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Proposée le 30/05/2012 par Lenny
ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Intro:
David est musicien et a depuis 3 ans une copine qui s'appelle Mélissa, une belle femme aux cheveux châtain, fesses rebondies, seins fraichement refaits, un sourire magnifique, des yeux de biche, des lèvres pulpeuses bref la femme parfaite à ses yeux !
Seulement voilà David peine à satisfaire sa copine avec son pénis de 10cm, de plus lui sont apparus des problèmes de précocité constants. Cela lui était déjà arrivé de temps en temps mais maintenant cela lui arrive à chaque fois, Il ne veut pas consulter un sexologue pour ne pas nuire à son image de musicien célèbre, Mélissa devait ronger son mal en patience, le faisait-elle ?
I
- C'est moi je suis rentrée chéri !
David s'empressa de quitter son film porno et eut tout juste le temps d'enfiler un caleçon le pénis encore en érection !
- Qu'est-ce que tu faisais ?
- Ben rien je t'attendais'
- Ah?
Mélissa posa son sac accrocha sa veste au porte manteau, pris son paquet de clope et vint s'asseoir au coté de David dans le canapé.
- Ben tu me dis pas bonjour ?
- Ah si excuse moi !
Elle lui fit un bref baiser qui ne manqua pas de lui faire tenir son érection tant le contact même bref de ces lèvres pulpeuses l'excitait.
- Tu n'a pas oublié que ce soir mon chef a invité toute l'équipe pour le cocktail de fin d'année chez lui, on doit venir avec nos moitié, tu n'es pas habillé, j'espère au moins que tu es lavé ?
- Ah oui j'avais oublié, tu ne peux pas aller toute seule ?
- Non, à chaque fois tu te défiles !
Elle allume une clope visiblement énervée. David toujours en érection ne put s'empêcher de la scruter en train de délicatement inhaler la fumée et la libérer de ces lèvres en un nuage de fumée bleutée. Il se jeta sur ces lèvres l'embrassant fougueusement, la renversant dans le canapé, elle sentait sa queue déjà toute dure contre elle !
- Qu'est-ce que tu fais, on a pas le temps, va t'habiller on doit être là-bas dans 1h.
Il la releva et lui présentait désormais sa queue au garde à vous !
- Si tu m'autorises un câlin je viens et reste jusqu'à la fin !
Elle tira sur sa cigarette comme pour réfléchir, vit la queue droite d'excitation, elle ne voulait pas céder mais compte tenu qu'il lui assurait de venir, elle accepta et puis de toute façon cela ne durerai guère longtemps !
Elle prit la queue de David de sa main libre et commença une lente masturbation !
- OH oui !
Il était déjà fou d'excitation, elle, commençait à l'être aussi du fait de voir son copain dans un tel état !
Elle embrassait la base du gland, le lécher, puis prit désormais la bite en bouche, elle la lui pompait creusant ses joues comme pour aspirer l'excitation qui pour lui monter de plus en plus !
- Attend je vais venir !
Elle retira le sexe de celui-ci en laissant trainer ces lèvres le long de la verge qui a peine libérée de l'étreinte de la bouche de Mélissa trésaillait ! David se concentrait pour ne pas éjaculer, mais il ne put se contrôler quand elle, seulement du bout de ces doigts lui reprit la bite ! Il éjacula par de nombreuses giclé une quantité importante de foutre qui atterrit directement sur le chemisier de la belle qui restait immobile tant elle fut surprise de la vitesse des jets !
- Bien joué ça fait le troisième chemisier que tu me tache de cette façon !
- Désolé dit-il en culpabilisant, je vais me préparer.
Elle regardait l'ampleur des dégâts, prit une taffe sur sa clope et se rendit compte qu'il n'avait même pas tenu le temps qu'une clope se consume de moitié !
- Effectivement cela n'a pas durer longtemps ! Elle finit sa clope et partit changer de chemisier, frustrée de ne même pas avoir été pénétrée !
II
- Eh ben vous en avaez mis du temps !
- Ah désolé David était en répétition, mais il a pu se libérer quand-même.
Tout le monde était dans le hall, femme en tailleur, homme en costume, verre de champagne, caviar, cigare, musique jazzy? ah le monde des affaires, il faut toujours qu'ils fassent tout en grand !
- Faites comme chez vous ! Dit le patron de Mélissa.
Rapidement vint vers nous le fils du boss, la vingtaine, blond, sportif, bronzé, sourire Colgate.
- Mélissa, comment tu vas ? Mon père ne te fatigue pas trop j'espère ?
Il lui fait la bise en caressant sa hanche, avant de discrètement toucher ses fesses rebondies.
- François ! Eh bien non ça va, la preuve en est, je suis venue ! Dit-elle de son plus beau sourire.
- Tu es magnifique ! Comme à l'accoutumée d'ailleurs !
- Oh merci ! Mais toi aussi, quel bel homme, dit-elle en riant !
Je rêve, les deux me zappent carrément, même pas un regard, il la fait rire pour un rien, j'ai l'impression qu'il la drague, il m'énerve.
- Je vais passer un coup de téléphone, dis-je pour échapper aux exploit de voyage qu'ils rabâchent depuis le début.
Je me ballade dans la maison et arrive dans une chambre, cela ressemble à une chambre d'amis, soudain j'entends des bruits de talon approcher, ainsi qu'une voie d'homme, je me précipite dans le dressing !
Mon sang ne fit qu'un tour quand je vis Mélissa accompagnée de François !
- Je croyais qu'il ne viendrait pas !
- Mais c'est à cause de ton père ça, il voulait absolument qu'il soit là, mais c'est pas grave mon choux, j'arrive quand-même à trouver du temps pour toi !
Je tremblais d'énervement, mon c'ur palpitait, je savais ce qui allait arriver et j'étais tétanisé tandis qu'elle se rapprochait de lui l'oeil coquin puis approcha ses lèvres des siennes tout doucement avant de l'embrasser langoureusement, de mon point de vue je pouvais voir les langues tournoyer ainsi que les mains de François pendre à pleines mains les fesses de Mélissa à travers son pantalon ! Il l'a animalement collée à lui tel un danseur de tango !
- Humm, gros coquin !
Elle descendit le long de son corps pour défaire la ceinture de François, je me surprenais à aimer cela, je sentais dans mon bas ventre une telle excitation !
Le pantalon de celui-ci aux chevilles on pouvait d'ores et déjà l'énorme queue que tentait d'emprisonner son slip, en vain, sa bite bien que coincée par l'élastique était sortie du slip, du moins le gland qu'elle commençait par embrasser délicatement !
Je me sentais tiraillé entre la colère et l'excitation qui montait en moi par des spasmes érectiles qui ne manquaient pas de me faire bander !
- Elle m'a manquée celle la ! Dit-elle !
Je n'avais rien vu, aucun signe de leur relation jusque-là, je découvrais tout ce soir !
Je n'avais qu'une envie maintenant c'était de me branler, mais le bruit de ma ceinture risquait de les déranger, je me contentais de serrer ma queue à travers mon pantalon.
Elle donnait des coups de langue sur le gland, embrassait la verge à travers le slip en regardant fixement François qui jubilait.
Elle libéra enfin la queue du slip pour la prendre en main et commençai la masturbation. Je n'avais jamais vu une queue aussi impressionnante, elle faisait facilement le double de la mienne, je me sentais humilié et malgré tout j'aimais cela !
Elle accélérait la masturbation tandis qu'elle approchait sa bouche qui en engloutissait une partie, ce qu'elle pouvait je suppose du fait du membre impressionnant de son amant. Il laissa échapper un gémissement pendant que je sentais mon boxer me coller du au liquide pré-éjaculatoire qui s'échappait de mon sexe en totale érection au point de me faire mal !
Elle le pompait divinement bien, aspirant la queue jusqu'au fond de sa gorge !
- Montre moi tes seins, je vais venir !
Je sentais moi aussi l'éjaculation venir par pulsation éjaculatoire, je me concentrai pour ne pas éjaculer sur moi mais la vue de Mélissa qui déboutonnait le haut de son chemisier, bite en bouche, fut plus forte et je sentais mon pénis se contracter pour cracher plus fort, plus, de sperme sur moi, j'urinais du sperme !
- Haha !
Il éjacula lui aussi de longues trainées, Mélissa eut juste le temps de se retirer et je voyais de long jets atterrir sur la poitrine et le chemisier de ma belle qui n'eut pas le temps d'écarter et de déboutonner suffisamment celui-ci pour qu'il ne soit touché.
Mélissa nettoyait la queue de François en la prenant en bouche une dernière fois tandis que je remarquais l'ampleur des dégâts en touchant mon caleçon littéralement trempé et qui me collait à la peau !
- Je m'occupe de toi plus tard, tu sais bien qu'il me faudra une nuit entière pour faire tout ce que je veux.
Il remonta son pantalon, releva Mélissa, lui essuya le sperme qui recouvrait sa poitrine et reboutonna le chemisier.
Il l'embrassa délicatement et s'en alla rejoindre les invités, Mélissa fit de même après s'être remis du gloss.
Je sortait de ma cachette quand les lieux furent sécurisés pour les rejoindre.
III
Au milieu des invités je vis Mélissa venir vers moi et je distinguer des taches, des goutes de sperme on ne peut plus voyante sur le col du chemisier en satin rouge !
- Désolé j'ai du aller voir un dossier avec François, j'ai pas été trop longue ?
- Non ça va !
Je l'embrassa pour gouter au gloss sur ces lèvres qui 5 minutes auparavant suçait divinement bien la queue de François.
François vient vers nous :
- Cigare ?
- Non, merci !
- Mélissa ?
- Ah je veux bien !
Elle prit le Cohiba en bouche pendant que François portait la flamme du zipo vers le bout du cigare, je remarquais alors que la manche de ma belle était elle aussi tachée d'une trainée de foutre qui dégoulinait le long de son avant bras ! Elle ne s'en souciait pas, l'avait-elle remarqué ? Je remarquais aussi qu'elle pointait sous son chemisier, elle était excitée, autant que moi ? Elle allumait le cigare en pressant du bout de ces lèvres le Cohiba tout en regardant François de son regard le plus sexe ! Je ne peux m'empêcher de la regarder, de regarder ses lèvres presser le cigare, les traces de gloss sur le bout du Cohiba, les gouttes de sperme sur son chemisier, ces joues qui se creusent lors de l'inhalation comme lorsqu'elle pompait la queue de François, ces lèvres qui laissent échapper de gros, de lourds nuages de fumée qui venaient flotter dans l'air, la voir exhaler la fumée vers le visage de François et lui sourire, je la veux, je veux baiser ma salope !
- C'est un barreau de chaise venu de Cuba, dit il en se la jouant !
- C'est vrai qu'il a bon gout dit-elle.
- Venant d'une amatrice de GROS cigare me dit-il en riant ! Je la regarde, elle rit aussi !
Je prend un air étonnée, je le vois qu'il se fout de moi.
- Ben oui tu sais très bien que je suis amatrice de cigare, tu m'as déjà vu en fumer quand-même me dit-elle et je la voit lever les yeux aux ciel puis regarder François et lui sourire.
Son patron nous rejoint :
- Ça va, tout se passe bien ?
- Oui merci Richard, dit-elle tout enjouée, j'esquisse un sourire et soudain je le vis bloquer sur le chemisier de Mélissa, il dut remarquer la trainée de foutre sur sa manche lorsqu'elle amena le cigare entre ses lèvres. Elle exhala la fumée vers lui.
- Il y a quelque chose qui va pas Richard ?
Il lui sourit, lui attrapa le col de son chemisier taché comme pour mieux voir l'ampleur des dégâts.
- C'est juste que je vous trouve magnifique ce soir, vous en avez de la chance me dit-il, je lui souris.
- Oh merci Richard, vous êtes très en forme vous aussi ! Dit elle sourire aux lèvres.
Je me penche vers elle et lui chuchote dans l'oreille :
- J'ai envie d'un câlin tout de suite, j'ai envie de toi, on va s'éclipser ?
- Oh non, on a essayé tout à l'heure, t'as été encore trop rapide, vas-y tout seul ! M'a répondu Mélissa à haute voix !
Richard et François rirent en c'ur, je ne savais plus où me mettre, savaient-ils pour mes éjaculations précoces, avaient-ils deviné ?
Je prétextai devoir téléphoner pour sauver la mise et éviter toute moquerie.
Je me suis alors dirigé vers les toilettes pour soulager mon envie pressante de me masturber, me suis retourné pour vérifier ce qu'elle faisait avant: elle fumer son cigare, François était comme absent de la discussion, Richard était penché vers Mélissa, il lui parlait dans l'oreille, elle acquiesça tout sourire, il l'a prise par la main et ils se sont échappés en toute discrétion à l'étage, je les suivais mort de curiosité !
Mélissa, toujours avec son cigare, rentra dans une pièce, un bureau, Richard qui deux pas derrière elle la suivait, matait sans aucune discrétion son cul qui dansait au rythme de ces pas, quelle démarche féline, érotique, bandante, Mélissa était bandante !
Je m'empressai de leur emboiter le pas, mais trouvai porte close, je me suis alors dirigé vers la porte à coté qui menait à un dressing rejoignant le bureau, la chance.
Il met de la musique:
- Alors comme ça vous avez un dossier qui va changer ma carrière ?
- En effet, je vous offre le poste de directeur Régional si vous réussissez votre mission, vous êtes prête à tout ?
- Bien-sur, n'importe quel sacrifice ! Dit-elle en riant.
Il s'approche d'elle, tourne autour d'elle, scrute les moindre recoin de son corps, elle, a l'air mal à l'aise, prend une bouffée de son cohiba comme pour se donner bonne contenance.
J'attends dans mon coin, et pris la précaution cette fois de déboutonner mon pantalon, j'ai la queue en l'air, déjà alors qu'il ne s'est encore rien passé !
- Pouvez vous attraper la pochette sur le bureau ?
- Bien-sur !
Elle essaya de la prendre, soudain il arriva derrière elle, se colla contre elle, qui désormais était bloquée contre le bureau, grâce à son ventre imposant elle ne pouvait se sortir de cette position, elle gesticulait, ce qui plaisait à Richard qui avait sa queue qui se faisait plus ou moins caresser par les fesses de ma belle
- Richard s'il vous plait, arrêtez votre petit jeux ce n'est pas marrant disait-elle d'une voix désabusée.
- Tu ne vois pas oà je veux en venir Salope, tu ne sens pas la entre ton gros cul !
- Ah là c'est marrant ! Elle ondulait ces fesses pour mieux exciter son patron.
Je commençais alors une lente masturbation, excité à la vue d'une salope chauffant son patron quasi 3 fois plus vieux qu'elle !
Il lui renifler les cheveux, embrasser son cou, ses joues, puis il la « libéra » pour la retourner et la placer dos sur le bureau, il se jeta sur ces lèvres, ils s'embrassaient comme deux bêtes sauvages, c'était bestial !
- Déboutonne ton chemisier que je vois voir tes nibards !
Elle s'exécuta, prenant son cigare encore allumé en bouche pour déboutonner son chemisier de ses deux mains, lui enlever le pantalon et je découvrais alors son énorme queue qui, dure comme de l'acier, pointait vers le plafond, la mienne en faisait de même !
- Putain que t'es bonne salope !
Elle posa son cigare dans le cendrier comme pour signifiez qu'elle était prête pour les choses sérieuses.
Il lui malaxait un sein d'une main, lui caressait la chatte de l'autre et embrassait l'autre sein.
- OH ! Richard je veux que vous me baisiez !
Il ne patienta pas et pénétra de coups de reins violents Mélissa qui gémissait de plus en plus fort, la musique ne camouflait que peu ses cris de plaisir intenses !
Ses seins dansaient, sautaient à chaque coup de rein qui la faisait gémir, elle enroulait ses jambes autour de lui, s'agrippait au bureau comme pour que sa pénétration soit encore plus violente !
Je ne pouvais m'empêcher de gémir autant qu'elle, c'était camouflé par la musique, ses gémissements, les grognements de Richard et le bureau qui lui aussi subissait leur baise sauvage !
Il la retourna alors, elle s'accoudait désormais au bureau s'offrant littéralement à lui ! Il reprit ses coups de boutoirs incessants qui la faisaient gémir encore plus fort et il lui agrippait l'épaule pour qu'elle s'empale plus violemment sur sa queue.
J'accélérais ma masturbation sentant l'éjaculation arriver, pendant que Mélissa s'emportait dans une jouissance, un orgasme aussi violent que l'acte qui l'a provoqué, elle gémissait s'agrippant au bureau, faisant tomber de celui-ci feuilles, stylos, claviers d'ordinateur ! J'éjaculais en jets, éclaboussant les vêtements du dressing maintenant maculés de mon sperme que je n'ai su contrôler !
Il sortit sa queue, elle, s'affalait alors sur le bureau, il en profita alors pour éjaculer sur le dos de SA salope, tachant, souillant son chemisier définitivement en allant jusqu'à se ressuyer la queue sur la douce soie du chemisier, il laissait en quelques sortes son empreinte, avait marqué son territoire. Elle ne remarqua rien dans l'état de béatitude dans lequel elle était !
- Merci, Mélissa !
Elle le regarde par-dessus son épaule et lui sourit :
- C'est moi qui vous remercie !
Il se rhabilla pour rejoindre ces hôtes tandis qu'elle se remettait de ses émotions en enfilant lentement son pantalon. Toujours caché, je la voyais reboutonner son chemisier et elle faillit presque découvrir les « empreintes » de Richard quand elle toucha presque les longues trainées de foutre en remettant son chemisier qui lui collait à la peau du à la sueur dans son pantalon.
- Je vais faire un petit cadeau pour le remercier !
Elle prit son string qu'elle n'avait pas remis pour le suspendre à la lampe du bureau.
Je me dépêchais de rejoindre le hall et les invités pour ainsi découvrir les regards choqués, excités, moqueurs de ses collègues !
IV
Arrivé dans le hall, je découvre Mélissa qui descend des escaliers, sure d'elle comme à son habitude, la démarche féline. Les invités découvrais alors le dos de son chemisier souillé de foutre qu'elle n'avait pas remarqué. Ses collègues féminines la dévisageaient, se moquant alors des hommes qui louchaient, bavant à l'idée de se faire leur collègue qui apparait clairement comme une salope, ils fantasmaient déjà auparavant, qu'en serait-il maintenant ?
Elle m'embrasse délicatement et est tout de suite interpellée par 3 de ses collègues masculins qui lui parlent de choses et d'autres. J'en profite ainsi pour me mettre derrière elle et ainsi regarder de plus prés le sperme qui dégouliner le long de son dos, je me plaçais alors contre ses fesses pour qu'elle, je l'espère sente ma queue qui commençait à durcir, se décollant petit à petit de mon boxer rempli de foutre séché !
Durant le reste de la soirée, plusieurs hommes sont venus discuter avec nous, souvent seuls, les hommes accompagnés de leur femmes regardaient du coin de l'oeil ma belle, analysant ses faits et gestes.
Mélissa avait l'air totalement à l'aise avec cette attention particulière de tous ces hommes, qui lui ramenaient régulièrement une coupe de champagne lorsque la sienne était vide, j'avais toujours ma queue en érection contre ses fesses rebondies qui bougeaient au moindre mouvement pour le plus grand plaisir de mon sexe. Ne tenant plus, je ne pouvais m'empêcher de lui faire des bisous dans le coup, des légers baisers, de lui renifler ses cheveux, de lui prendre les hanches, malheureusement cela ne freinait bon nombre d'idée de ses collègues :
- Je vous l'empreinte pour finir un dossier.
- Encore ?
- Et oui on ne chôme pas ici !
Mélissa suivit Baptiste dans la chambre d'amis, j'avais repéré les lieux tout à l'heure et n'eus aucun mal à me faufiler dans le dressing pour la découvrir déjà à la sucette, elle s'y appliquait en embrassent le gland, le léchouiller, le prendre en bouche laissant trainer ses lèvres pulpeuses le long de la verge, lui malaxant délicatement les couilles quand soudain il s'énerva, je le vis la relever violemment la tenant par le col de son chemisier, il l'a regarda fixement quand il lui arracha, déboutonna son chemisier laissant libres ses nichons desquels pointaient d'excitation ses magnifiques tétons.
Il l'embrassa goulument, lui enleva son pantalon et la prit violemment sur le lit dans différentes positions : missionnaire, levrette qui me faisait face, je pouvais voir Mélissa grimacer, gémir, suffoquer d'excitation devant moi. Enchainant les coups de bite violents, faisant jouir Mélissa, François s'épuisait, elle le remarqua et l'allongea histoire de s'empaler sur lui ! Durant ce rapport elle eut autant d'orgasme que moi c'est-à-dire trois ! Quand il sentit qu'il venait, il est sorti d'elle afin de lui couvrir la face de sperme ! Elle reçut de gros jets puissants sur son visage de salope, elle essuya même la queue de François en le regardant fixement et lui souriant comme pour signifier qu'elle fut satisfaite de ce rapport !
Je me dépêchais de rentrer suite à cela, l'attendant dans notre lit, impatient de la voir arriver !
Quand elle rentra je la vis se diriger directement vers la chambre prétextant être fatiguée, je montai dans la chambre et la vis au lit, elle avait retiré son chemisier. Par curiosité je récupéra celui-ci dans la bassine de linge sale pour y découvrir les taches de sperme maintenant séchées que je ne manquais pas de raviver en me masturbant avec le tissu satiné du chemisier, me remémorant cet magnifique soirée !