Soumise à son internaute - Partie 2

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 10/06/2012 par Scylla

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

J'avais oublié un dossier à la maison, ce qui m'obligea à y revenir pour le récupérer mais au moment de repartir, le bruit d'une voiture se garant dans notre allée attira mon attention.
Ma femme qui était sensée être à son cours de gym matinal descendait de la voiture suivie d'un homme.
Qui était-il : un membre de son club, un client et que devais-je faire ? Je décidais précipitamment de me cacher dans un placard que nous avions dans le salon, sous l'escalier qui menait à l'étage. De là, j'avais une vue générale de la pièce en laissant la porte entrouverte.

Depuis ma cachette, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Elle resta un moment ouverte et j'entendais ma Virginie dire :
- Viens, entre vite.
Une fois à l'intérieur, je les voyais s'embrasser fougueusement. Son amant lui malaxant le cul sans ménagement tandis qu'elle appréciait cette caresse en tortillant de la croupe.
L'homme la repoussait fermement et d'un ton autoritaire :
- Si nous sommes de nouveau chez toi aujourd'hui, c'est parce que j'ai demandé à mes deux associés de passer et...
Dubitative, ma femme lui rétorquait sans le laisser finir :
- Mais' mais pourquoi ? Je pensais que le contrat était signé la dernière fois ? Et'
-? et comme tu le sais, un homme d'affaire essaye toujours de conclure un dossier à son propre avantage ! Il se trouve que mes deux collègues sont prêts à investir à condition d'avoir les mêmes garanties et surtout avantages' si tu vois ce que je veux dire?
Virginie ne le voyait que trop bien ce qu'il voulait dire. Elle essayait de se convaincre qu'elle n'était pas une pute qu'elle faisait cela par plaisir mais d'un autre côté, il s'agissait quand-même d'un gros contrat pour elle.
- Et puis rien de tel que d'allier travail et plaisir, ajoutait-il en se servant à boire !
- Quand doivent-ils arriver tes deux comparses, Paul ?
- D'un moment à l'autre. Vas mettre quelque chose de plus approprié pour la circonstance, lui ordonna-t-il !
Je reconnaissais cette voix qui était celle du client qu'elle avait reçu les jours précédents et pendant l'absence de ma douce, l'homme sirotait son verre affalé dans notre divan.

Je me mordis les lèvres en revoyant Virginie, elle avait passé une robe qu'elle ne mettait plus depuis longtemps. Une robe qui mettait en valeur toutes ses rondeurs et que dire du décolleté magnifique sur ses beaux gros nichons.
Elle avait mis également des bas et visiblement un porte-jarretelles. Les jarretières étaient visibles eut égard à la longueur de la robe sur ses cuisses.
L'homme siffla et lui lançait qu'elle est magnifique comme cela et qu'elle devrait sortir ainsi habillée tout le temps afin que tous les hommes sachent qu'elle était une grosse salope qui aimait la bite. Elle protesta un peu, rougit même mais acquiesça que c'était vrai qu'elle aimait la bite.

La sonnette retentit, l'homme ordonna à ma femme d'aller ouvrir car c'étaient ses deux collaborateurs qu'il attendait. Prétextant que vêtue ainsi et si un voisin la surprenait ainsi sur le pas de la porte serait gênant. L'homme lui répondit d'un ton sévère :
- Et alors comme cela ils sauront que la voisine est une pute !
Virginie allait finalement ouvrir et là, j'entendis des voix d'hommes lui faire des compliments sur sa tenue.
L'amant les accueillait et ordonna à ma femme de les servir en lui indiquant de bien se pencher en avant pour mettre en valeurs ses charmes.
- Je vous avais bien dit qu'elle n'était plus très jeune mais qu'elle était encore bien foutue cette salope !
Côte à côte sur le divan, les deux hommes sirotaient à leur tour leur verre, Paul se leva et passa derrière ma femme. Il l'empoigna par les cheveux pour l'embrasser à pleine bouche tout en passant sa main libre le long du corps de Virginie.
- Regardez moi ce corps de femelle en rut, sa taille et ses hanches' hummm' c'est le corps d'une bonne pute ça?
Ma femme protesta un peu, son amant soupesa les nichons, les pressa et les malaxa même assez fermement et ajouta :
- En plus ses nichons sont énormes, elle a une bonne paire de mamelles bien agréable à travailler. Et le mieux encore, c'est quand elle est penchée en avant que l'on peut jouer avec ses pis.
Il s'adressa à elle :
- Elle aime ça la grosse vache à lait quand on joue avec ses pis' n'est-ce pas ?
Comme Virginie ne répondait pas, rouge de honte, il pressa violemment un sein la faisant grimacer et l'invectiva de dire la vérité à ses invités :
- Oui? j'aime beaucoup que l'on joue avec mes mamelles ça m'excite et me fait mouiller?

Un des hommes assit lançait :
- Tu ne nous avais pas menti, c'est vraiment une bonne grosse salope que tu as dégotée ! L'amant poursuivait sa présentation :
- Regardez moi cette bonne pute qui a la chatte en peau de bébé?
Et il remonta la robe dévoilant le ventre de ma femme sans culotte. Il exigea de Virginie qu'elle pose un pied sur la table basse, la faisant ainsi bien ouvrir ses cuisses.
- Regardez cela? une bonne chatte encore suffisamment serrée malgré les kilomètres de bites qu'elle a pris', il passa un doigt,? vous n'allez pas me croire, cette pouffiasse mouille déjà alors qu'on ne lui a rien fait !!!
L'amant glissa ses mains dans le décolleté et faisait sortir les nichons de ma femme en les tirant par les tétines :
- Voila c'est mieux ainsi non ?
Et il les faisait ballotter en disant :
- Mais vous n'avez pas encore vu le meilleur !
Il fit tourner ma femme pour la pencher en avant et remonta la robe sur son cul.
- Regardez moi ce gros cul', en le claquant,? la première fois que je l'ai vu je me suis dit que c'était un cul à prêter, d'ailleurs je ne m'en prive pas.
Il continua en lui mettant deux autres claques :
- Mais c'est surtout un cul à fourrer?, il lui écarta les fesses,? regardez moi ce trou du cul, il est bon à sodomiser? n'est ce pas salope que tu aimes avoir une bite dans le cul ?
Virginie gémissait sous les claques :
- Ouiii? ouiii? j'aime ça me? me faire casser le cul'
Il la redressa pour faire face aux deux hommes. Il commença à malaxer les nichons, à les pincer et à tirer sauvagement sur ses tétons ce qui faisait grimacer et gémir, même de plaisir, ma Virginie.
- Racontes à mes amis tout ce que tu refuses à ton mari et que tu adores faire avec les autres hommes.
Ma femme leurs dit alors :
- Paul vient de vous dire qu'il m'enculait à chaque fois, je préfère en fait me faire défoncer le cul que la chatte et je refuse depuis des années à mon mari la sodomie !
Le client maltraitait toujours les seins de ma femme qui se balançaient :
- C'est pas la plus grosse chienne que vous ayez rencontrée, les gars ?
Les deux hommes faisaient des commentaires encore plus salace. Ma salope de femme lançait à celui qui lui maltraitait les nichons :
- Tu sais y faire avec les salopes comme moi? ouiii?. c'est booon' ça me fait mouiller? ouiii? massacre moi les mamelles' hummm' vas-yyyy?.
Dans ma cachette et avec ma queue à l'étroit dans mon pantalon, je n'en croyais pas mes oreilles !!!

- Bon, tu ne vas pas laisser nos invités comme ça,? dit Paul à ma femme en lui claquant les nichons,? enlève cette robe et va leur pomper la bite comme la pute que tu es'
Ma femme s'exécuta et la voilà maintenant à quatre pattes faisant le tour de la table basse du salon. Elle tortillait son beau gros cul et ses mamelles pendantes se balançaient au rythme de son avancée.
Les deux hommes ouvrèrent leur pantalon et sortirent leur bite déjà bien tendue. Ma Virginie regardait ces bites avec des yeux brillant et couinait de plaisir en s'en approchant.
Le plus jeune de ses invités lui dit en se penchant :
- En tout cas nous ne sommes pas ton mari et nous allons te casser ton gros cul d'enculée, en lui mettant une claque sur les fesses.
Ma femme gloussait d'envie :
- Ohhh? ouiii, je l'espère bien et je vais vous sucer du mieux que je peux pour que vous puissiez m'enculer à fond mes salauds !!!

Virginie, toujours à genoux, se calait entre les deux et commença à leur lécher la queue et les couilles, à tour de rôle. Puis entama une masturbation régulière avec ses deux mains.
Les deux compères râlaient de plaisir tandis que Paul s'approchait du trio pour s'occuper violemment du cul de Virginie :
- Suce les pouffiasse ! Ne me fait pas honte, montre leur que tu es une bonne pute !
L'homme qu'elle suçait s'adressait à son amant :
- Putain' quand tu la fesses, elle suce encore mieux. C'est une sacrée bouffeuse de bite?
Paul se mit alors à maltraiter les nichons de ma femme : les cognait l'un contre l'autre, les étirait par les tétons et à un moment, tirant violemment sur un nichon pour l'allonger démesurément, ce qui fit gémir et grimacer ma femme :
- Aîîîeee? ouuuche? nooon'
Il appuya fortement sur la tête, lui empalant la bouche à fond et la maintenait ainsi. Virginie hoqueta et lâcha de la bille.
Son amant l'attrapa par les cheveux et lui imposa des mouvements rapide et violent de la tête sur la bite de l'homme qui se pâma.
Paul hurla :
- Voilà ! C'est comme ça qu'une bonne pute suce une bite !
Ma femme exultait et Paul lançait à l'homme :
- Regarde, comme elle aime ! Il faut lui enculer la gorge elle est juste bonne à ça, prendre des coups de queue !!!
L'homme ne se faisait pas prier, il agrippa la tète de ma femme et lui bourrait la bouche. Ma femme râlait, exultait, se tortillait du cul alors que son amant et le deuxième homme se mirent à maltraiter ses fesses et à massacrer ses mamelles.

La scène dura de longue minute, les bites changèrent à tour de rôle mais ma femme se faisait bourrer la bouche à fond à chaque fois. Mais le pire, c'est elle en redemandait chaque fois qu'une bite abandonnait son gosier !
Parfois l'un des hommes attrapait ma femme par les cheveux lui ordonnant de dire qu'elle est une grosse pute bourgeoise qui aime la bite :
- Ouiii? je suis une grosse chienne? j'aime les grosses queues bien juteuses'
Virginie répétait systématiquement cette phrase. L'homme lui crachait dans la bouche et ça excitait encore plus ma femme qui recherchait la bite qui oscillait devant ses yeux.

Le plus âgé ne tenant plus s'exclamait :
- Bon maintenant fini de rire, je vais me la faire !
Une fois debout, l'homme lui mit une fessée avant d'écarter les fesses et sans préavis, lui enfonça son index dans le cul :
- Putain ! Regardez moi cela, ça rentre tout seul !!!
Sa queue subit le même sort, il lui l'enfonça d'un coup sec à fond dans la chatte, fit quelques aller retour pour ressortir et l'enculer direct d'un grand coup de rein. Ma femme hurla de douleur, Paul qui se faisait sucer s'adressait à l'enculeur de ma Virginie :
- Bonté divine? tu lui as bien déchiré le trou du cul à cette ordure? S'adressant à elle maintenant :
- Mais toi continue de sucer grosse truie !!!
Il prit la tête de ma femme pour lui remettre sa bite dans la bouche puis la tira en arrière par les cheveux pour lui demander :
- Alors ça te fait mal, salope ?
Virginie lui confirmait la douleur qu'elle endurait. Paul lui demandait si elle voulait que l'on arrête de l'enculer. Là, ma femme se mettait presque à hurler :
- Nooon' je veux que vous m'enculiez à fond' ouiii? défoncez moi la rondelle?
Son client se remettait à lui bourrer la bouche et l'autre, derrière, sortait régulièrement sa bite du cul de ma femme puis l'enculait de nouveau à fond, d'un seul coup. Pendant de longues minutes, Virginie se faisait prendre en brochette et les hommes tournèrent à tour de rôle dans sa bouche et dans le cul.

Je voyais bien que ma femme prenait son pied et elle jouissait à plusieurs reprises. Les hommes l'insultaient, faisaient des commentaires sur son corps, sur le fait que c'est un vrai garage à bites.
Ma femme répétait à chaque fois leurs remarques et en redemandait à chaque fois lorsqu'elle se retrouvait sans bite dans la bouche et envoyait son cul pour se faire enculer jouissant même par l'arrière-train.
A plusieurs reprises, Paul lui demandait de hurler que c'est une grosse pute et qu'elle aimait avoir une bite dans le cul. Virginie le faisait à chaque fois et en criant toujours plus fort. Si les voisins étaient chez eux, ils auraient tout entendu.
Moi je bandais grave mais je n'osait pas me branler de peur de me faire découvrir. J'étais furieux de voir ma femme aime se faire enculer et prendre son pied avec une bite dans le cul alors qu'elle me refusait cette pratique.

Après avoir bien tourné ainsi, un des collaborateurs s'adressait aux deux autres :
- Maintenant on va lui montrer qu'elle est un véritable garage à bites, cette traînée !
Il s'allongeait par terre, Virginie, toute en sueur et les cheveux collés sur le visage replaçait correctement ses lunettes qui étaient prêtes à tomber à cause des assauts qu'elle subissait depuis un petit temps, s'empalait sur toute la longueur de la bite qui se dressait fièrement.
Paul se positionnait derrière elle, exerçait une légère pression avec son gland sur la rondelle qui céda immédiatement, la queue fut comme aspiré par ce trou divin. Tandis que le troisième lui bourrait la bouche sans ménagement.
Virginie gueulait et couinait tant et plus. L'homme couché, voyant des grosses mamelles s'agiter sous ses yeux, les maltraitaient sans retenue en les cognant l'un contre l'autre, les frappant, il les étirait tous les sens en les tenant par leurs tétines. contre le gros cul de Virginie.
Le troisième n'était pas en reste, en s'enfonçant à chaque fois à fond dans sa bouche, il ne manquait de la faire étouffer en y restant quelques secondes.
Virginie étaie secouée de partout, elle ressemblait plus à une poupée désarticulée qu'à une femme qui baisait normalement.
Les trois commentaient que c'était vraiment la plus grosse salope qu'ils connaissaient et qu'elle aimait vraiment la bite.
Ma femme, dès que la bite qui lui baisait la bouche n'y était plus, hurlait que c'était bon d'avoir trois bites en même temps et elle ne se privait pas de le faire savoir.
Et les trois salauds qui la besognaient repartaient de plus belle sur elle pour qu'elle jouisse encore plus.

Chacun, au bord de l'éjaculation, n'allait pas tenir encore longtemps et ma femme qui les suppliait de lui donner leur lait de couilles à boire.
Celui qui baisait la bouche de Virginie, lui retira les lunettes et vint poser son gland sous l'oeil gauche, en bloquant la tête avec sa main gauche. Après quelques secousses de sa main sur son membre tendu à l'extrême, son liquide crémeux et blanc se répandait sur le visage de Virginie qui en appréciait la chaleur.
Les deux autres faisant face à ma Virginie se branlaient, ma pute de femme léchait et suçait les glands tour à tour. Un des deux exulte lui ordonnant d'ouvrir la bouche, Virginie se jeta sur sa bite pour s'empaler la bouche à fond et se mettre à sucer comme une folle.
Les râles et les contractions de l'homme indiquaient qu'il éjaculait dans la bouche à pipe de cette putain qui continuait de sucer. L'homme prenait la tête de ma femme et s'enfonçait une dernière fois à fond, la tenait ainsi. Ma femme déglutissait petit à petit pour ne pas étouffer.
Le troisième qui n'avait pas encore jouit, la fit mettre à quatre pattes et profita que son trou du cul ne fut encore refermé pour l'enculer.
Mais il ne tint pas longtemps car après seulement quelques secondes, il se crispa les mains tenant fortement les hanches pleines de Virginie pour finalement remplir, de foutre, les boyaux de ma femme qui s'affalait sur le sol de notre salon.

Après un assez long moment de repos de silence uniquement troublé par les respirations un peu haletantes, l'amant de ma femme lui demandait :
- As-tu apprécié la participation de mes deux collaborateurs ?
- Hummm' ils m'ont bien baisée et fait jouir ! Leur bite est merveilleuse, de plus je n'avais jamais connue trois bites en même temps et c'est bon ! Je n'ai jamais autant joui de ma vie.
Paul ajouta qu'il n'y avait pas de problème mais que la prochaine fois elle devra leur vider les couilles en les pompant et que si elle n'arrive pas à les faire rebander, ils ne l'enculeront pas.
Alors ma salope de femelle cria presque :
- Ohhh ouiiii? quand vous voulez je serai votre vide-couilles'

Paul et Virginie se retrouvaient maintenant seuls. Il y eu un grand moment de tendresse entre eux : l'homme se tenant derrière mon épouse, la queue bien calée dans la raie de ses grosses fesses et il jouait avec les mamelles de ma femme comme s'il s'agissait de boules anti-stress.
- Tu es vraiment une sacrée bonne baiseuse ! Dommage pour ton cocu de mari qui dort tous les soirs avec une grosse salope dans ton genre et sans même en profiter.
Virginie lui répondit en se tournant légèrement :
- Je l'aime et je ne veux pas qu'il sache que je suis devenue ta chienne docile. Je veux qu'il pense que je suis une femme bien !
Cette réponse faisait rire Paul qui se rhabilla mais au moment de partir, il embrassa ma femme à pleine bouche en palpant ses nichons et son cul. Ma douce le repoussa doucement et s'agenouilla. Par la braguette ouverte, elle sortit la bite et commença à le pomper goulûment. Son amant exultait :
- T'es vraiment qu'une grosse truie qui veut encore du foutre, tu es insatiable?
Ma femme grognait, tout en lui pompant le dard et caressant les couilles :
- Juste une petite pipe pour que tu ais envie de revenir avec ou sans tes amis. Mais surtout que tu continues à me déchirer la rondelle !
Cette phrase le rendait fou, il attrapa la tête de ma femme et lui bourrait la bouche en disant :
- C'est sûr qu'avec une pute comme toi, je ne peux que revenir pour te casser le cul !!!
Parfois il se penchait et claquait violemment ou tirait durement sur un nichon. Au moment d'éjaculer, il sortit sa bite de la bouche pour se répandre sur le visage de ma femme :
- Voilà ! Comme cela tu ressembles vraiment à ce que tu es : une grosse truie ! J'exige qu'une fois parti que tu ramasses le foutre avec tes doigts et que tu le dégustes. Mais pour le moment, tu vas me raccompagner à la porte à poil et du foutre plein la gueule?
- Mais si?
- Tu n'as rien à dire ! Et s'il y a des voisins dehors, ils sauront qui tu es vraiment !
Virginie protesta quelque peu mais s'exécuta lui disant qu'il l'excitait grandement.

Ma femme referma la porte derrière ses invités avant de revenir au milieu du salon pour ramasser le foutre avec ses doigts comme lui avait ordonné son amant. Elle se caressa même les seins en gloussant de plaisir.
Virginie ramassa sa robe et partit en direction de la salle de bain. Souillée de la tête au pied et la voir déambuler nue dans notre salon renforçait mon envie de sortir de ma cachette et de me répandre sur tout son corps entier !
Je profitais du bruit de la douche pour sortir sans bruit de la maison, honteux mais terriblement excité. J'avais la bite tendue depuis le début n'osant pas me branler de peur de faire du bruit et d'être découvert.

Sur le chemin du travail, la scène que je venais de vivre repassait en boucle dans mon esprit et les questions fusaient.
Que devais-je faire? Lui dire que j'avais découvert ses écarts mais elle risquerait de mal le prendre, me taire ou encore la quitter ?
En fait ma femme semblait de plus en plus joyeuse et je l'espionnais régulièrement. Elle se faisait toujours baiser par le même homme, parfois avec une certaine tendresse mais le plus souvent de manière très hard. Je l'ai même vu lui pisser dessus et elle avait l'air d'apprécier d'être ainsi rabaissée. Parfois d'autres venaient les retrouver et ma femme en prenait de toutes parts.
Je ne parvenais pas à m'expliquer le fait savoir que ma femme était une grosse salope mais cela m'excitait grandement.
Ce manège dura quelques semaines, à en croire les mails qu'elle recevait, le temps pour Virginie de mettre en place les termes du contrat et ses annexes pour la société qui l'employait. Jusqu'au jour elle reçut celui-ci qui fut le dernier :
« Ma société m'envoie à Ottawa. Merci pour tout, saches que tu as été une maîtresse formidable à tous points de vue et je pense, sans me tromper, que tu en as tiré profit également. Si je n'avais pas été contacté par qui tu sais, tout ceci ne ce serait jamais passé.
Bonne continuation. Paul Dubois. »

Mais qui était ce mystérieux internaute qui tirait les ficelles en coulisses ? Tout cela allait-il se finir un jour?