Un ravitaillement hivernal

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Proposée le 15/06/2012 par Morisbml

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L'hiver était bien présent depuis quelques temps déjà, la neige était tombée en masse, les routes principales peu déneigées, quant aux plus petites, n'en parlons pas.

Bien calé dans un fauteuil, je profitais pleinement d'une bonne BD lorsque mon père me demanda d'aller porter une commande dans un petit village voisin. J'étais alors un jeune étudiant de 19 ans. Je pris donc la route au volant d'une petite camionnette en roulant prudemment. La route semblait verglacée sous la neige. Une fois la route principale quittée, engagé sur une petite route secondaire qui devait me hisser vers ce petit village perdu, les conditions météo se détériorèrent. La neige s'était remise à tomber à gros flocons. Difficile de rester sur la route.
J'arrivai finalement, avec difficultés, à l'endroit où je devrais livrer la commande. Une grande maison un peu éloignée au bout d'un petit chemin complètement enneigé. La fin de la journée approchait à grand pas.

Arrivé devant une grande porte et je signalai ma présence. Une clé tourna dans la serrure et la porte s'ouvrit sur une dame, grande, un peu corpulente, qui aurait pu être ma mère. Je me présentai et lui ai demandé où je devais mettre les marchandises. Elle me montre le garage, et je décharge la camionnette. Une fois la commande rangée, je reviens vers la maison. La dame me fait rentrer et me plaint d'avoir à la ravitailler par ce temps, mais qu'elle n'aurait absolument pas su se rendre dans la vallée par elle-même. Pour s'excuser et me réchauffer elle me propose une tasse de café, le temps de préparer le café, elle me propose de m'installer dans le salon, grande pièce agréable avec quelques lampes basses donnant un éclairage très doux, mais surtout une grande cheminée dans laquelle de bonnes grosses bûches donnent le ton. Mozart résonne également dans la pièce pourvue d'une bonne installation stéréo et d'un gros enregistreur à bande.

Le temps de découvrir l'endroit du regard et de m'attarder sur quelques objets de bons goûts, mon hôte revient vers moi. Elle a quitté le gros manteau qu'elle avait dû passer lorsque je suis arrivé et elle est revêtue d'une tunique de soie largement échancrée sur le côté. Difficile pour moi de la quitter des yeux. Elle s'assied à côté de moi sur l'un des deux divans qui agrémentent la pièce. Sa jambe se dévoile alors jusqu'à mi cuisse. Je rougis, de chaud peut-être, de plaisir sans doute. Elle ne parait en rien constater mon trouble. La conversation s'engage sur le temps, la météo, la neige et les routes non dégagées ainsi que les difficultés qu'elle rencontre à se déplacer par ce temps. J'apprends aussi qu'elle est de Bruxelles mais profite de sa maison de campagne régulièrement. Elle m'avait servi le café et quelques biscuits, et me propose une seconde tasse alors que je fais mine de prendre congé. L'ambiance confortable, notre conversation et le peu d'envie de mettre en route alors que la neige tombe toujours me pousse à accepter.

Tout en continuant à converser, Louise, c'est ainsi qu'elle m'avait dit s'appeler, s'est rapprochée et régulièrement me met une main sur le genoux ou sur la cuisse comme pour appuyer ses dires. De brefs, ces gestes deviennent plus appuyés, de même que la jambe apparait de plus en plus souvent par l'échancrure de sa tunique. J'avais également constaté que sa poitrine semblait généreuse et que le frottement du tissu sur ses bouts des seins les faisaient se dresser et poindre. Nos voix deviennent plus rogues, ses yeux brillent, je pense que les miens doivent refléter la même chose. Sa main reste plus longtemps sur ma cuisse et s'y déplace, je fais de même sur sa jambe nue toute proche de moi maintenant. Elle laisse échapper un léger gémissement, sa tête légèrement en arrière. Je porte ma bouche vers son cou offert et je pose ma langue sur une peau qui me parait d'une douceur incroyable. Une autre gémissement plus prolongé sort de sa gorge. Ma bouche et ma langue se déplacent sous son oreille, sur le cou, mes mains m'échappent et la saisissent. Nous nous retrouvons coucher sur le divan, à nous embrasser à pleine bouche, ses mains se glissent sous ma chemise, qu'elle tente de m'enlever. Mes mains sont déjà sous sa tunique remontée sur les cuisses. Sa peau claire tranchant sur le divan. Non je ne m'étais pas trompé, elle était nue sous la tunique.

Elle me prend alors le visage entre ses mains et me dit « doucement mon fougueux cavalier, laisse moi te guider vers le plaisir que j'aime », et c'est ainsi que pour la première fois une compagne m'expliqua ce qu'elle aimait, ce qu'elle voulait et comment bien faire...


A suivre