassin relevé, ma foufoune lui était offerte pour une pénétration profonde. Je sentis son gland à l'entrée de ma grotte, il avança le bassin doucement, me pénétra puissamment de son énorme pieu. Il bouscula mes chairs, forçant un peu le passage de mon con peu habitué à recevoir un tel membre. Ce premier coup de reins me sembla long, interminable et son gland toucha le fond de ma grotte avant que son ventre ne vienne buter contre le mien. Je me sentais remplie comme jamais. Colin entreprit ensuite une série d'aller-retour, de plus en plus rapides, avant de ralentir, puis de recommencer. Chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, chaque fois un peu plus loin, je gémissais de bonheur. Mon plaisir revenait, reprenait possession de tout mon corps. Colin me défonçait brutalement maintenant, il semblait inépuisable, d'une endurance à toute épreuve. S'étant soulagé tout à l'heure, il avait augmenté sa résistance. Je criais mon plaisir de me faire défoncer en enfonçant mes ongles dans ses flancs.
J'étais à moitié inconsciente, le corps un peu moulu par la position qu'il m'avait imposée, le ventre endolori par son énorme bite. Colin se retira et me fit rouler sur le ventre. Il me souleva par les hanches et m'embrocha à nouveau en levrette. Mon cerveau était encore dans les brumes des deux explosions de plaisir, à tel point que je ne réagis pas quand je sentis quelque chose de frais entre les globes de mes fesses. Je ne réagis pas plus quand il étala sur mon anus la salive qu'il venait de déposer mais la petite part de lucidité qui me restait me disait que cela ressemblait fortement aux préparatifs en vue d'une sodomie en bonne et due forme. Mais si la raison aurait voulu que je dise non à ce que Colin projetait, je m'entendis dire « Oh, Ouiiiii ».
Sans plus attendre, je ressentis le contact de son gland sur ma rosette et Colin me saisit par les hanches et m'enfila doucement sans aucune autre forme de procès. Je restais dans un état second, détendue à tel point que cela ne me procura aucune douleur et aussi parce que Colin manifesta une grande douceur. Je ressentais avec délice son gros pieu m'investir, dilater mon ventre, prendre possession de mon corps. Il m'encula totalement, jusqu'à ce que son ventre vienne en contact de mes fesses. Puis il se retira tout aussi doucement avant de revenir.
Au bout de quelques va-et-vient, je m'empalais moi-même avec volupté sur son dard, et Colin utilisa ses mains libérées pour me caresser les seins. Ivre de plaisir, je l'aidais en me branlant copieusement jusqu'à obtenir un orgasme quasi permanent pendant que ses coups de reins se faisaient de plus en plus rapides et violents. Je jouissais en gémissant de façon continuelle jusqu'à ce que Colin se vide dans mon cul en grognant et se retire enfin, me laissant tomber sur le lit à plat-ventre, assouvie, détruite.
Je ne me souviens pas que nous nous soyons glissés sous les draps pour dormir mais vers deux heures du matin, je fus réveillée par mon amant alors qu'il se glissait entre mes jambes, il avait allumé la lampe de chevet. À peine consciente, je le sentis me baiser à nouveau en missionnaire pendant quelques minutes puis il me retourna sur le ventre pour m'enculer à nouveau. Il me laissa après avoir joui encore une fois dans mon cul et m'avoir fait jouir puis nous nous sommes rendormis. Il recommença son manège encore une fois deux heures plus tard.
Quand le réveil sonna, autant dire que j'étais dans un état lamentable. Colin avait disparu, son gros sac de sport avec lui. J'étais un peu perplexe à propos de ce départ en catimini mais je n'avais pas le temps de me poser plus de questions.
Dans la salle de bains, après une douche réconfortante je tentais de masquer sous le maquillage les traces que cette nuit d'orgie n'avait pas manquée de laisser. Peine perdue, car plusieurs de mes collègues remarquèrent ma mine de moribond que je leur justifiai par une nuit presque blanche due à une migraine horrible.
Contrairement à ce que je pensais' et espérais, Colin n'a pas donné signe de vie pendant le reste de la semaine. Je n'osais pas monter au sixième de peur que cette aventure ne prenne un tour trop dangereux pour ma tranquillité future. J'attendis le retour de Fabien et de nos deux bambins en récupérant d'abord de ma nuit torride avec Colin puis en me faisant plaisir tout en repensant à cette folle soirée.