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Proposée le 5/06/2012 par Tara
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Vendredi 08H30, le réveil me tire du sommeil et me fait brutalement réaliser que je suis seule, mon compagnon n'est pas là, à mes côtés, situation anormale et désagréable de ne pas pouvoir émergé en collant mes fesses à son érection matinale. Après un appel sans réponse, je sors du lit inquiète afin de comprendre ce qui se passe. L'appartement est vide, émergeant définitivement des brumes matinales je retourne dans la chambre pour arrêter l'alarme et appeler Julien (mon compagnon). Saisissant le portable j'aperçois glissée en dessous une enveloppe portant mon prénom. Je l'ouvre et lis :
Mon amour, sois à 20h00 en bas de l'immeuble un taxi t'attendra, il connaitra ta destination. Une tenue élégante et sexy conviendrait parfaitement au programme prévu.
Erotiquement,
Julien.
Cette rapide lecture me rassure et me donne le sourire, je connais ces lettres, elles sont toujours le signe avant coureur de soirées très érotiques où Julien cherche toujours à repousser mes limites.
Avant de continuer, permettez-moi de me présenter. Je m'appelle Tara, bientôt trente ans je suis cadre dans une entreprise parisienne et à l'heure qu'il est, je cours sous la douche pour ne pas me mettre en retard pour le boulot et soulager mon joli petit abricot que je sens fort humide. Vous me direz qu'il réagit rapidement (ce qui n'est pas faux) mais c'est surtout qu'il se souvient des précédentes soirées qui avaient elles aussi commencé par une lettre dans le même style laconique. Il faut dire que mon homme est plus porté sur l'oral que sur l'écrit et ça aussi ma petite chatte le sait très bien' Bref, jet d'eau chaude sur la tête, dos plaqué contre la vitre de la douche je fends sans plus attendre le fruit mûre à point et sens sous la pression précise de mon index expert et vicieux mon clitoris durcir et échauffer mon bas-ventre. Je sens que je coule en pensant à cette soirée durant laquelle, à n'en pas douter, je ne vais pas cesser de m'étonner de ma capacité à me transformer en putain débauchée, en indécente chienne en chaleur au gré de ses envies. Les souvenirs que fait remonter l'idée de chienne en chaleur, associés aux mouvements rythmés sur mon bouton gonflé font exploser la décharge nerveuse qui me coupe les jambes. Sous l'eau chaude qui me délasse je reviens à la réalité et suis déjà dans l'esprit de la soirée qui m'attend, je ne peux m'empêcher de lécher le doigt qui m'a satisfaite dans une posture provocante. Le goût de mon sexe m'excite depuis toujours et plus particulièrement quand il enduit le sexe d'un beau mâle, délicieuse friandise?
La réalité me rattrape, il faut quand même penser à bosser, un rapide jet d'eau froide sur mes seins pour les garder fermes (ils ne sont pas mal du tout, je ne vous l'avais pas dit ?) et je sors me préparer.
Vendredi 19H45, la journée a été longue mais je suis presque prête, le dressing est grand ouvert et je cherche la tenue qui va faire la différence, la glace me renvoie l'image de mon sexe parfaitement épilé du jour même. J'ai opté pour une nouveauté, un petit triangle renversé qui couronne mon jolie petit abricot et qui j'en suis sûre sera faire son effet au moment voulu.
Deux, trois, quatre essais, la tenue est trouvée. J'opte pour une robe en soie un peu vintage d'une longueur tout à fait sage mais dotée d'un décolleté infernal. Accord parfait avec le cadeau que je me suis faite en sortant du boulot, ensemble de dentelle rouge vif composé d'un porte-jarretelle, d'un string minuscule et d'un soutien-gorge pigeonnant. A ce stade, en me regardant dans cet ensemble, j'ai une furieuse envie de me caresser mais l'heure tourne. Habillage, maquillage je suis prête à l'heure, oups ! petit oubli les boule de Geisha. Il ne sera que plus excité quand il découvrira que j'ai pris cette initiative, mon sexe sera alors un volcan bien serré avide de le recevoir. Pas le temps de les mettre maintenant, le taxi doit déjà attendre.
En effet, en bas de l'immeuble il bloque la circulation, je saute à l'intérieur, le chauffeur, un homme de couleur noire, me regarde avec insistance dans le rétroviseur je lui rends son regard et lui demande s'il connait la destination, il acquiesce et démarre. A peine partie, je comprends le comportement du taxi, dans la précipitation en m'engouffrant dans la voiture, un sein est sorti du décolleté et trône fièrement dans son écrin de dentelle transparent bien en face du rétroviseur. Avant même que j'ai pu esquisser un geste j'entends :
- Il est beau ne vous sentez pas obligée de le rentrer?
Malgré son aimable invitation je ne peux m'empêcher de couvrir le fugueur en marmonnant un remerciement pour le compliment. L'homme continue à me fixer par intermittence d'un air désolé, il est plutôt jeune, bien bâti comme le sont souvent les gens d'origine africaine, il a une figure assez avenante et son air déçu me fait sourire. Sans savoir vraiment pourquoi et dans un rire un peu gêné je redécouvre le sein tant désiré, je suis remerciée par un grand sourire est un merci convaincu. Après quelques secondes de cette exhibition j'hésite entre deux sentiments, l'excitation qui commence à m'envahir et la peur de l'accident vu l'intérêt que me porte le chauffeur. Quand je me vois en train de découvrir mon deuxième sein au regard curieux je comprends que mes envies ont pris le dessus. Doucement, je commence à les caresser, à les malaxer face aux yeux dans le rétroviseur, je m'échauffe petit à petit en caressant ma poitrine offerte, à travers la dentelle j'excite mes tétons pour qu'ils pointent un maximum. La situation qui commence à me faire perdre la tête gorge aussi mon sexe de cyprine, je sens les lèvres prisonnières du petit string gonfler et s'échauffer et la moiteur envahir mes cuisses. Toujours concentrée sur le regard dans le rétroviseur et sentant mes mains exciter ma poitrine je ne peux m'empêcher d'écarter les cuisses pour rafraîchir un peu mon entre jambe. Le chauffeur devant perdre lui aussi son sang-froid et ne voulant pas manquer une goutte du spectacle, qui dépassait maintenant le cadre de son rétroviseur, arrête alors la voiture en double file et se retourne. Voyant que cet arrêt ne me rassure pas et l'angoisse commencé à poindre sur mon visage, il me fait un grand sourire et me dit qu'il veut juste regarder et qu'il ne me touchera pas, c'est promis. L'excitation étant déjà très forte, je ne me pose pas plus de questions et continue mon show face à mon spectateur ravi, qui se caresse à travers son pantalon. Sa masturbation me rappelle aux bons soins de ma petite chatte qui maintenant en fusion inonde copieusement mon string. N'étant plus vraiment retenue par une quelconque forme d'inhibition je remonte ma robe pour caresser ce qui me semble être maintenant un volcan en éruption. La découverte de mes dessous rouges chicissimes qui me donnent, vautrée au fond de cette berline en pleine ville, l'air d'une escort girl expérimentée (alors que je ne suis qu'une petite bourgeoise coquine, soyons honnête?) décide mon chauffeur à sortir un sexe d'une taille impressionnante. Noir foncée avec de grosses veines qui remontent le long d'une hampe longue et large, tendue et légèrement recourbée, surmontée par un gland prodigieux, il le masturbe d'une main ferme tout en plongeant son regard entre mes cuisses découvertes, sur mon string qui ne cache plus grand-chose, je le sais puisqu'il est en train d'être englouti par ma vulve en chaleur. Ne voulant plus lui cacher la moindre partie de mon excitation, voyant ressurgir l'image de chienne en chaleur qui m'avait déjà terrassée ce matin je mis un pied sur chaque appui tête des siège avant et l'entre jambe ainsi offert à quelques centimètre de son visage, sa queue animale dans mon axe de vision, je découvre avec une lenteur de chatte mon intimité à son regard, écartant doucement mais largement mon string sur le côté. De son point de vue mon chauffeur doit être aux premières loges, face à ma fleur épanouie et à mon petit trou parfaitement épilé. Je sens alors sa masturbation s'accélérer et la hampe de son sexe se cambrer encore plus. Il ne peut pas non plus ignorer mon état d'incandescence, la cyprine qui imprégnait mon string étant maintenant étalée partout jusque sur mes cuisses. Je la sens couler entre mes fesses et en passant faire reluire mon anus indécemment exposé. Voulant plus que de simples caresses, mais pas prête à me faire prendre par le premier venu, je repense aux boules de Geisha au fond de mon sac. D'une main, à tâtons je trouve l'objet que maintenant mon sexe exige sous peine de fondre. Autant vous dire qu'il ne faut aucun lubrifiant pour lui faire passer l'entrée de mon sexe, j'avais dans l'idée de faire profiter mon chauffeur d'une pénétration tout en douceur, féline, ma chatte ne le permet pas et avale d'un seul coup les deux boules ridicules en comparaison de l'énorme engin qui ne cesse de grossir et qui maintenant me fait penser à un étalon en rut. Cette nouvelle image n'a pas pour effet de me calmer et je suis tentée d'aller lécher ce beau morceau de marbre noir juste à ma portée. Mais reprenant un instant le contrôle sur les délires de mes pulsions je crois plus sage de jouer avec l'objet qui s'entrechoque au creux de mon ventre. Je suis encouragée dans cette démarche par mon admirateur qui me voyant jouer avec la cordelette et titiller l'entrée de mon vagin, pousse un grognement qui fait encore un peu plus monter mon excitation. Pour l'encourager dans son expression je fais ressortir une des boules que j'imagine bien luisante puis la fais rentrer à nouveau. Je recommence plusieurs fois ce va-et-vient qui le fais grogner de plaisir et qui m'emmène au bord de l'orgasme. Pour me calmer, je ressors le pervers engin de sa cachette le sentant dégoulinant et poisseux. Je ne peux alors retenir l'envie que j'ai de le lécher et prenant des précautions pour ne pas en mettre partout sur ma robe je ramène les boules de Geisha à ma bouche sous les yeux pétillants de mon spectateur. Contente de mon effet, je commence à les lécher tout doucement, dégustant mon intimité tout gardant les yeux rivés sur mon chauffeur. Mes doigts (un seul ne suffisant pas) ont immédiatement remplacé le jouet et je n'hésite pas à montrer la belle énergie que je déploie pour me combler. Quand les boules me semblent bien nettoyées, je les fais rentrer l'une après l'autre dans ma bouche simulant la fellation que je fantasme de lui faire. Le spectacle doit être à son comble car après quelques tressaillements, des giclées blanches accompagnées d'un cri de délivrance viennent saluer ma prestation. Moi-même, la bouche prise par ma pseudo fellation, les doigts allant et venant dans mon vagin, je tremble, les jambes retenues par les sièges, la chaleur envahie tout mon corps dans une décharge nerveuse qui contracte mon vagin autour de mes doigts, cuisses offertes, sexe ouvert je cris ma jouissance.
Et dire que la soirée n'a pas vraiment commencé...
1er épisode fin