La nuit de son retour

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Proposée le 9/06/2012 par charline88

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La description dit tout, il y a de l'inceste dans ce récit !



Je traine ma misère ! Les jours sont longs en cette période de l'été. Ils sont tous partis en vacances. Luigi, Mario, Lola et Hélène ! Je suis là moi à ne pas trop savoir quoi faire. C'est encore un de ces jours où le soleil monte haut dans le ciel bleu. Pas de départ prévu pour ma mère et moi. Elle travaille toute la saison. Depuis que mon père est mort, c'est toujours comme ça.
J'ai eu dix-neuf ans en mars et je m'occupe de la maison, des extérieurs aussi ! Enfin, je fais ce que papa m'a appris et elle est fière de moi. Elle le dit en tout cas.

C'est dimanche et je me suis levé avec l'idée de faire un tour, mais seul c'est compliqué. Encore que je pourrais aller aux champignons, de toute façon en forêt, pour y rechercher la fraicheur. Il est six heures du « mat' » et je suis déjà à l'extérieur. Maman dort encore, j'ai entendu sa respiration régulière en passant devant sa chambre dont la porte n'est jamais fermée. Elle a quarante-sept ans, avec un beau visage. Elle pourrait bien sur refaire sa vie, mais elle n'arrête pas de dire que cela ne l'intéresse pas.

Je passe les deux heures suivantes à arracher les mauvaises herbes du jardinet qui nous fournit quelques légumes frais. Penché sur la planche de carottes et tout occupé à désherber celle-ci, j'entends vaguement que la maison revit un peu. Ca commence par la chasse d'eau des toilettes, puis le bruit plus régulier de la douche. Machinalement, je me redresse, mes regards se portent instinctivement vers la fenêtre de la salle de bain. Les deux battants ne sont pas fermés, la chaleur de la journée obligeant à les laisser ouverts.

Et dans la douche, maman qui se savonne, sans savoir que je l'observe. C'est encore une très jolie femme. Une chevelure brune frisottée qui lui tombe en cascade sur les épaules, des grands yeux marron-vert, un teint peut-être un peu plus blanc depuis la mort de papa. Elle fait un bon mètre soixante-dix et garde malgré tout un bon moral. Je sais cependant que la disparition de mon père, dans un accident de voiture, lui a arraché le c'ur. Elle fait toujours bonne figure devant moi, mais pour l'avoir entendue souvent la nuit sangloter, je connais toute sa tristesse.

Pour l'heure, elle est sous la douche et malgré moi, je vois ses formes que la mousse recouvre lentement. Elle se frotte partout avec une ardeur non feinte, elle ne sait pas que je la regarde. D'où je suis, j'entrevois son dos bien lisse et ses bras qui courent sur le devant de son corps qui lui, m'est totalement caché. En levant les bras pour passer ses mains sur sa poitrine, j'arrive à deviner la naissance de ses seins que j'ai souvent lorgnés alors qu'elle est vêtue.

Je pourrais tout simplement détourner les yeux, me baisser à nouveau pour finir mon ouvrage, mais, mu par je ne sais quelle force, je reste là à épier cette femme que j'aime depuis toujours. Elle vient de faire un quart de tour dans la douche et j'ai maintenant une vue sur une moitié du devant de son anatomie. Ses doigts montent le long de son buste, couvrant d'écume blanche les deux beaux globes blancs que je ne peux manquer de voir. Même de ma place, assez éloigné, je remarque les larges aréoles de ces deux seins qui me crèvent les yeux. Elle est vraiment très belle. Ses gestes sont surs, elle frictionne cette paire de mamelles qui ne semblent absolument pas tomber. Je les imagine fermes et durs, cette évocation soudaine, me donne une trique d'enfer.

Ma queue ! Oh ! Elle m'a déjà servi avec Lola, quelques fois, mais il n'y a rien d'autre entre elle et moi, qu'une histoire de cul. Des rapports rapides, presque bâclés. Juste des moments de détente, elle ne veut pas aller au delà de cette forme de sexe, entre deux portes. Je continue à scruter maman dans ses ablutions matinales. Elle vient de fléchir un peu, ouvrant ainsi son entrejambe. L'éponge glisse entre les deux belles cuisses et je vois le triangle un peu sombre de son pubis. Elle va et vient sur cette touffe de poils que je découvre alors que de deux doigts de l'autre main, elle écarte les lèvres de son sexe. Son menton s'est légèrement relevé, et sa tête se balance doucettement au rythme du passage de l'éponge.

Cette envie qui m'étreint le bas du ventre se fait plus violente ! Mon sexe est en feu et sans que je ne fasse rien d'autre que regarder, j'ai l'impression que je vais décharger dans mon caleçon. J'entends juste le bruit de la pomme de douche qui laisse fuser ses gouttelettes sur le corps de ma mère. Dans mon esprit fiévreux, je m'imagine qu'elle geint doucement, que de petits cris s'échappent de sa gorge. Du reste, celle là est de plus en plus balancée par les mouvements circulaires qu'elle fait en persistant à frotter son pubis avec l'éponge. Je n'ai jamais imaginé maman comme cela, sous cet aspect là ! Mais je réalise que c'est une femme, une vraie femme, attirante avec des envies comme toutes les femmes du monde et je me fais l'effet d'un « saligaud », d'un sale voyeur qui reluque sa mère sous la douche.

Le sentiment de honte qui me submerge, loin de calmer la bête qui grossit au fond de mon short, la mène presque à son point de non-retour. Merde ! Comme maman est belle sous cette douche et d'autres idées viennent soudain jeter le trouble dans mon esprit. Allons ! Ce n'est pas raisonnable ! Otes-toi ça de la caboche ! Et plus vite que cela même ! L'eau là-bas coule encore et les mains s'activent toujours. Mes yeux ne lâchent plus cette tache blanche qui gesticule sous le jet tiède.
Bingo ! Voila que ma bite, sans me demander mon avis laisse échapper les premières coulées de mon jus. Rien à faire pour les retenir. Je jouis, lamentable, à la vue de cette femme qui n'est autre que ma mère, de cette femme qui se lave tout simplement. Une jolie carte de « France » orne le devant de mon short !

ooOOOoo


- « Pirate » ! Pirate ! Tu viens prendre le petit déjeuner avec moi ?
- J'arrive maman, une seconde ! J'arrive !

Du fond du jardin, je reviens vers la terrasse où deux bols sont posés sur la table de bois. Elle est là, les cheveux noués dans une serviette, le corps enroulé dans son peignoir de bain. Elle sent bon, elle est belle, comme la journée qui s'annonce.

- Pourquoi t'es tu levé si tôt Fabien ? Le jardin peut bien attendre un matin de plus ! Non ? Tu as quelque chose de prévu aujourd'hui ? Même si tes amis sont partis en vacances, tu peux aussi sortir quand même ! Je n'aime pas te savoir ainsi renfermé et trop solitaire !
- Ne t'inquiète donc pas pour moi, j'aime bien ce que je fais et puis il faut bien s'occuper aussi du jardin ! Les légumes que nous n'achetons pas, sont aussi bien bons dans nos assiettes ! Tiens, j'ai cueilli quelques radis pour midi !
- Je dois finir les plans pour les intérieurs de madame Ziegler, il me les faut pour mardi et je suis en retard, alors je vais m'y coller une bonne partie de la journée. Tu pourras aller chez le boulanger ?
- Il faut ramener autre chose du village ?
- Non, c'est tout ! Allez bois ton café avant qu'il ne refroidisse !

Elle me regarde, curieuse de mes réactions. Ses grands yeux s'attardent sur moi, cherchant à lire les pensées qui m'habitent. Je réalise soudain que mon short noir laisse apparaitre une tache de mouillé, une trace de ce qui vient de se passer pendant sa douche. Elle est assise face à moi et son peignoir s'ouvre quand elle fait un mouvement. Je vois la naissance de ces seins qui depuis quelques minutes me fascinent trop. Mes yeux ne quittent pas sa silhouette, et c'est tellement insistant que je crois qu'elle s'en aperçoit. Les deux pans de la sortie de douche ne se remettent pas en place correctement et j'ai devant moi le bout de l'un d'eux qui me nargue. Brun sombre, une large aréole attire mes regards comme un aimant. Elle termine tranquillement sa tartine sans se rendre compte de ce que je ressens. Ma gaule est revenue instantanément.

Elle remonte une mèche de mes cheveux qui prend un malin plaisir à redescendre devant mes yeux. Oh ! Maman ! Ne me touche pas, je t'en supplie ! Si en plus, tu viens avec tes doigts caresser ma peau, je ne vais plus avoir de contenance. Je ne vois rien d'autre que la Femme, désirable, belle, qui me fait face. C'est une autre envie que celle que j'ai avec Lola. Elle, c'est un fil de fer, pas de poitrine et je fantasme sur celle qui est devant moi !

Maman se lève pour aller chercher du jus de fruits. Le peignoir lui couvre juste les genoux. Je vois son derrière qui bouge à chacun de ses pas, ajoutant à mon supplice. Une petite voix intérieure qui me murmure :

* C'est ta mère ! Laisse tomber gros nigaud ! On ne doit pas regarder sa mère de la sorte ! Fils indigne ! Tu ne vas quand-même pas lui faire du gringue ! Non ?

Puis une autre venue de plus loin encore :

× C'est aussi une femme ! Elle est comme toi, elle a des envies, des besoins, des fantasmes ! Tu fais le boulot de ton père, alors tu peux aussi t'offrir ses plaisirs ! Vas-y, que risques-tu finalement ? Personne ne meurt d'avoir reçu une gifle ! Ne sois pas trouillard !

Partagé entre ces deux manières d'envisager les choses, je suis balancé d'un coté puis de l'autre. Je choisis la fuite en avant. Je me lève, pose ma serviette et me dirige vers ma chambre. Je ne comprends plus rien de ce qui m'arrive. Je voudrais être ailleurs, loin de ces tentations qui deviennent insupportables. Lola ! Pourquoi n'es tu pas rentrée, on se ferait un câlin et tout rentrerait dans l'ordre. Je retire mon short, mon caleçon, les deux sont souillés. La tache de sperme est assez conséquente et je prends les deux vêtements, après en avoir passés des propres, pour les mettre dans le panier à linge sale.

Ma mère est dans sa chambre quand je ressors vers la cuisine. Elle quitte celle-ci avec ses draps qu'elle mène aussi à la buanderie. Je l'entends fouiller dans le linge sale. Alors que je vais pour me rendre à l'atelier, je remarque qu'elle est devant la machine à laver et qu'à la main elle tient' mon slip. Ses doigts semblent sentir la tache un peu gluante. Puis elle porte vers son nez mon caleçon et je sais qu'elle a compris que j'ai giclé dans celui-ci. Je baisse les yeux, la honte a du faire rougir mon visage tout entier.

La matinée a atténué un peu ce sentiment de culpabilité dont je n'arrive pas à me défaire. J'ai ressorti les cannes à pêche de papa. Je les ai dépoussiérées et j'ai, après être allé chercher le pain, entrepris de remettre en état notre barque. Je ne voulais plus la regarder depuis l'accident. Je sais que maman fait mine aussi de l'ignorer, mais que comme c'était le joujou de mon père, la voir lui rappelle trop de souvenirs. Tant pis, j'ai trop envie de faire un tour sur notre lac. C'est devenu un besoin vital depuis cette bon-sang de douche.

Le linge flotte sur l'étendoir, la maison sent bon la bouffe. J'entends le moteur du store qui va nous cacher du trop grand soleil pendant le repas. Je la regarde qui va, vient, s'active dans la maison. Avec juste une chanson sur les lèvres, je pourrais croire que le bonheur est revenu chez nous. Des papiers sont étalés partout sur son bureau et elle est accaparée par sa planche à dessin. Dans l'embrasure de la porte, je suis le spectacle fascinant de cette femme, penchée en avant, un crayon entre les dents. Elle se plonge dans son travail pour oublier le reste sans doute.

Belle, vêtue d'une jupe assez courte, noire, pour changer, et d'un chemisier anthracite qui lui moule le torse, elle est désirable. Je vois ses genoux qui sont repliés et pourquoi, vais-je imaginer les cuisses que la jupe masque ? Décidément, mon esprit est mal tourné aujourd'hui ! Je n'arrive pas à sortir de ma caboche les gestes équivoques, pour moi, de sa douche matinale. Je ne fais aucun bruit, je l'observe juste comme cela, à la dérobée. Belle, subliment belle, les mots me manquent pour finalement qualifier l'image qu'elle me renvoie. Comme son bureau est face à moi, dans un mouvement involontaire, sa jupe remonte un peu sur les cuisses, et mon regard plonge le plus haut qu'il peut vers la fourche que je devine. J'imagine la toison noire qui se niche juste au dessus d'un sillon, qui pour d'obscures raisons me donnent des envies de sexe.

Ma queue est de nouveau volumineuse et impossible de cacher cette excroissance qui déforme le short de toile bleue que je porte. Il est certain que si elle lève les yeux, qu'elle s'aperçoit de ma présence, elle ne manquera pas de voir cette queue qui bande ! C'est drôle, je ne m'en soucie pas, je veux seulement voir, regarder, imaginer, rêver quoi ! Ce que j'ai déjà vu m'a mis en appétit et c'est une envie dont il est difficile de se défaire. Qu'elle soit ma mère ne change rien à l'affaire ! Mon esprit tordu, enfiévré reste sur sa position et mes yeux suivent le corridor sombre qui monte vers ces hanches fines qui cachent leur secret. Ils sont arrêtés dans leur progression par une tache mauve. String ? Culotte ? C'est seulement ce que je cherche désespérément à deviner !


ooOOOoo


- Ah ! Fabien ! Il y a longtemps que tu es là ? Tu veux déjeuner « Pirate » ? Tu sais mon travail avance plus vite que prévu ! Nous pouvons aller faire un tour sur le lac cet après-midi si tu veux ! J'ai vu que tu avais sorti la barque de ton père ! C'est une belle journée pour se reposer et j'ai envie de passer un peu de temps avec toi ! Tu veux bien ?
- D'accord, allons déjeuner et puis je naviguerai pour Madame !
- C'est ça ! Moque-toi « Pirate », moque-toi de ta vieille mère !

Le déjeuner est détendu, calme aussi. Quelques salades bien fraiches et de la viande froide ! Un café, puis elle et moi faisons la vaisselle, en bavardant du jardin, des fleurs, des arbustes qu'il faut tailler, enfin, une conversation d'adultes ! Elle lave, j'essuie, c'est immuable. La machine à laver la vaisselle n'est plus guère utilisée à la maison. Je la frôle souvent, pour lui prendre des mains le verre qu'elle n'a pas encore mis sur l'égouttoir, l'assiette qu'elle termine de rincer. Un moment, à vouloir aller plus vite qu'elle, c'est sa main gainée de caoutchouc que j'attrape plutôt que la fourchette qu'elle tient. Elle est si proche de moi que son souffle me touche le visage. Elle rit de bon c'ur et du bout des lèvres, dépose sur mon nez un bisou.

- Grand fou, que deviendrais-je sans toi ? Tu es devenu si fort, j'ai l'impression de revoir ton père à ton âge ! Il avait les mêmes yeux, le même sourire ; il me manque mais je t'ai, toi heureusement !
- Tu sais ! Maman ; il me manque aussi ! Tu es encore si belle ! Refais ta vie, tu dois revivre maintenant, ne fais pas comme toutes ces vieilles femmes qui se sont fanées de ne pas avoir osé vivre un autre amour.
- Mais tu es là et tu es aussi mon amour ! Alors ! Que veux-tu que je demande de plus ? Dépêche-toi de finir la vaisselle, j'ai encore de l'avance sur toi, comme d'habitude !
- Tu triches, c'est obligé que tu termines avant moi ! En lavant la vaisselle, moi je passe en dernier !
- Pour la vaisselle peut-être, mais pour le reste, tu peux être assuré qu'il n'y a que toi qui compte !

Ces simples mots sont à double sens pour mon esprit malade depuis ce matin. Comme je suis si près d'elle mais que je continue à bander, je suis presque sur que lors de ce bisou qu'elle m'a donné, elle a senti ma bite raide au travers de la toile de mon short. Elle ne fait mine de rien ! Alors que je pousse le chariot qui porte la barque vers le ponton, pour sa mise à l'eau, maman est partie se changer. Quand elle est de retour, elle arbore un deux pièces affriolant. Ca fait des mois qu'elle ne s'est plus habillée de la sorte. Le bas d'un bikini rouge moule ses fesses et celles-ci dansent devant moi. Quand à son soutien-gorge, il m'offre une vue incroyable sur cette poitrine que je n'ai jamais autant regardé. Je suis dans l'eau jusqu'aux genoux, je pousse l'embarcation sur le lac et je mets le moteur en position « on ». Il tressaute un peu puis finit par enfin démarrer.

Ma mère est montée dans la barque, geste qu'elle n'a plus fait depuis le départ de papa. Je presse sur la manette des gaz et la barque se met à avancer tout doucement. Sur l'eau, pas une ride, pas un seul mouvement. Seule l'hélice de mon moteur fait quelques remous dans le sillage du bateau. Le chapeau qu'elle a amené en le tenant dans sa main vient de venir orner son crane. Large, avec des bords un peu relevés, il va magnifiquement avec les lunettes de soleil qu'elle a mises. Assise face à moi, je peux tout à loisir détailler ce corps de femme en toute plénitude. Elle étend maintenant ses longues jambes dans le fond du bateau, s'accoude tranquillement et elle observe notre maison qui s'éloigne de nous, gentiment, sans bruit autre que le ronron du moteur. Comment m'empêcher de jeter un coup d'oeil vers ces cuisses qui sont là, à portée de mains ?

Mes yeux doivent sortir de leurs orbites, et derrière les verres fumés, je ne vois pas son regard. Je pique encore un fard, c'est le troisième de cette journée. J'ai encore la bite qui enfle dans mon slip ! A la manière dont je suis assis, elle ne peut que remarquer cette trique qui distant mes fringues. Elle doit se dire que son fils est un pervers qui bande pour sa mère. Elle ne peut pas imaginer comme elle est désirable, avec des appâts là où il en faut. Un vrai piège à mâle, et le seul disponible, qui s'y laisse prendre, c'est moi ! Je m'oblige à regarder le paysage grandiose de ce Gérardmer vu du milieu du lac. Un coup de corne détourne un instant mon attention. C'est le bateau du port qui promène ses touristes venus en masse, visiter la perle de nos Vosges. Aussi loin que mon regard peut porter sur les cimes, je ne remarque que le vert sombre des sapins, qui s'élancent fièrement vers le ciel d'un bleu pur. Les gamins, plus loin sur la plage, piaillent comme une volée de moineaux au temps des amours. Des groupes de femmes et d'hommes dans des maillots multicolores, s'avachissent sur les berges, au camping municipal, pour des séances de bronzette qui s'achèveront pour la plupart par des coups de soleil.

Maman aussi pense à ces morsures des UV et elle s'enduit d'une crème qui sort tout droit de son sac de plage beige, qui traine au fond de la barque. J'ai arrêté le moteur et seuls les clapotis des vaguelettes, provoqués par la vedette de touristes viennent perturber le miroir azuré. Les mains de ma mère ressemblent à s'y méprendre à des papillons qui flottent au dessus de sa peau ! Elles passent, vont, viennent, couvrant de roux toutes les parcelles de son corps encore exposées à la lumière. Quand elle a fini, que sa peau a repris une couleur normale, elle se redresse et approche, les mains luisantes de cette manne protectrice, pour s'occuper de ce que le soleil peut atteindre de moi. Elle débute par mes bras qui se laissent faire sans broncher, puis elle remonte sur mes mollets, pour atteindre mes cuisses. Elles s'infiltrent partout, laissant leur pellicule grasse sur ma peau. Mais quand les doigts frôlent l'ourlet du short, je me dis que la bosse qui est dans celui-ci ne peut pas passer inaperçue. Ce massage inattendu n'est pas fait pour étouffer cette bandaison que je ne peux réprimer.

Est-ce qu'elle se rend bien compte que je bande et d'avantage encore depuis qu'elle monte sa main vers le haut de mes cuisses ? Sans doute que oui ! Mais elle ne montre aucune émotion. Et de plus maintenant, j'ai son soutien-gorge qui me touche aussi les genoux. Elle est à demie couchée sur moi, à me graisser les guibolles. Mon regard plonge non plus sur, mais dans le soustingue et je vois ces seins qui renforcent encore mon érection. Sa main persiste, comme si de rien n'était, à faire entrer la crème dans mon épiderme, elle s'applique, massant lentement chaque muscle de mes cuisses.

Ses doigts ont-ils dérapé ? Est-ce un effet de mon imagination, de mon esprit trop excité ? J'ai comme l'impression que quelques uns sont venus, effleurer cette tige tendue, qui n'en finit plus de croitre. Mais peut-être est-ce juste un mouvement, du au peu de roulis qui anime le bateau ! Finalement la promenade tourne au supplice pour moi. Enfin, maman a repris sa place initiale. Elle ne dit rien, se contente seulement de regarder tout autour d'elle.

- J'avais presque oublié comme tout peut être si beau ! Mon dieu, comme notre montagne est belle en cette saison comme en hiver ! Tu vois « Pirate ». Ton père m'a appris à aimer cela et j'avais presque oublié de le faire ! Fabien ! Tu dois toujours, comme lui, respecter cette nature qui nous offre autant de splendeur !

En disant cela, elle a fait un grand geste circulaire du bras, me désignant tout ce qui nous entoure à trois cent soixante degrés à la ronde. Je n'ai rien à répondre à ses assertions. Je me demande comment elle fait pour rester aussi calme, aussi zen alors que je sens bien qu'elle a compris mon désir. Je sais, sens qu'elle a voulu s'assurer que c'était bien ma queue qui faisait cette bosse dans mon short et elle est désormais consciente que la seule femme aux alentours' c'est elle ! Donc elle connait mon désir, pour elle.


ooOOOoo


Le feu couve dans mon bas-ventre. Il est constant depuis cette apparition de ce matin dans la douche. Elle est là près de moi et nous nous balançons mollement au gré de l'eau. Le lac est calme, pas une ridule, pas un frémissement. Le vent est nul. Nous sommes seuls au monde maman et moi. On aperçoit tout au fond, le dessin noir des rochers et pourtant il y a au moins trente mètres de fond sous la barque. Elle me regarde avec des yeux pleins de malice, je les vois en pleine lumière puisqu'elle vient de retirer ses lunettes de soleil. Ils sont d'un beau vert, il est bel et bien oublié le marron qui se mélange habituellement dans ses iris ! J'ai chaud, ce ne sont pas seulement les degrés que nous prodigue le soleil qui en sont la cause. Il y a l'envie qui me taraude, qui m'enveloppe de sa patte implacable. J'ai soudain besoin de plonger corps et âme dans cette mare couleur du ciel.

- Tu veux bien ramener le bateau ? J'ai envie de piquer une tête dans le bouillon ! Un peu de nage me fera le plus grand bien ! Cà ne te dérange pas ?
- Comme tu l'entends, mais prends garde à toi. Si tu t'en sens capable pourquoi pas ! Mais ne sommes nous pas trop éloignés de la maison ?
- Maman, je l'ai fait des centaines de fois avec papa, j'aime cela et la chaleur est insupportable. Rentre gentiment, je reviens de même par mes propres moyens. On peut aussi faire la course ! Je te parie un baiser que j'arrive avant toi à l'embarcadère du chalet !
- Présomptueux va ! Pari tenu, mais tu peux déjà considérer que j'ai gagné !
- Alors je t'embrasse sur les lèvres si tu parviens là-bas avant moi maman !

Dans ses yeux il est passé un drôle d'éclair, mais elle n'a pas répondu. J'ai senti comme un frisson sur mon échine alors que je retire mon short. Je saute ensuite dans le jus un peu frais. Je reste une seconde ou deux sous la surface, le temps que mon corps s'habitue et je file droit devant, avec en point de mire le ponton, très loin au bout du lac. Pendant quelques minutes, le bateau et moi sommes côte à côte. Elle me jette de l'eau d'une main tout en gardant le cap sur le même objectif que moi. Je serre les dents et tire sur mes bras. Petit à petit, mon crawl grignote les quelques centimètres de retard que j'ai pris sur le cul du bateau. Je ne pense à rien d'autre qu'à mes mots ! J'ai osé lui dire que je l'embrasserais sur la bouche si je gagnais. Et elle n'a pas dit non ! Alors que je suis revenu à la hauteur du nez de la barque je l'entends qui rit aux éclats. Bon dieu depuis longtemps je ne l'ai pas entendue rire pareillement ! Le fera-t-elle ? Me laisser l'embrasser sur la bouche si j'arrive avant elle ?

La rive qui s'approche de plus en plus me permet de distinguer mieux les détails de la rive qui s'approche. Encore cinq cent mètres et je suis en avance de deux bonnes longueurs sur elle ! Mais je fatigue un peu maintenant et je tente de reprendre un second souffle. La barque remonte le long de mon corps à dix mètres de moi et il reste quoi ? Soixante, soixante-dix mètres avant le terme de notre pari. Alors je me lance dans un dernier rush et d'un effort considérable, je parviens de nouveau à distancer ma mère qui ne peut aller plus vite que le moteur. Finalement au prix d'un sprint époustouflant, ma main touche le bord alors que le bateau est à deux mètres derrière moi.

- C'est bien ! Tu as encore de la puissance ! Même ton père n'arrivait pas à te suivre ! Pourquoi ne reprends-tu pas la compétition ! Bravo « Pirate » ! De là où il est, il doit être fier de notre fils ! Allons boire un verre, j'ai une de ces soifs !
- Une seconde ! Je me sèche un peu avant. Je ne vais pas rentrer la barque, demain je pourrai aller faire un tour à la pêche aux brochets !
- Comme tu veux, mais moi je vais me désaltérer ! Je te prépare ton verre Fabien.

Elle n'a pas parlé de notre pari, moi non plus mais je me retiens. Je la regarde partir de son allure un peu féline, et mon envie que l'eau fraiche a un peu coupée, mon envie d'elle remonte en surface à grande vitesse. Je vois ses deux fesses qui gigotent, attirants mes regards les plus salaces. J'ai envie de faire l'amour, c'est plus que certain. J'ai envie de lui faire faire l'amour et çà, ce n'est pas rassurant du tout ! Je voudrais être ailleurs, alors qu'elle arrive sur le pas de la terrasse. Ma mère vient de disparaitre, avalée par la grande baie vitrée du salon. Je reviens vers la maison moi aussi. Plus du tout envie de m'étendre au soleil pour faire une bronzette.

J'arrive à l'endroit par lequel elle est entrée à l'intérieur. Alors que je franchis le seuil de la porte-fenêtre, je la trouve qui a retiré le bas de son bikini. Elle est affairée à dégrafer son soutien-gorge qui semble résister. Elle me tourne le dos et comme je suis arrivé sans aucun bruit, elle ne s'est pas aperçue de ma présence. Je vois son dos maintenant libre de tout vêtement, et mes yeux affolés descendent le long de cette colonne vertébrale absolument visible partout. Ses mains frottent ses seins, enfin, je pense que c'est ce qu'elle fait. Moi, je peux dire que ma queue est enflée d'une manière que je lui ai rarement connue.

J'ai, bien entendu, un mouvement de recul, mais comme elle vient de faire un quart de tour, je me dis que si je bronche, elle va s'apercevoir de ma présence, je reste donc immobile, les yeux exorbités, le regard halluciné. Maintenant, je vois non seulement ses seins qui me narguent, mais aussi sa fente, bien mieux que sous la douche. Elle est longue, descendant de la touffe de poils pour se perdre vers l'arrière, tout en bas de son entrejambe. Ma bite toute raide dépasse de mon slip de bain ! J'en ai mal aux testicules de bander comme çà ! Les nibards tiennent tout seul ! Pas besoin d'être soutenus. Mais comme ils sont différents des minuscules tétons de Lola ! Elle semble perdue dans d'étranges pensées alors qu'elle laisse sa main errer dans sa toison aux poils bouclés.

Elle ne s'est toujours pas aperçue que je suis là à l'observer. Elle vient juste d'ouvrir la fente de son sexe pour y passer une serviette éponge. Comme si elle était très mouillée ou humide. Ce contact doit lui être agréable puisqu'elle soupire doucement. Elle recule de deux pas sans regarder vers le point où je me trouve et elle s'assied sur le canapé qui se trouve là. Ses jambes sont un peu au-dessus du sol et elle a ouvert largement les cuisses ; je n'ai jamais rien vu de tel. Ma mère la chatte largement ouverte, qui commence à se tripoter un point bien précis de son corps. Les petits cris qu'elle laisse éclater me renseignent sur le degré d'émotion qu'elle éprouve. Elle roule sur le côté, sur le divan, et cela me permet de voir encore mieux, toujours sans être vu. Elle bouge énormément et je sais qu'elle se masturbe. Le plaisir qu'elle y prend lui va bien. Elle est toute rose sous l'effet des caresses qu'elle se prodigue. Ses lèvres vaginales et les doigts qui les triturent sont luisants, presque ruisselants de sa rosée intime. Elle ne fait pas semblant et je la vois se plier en deux, alors qu'un râle sourd roule du fond de sa gorge pour venir éclabousser la pièce.

Mon sexe pour la deuxième fois de la journée, sans que j'aie fait autre chose que de regarder, mon sexe pleure aussi son envie et disperse mon sperme dans les fibres du tissu de mon caleçon de bain.
Je me suis retiré sur la pointe des pieds en priant vraiment pour que maman ne se soit pas aperçue que je la reluquais. J'attends quelques minutes, puis je reviens en sifflotant vers la maison.

- « Pirate » ! Viens boire un verre ! Il y a de la bière au frais ou des panachés ! Apporte-moi une autre bière s'il te plait !

J'ai fait ce qu'elle m'a dit. Ses joues sont roses, et je la découvre encore un peu essoufflée.

- Tu es sûre que çà va maman ? Tu souffles comme un soufflet de forge ! Tu n'es pas malade au moins !
- Mais non ! J'ai juste chaud et j'ai fait des efforts pour me changer !

Elle a retrouvé sa tenue de veuve. Jupe stricte et chemisier bon chic, elle est redevenue celle qu'elle parait être. Mais moi je connais désormais une autre facette de cette femme que j'ai découverte aujourd'hui ! Une femme ardente qui sommeille sous une cuirasse de préjugés. Son petit sourire cependant, lui n'a pas disparu ; même sous le déguisement de respectabilité dont elle vient d'envelopper son corps. Le pire de cette histoire, c'est qu'elle a ouvert mon esprit à sa vue et que mes envies de la baiser ne font que croitre. Elle est femme jusqu'au bout des ongles et je suis mal de me découvrir si mâle ! D'autant que je la veux, que cela en devient une obsession. Et l'ange qui vit en moi se déchire avec le démon auprès duquel il cohabite.

× Je te l'ai bien dit ! C'est une belle plante, une vraie femelle ! Elle a envie d'une bonne queue. Vas-y ! Ne crains rien, elle est prête ! Saute là ! Cà ne peut que lui faire du bien !
* Mais arrête donc d'écouter cet imbécile ! Reste toi-même ! Sois un bon fils. Laisse la tranquille, tu es son fils, n'outrepasse pas tes droits de garçon ! Elle ne te pardonnerait pas un geste mal placé ! Allons écoute, écoute juste ta conscience !


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Les jours qui suivent, j'essaie de ne plus penser à cet épisode dans ma vie. Pourtant les images de cette chatte entourée de poils sombres me hantent la nuit, parfois dans la journée également. Je cherche des dérivatifs pour mon esprit embrumé. Je passe des heures hors de la maison. Forêt, sentiers de montagne, je refais tous les chemins, que nous avons parcourus avec mon père. Mais les visions de ma mère nue me harcèlent sans cesse. Je tente aussi le plus souvent possible de songer à la petite Lola, mais elle est bien loin et les seins qu'elle promène avec elle, souffrent de la comparaison que je fais avec ceux de maman. C'est le jour et la nuit. Dans ma tête, il a y aussi toujours les deux petites voix, l'une qui me conseille la sagesse, l'autre qui m'invite à oser. C'est de plus en plus souvent la moins calme qui gagne et je suis de plus en plus enclin à écouter celle qui veut me dévergonder.

Je ne sais pas si j'arriverai à tenir longtemps à ce train là. Plusieurs fois dans les nuits qui viennent de passer, je me suis relevé, pour venir écouter les bruits émanant de la chambre parentale. Il n'y a plus vraiment de sanglot et ce que j'ai ouï, me laisse vraiment penser que maman se fait plaisir de plus en plus souvent. Elle semble tourmentée par une envie qui, comme pour moi, lui tenaille les entrailles. J'ai perçu aussi un ronronnement bizarre. Mais comme elle ferme les volets roulants de sa fenêtre, qu'ils sont comme tous ceux du chalet, particulièrement hermétiques, je n'ai rien vu. Juste entendu ce bruit régulier, ce ronron agaçant qui se met en route après que les draps soient froissés. Ils s'arrêtent aussi vite qu'ils ont débuté et seuls les soupirs qui me parviennent me laissent penser qu'elle se masturbe.

Mais pourquoi la blâmer ? Il est aussi vrai que derrière sa porte à demie-ouverte, je m'astique aussi le manche et que c'est les mains remplies de mon sperme que souvent je regagne ma chambre, non sans avoir attendu que la respiration de maman m'indique que son sommeil est enfin revenu. A plusieurs reprises, je l'ai aussi surprise à inspecter mes sous-vêtements ce qui me donne un sentiment de culpabilité certain. Je suis sur qu'elle se doute que la nuit je me branle, mais sait-elle seulement que je l'écoute en faire autant ? Et un après-midi où elle est sortie pour son travail, c'est moi qui vais fouiller dans sa table de chevet.

J'ai devant les yeux l'engin qui ronronne les nuits. Long d'une bonne vingtaine de centimètres, d'un diamètre au moins égal à celui d'un sexe d'homme, il est entièrement en latex rose. Une des extrémités ressemblent à s'y méprendre à un gland de bite. De l'autre côté, on peut le dévisser pour y loger deux piles d'un volt cinq et en manipulant le bouton de cet objet, il se met en frétiller, à vibrer comme jamais aucune bite ne le fera. Dans le même tiroir j'ai trouvé, une boite de préservatifs, et un tube de gel intime. Elle cache bien son jeu ma petite maman. A moins que ces jouets n'aient aussi servis du temps de papa, après tout, rien n'est interdit dans les jeux amoureux.

J'ai un peu fait vibrer le gode, mais l'ai vite replacé là ou je l'ai trouvé. Pas la peine de lui faire savoir de façon aussi ostentatoire que j'ai découvert son petit secret. Et puis la petite voix, celle de la raison me dit que c'est bien naturel de se faire plaisir, qu'elle ne gêne personne. L'autre à l'inverse me susurre que c'est une « salope », qui n'attends qu'un coup de queue et si c'est de moi, c'est encore mieux?pour moi. Encore une fois, je suis cet après-midi là, tiraillé entre des sentiments tellement contradictoires. D'un côté, la sagesse qui m'empoisonne la vie, et de l'autre une certaine envie de donner un coup de pied dans la fourmilière, juste pour voir ce qui en sortira.

Tout est en ordre à son retour, mais j'ai quand même préparé le repas du soir. Nous dinons comme un couple, sur la terrasse, à l'ombre, et le soir qui tombe lentement nous laisse une grande plage pendant laquelle nous pouvons bavarder. Je la sens heureuse de sa journée. Son client lui a réglé sa facture et elle rit plus que de coutume. Elle me complimente sur les pommes de terre en salade que j'ai préparé, enfin rien que de très normal dans cette vie qui est la notre. Elle s'est mise dans la balancelle, un endroit qu'elle affectionnait tout particulièrement quand papa rentrait le soir. Une brise légère fait remonter ses cheveux un peu fous, et elle se berce mollement au gré de pensées inconnues, les paupières closes.

- Tu me permets de m'assoir près de toi, maman ?
- Mais enfin ! Pirate ! Pourquoi tu me le demandes ! Viens donc ! Là, mon grand, contre mon épaule.

Nous sommes tout proche l'un de l'autre et ma tête se pose comme cela, sans malice contre cette épaule qui me rassure. Pourquoi est ce que je décide, maintenant, de la poser sur ses genoux ? C'est toujours sans arrières pensées. Elle a les cuisses douces et sa main vient tout naturellement sur mon front. Elle me caresse les cheveux, comme quand j'étais gamin ! Je me laisse bercer par les doigts magiques qui courent dans ma tignasse claire. Mes yeux sont sur son visage et elle me regarde, de haut en bas, j'aime cette figure de ma mère, vue comme çà. Elle est belle dans la lumière tombante de ce soir de vacance. Elle me dépose un bisou sur le front, et je souris à la seule évocation de notre pari. Celui de la nage, celui qu'elle a perdu.

- Un bisou de ta maman te rend si joyeux ? Ai-je fais une bêtise ?
- Non ! Je me rappelle juste d'un truc, c'est tout ! Pas de quoi fouetter un chat !
- Je veux rire aussi ! Dis-moi tout, de quoi s'agit-il ? Je ne peux pas profiter aussi de ton bonheur ?
- C'est juste un souvenir fugace, une idiotie, n'en parlons plus !
- Si ! Je veux tout savoir ! Je ne veux pas de cachotteries entre nous ! Allez « Pirate » dis moi ce qui te donne ce sourire.
- Tu te souviens de notre promenade en barque ?
- Oui bien entendu ! Le jour où tu as nagé plus vite que le bateau ?
- C'est cela, je me suis souvenu que nous avions fait un pari, mais nous n'en avons plus reparlé et comme tu viens de me faire une bistouille, cet épisode m'est revenu en mémoire !
- Je pensais que tu avais oublié cela !

Elle rit de ce souvenir qui doit lui revenir à elle aussi et pourtant, il me semble que dans ses yeux, une étincelle vient encore de se rallumer.

- Alors sers-toi Fabien ! Puisque tu as gagné, prends ton du !
Mes yeux vont sortir de leurs orbites ! C'est fou l'effet instantané que me font les paroles qu'elle vient de prononcer. Je me redresse presque brutalement et pourtant elle ne bronche pas. Elle insiste bien avec ses yeux dans les miens. Le feu qui couve en moi se rallume, plus violent, plus dévorant. Je ne sais plus quoi faire, quoi dire. J'ai l'air bête sans doute ; je n'ose plus rien faire, tétanisé, incapable du moindre geste. La voix dans ma tête, celle de la sagesse me hurle distinctement :
* Arrête, elle n'a pas voulu que tu comprennes cela ! Va prendre une douche, allez file ailleurs ! Sors, va au cinéma : ne reste pas là ! Cette histoire va mal finir !
Mais l'autre se fait plus présente en même temps et je sais ce qu'elle va me dire avant que de l'entendre, là, au fond de moi :
× Je te l'avais bien dit ! C'est aussi une cochonne ! Toutes les femmes craquent un jour devant leur fils. Sers-toi, elle te l'a dit ! Roule lui la pelle qu'elle et que tu attends ? D'abord, tu l'as mérité, tu as gagné ton pari non ? N'écoute pas l'autre fantoche qui veut que tu restes trop bêtement sage ! Jettes-toi à l'eau. Embrasse là. !

Je suis déboussolé, je la regarde et pourtant elle ne baisse pas les yeux. Elle m'a pris la main et la tient dans la sienne. Je sens qu'elle tremble un peu. La peur d'être allée trop loin ? Celle d'avoir dit des mots qui dépassaient sa pensée ? J'en avale ma salive de travers. Je manque m'étouffer et pourtant, je sais que la voix de la raison vient de perdre. J'approche mon visage de celui de maman. Mes lèvres sont contre les siennes. Elles sont douces, du velours, un nectar, du miel. Je ferme les yeux, ne sachant plus vraiment ce que je peux faire ou pas. C'est elle qui vient au devant de mes attentes. Elle écarte les siennes, et une pointe de langue pénètre dans ma bouche. Je laisse faire une seconde et j'active aussi ma langue. Jusque là, je n'ai encore embrassé que Lola. Mais ce baiser qui nous uni, ma mère et moi n'a rien à voir avec ce que je connais. J'ai l'impression qu'un brasier vient de me surprendre, que je me brûle à cette bouche qui m'offre le paradis. Le baiser dure un long moment, nos lèvres collées les unes aux autres, je ne cherche plus rien d'autre que la saveur incomparable de ce goût de l'interdit que nous bravons tous les deux.

Je voudrais qu'il ne finisse jamais, et elle ne semble pas avoir envie de l'interrompre non plus. Quel bonheur et je réalise que ce simple baiser, mais un vrai baiser m'a donné une érection monumentale. Les mains de maman se promènent sur mon front, mes joues, vont sur ma nuque, caressent mes oreilles et elle tremble de tout son être. Puis le sentiment d'avoir fait quelque chose de mal me submerge alors qu'elle se détache de moi !

- Pardon ! Pardon maman ! Je ne voulais pas cela !
- Ne t'excuse donc pas ainsi, s'il y a un coupable ce ne peut-être que moi ! Comme tu ressembles à ton père et comme ton baiser a le gout des siens. Merci de l'avoir pour un instant ramené vers moi. J'ai aimé cet homme plus que tout. Tout , mais pas plus que toi ! Toi aussi tu es mon amour et une maman se doit d'honorer sa parole, autant que faire ce peut ! Allez ! Je file prendre une douche et au lit ! Bonne nuit mon chéri et à demain !


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A-t-elle dit cela pour voir mes réactions ? La douche ! Elle m'attire irrésistiblement. Mais cette fois je suis beaucoup plus proche de la fenêtre d'où un rectangle de lumière s'échappe et éclaire la terrasse.
Et toujours la petite voix qui me dit :
× Vas-y regarde ! Mais regarde donc ! Vois ses jolies fesses ! Ces seins ne te donnent pas envie ? Tu voudrais bien y poser tes mains ! Hein ! Regarde-la se laver le cul ! Ne fais pas ton timide ! Tu bandes de la voir à poils !

Et l'autre qui lui revient comme en écho dans ma tête :

* Fabien ! Ce que tu fais, c'est dégueulasse ! C'est ta mère ! C'est son ventre qui t'a donné la vie. Tu ne dois pas avoir envie de coucher avec elle ! Va au lit, maintenant, laisse-la tranquille ! Elle sera tellement déçue, si elle sait ce que tu fais !

Mais qui peut dire que dans un pareil moment, il entend la voix de sa conscience plus que celle de ses envies ? Je n'échappe pas à cette règle et je vais lentement, jusqu'à pouvoir regarder ce qui se passe derrière cette lumière. Elle est là, comme ce matin, laissant couler l'eau partout sur ce corps qui me fait encore plus frémir. Les gouttes viennent s'écraser sur sa peau, rejaillissent en petits torrents qui dégoulinent tous vers ses pieds. Ils empruntent différents chemins, mais ceux-ci se retrouvent tous, au centre de son anatomie, pour finir en une vraie rivière en dévalant ses cuisses. Ses seins sont sous mes yeux, éblouissants de fermeté. Maman a dénoué ses cheveux et elle a de la mousse qui lui couvre toute la tête. Ses yeux sont fermés alors qu'elle masse énergiquement son cuir chevelu. Je peux tout à loisir détailler ce corps que je vois comme je ne l'ai jamais vu.

Ses pieds sont fins et bien calés sur le sol du carrelage de la douche. Surmontés de longs mollets eux aussi partant de chevilles d'une telle finesse, pour parvenir à des genoux sans angles saillants. Prolongés ensuite par deux cuisses juste musclées ce qu'il faut et c'est un ensemble parfait qui vient mourir dans une fourche où le sillon de sa chatte vient parachever un ventre plat.
Légèrement plus haut un nombril délicat, continue de souligner la montée vers une poitrine aux courbes alléchantes. Les doigts de ma mère s'incrustent dans la tignasse brune, blanchie par le shampooing, et elle frotte doucement en rejetant sa tête vers l'arrière. L'eau s'insinue partout dans la chevelure, puis finit par former une chute qui part de la pointe de ses cheveux jusqu'au sol. Cette opération importante terminée, elle laisse longuement couler le jet sans doute tiède sur ses épaules.

Je peux presque voir le grain de son épiderme, en tendant la main, si la fenêtre était ouverte, je sentirais sous mes doigts le velours de cette peau et bien sur, je bande violemment. Les paumes largement ouvertes, elle s'empare maintenant de chacun des seins, dans des gestes aussi simples que ceux qu'elle faisait pour ses cheveux. Là aussi, elle débute un savant massage, tournant lentement sur les globes et pinçant les tétons que je regarde enfler. Les mains gonflent l'ensemble de la poitrine par de minutieux passages dont seule maman connait les méandres luxurieux. Elle souffle fort, elle soupire et ensuite ses mouvements se portent vers cet endroit que je voudrais toucher moi aussi. Vers ce sanctuaire qui fait faire le yoyo à ma conscience. D'un index précis, elle tourne dans les poils, puis le même doigt étire quelque peu le haut de cette fente que je vois en gros plan.

Un petit mont rose apparait alors, coincé bientôt entre son index et le majeur ! Elle fait remonter ses deux doigts, en gardant le sillon ouvert, puis de son autre main, elle presse sur le bouton qui émerge de sa coquille. Le clitoris est en érection, comme ma queue qui tressaille dans mon slip. Je n'en ai pour l'instant jamais vu d'autre que celui de Lola. Mais ce que j'observe en ce moment, n'a rien de commun avec celui que je connais. J'ai sous les yeux quelque chose qui ressemble trait pour trait à une bite miniature. La pression exercée par la main, entraine cette excroissance à se développer encore et encore. Ce que je vois fait bien trois centimètres de longueur. Gros comme mon auriculaire. Et maman qui frotte cette chose avec le bout d'un de ses ongles. De sa gorge sortent des gloussements, couverts, mais si peu par le bruit du jet que distille toujours sa douche.

Alors que je l'imagine en transe, que je comprends qu'elle va jouir, je baisse mon short et mon slip. J'empoigne mon sexe fermement, mais je n'ai besoin d'aucun mouvement du poignet. En cinq secondes, en même temps que maman qui frémit de partout, j'éjacule sur le sol, les jambes légèrement fléchies. J'ai dans la tête des idées de viol, des envies de toucher cette femme qui pour l'heure, n'est plus rien d'autre que l'appel de mes sens. Elle est ce que je voudrais, elle est ce dont j'ai besoin. J'ai peur, de ne plus me maitriser et je me mords les lèvres, juste pour être certain que je ne rêve pas. Elle a une serviette et éponge ses cheveux, puis passe partout avec le coton sur tous les endroits qu'elle peut atteindre. Ensuite devant son lavabo, elle sèche longuement ses frisettes brunes. Elle n'a pas remis de peignoir, rien. Sa nudité intégrale m'agresse les regards, me rendant désespérément dépendant de cette cambrure, de cette chute de reins que je ne peux plus quitter des yeux.

Voila ! La lumière de la salle de bains vient de s'éteindre! Je reste en dehors de la maison encore un long moment. Pour calmer ces nerfs qui sont tellement en pelote, tellement excités que je ne pourrais pas dormir de toute façon. Je vais au devant d'autres lumières, celles de la rive lointaine, celles qui se reflètent dans les eaux maintenant couleur nuit de l'étendue d'eau. Assis sur le ponton, je laisse traîner mes pieds dans cette masse fraiche et j'essaie de faire taire les images qui restent accrochées au fond de mes yeux. Je les tourne dans tous les sens, essayant de me persuader que je n'ai rien vu. Les cloches de l'église du village viennent de sonner douze coups. Quelques larmes non maitrisées, se permettent de perler entre ces cils que je voudrais pourtant étanches.
Pardon ! Pardon muet pour toi ma petite maman !

La fraicheur de la nuit me ramène à la réalité et je fais un effort pour revenir vers notre chalet. La chambre dont la porte n'est pas vraiment close laisse passer un rai de lumière. Je fais le plus doucement possible pour passer devant.

- C'est toi Pirate ? Viens donc me faire un bisou ! Tu as fais une bonne promenade, Viens un peu près de moi !

Je pousse la porte qui ne grince pas. Elle est couchée, un déshabillé de soie ou de nylon blanc et rose lui cache le haut du corps. Son livre posé à plat sur le drap, elle me regarde entrer. Le sourire qu'elle me dédie ne me fait pas oublier que quelques minutes plus tôt, elle était si nue et si désirable. J'ai devant les yeux ce pic, ce Mont Blanc que j'ai eu tout loisir de détailler. Elle repousse son bouquin, me fait de la place pour que je m'assois près d'elle. Son bras tout naturellement est sur le mien, sa main douce et chaude venant croiser ses doigts avec les miens.

- Tu as des soucis mon Chéri ? Quelque chose ne va pas ? Je te sens tellement tendu, tellement différent depuis ce matin ! Tu peux tout me dire, tu le sais bien ! Des problèmes avec cette petite Lola ? Que je ne vois plus depuis quelques temps !
- Non maman, ce n'est pas ça ! Je n'ai pas envie d'en parler !
- Il est pourtant bon d'extérioriser ce que l'on garde au fond de soi ! Ensuite ça va toujours mieux ! Mais si ce sont des choses qu'une maman ne peut pas régler, alors je respecte ton choix ! Oh mon grand bébé ! J'espère juste que ce n'est pas trop grave !
- Ne t'inquiète pas pour moi maman, tout va pour le mieux et puis, j'ai revu un sourire sur tes lèvres aujourd'hui, alors je suis rassuré également !

Pendant que nous parlons, sa main n'a pas quitté la mienne. Je me penche un peu, pour venir lui faire un bisou sur la joue, mais c'est à ce moment là qu'elle incline la tête sur le côté. Ma bouche, emportée par mon élan se pose encore sur ses lèvres à elle. Curieusement, loin de me repousser, elle laisse nos deux bouches se river l'une à l'autre. J'ai même l'impression que ses doigts se crispent un peu plus fort dans ma main. Le baiser que nous échangeons n'a rien de chaste. Quand j'ouvre à nouveau les yeux, maman a éteint la lumière. Sa main, de la mienne est passée sur ma cuisse et dans le noir de la chambre, elle est remontée bien plus loin que la décence ne doit le permettre. Je mets un certain temps à comprendre que ce qui frotte sur ma bite, à travers de mes vêtements c'est ses doigts. Je ne dis pas un mot et quand elle fait descendre mon short, entrainant du même coup mon slip, je n'en mène pas large, j'ose l'avouer.

Je suis nu et je la laisse faire comme elle l'entend. D'un geste assuré, elle m'a couché dans le lit, juste à ses côtés. Je sens contre moi, la douceur de son corps, la tiédeur de cette nuisette qui la couvre. Elle et moi, nous n'échangeons pas un seul mot. Pour moi, sûrement de peur de rompre le charme de cet instant magique qui s'installe rapidement. Ses lèvres parcourent ma poitrine, s'attardant sur des points bien précis, mais comment fait-elle dans le noir pour savoir ? Elle lèche les pointes de mes seins qui sortent toutes dures de ce langoureux baiser. La langue est désormais accompagnée par sa menotte qui s'insinue entre mes deux cuisses, m'obligeant sans violence à les ouvrir le plus possible. C'est ensemble que la bouche et la main se rejoignent en cet endroit si émotif et sur cette gaule qui se redresse fièrement depuis le premier contact.

La bouche gobe le sexe raide, pendant que la main d'un geste souple du poignet fait coulisser la peau qui décalotte le gland. Quand j'étends ma main pour toucher un sein, la nuque ou n'importe quel endroit de son corps, elle lâche ma queue pour dire :

- Non Pirate, laisse moi faire, juste moi ! Ne touche pas s'il te plait ! Enfin, pas tout de suite !

Je n'insiste nullement et j'obéis aveuglément. Cette pipe n'a rien de comparable à celles que Lola me fait. C'est plus en douceur, comme si l'expérience où les années comptaient dans ce genre d'exercice. La bouche qui lape mon gland est d'une incroyable douceur et je sens parfois les dents qui mordillent le capuchon que les doigts rabattent sur ce dernier. Ensuite, je tente d'analyser toutes les sensations qui m'assaillent de partout ; je griffe les draps, essayant de retenir la montée de la liqueur que je sens arriver. Trop vite je fais des efforts pour ne pas éjaculer et je crois qu'elle a compris mon désarroi. Ses mouvements se ralentissent sans pour autant cesser totalement. Elle a glissé ses doigts plus bas que ce mat qu'elle garde en bouche. Et doucement, comme une caresse, elle me presse les bourses, triture mes couilles, me fait frémir de tout mon corps. C'est une innovation pour moi, surtout quand elle descend encore sa main d'un cran, entrouvrant mes fesses avec son index.

C'est comme une décharge électrique ! Son index qui vient de titiller mon anus. Je rêve tout éveillé ? Mais non ! Maintenant, elle exerce une pression constante sur les muscles qui se contractent encore. Elle insiste et le bout du doigt s'ouvre enfin le passage. C'est étrange, c'est bizarre, pas franchement désagréable. Une sensation de froid autour de ce doigt, elle vient de mettre un peu de gel pour faciliter l'intromission ! Maintenant d'une seule poussée, je suis enfoncé par le trou de balle. Les va et vient qu'elle débute, finissent par être agréables. Puis c'est bon, et ma bite dans sa bouche marque la mesure des avancées ou des reculades de cet index. Encore du gel puis son doigt ressort. Mais le vide qu'il laisse, est de courte durée.

C'est autre chose, de bien plus dur, de beaucoup plus volumineux qui bute contre le canal qu'elle a ouvert. J'ai vite compris ! Son gode c'est cela qu'elle commence à faire pénétrer entre mes fesses. Mais c'est tout en douceur, avec des gestes tendres. Et l'objet est déjà en moi de quelques centimètres ? J'ai seulement la sensation que mes chais s'écartent plus que de raison. Aucun bobo, aucune brûlure. Je sais qu'il est bien loin dans mon rectum. Elle ne bouge plus, quand soudain, les premières vibrations me font une impression inimaginable. Comment alors un limage en règle et j'en apprécie toutes les phases. Seulement, comme en parallèle elle a toujours sa langue qui suce mon gland, je n'en peux plus et enfin, dans un grand cri, je laisse partir cette semence que si longtemps j'ai retenu.

Je ne sais pas si elle a retiré sa bouche, si j'ai giclé en elle, je ne me rends plus compte de rien. Je sais simplement que des millions d'étoiles viennent de s'allumer, de prendre vie dans ma tête. L'objet dans mon fondement persiste encore de longues minutes à entrer et presque sortir. Je suis toujours sur mon petit nuage, me demandant si je rêve tout ceci, où si le réel dépasse largement la fiction. Elle a arrêté ses mouvements et la bite de latex est ressortie seule, au bout d'un long moment. J'ai le visage enfoui dans l'oreiller, et ses mains qui courent sur mon dos. C'est dans cette position que je finis par m'endormir.


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J'ai dormi longtemps ? Aucune idée, mais la chambre est déjà un peu éclairée par la lumière naturelle du jour, qui filtre par la porte non close. La première chose que j'entraperçois à ce réveil presque brutal, c'est deux magnifiques jambes, recroquevillées dans une position f?tale. Puis ensuite dans la luminosité diffuse qui perce lentement, je devine sous le satin rose et blanc de la nuisette, un sein qui émerge d'une poitrine juste soulevée par la respiration calme. La femme qui dort près de moi est de toute beauté. Ma main est attirée par cette peau qui me semble si douce. Je tends juste le bras et le contact est encore plus soyeux que ce que j'espérais. Je prends mille précautions pour ne pas éveiller la belle endormie. De peur de me faire jeter, de peur de rompre le charme fragile, qui nous a unis en début de nuit.

Je rampe lentement vers ce corps qui ne bouge que par la poitrine, au rythme lent des inspirations et expirations normales. La pauvre chose qui cache le haut du buste est aussi sur les fesses, mais c'est un jeu d'enfant que de soulever les pans qui ne sont plus retenus par une quelconque ceinture. Devant mes yeux ébahis, j'ai une vue sur la plus belle paire de fesses qu'il m'ait été donné de voir. Un sillon fend en deux cette masse blanche et tout au fond, plus brun que le reste de la peau, un oeillet qui me donne une érection somptueuse. Mes doigts vont très lentement sur ce cul qui m'enivre, qui m'interpelle. Ils glissent sur une peau douce, entre les deux demi-globes, pour ensuite lisser l'anus. Je ne réveille pas la dormeuse, alors mes gestes s'enhardissent et d'un doigt surement malhabile, je vais plus loin encore, vers le fond de la raie. Mon index arrive à l'endroit où débute la fente et sans trop de peur, il parcourt quelques centimètres de celle-ci.

Mon dard est extrêmement tendu, l'envie me tenaille le ventre, mais ce n'est plus d'une pipe dont j'ai besoin. Je commence à faire pénétrer le bout du doigt dans la caverne humide de la femme qui ne semble s'apercevoir de rien. C'est tellement fort, c'est tellement trop bon, cette envie que j'arrive à me coller contre le dos de maman. Je guide d'une main mon sexe vers le centre du sien. Elle ne remue toujours pas et je pousse tranquillement mon épée vers son fourreau. Elle grogne un peu, mais se colle encore plus à moi, épousant la forme de mon corps, comme pour recevoir plus facilement la bite qui cherche la porte.

Je donne juste un petit coup de rein et ma queue a trouvé ce qu'elle cherchait. Le reste c'est elle qui le fait en remuant des hanches ! J'entends qu'elle émet un petit son, soupir venu du fond de sa gorge ? Faisait-elle semblant de dormir ou bien n'est elle pas encore éveillée totalement. Je suis entièrement entré en elle et je débute des mouvements que je veux disciplinés. Mais elle aussi bouge et pas forcément au même moment que moi. Alors je ne bouge plus, je la laisse faire ; elle fait entrer et ressortir mon mat qui la fend de haut en bas. D'abord les mouvements sont d'une lenteur extrême, puis au fur et à mesure de son envie, de réveil, que sais-je encore, elle gigote plus fortement. Sa respiration est saccadée, ses soupirs emplissent la pièce qui s'allume sous le soleil naissant. Sa main par je ne sais quel miracle est venue se poser sur mes couilles et elle donne maintenant de grands coups de reins, qui m'enfoncent encore davantage en elle. Elle change de position aussi m'entrainant dans une autre forme de ballet. Finalement je suis sur elle, alors qu'elle griffe l'oreiller, quelle garde la tête dans le drap. Et je peux tout à loisir labourer la chatte qui est désormais tellement mouillée que j'entends les clapotis que mon sexe engendre à chaque entrée.

- C'est bon ! Oh oui Michel ! Baise-moi, cela fait si longtemps que j'attends ton retour ! Ta queue m'a tellement manqué ! Oh baise-moi plus fort ! Je t'en supplie plante toi en moi jusqu'aux couilles ! Oui ! Oui ! Comme ça ! Vas-y ! Oh j'avais oublié que c'est si bon ! Mon Dieu pourquoi as-tu attendu si longtemps pour revenir ! Michel ! Michel ! Je vais partir ! Cà y est je jouis ! Oh ouiiii ! Encore ! Encore !

Fait-elle exprès de m'appeler par le prénom de mon père, ne fait elle pas la différence entre lui et moi ? N'est elle pas entièrement réveillée, je n'en sais rien, mais je ne peux plus domestiquer mon envie, et je continue de la limer, pour moi, pour lui, pour nous. Elle hurle dans la chambre, elle crie ! Quand enfin ma délivrance arrive, mon sperme lui gicle à l'entrée de sa chatte, je la sens épanouie, presque heureuse et sa main de nouveau vient caresser la mienne. Elle me donne des dizaines de baisers doux sur le visage, sur le cou, descendant sur mon torse et j'ai encore droit à une douce fellation. Mon sexe englué par mon sperme, elle suce pourtant avidement cette queue qui se redresse encore. Je ne peux m'empêcher de me courber vers ce ventre béni, vers cette caverne dont je veux connaitre l'odeur et la texture. Ma bouche, pareille à une ventouse vient aussi se confondre dans un baiser intime qu'elle ne refuse pas. Je lèche le coquillage baveux, humide, salé. Je me délecte de cette caverne, du bout de la langue et elle se crispe sur ma tignasse en murmurant des choses que je ne veux pas entendre. Elle mouille abondamment et sa rosée de femme, me coule dans la bouche, nectar que je reçois comme une offrande. Elle réagit à chaque passage de ma langue ou de mes doigts dans cette chatte qui s'ouvre si bien sous les caresses. Elle jouit en me labourant le dos et en hurlant le prénom de mon père. Quand elle se calme, je me couche sur elle !

Je recommence à la prendre une seconde fois aussi, mais cette fois à la missionnaire, sans fioriture, et le bonheur que j'obtiens ne se dément pas non plus cette fois ci ! Notre corps à corps dure encore un long moment et c'est moi le premier qui me lève pour préparer le petit déjeuner. Quand elle se lève, comme si de rien n'était, elle a l'air radieuse !
- As-tu bien dormi « Pirate » ? Tu es bien matinal encore une fois !
- Et toi maman ! Est ce que çà va ? Tu es toute joyeuse ce matin !
- J'ai rêvé de ton père, il était merveilleux, comme toujours' Il m'a manqué, il n'est pas venu te voir toi ?