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Proposée le 8/06/2012 par Scylla
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Ma femme et moi formons un couple tout à fait conventionnel : une vie épanouie et une sexualité devenue routinière au fil des années, tout en nous laissant aller parfois à quelques fantaisies entre nous.
Nos activités professionnelles nous amènent parfois à travailler depuis notre domicile et à y recevoir des clients. Mon bureau se situe au rez-de-chaussée de la maison tandis que celui de mon épouse Virginie se trouve au sous-sol, pièce spécialement aménagée pour son activité.
Une modification de mon emploi du temps m'a amené à repousser un déplacement et à rentrer en pleine journée pour devoir travailler sur un dossier très important.
Virginie était là également mais comme elle n'était pas seule, sûrement un client, je n'ai pas voulu la déranger et je ne me suis pas manifesté en restant le plus discret possible car on pouvait entendre tout d'un étage à l'autre.
Je les entendais parler sans vraiment écouter lorsque mon attention fut attirée par leur conversation. L'homme qui l'accompagnait lui faisait des compliments sur le professionnalisme de sa proposition technique et ajouta :
- Malgré le tarif élevé et si votre prestation est aussi généreuse que semble être votre poitrine, je pourrais me laisser tenter par votre proposition'
Connaissant mon épouse, Virginie devait être vraiment mal à l'aise à entendre ces propos, elle qui était de nature prude et complexée par son 95 E.
Sa poitrine paraissait d'autant plus opulente qu'elle était d'une taille moyenne mais à ses yeux, ses seins étaient trop volumineux, lourds et mous (par contre moi, j'adore).
C'est pour cette raison qu'elle porte souvent des tailleurs assez stricts et rarement des décolletés pour les dissimuler autant que possible.
De mon bureau je ne pouvais bien rien voir mais je l'imaginais très gênée... Je m'apprêtais à intervenir si l'homme se ferait trop insistant en espérant une sérieuse remise en place par mon épouse qui, j'imaginais allait intervenir sous peu... Malheureusement ou heureusement, c'est selon, rien ne s'est déroulé comme j'imaginais ! A la place des protestations de mon épouse, je l'ai entendue très clairement répondre :
- Si vous vous laissez tenter, vous ne serez pas déçue et pourriez en avoir encore plus qu'il n'y parait !
Je n'en revenais pas ! Ma femme si coincée et timide lorsqu'il s'agit de sexe devait avoir mal compris ! Mais la suite m'indiqua que non et elle se livra volontairement au charme de cet homme. Celui-ci encouragé par la réponse de ma femme ajouta :
- Des paroles, des paroles, je veux en être sûr avant de signer, il faut que je puisse juger par moi même de la générosité et de la souplesse de ce que vous me proposez? Allez c'est bien ouvre ta veste, non garde tes lunettes, mais oui c'est peut-être vrai, il semble y en avoir beaucoup plus sous ton chemisier quand tu ne caches pas tes trésors sous ton tailleur... Laisse moi toucher? oui c'est bien tu es très docile? hummm c'est vrai ils sont énormes, tu aimes que je te les caresses, laisse moi ouvrir ton chemisier que je puisse mieux voir tes gros seins... mais oui c'est incroyable ce sont de vrai melons bien murs' hummm' ta peau est douce? mets tes mains dans le dos, continue à te laisser faire, je vais enlever cet horrible soutien gorge qui cache tout ça? oh putain mais tu as de véritables mamelles de déesse? tu aimes te les faire malaxer? donne moi ta bouche...
Je devenais fou de jalousie mais en même temps je bandais comme rarement ! Je les imaginais s'embrasser à pleine bouche pendant que ce salaud pétrissait les grosses loches de ma femme !
Après ce baiser, l'homme commença à être plus autoritaire et plus cru dans ses paroles. Il savait que maintenant elle devait être excitée et se laisserait faire sans protester, il avait compris à sa passivité et à son silence que sous une apparence de rigueur professionnelle elle était en fait assez docile et soumise, ce dont je n'avais jamais vraiment profité, ayant peur d'aller trop loin.
- Virginie, t'es une sacrée salope, tu te laisses peloter les outres comme ça chez toi alors que tu es mariée, tu es une bonne salope ! Regarde comme ils sont gonflés, tu aimes ça hein te faire malaxer tes mamelles de vache laitière ?
- Hoo mon dieu j'ai si honte je ne devrais pas vous laisser faire mais oui c'est vrai j'aime ça, vous me rendez folle !!!
- Allez fout toi à poil maintenant que je regarde le reste... humm tu as un très beau cul, donne moi ta culotte... mais elle est trempée ! Tu fais la femme fidèle BCBG mais tu es en faite une truie en chaleur avoue, pose ton pied sur la chaise, voilà comme ça, caresse ta chatte... oui comme ça branle toi, ça te plait hein ? Avoue que tu es une salope !
Je n'en pouvais plus, je ne les voyais pas mais les imaginais : Virginie à poil offerte en train de se branler la chatte d'une main et malaxer ses mamelles de l'autre, devant ce pervers qui en profitait. J'étais partagé entre l'envie de descendre pour le foutre dehors et faire une scène à ma femme et celle de me branler en attendant la suite... Je suis resté dans mon bureau, sortant ma bite pour me branler lentement en écoutant silencieusement ma femme lui répondre :
- Ouiii vous avez raison je suis une salope, j'ai la chatte en feu regardez comme je me branle pour vous ! Hoo mon dieu si mon mari me voyait, j'ai tellement honte et en même temps je n'ai jamais été aussi excitée? faites moi tout ce que vous voulez je suis à vous'
- Oui tu es à moi, tu es ma salope, ma pute même, vas y branle toi la chatte encore et masse toi tes grosses outres pendantes... oui comme ça regarde comme je bande, tu as vu le morceau ? Regarde ce que tu vas prendre !
- Hoo lala elle est énorme, Monsieur ! Elle est deux fois plus grosse que celle de mon mari?
- Allez assez parlé putain, penche toi en avant et suce !... hummm oui c'est bon tu as une bouche à sucer et tu peux être sure que tu vas en bouffer de la queue avec moi, j'adore me faire sucer par des femmes à lunettes, Ouiii ma grosse salope continue tu aimes ça hein te faire ramoner la bouche pendant que je te malaxe les mamelles.
Il a continué à l'insulter en se faisant sucer pendant un bon moment, non seulement il devait être doté d'une grosse queue mais en plus il durait beaucoup plus longtemps que moi le salaud !
De mon coté je continuais à me branler et j'en ai même éjaculé sur mon bureau avant que ma femme ne termine de le sucer. J'avais honte de moi, de me laisser cocufier sous mon propre toit et en même temps je n'y croyais toujours, pas, Virginie, ma femme si amoureuse et si prude était en train de sucer un inconnu chez nous ! Au bout d'un moment, il lui a dit de poser ses mains sur son bureau et il a du se mettre derrière elle.
- Ho putain tu suces bien ! J'adore fourrer ma grosse queue jusque dans le fond de ta gorge mais maintenant on va passer aux choses sérieuses. Lève toi tourne toi? c'est bien, tu sens ma grosse bite contre tes fesses... vas y penche toi en avant et pose tes coudes sur le bureau, écarte bien les cuisses, voilà c'est bien, putain tu as la chatte qui dégouline, humm oui ça rentre tout seul, tu la sens ma bite qui rentre là ? T'aime ça te faire défoncer les mamelles pendantes sous toi hein ? humm oui vas y laisse toi aller, prends ça, t'aime aussi te faire claquer le cul hein ???
- Hoo mon dieu ! Ouiiiii elle est grosse, allez-y?? hummm fessez-moi je le mérite, je suis votre pute en chaleur baisez moi, ouii hoo défoncez moi la chatte, haaa oui malaxez mes grosses mamelles... haa c'est bon hoo je vais jouir... hooo haaa !
Elle devait se trouver dans la même position que le jour où je l'avais surprise entrain de tchater avec cet inconnu' mais si ce n'était pas un client et si c'était cet inconnu ?! Mes doutes s'envolèrent en écoutant ma femme se faire baiser, gifler le cul et en réclamer, je me suis remis à bander à nouveau et à me branler.
Tout en m'astiquant le manche, j'essuyais de mes doigts mon sperme sur mon bureau et le portait à la bouche. Par le passé, j'en avais déjà eu envie après m'être branlé seul, mais quand l'excitation retombait je n'osais pas le faire.
J'écoutais ma femme se faire insulter et jouir en me pinçant les tétons et lorsque le gars a joui en la traitant de grosse truie, de vache laitière, de sac à foutre et j'ai éjaculé une deuxième fois sur mon bureau en imaginant le faire sur le visage de mon épouse, honteux, jaloux et en même temps, me demandant comme j'allais gérer la situation.
Après avoir joui, le gars dit à Virginie :
- Humm oui? reste comme ça? j'adore remplir de foutre une bourgeoise mariée, je vais garder ta culotte et ton soutif en souvenir !
- Je? heu' d'accord mais vous ne direz rien à personne hein ? Je? heu' je me suis laissée aller mais j'aime mon mari (déjà ça de pris) et je ne voudrais pas avoir de problèmes et' c'est La première fois que je le trompe (ouf)?
- On verra ça, grosse pute ! Mais là je dois filer, j'ai des choses à faire, je ne dirais sûrement rien à personne. Mais on va se revoir, à la salle sûrement ou ici, avant cela il faut que je relise le contrat avant de le signer, ça me donnera l'occasion de réfléchir et de te remplir la chatte ou la gorge, peut être même le cul. Je pense que je vais ajouter au contrat des réunions hebdomadaires pendant les six mois à venir pour vérifier l'avancée de ta prestation, comme ça tu auras ta dose de grosse queue régulièrement, j'espère que tu ne croyais pas que j'en resterais là !
- Je? heu' bien monsieur, mais je vous en supplie ne dites rien à personne !
Je sentais que malgré son infidélité ma femme m'aimait, c'était le plus important pour moi et qu'elle regrettait peut être même, mais maintenant elle était coincée, si elle voulait son contrat et garder son image de femme fidèle, elle devait se livrer à cet homme...
- Je te laisse, lave toi la chatte avant que ton mari ne rentre, avec la dose que je viens de te mettre ça va dégouliner un bon moment sur tes grosses cuisses. Tu dois avoir quand même honte de toi de tromper ton mari j'imagine, mais bon quand on est une salope aussi chaude, on sait mentir à son mari. Je reviens la semaine prochaine arrange toi pour pouvoir me recevoir !
Et il est parti, je ne savais pas quoi faire, descendre lui dire de faire sa valise ou continuer à faire comme si je n'étais pas là... mais à un moment je l'ai entendue pleurer !
Alors je suis descendu. La pièce embaumait une odeur et un goût de bite ! Mais elle était là, toujours à poil, penchée en avant sur son bureau. Virginie sanglotait de plus belle mais je n'osais pas m'approcher d'elle.
Mon dieu qu'elle était belle ainsi avec ses mamelles lourdes et pendantes, les jambes écartées et le sperme débordant de sa chatte coulant sur une cuisse. Je bandais comme un âne à l'idée de me mettre derrière elle et de lui enfoncer, sans rien dire, ma queue dans sa chatte dilatée, pleine de foutre de son amant. De la pistonner longuement pour que la pièce raisonne de sa jouissance et d'éjaculer en elle afin de mélanger mon foutre à celui de son internaute. Mais elle se releva ce qui m'obligea à fuir et à remonter dans mon bureau'
Après avoir entendu mon épouse timide et coincée accepter les avances de son client, m'être branlé en l'écoutant se faire insulter et baiser sans ménagement, je me sentais vraiment humilié mais excité comme jamais. Je me demandais si son client allait vraiment revenir la baiser durant tout ce temps mais je venais de découvrir le cocufiage volontaire et ses turpitudes.
Les jours suivants se déroulèrent normalement. Lorsqu'un soir, en rentrant du boulot, Virginie m'annonça d'un ton presque détaché :
- Au fait M. Dubois, un des mes clients a téléphoné. Il doit passer demain matin pour finaliser un gros contrat mais il ne devrait pas rester longtemps... Tu veux être là pour le rencontrer ?
-? et bien je ne sais pas trop car... je dois partir en déplacement tôt dans la matinée mais je suis très content pour toi que tu ais pu avoir ce contrat, répondis-je en cachant au maximum mes vraies pensées !
Virginie devait être très contente de ma réponse sachant que je ne pourrais être là lorsqu'elle recevrait son client ou plutôt son amant. J'avais encore du mal à faire le rapprochement entre l'épouse prude et timide avec qui je partageais ma vie et la salope en chaleur que j'avais entendue réclamer de se faire défoncer et avouer qu'elle était une salope !
Le lendemain, je fis mine de partir à mon rendez-vous pour revenir aussi discrètement que possible dans ma « planque ». Je ne dus pas attendre longtemps avant d'entendre le carillon de notre porte retentir. Après avoir ouvert la porte, ma femme invita son client à entrer :
- Monsieur Dubois entrez donc. Est-ce que vous voulez un café ?
- Non merci je suis pressé, je suis venu vous apporter votre contrat. Je n'ai rien modifié, lisez-le...
A ce moment je me suis dis que cela en resterait là et que la baise entre ma femme et son client allait se transformer en un souvenir... jusqu'à ce que...
-? au fait si, j'ai tout de même ajouté comme nous en avons convenu un paragraphe sur les prestations hebdomadaires pour vérifier l'avancement du projet. J'aimerais que vous me le lisiez afin d'être sûre de n'avoir rien oublié ensuite vous la signerez ou pas...
- Je? bien Monsieur Dubois' heu je le cherche? ah le voici :
Annexe 1 au contrat de prestation entre Virginie... et Paul Dubois pour le compte de l'entreprise Tonic Gym.
Le contrat de prestation conclu entre les deux parties implique de la part de Paul Dubois, le versement de la somme de XXXXX dollars. De son coté Virginie... réalisera les prestations décrites sous mentionnées au contrat.
Pendant toute la durée de la prestation soit 6 mois, Virginie... présentera l'avancement des réalisations une fois par semaine à son bureau. Lors de ces rencontres, celle-ci accèdera à toutes les exigences de son client. Virginie... étant une putain elle devra obéir aux attentes quelles qu'elles soient : sexuelles, vestimentaires, etc... En cas de désobéissance, le contrat sera annulé et ne pourra donner lieu à aucune compensation'
La voix de Virginie s'était presque étranglée en lisant la fin de l'annexe au contrat mais elle ne protesta pas et au moment de signer, j'ai eu beau attendre un refus' rien sauf :
- Voilà Monsieur Dubois, c'est signé.
- Bien, bien, bien ! Alors comme ça c'est officiel hein ? Une grosse pute voilà ce que tu es !
J'imagine que tu ne souhaites pas que ton mari ou tes autres clients soient au courant ?
- Non Monsieur.
- Alors il va falloir non seulement être très obéissante mais aussi faire du zèle tu comprends ?
- Oui Monsieur
- Ce qui veut dire que désormais tu seras une... une quoi ?
- Je? heu' une pute Monsieur.
- Ha non c'est trop léger ! Sois plus imaginative, devance mes désirs allez une... ?
- Une grosse pute soumise Monsieur !
Dans mon bureau, le pantalon et le boxer sur les chevilles, la bite dressée, je me faisais reluire le manche d'une main tandis que l'autre alternait : caresses au niveau des couilles et astiquage des tétons. Je voulais attendre pour jouir et j'ai bien fait !
- Alors puisque tu es une grosse pute soumise approche-toi. C'est bien penche toi maintenant !... Comme ça, oui? humm' j'adore des mamelles pendantes comme les tiennes. Ouvre trois boutons' oui? penchée en avant, elles pendent bien tes mamelles de vache? allez caresses les' continue malaxe les bien fort, tu aimes ça te pétrir les outres hein ? Ton mari doit te le faire souvent avec la paire que tu as, il est plutôt du genre puceau caresseur ou mâle pétrisseur ?
- Ho Monsieur? humm ouiii? j'aime ça ! Mon mari est plutôt du genre puceau caresseur, il me les palpe parfois mais bien moins bien que vous la dernière fois, vous m'avez fait découvrir un nouveau plaisir.
- C'est bien. J'aime que tu me parles de ton intimité. Allez continue pendant que je relève ta robe sur tes reins. Ho lala? mais tu as la chatte trempée, ma grosse truie ! Ca dégouline sur tes cuisses !
- Humm' hooo? ouiii? c'est bon' caressez moi la chatte j'aime ça ! Vous avez raison je suis une vraie cochonne et j'ai tellement envie que vous me ramoniez?
Jamais auparavant, je n'avais entendu mon épouse parler de la sorte. J'ai continué à me branler lentement faisant attention de ne pas éjaculer trop vite.
- Avant de te saillir, tu vas déjà me sucer sale pute! Allez? active toi mieux que cela ! Je t'ai déjà dis qu'avec moi, tu allais bouffer de la queue? oui c'est mieux? j'adore les femmes mariées à lunettes qui sucent. Mais prend-la plus profond ! Je veux que tu l'empales dans ton gosier? humm ouiiii? tu es une bonne pute. Lève les yeux vers l'objectif que je puisse avoir de beaux souvenirs (je l'ai su plus tard en découvrant les photos de Virgine, il l'a prise en photo à de nombreuses reprises avec son téléphone, que ce soit en train de le sucer en se tenant les seins, les mains dans le dos ou ensuite par le coté en la baisant en levrette)? hummm ouiii? tu commences à te débrouiller, je pourrais même te prêter à des clients à moi !
Il faudra qu'on organise ça, tu diras à ton mari que tu es invitée à apéro amuse-gueule comme ça tu n'auras pas à mentir... houu' humm' sale pouffiasse, tu mets les bouchées doubles hein' ça t'excite l'idée de faire la pute pour mes clients' ouiii? humm' allez tourne toi, mets tes mains dans le dos pendant que je te baise debout. Je vais prendre des photos de tes mamelles ballottantes.
- Hooooo? mon dieu' ouiii? defoncez moi? ouiii que c'est boooon' encoooore allez y ça fait une semaine que je n'attends que ça !
- Tiens prends ça? je vais tellement te bourrer le fion que tu ne penseras plus qu'à ma prochaine visite, tiens' houche? ton cocu va pouvoir te baiser sans se sentir à l'étroit ! Je vais tellement te dilater qu'il rentrera sans que tu le sentes maintenant !
La pièce résonnait de leur accouplement bestial. A l'étage, je n'en pouvais plus car j'avais l'impression d'écouter un film porno bien hard sauf que c'était ma femme qui se faisait ramoner !
Je transpirais à grosse gouttes et ma bite me faisait mal.
Son amant m'excitait encore plus quand il parlait de moi à Virginie, comme j'aurais aimé être à genoux à leurs cotés, me branler en les regardant sous les collibets de cet homme dominateur !
Ils ont continué à baiser un bon moment, lui en insultant Virginie et elle en gémissant et en réclamant de se faire baiser, défoncer et en jouissant au moins 5 ou 6 fois.
J'avais honte mais la situation me plaisait vraiment ! A un moment j'ai compris qu'il allait se vider sous peu :
- Hoo putain' je vais te remplir de foutre, ma grosse vache ! Bouge pas' hoooo? hummm' hooo? haaa? ho putain que c'était bon, attends bouge pas je vais m'essuyer la queue dans ta raie du cul, la prochaine fois c'est par là que tu vas payer tes honoraires ! Allez c'est bon tu peux t'allonger par terre mais attention à ton tapis avec ce que je viens de te mettre ça risquerait de faire une belle tache ! Allez je te laisse, tu l'as bien méritée et t'es une bonne putain ! Je garde l'annexe que tu as signée. Rendez-vous la semaine prochaine à poil sous une robe moulante !
Cette fois ce n'était plus une claque sur le cul de ma femme que j'entendais mais la porte de la maison qui refermait cet épisode d'un érotisme que je n'aurais jamais imaginé vivre il y a une quinzaine de jours !