Le regard innocent

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 26/05/2012 par want2beaslave

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Quand on voyage seul, les trajets en TGV commencent toujours de la même façon, en montant en voiture on s'interroge sur les personnes qui vont partager ces quelques minutes ou ces quelques heures de notre temps, qui va-t-on trouver à côté ou en face de nous pour ces moments qui sont quand même relativement intimes ?
Les voies de la réservation sont impénétrables, mais je me demande parfois si le système informatique qui gère cela ne débouche pas vers un système de rencontre quand il en va de placer les passagers dans le train, car il a parfois bon goût, comme aujourd'hui.

***



Le train est sur le départ, les derniers passagers cherchent leur place pour s'installer. Je suis assis près de la fenêtre dans une zone "famille", c'est à dire avec 4 places se faisant face, et avec une petite table au centre. Un homme plus âgé que moi vient s'installer à ma droite, suivi de près par 2 personnes, une jeune fille et un homme qui est peut être son père.
D'un coup d'oeil je la juge bien jeune pour m'intéresser plus à elle et, déçu, je plonge dans mon livre.

Je n'y prête guère attention au début, mais remarquant que la fille en face de moi me jette de nombreux coups d'oeil, je finis par sortir de ma lecture et la regarde à mon tour. On se fixe un instant du regard, mais elle fuit cet échange, gênée.

Je prends le temps de l'observer en détail. Un jean et un pull un peu large, à priori rien de très sexy, mais ce n'est pas ça qui attire mon attention. Elle a le visage plutôt rond, un nez fin et de longs cheveux châtains qui lui retombent négligemment sur les épaules. Mais ce sont ses yeux marrons qui frappent le plus, ils lui confèrent un regard d'ange, innocent mais tellement perçant qu'elle semble lire au fond de moi.
Je suis bien incapable de lui donner un âge, elle me paraît très jeune, je me demande même si elle est majeure.

Je distingue du coin de l'oeil qu'elle continue ses regards appuyés quand je ne la regarde pas, et en retour je fais de même quand elle parle à son père ou qu'elle a le nez plongé vers son téléphone, et elle a forcément dû le remarquer puisque ce petit jeu continue plusieurs longues minutes.
Je la fixe de plus en plus longuement, sans que personne autour ne semble y prêter attention, chacun vacant à ses occupations individuelles sans saisir notre manège.

Ses sens sont en éveil, j'ai l'impression que le rouge lui est monté aux joues, et son père qui a senti le changement d'état de sa fille sans en comprendre la cause lui demande si tout va bien.
Je la sens troublée, je suis de quelques années son aînée et pour ce retour de voyage je suis plutôt bien habillé avec mon pull violet et ma chemise, ce n'est peut être pas le genre d'homme qui s'intéresse à elle habituellement, ça doit la changer des lycéens qui lui font la cour.

Je repense maintenant à un épisode qui ne m'avait pas semblé important sur le moment mais qui me confirme que la demoiselle me semble très ouverte. En m'installant, j'ai malencontreusement heurté sa jambe avec ma sacoche, et à peine me suis-je excusé qu'elle m'a répondu un franc « ce n'est pas grave ».
Cela peut paraître anodin, mais là où la plupart des gens auraient bougonné une réponse ou n'auraient pas répondu du tout en repliant leurs jambes contre leur siège, elle me répond à voix haute et ne déplace pas ses jambes.

Son téléphone finit par sonner, et elle se lève puis s'éloigne pour répondre tranquillement. Sauvée par le gong, sans quoi je me demande jusqu'où aurait été cette histoire. Je me demande d'ailleurs si elle n'a pas justement demandé à quelqu'un de l'appeler pour faire diversion et sortir de là...

Quand elle revient, elle n'a pas un regard pour moi et parle un peu avec son père, qui fini par lui dire :

- Bon, maintenant que tu es majeure il va falloir penser à prendre le train toute seule non ?
- J'ai déjà pris le train toute seule, lui répond-t-elle aussitôt, un brin vexée.
- Oui, mais c'était avec tes copines, t'étais pas vraiment toute seule. La semaine prochaine déjà je ne pourrais pas t'accompagner, mais je viendrai t'attendre à la gare.
- Ok, par contre il faudra que je prenne le train suivant, là c'était un peu juste.
- D'accord, si on a le temps on te prendra le billet à la gare quand on arrive.


Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un aveugle... Elle est donc majeure et vaccinée, et elle reprendra ce train la semaine prochaine, seule.

Elle me fixe à nouveau quelques instants, mais fuit encore mon regard quand je me tourne vers elle, et elle finit par se blottir contre son blouson qui lui sert d'oreiller pour se reposer. Elle a les yeux fermés et me semble endormie à présent, et je ne tarde pas à somnoler également.

Mais je sens soudain quelque chose qui me touche le mollet. Voulant m'assurer que je ne rêve pas, je jette un regard sous la table qui confirme mon impression, elle est en train de me faire du pied !
Elle a quitté ses bottines pour être plus à son aise, et glisse son pied le long de ma jambe quelques instants.

Dort-elle vraiment et est-ce là un geste inconscient, ou est-ce un geste conscient auquel cas elle a simplement fermé les yeux n'ayant pas le courage de le faire en affrontant mon regard ? Enfin dans les deux cas le message me semble clair.

Je ne sais trop comment réagir, j'hésite un petit moment durant lequel elle continue à promener son pied nu sur mes mollets, remontant jusqu'aux genoux. Je me décide finalement à faire la même chose, elle stoppe ses mouvements et se laisse faire. Mon pied se promène sur la galbe de ses mollets pendant quelques secondes, pour répondre à son message, mais je ne prolonge pas l'expérience, de peur d'être surpris par son père, toujours à côté d'elle, qui n'a qu'à baisser les yeux pour voir les jambes de sa fille.

Le voyage se termine dans le calme, la jeune fille me faisant face me semble à présent bien endormie, et plus rien n'est à signaler jusqu'au terminus.
Le train arrêté, je les laisse descendre en premier et une fois sorti du train, je les suis des yeux. Voyant qu'ils se dirigent vers les guichets je fais de même.

Je calcule mon coup pour passer au même comptoir qu'eux, et j'explique à la guichetière :

- Je suis avec les personnes qui sont passées juste avant, donnez moi une place dans le même train, en face à face s'il vous plaît.


Devant faire le même trajet la semaine prochaine, et n'ayant pas de contrainte d'horaire, voilà une belle occasion de se recroiser...

***



J'attends volontairement le départ du train pour venir m'installer à ma place, pour pouvoir lire sa réaction sur son visage quand elle me verra et aussi pour l'empêcher d'aller s'asseoir à une autre place si elle me voit arriver de loin et si elle a remis en cause ce qui s'est passé samedi dernier.

Je n'aperçois que l'arrière de sa tête, mais c'est bien elle, sans son père cette fois-ci et ma place à côté de la fenêtre face à elle m'attend chaudement.
Je m'excuse auprès de la personne assise côté couloir pour passer, et elle lève aussitôt les yeux au son de ma voix. Son regard toujours aussi perçant me dévisage, elle doit se demander comment je peux me retrouver là face à elle une nouvelle fois. Je feins de ne pas la reconnaître, et m'installe comme face à une inconnue.

Je me suis volontairement habillé exactement de la même façon que lors de notre première rencontre, pour lui rappeler au bon souvenir de la semaine dernière. Je lui laisse un petit quart d'heure d'incertitude, puis voyant via le reflet de la vitre qu'elle me fixe toujours attentivement, je me décide à la regarder à mon tour mais elle détourne aussitôt le regard. À moi de la fixer quelques instants, elle doit forcément s'en rendre compte.

Nous voilà reparti pour un « je te regarde, tu me regardes » comme la première fois, jamais directement mais toujours du coin de l'oeil ou pendant que l'autre regarde ailleurs. Si elle ne semble pas s'en lasser après plusieurs longues minutes, ce n'est pas mon cas, et je voudrais bien aller plus loin pour être fixé sur ses intentions.

Je me baisse vers ma sacoche qui est posée à nos pieds entre nous, puis je fais mine de la déplacer et je viens heurter doucement sa jambe, tandis que je hasarde mon autre main vers son mollet.

- Excusez-moi
- Ce n'est rien, me répond-t-elle une nouvelle fois, sans me repousser.


Je promène quelques secondes encore ma main sur sa jambe, remontant jusqu'au bas de sa cuisse avant de me redresser.

Je suis terriblement excité par cette fille, elle a un magnifique regard, complètement innocent, mais tellement profond qu'on sent une petite étincelle qui pétille au fond.
Mais j'ai à la fois peur de la portée de mes gestes, comment cela peut-il se terminer ? Trop tard, je suis allé trop loin pour m'arrêter là, je n'ai d'autres choix que de continuer dans notre jeu de séduction.

Je descends mon sac que j'avais placé au dessus de moi sur le porte-bagage, et le pose sur la table tourné de façon à ce que les deux personnes côté couloir ne voient rien, mais que la fille en face de moi voit ce que je vais prendre dans le sac.
Après avoir fouillé délibérément dans le vide quelques instants, je trouve ce dont j'ai besoin et le dépose un instant sur la table entre nous le temps de refermer le sac. L'emballage laisse peu de doute sur la nature de l'objet, c'est une capote ! Je fais confiance à son oeil attentif pour avoir suivi mon geste.
Je la reprends en main pour la cacher aux yeux de tous avant de remettre mon sac à sa place.

Je joue un peu avec elle, lui montrant l'espace d'un instant où je veux en venir, mais je reste discret, ne la regardant pas au cours de l'opération, et ne laissant rien paraître ensuite. Elle doit se demander si elle a bien saisi mon geste, et s'il lui était destiné.

J'apprécie particulièrement ce moment, la laissant dans le doute complet, ne répondant pas à ses regards interrogateurs. L'excitation continue à monter petit à petit, et ça me laisse le temps de réfléchir à la suite, même si ce genre de chose me semble difficile à planifier, surtout avec une inconnue. L'étape suivante est décidée, la suite se fera à l'instinct.

Je m'accoude à la table pour me rapprocher d'elle et, toujours sans la regarder, je glisse discrètement une main vers sa cuisse, main dans laquelle j'ai placé au préalable la capote.
Je frotte l'emballage sur son jean avec la tranche pour lui faire comprendre qu'il y a quelque chose dans ma main. Elle saisit mon geste et récupère le colis, je retire aussitôt ma main.

Je lui laisse deux minutes de réflexion, puis je m'adresse à la personne assise à côté de moi :

- Excusez moi, je dois aller aux toilettes.


Je rentre dans les toilettes au bout du couloir, en laissant la porte non verrouillée, espérant être dérangé rapidement... Reste à espérer que le message a été assez clair, je pense que oui, à elle maintenant d'assumer ses regards et ses gestes.

Mais peut-être que je me fais des idées depuis le début, peut être qu'elle est vraiment innocente et qu'elle n'a pas saisi l'effet qu'elle produit sur moi. Peut être à l'heure actuelle est-elle en train de se demander pourquoi diable je lui ai posé une capote sur la cuisse, ou pire encore est-elle en train de questionner ses voisins sur la nature de l'objet que je lui ai donné ?

Plus les minutes passent sans que la porte ne s'ouvre, et plus cette seconde hypothèse fait son chemin dans ma tête. Et si je m'étais monté cette histoire de toutes pièces, interprétant des gestes qui ne devaient pas l'être, considérant cette jeune fille candide comme une allumeuse inexpérimentée ?
Non ce n'est pas possible, tous ces regards, son pied sur ma jambe, ma main sur sa cuisse...

La porte s'entrouvre doucement, me tirant du tourment dans lequel j'étais embourbé.
Ô joie, c'est elle, ce n'était donc pas qu'une vue de l'esprit !
Ô joie, me voici seul à seul avec elle, nous allons enfin pouvoir aller au fond des choses.

Après avoir fermé le loquet, je l'attrape par les épaules et la plaque contre la porte. Son regard accepte enfin de soutenir le mien, et je reste hypnotisé, perdu dans la profondeur de ses yeux.
Ce n'est que quand je réalise que ses lèvres se sont approchées des miennes que je reprends mes esprits.

J'accepte avec joie son invitation, et je l'embrasse vigoureusement, tout en continuant à la tenir plaquée par les épaules contre la porte. Mes mains glissent ensuite sur son corps tandis que nos langues se découvrent mutuellement. Son pull est relativement fin, et je peux sentir le contour de son soutien-gorge en glissant mes paumes sur son buste. En appuyant mes caresses je discerne parfaitement la forme de ses seins, qui s'ils sont déjà bien formé n'ont pas fini de grandir et ont toujours une forme de pointe, signe qu'ils n'ont pas encore leur taille ni leur forme définitive.

Nos langues continuent de sympathiser, je descends avec mes mains de chaque côté de ses flancs et découvre les détails de sa silhouette. Sa taille est plutôt fine et ses fesses bien rebondies, je m'y attarde d'ailleurs un petit peu pour mieux apprécier ses formes.
Elle n'est pas en reste, et après avoir lâché ma tête, elle vient promener ses doigts sur mon dos et me sert fermement contre elle.

Je me baisse et redescends un peu pour la saisir par les cuisses. Elle réagit aussitôt en entourant mon bassin avec ses jambes. Notre baiser s'est interrompu dans l'action, j'en profite pour croiser à nouveau son regard de jeune fille innocente, qui me donne envie d'y croquer dedans.

Toujours mes mains sur son cul, je viens coller ma poitrine contre la sienne jusqu'à sentir ses seins s'y écraser. Elle a toujours une main sur mon dos, mais l'autre est remontée derrière ma nuque pour m'inciter à reprendre notre soupe de langue où nous l'avions laissée. Mais je résiste, préférant rester plongé quelques instants de plus dans ses yeux.

Je lui donne quelques lents coups de bassin de bas en haut, pour lui faire sentir l'effet qu'elle a sur moi et dans quel état je suis.

- Tu as amené ce que je t'ai donné ? demande-je en essayant de garder la voix la plus calme possible.


Je n'ai pas de doute sur sa réponse, ayant senti l'emballage dans la poche arrière de son jean quand mes mains s'y sont aventurées, et elle ne prend d'ailleurs pas la peine de me répondre.

Je la repose à terre, et je m'écarte d'elle pour lui laisser la place de sortir ce qu'elle a dans sa poche.
Elle me tend le préservatif, mais je reste accoudé au petit lavabo sans bouger. Nos regards se croisent à nouveau, et je pense qu'elle a compris qu'il va falloir qu'elle me l'enfile elle même.

Timidement, elle se rapproche et déboucle ma ceinture, puis déboutonne un à un les boutons de mon pantalon, en frôlant mon sexe qui est bandé comme jamais et qui piaille d'impatience pour sortir du boxer qui le retient difficilement.

De mon côté je remonte son pull, et découvre son soutif. Il est en dentelle très finement décoré, et ne cache pas grand chose de la jeune poitrine qu'il abrite. Il me semble un peu grand pour ses seins d'ailleurs, peut-être l'a-t-elle "emprunté" à sa mère ?

Je viens cajoler avec mes mains chacun de ses seins, avant de commencer à les pétrir doucement. Ni tenant plus, je pose mes lèvres sur son sein droit, et à travers le soutif lui prodigue un suçon autour du téton.
Mais je la sens distraite de la tâche que je lui ai confié, se laissant aller à mes caresses sur sa poitrine, aussi je décide de remettre à plus tard - si plus tard il y a ? la cartographie des reliefs de son anatomie.
Je laisse son pull reprendre sa place et me décolle d'elle, lui laissant le champ libre.

Ses mains se promènent autour de mon bassin pour baisser progressivement mon pantalon. Elle me semble un peu troublée par ce sexe en érection tout près de ses doigts, mais son instinct la pousse à continuer. D'une main elle tire l'élastique du boxer puis le baisse légèrement, de l'autre elle s'introduit à l'intérieur.

Ma bite jailli alors à l'air libre, et observe avec envie la jeune femme qui vient de la tirer de ce vêtement bien étroit. Elle a cessé tout mouvement et l'observe également. Ses doigts, attirés par ce pieu de chair remontent petit à petit et viennent l'encercler.

Une fois mon sexe en main, ne pouvant pas se pencher en avant faute de place, elle fléchit légèrement les jambes pour se mettre à la bonne hauteur et enfiler la capote, mais avant qu'elle n'ait pu le faire, j'appuie légèrement sur sa tête pour lui faire comprendre de descendre plus bas. Elle s'exécute sans broncher malgré l'espace exigu, et après l'avoir observé un instant, elle gobe mon gland sans se faire prier.

Elle s'agrippe fermement à la base de ma verge, et commence de lents aller-retour avec sa bouche, s'arrêtant au bout pour chatouiller la base de mon gland avec sa langue remuante. Hum, c'est vraiment délicieux. Sa main se met également en mouvement, au rythme de sa bouche, frappant mes bourses en bout de course. Elle se débrouille très bien, ce n'est manifestement pas sa première pipe à cette gourmande qui cachait bien son jeu.

Elle s'applique à me montrer l'étendue de ses compétences en la matière, comme si elle voulait me prouver que j'ai fait le bon choix en l'amenant ici. Je n'en doute pourtant pas une seule seconde, mais je ne peux cependant que la laisser faire. Et force est de constater qu'elle en connaît un rayon, c'est peut être un sujet de discussion entre copines, ou alors peut être s'est elle « documentée » avec quelques vidéos sur internet.

Elle essaye d'engloutir mon sexe dans sa bouche, et je suis surpris d'en voir disparaître les deux-tiers avant de toucher le fond de sa gorge. Elle ne tient pas longtemps cette position contraignante, et me libère pour respirer un bon coup avant de me reprendre en bouche. Elle recommence quelques aller-retour en resserrant fermement ses lèvres autour de ma hampe pour que je ressente au mieux ses caresses buccales, accélérant soudainement le rythme puis ralentissant.
Elle vient ensuite encercler mon sexe de sa petite main et me branler pendant que sa bouche reste sur mon gland qu'elle aspire goulûment.

Ma main est toujours dans ses cheveux derrière sa tête pour l'inciter à continuer, chose qu'elle s'applique à faire méticuleusement. Malheureusement une secousse assez forte la fait vaciller et elle lâche prise. Elle semble vouloir passer à la suite, car elle ouvre l'emballage de la capote et me l'enfile aussitôt, non sans difficulté.

Je la remonte par les épaules, la tourne pour qu'elle vienne coller son dos contre moi, et je tourne dans le même temps pour me retrouver du côté de la porte. Après ce pas de danse improvisé, je me retrouve dos à la porte, la jeune fille collée contre moi de dos également et mon sexe qui se ballade gaiement sur ses fesses. Je repose mon menton sur son épaule et l'observe un instant dans la glace qui nous fait face.
Elle peine à garder les yeux ouverts, et fini par les fermer complètement et à rejeter sa tête en arrière quand mes mains retrouvent le contact de ses seins. Je me fraye un passage avec le nez entre ses longs cheveux, et commence également à l'embrasser dans le cou.

Elle se laisse complètement faire, aussi je descends rapidement vers son pantalon, que je déboutonne avant d'en baisser la fermeture éclair. Les mains sur ses hanches, je baisse progressivement son jean qui est plutôt moulant et qui vient donc difficilement. Faute de place, je m'arrête à mi-cuisse, c'est largement suffisant de toute façon, et je remonte voir ce qui se cache dessous.

C'est visiblement un collant, assez épais mais très doux au toucher, et je ne me prive pas de caresser chaque recoin du haut de ses cuisses encore et encore. Un mètre plus haut, ma bouche et ma langue se promènent également sur son cou, par des petits baisers puis des suçons, tel un vampire préparant le terrain avant de planter ses crocs dans ce cou sans défense.

Je suis perdu dans une forêt de cheveux qui me cache le miroir, je ne peux donc voir si elle a ouvert les yeux pour apprécier le spectacle que doit lui donner la glace, de son corps apprivoisé par un homme plus âgé qu'elle qui fait tout son possible pour lui prodiguer du plaisir.
Mais après tout qu'importe la vue quand il y a le toucher, l'odorat, l'ouïe et le goût.

Son collant finit par se retrouver au même niveau que son pantalon, et il ne reste donc plus que sa petite culotte pour la protéger du loup qui rode tout près d'elle. Au toucher elle me semble très fine et en dentelle également, peut être a-t-elle emprunté tout l'ensemble...
Je plaque une main sur son sexe, juste assez pour sentir la chaleur humide qui en émane, et m'assurer que je suis à la bonne adresse, mais je la retire rapidement pour la faire patienter encore un peu.

Je glisse sa culotte vers le bas, en la tenant pas les côtés pour ne pas me rapprocher de son sexe. Je me tourne ensuite pour être dans le sens de la longueur des toilettes afin d'avoir plus d'amplitude dans mes gestes. Elle m'a accompagné dans mon mouvement, et je la penche maintenant en avant au dessus de la cuvette des toilettes que j'ai pris soin de refermer. Elle vient poser ses mains contre la paroi devant elle, exposant ainsi à ma vue son joli petit abricot.

Je profite de l'espace qui m'est donné pour baisser un peu plus son collant et sa culotte, afin d'accéder pleinement à ce fruit défendu. Mes mains s'attardent à l'intérieur de ses cuisses, et je la sens frissonner à ce contact. Je remonte doucement sur sa peau, doux et ferme à la fois, ne lui laissant pas d'échappatoire, bien que je doute de sa volonté de vouloir fuir mes caresses.

Malgré le bruit ambiant, je distingue des petits gémissements, qui sont même des petits cris aigus dès que je progresse de quelques centimètres sur ses cuisses. Arrivé en haut, je contourne l'abricot que je me réserve pour le dessert, et je promène mes doigts sur son pubis.

Je recherche une toison naissante sur laquelle j'aurais pu m'attarder et avec qui j'aurais pu bavarder un instant pour faire connaissance, mais il n'y a rien, tout est lisse. Voilà une demoiselle bien coquette, qui soigne ses sous-vêtements et qui apprécie la vue de son sexe au point de tailler tout ce qui le cache.

Vagabonds, mes doigts descendent finalement vers sa fente, guidés par la chaleur de ce fruit estival. Mon index à peine posé dans son sillon qu'elle pousse un petit cri de bonheur, et instinctivement écarte les jambes.

Et là, devant mes yeux émerveillés, le fruit s'ouvre tout seul, comme s'il était bien mûr, et un peu de jus s'en écoule pour confirmer cela.
Que de couleur et que d'odeur, je ne résiste pas à l'envie de croquer dedans à pleine dent pour en découvrir toutes ses saveurs, pour sentir sa chair tendre sur ma langue et pour boire chaque goûte du liquide qui s'en échappe.

Elle semble apprécier mon initiative, se cambrant un peu plus pour me permettre de promener ma langue dans tous les recoins de sa chatte avide de caresses.
Ma langue, après une phase d'exploration, s'engaillardit et part maintenant explorer les profondeurs de ce vagin aguichant, mes mains la retienne fermement par les cuisses pour ne pas être désarçonnée à chaque secousse du train.
Je ressors de temps en temps respirer, enfin façon de parler puisqu'en flânant avec ma langue plus haut entre ses grandes lèvres gonflées, mon nez s'en retrouve englouti par les replis de son sexe et n'a à respirer qu'un peu d'air humide au parfum légèrement sucré.

Malheureusement, bien que semblant lui prodiguer un plaisir certain, ma langue n'est pas assez longue pour pénétrer plus profondément dans ses entrailles, alors je me redresse pour présenter mon sexe à l'entrée du sien.
Ses lèvres charnues sont grandes ouvertes, et je n'ai aucun mal à m'enfoncer de quelques centimètres en elle. Je me retire aussitôt et la laisse patienter quelques instants, puis recommence l'opération plusieurs fois, la pénétrant avec force avec le gland uniquement avant de ressortir aussi sec. Je varie un peu le rythme et à ses gémissements je sens qu'elle perd patience quand je suis trop long. Hum, il y a là de quoi la rendre folle je pense, quelle délicieuse forme de torture, pour le bourreau en tout cas, une version de la goutte d'eau chinoise adaptée à notre société moderne délurée.

Encore faut-il que le bourreau est une bonne endurance, et je commence personnellement à sentir mon heure arriver, aussi je coupe court à ce jeu, et après avoir observé quelques instants ce gouffre sombre resté entre-ouvert, je la pénètre jusqu'à la garde d'un coup. Elle approuve mon initiative d'un cri assez fort qui a dû s'entendre du couloir, et appuie ses fesses fortement vers moi comme pour m'aspirer encore plus profondément en elle.

Je la prends par les cuisses et lui impose un rythme rapide, qu'elle m'encourage à accélérer encore, haletante. Ma main droite s'évade, et vient lui chatouiller le bourgeon. Elle ne peut retenir ses soupirs de plaisir, source supplémentaire d'excitation pour moi.

C'en est trop, le point de non retour est franchi, je lui saisis à nouveau les deux cuisses pour contrôler le mouvement du mieux possible, je ralentis pour profiter de ces derniers instants avant le bouquet final.
Puis, sentant le jus monter je ralentis encore plus et effectue des mouvements amples du bassin pour m'enfoncer au plus profond du ventre de cette jeune femme, décuplant par la même occasion mon plaisir.

Je suis pris d'un violent orgasme - à la hauteur de mon excitation - qui se propage jusqu'à la plante des pieds et qui me fait tituber.

Je suis allongé sur le dos dans un lit aux draps de soie, le ciel au dessus de ma tête est parfaitement bleu, et tout autour du lit gambadent joyeusement de nombreux petits nuages blancs. Je me sens complètement ressourcé, mais je n'ai aucune volonté pour me lever du lit, comme en se réveillant après une longue grasse matinée.

J'entends au loin un bruit de fond, qui semble se rapprocher. On dirait un bruit de roulement, il se rapproche maintenant rapidement, tellement rapidement qu'il m'en fait mal à la tête... mais où est passé mon lit ? Où sont partis les petits nuages ? Sûrement dans une réalité parallèle, dans celle-ci je suis dans des toilettes, probablement dans un train, en compagnie d'une femme dont les longs cheveux m'empêchent de voir son visage. Et accessoirement mon sexe bandé se trouve enfiché dans le sien.

Où suis-je tombé ? La femme devant moi qui reprenait visiblement son souffle se relève et se tourne vers moi. Je découvre son visage juvénile et son regard. Ce regard... oui, tout me revient maintenant.
Juste attends, puisqu'on frappe à la porte puissamment.

- Ouvrez la porte ! M'ordonne une voix dans le couloir
- C'est occupé.
- Je suis le contrôleur, vous ne pouvez pas occuper les toilettes comme ça, je vais ouvrir la porte ! dit-il en haussant le ton.


J'entends un bruit de clé, il est visiblement en train d'essayer d'ouvrir la porte de l'extérieur. Nos ébats ont dû attirer l'attention d'une personne qui attendait à côté des toilettes, et qui a dû aller chercher le contrôleur pour nous déloger. Mon sexe est encore trop bandé pour que je puisse retirer le préservatif rapidement, je rentre donc mon instrument tel quel dans mon boxer, encapuchonné et trempé de sécrétions vaginales, avant de boucler ma ceinture.

La demoiselle qui m'accompagne est toujours à la recherche elle aussi de ses petits nuages qui l'entouraient probablement il y a quelques instants encore, et elle est encore le minou à l'air quand la porte s'ouvre, mais comme elle est derrière celle-ci le contrôleur ne peut pas la voir. L'air frais entraîné par l'ouverture de la porte semble lui faire reprendre ses esprits, et elle remonte son jean précipitamment avant de sortir derrière moi, sous l'oeil sévère du contrôleur et d'une passagère assez âgée.

Je prends les escaliers et file vers la voiture bar pour me rafraîchir après cet épisode mémorable. J'hésite un instant à la prendre par la main pour qu'elle me suive, mais je pense qu'on serait tous deux bien gênés par la situation, et je la laisse se diriger vers sa place, à l'opposé.

***



Le gosier arrosé, je m'en vais retrouver mon siège, en face de mon amante du jour. Je ne sais pas comment elle va se comporter après ce qu'on vient de vivre, mais elle ne tarde pas à me donner une réponse. Elle me fixe maintenant sans discontinuer, et c'est moi qui est dû mal à soutenir son regard ce coup ci, plongé dans mes yeux. Je ne suis pas sûr de comprendre ce qu'elle veut me dire quand je sens à nouveau son pied sur ma jambe. Il monte jusqu'au genou puis se déplace sur ma cuisse. Elle est un peu trop petite pour arriver jusqu'en haut, alors elle s'affaisse un peu sur son siège, permettant à sa jambe d'aller un peu plus loin et à son pied de rentrer en contact avec mon entre-jambes.

Oh, elle est encore toute excitée la petite, j'ai visiblement réveillé en elle un désir qui est loin d'être assouvi... Elle me masse délicatement le sexe avec la pointe du pied, mais se relève soudain et retire sa jambe. Elle a baissé les yeux au sol, toute penaude, je comprends que c'est la femme à côté de moi qui a remarqué son manège et qui lui fait les gros yeux.

Elle n'ose plus bouger, et moi non plus d'ailleurs. J'essaye d'avoir l'air le plus naturel et détendu possible, mais c'est parfaitement impossible, trop d'images se bousculent dans ma tête. J'essaye de fermer les yeux pour me reposer, mais c'est pire encore, d'autant que la fille a recommencé à me faire du pied, de manière plus discrète cette fois ci.

La magie de la SNCF est encore à l'?uvre quelques minutes plus tard, puisque les deux voyageurs qui étaient à nos côtés se lèvent pour descendre du train qui s'est arrêté en gare, et personne ne monte les relayer. Nous voilà seuls ! À peine reparti, je vois mon amante glisser sur son siège, et son pied se pose entre mes cuisses, puis appuie délicatement sur ma queue qui frémit à ce seul contact.

Je n'ai qu'une envie, c'est de sentir une nouvelle fois la chaleur de son corps contre le mien et ses cheveux sur mon visage, de promener mes mains sur sa peau, de la sentir gémir de bonheur de par mes caresses. Je me décide alors à aller m'asseoir à côté d'elle, la place étant maintenant libre. J'en profite pour éteindre le plafonnier qui nous éclairait jusqu'alors, nous donnant un peu d'intimidé.

Je perds le loisir de pouvoir la regarder dans les yeux, mais je gagne la proximité de son corps et le contact de sa main qui se pose sur moi sans tarder, et qui fini par se frayer un chemin assez facilement entre les boutons non boutonnés de ma braguette. Elle cherche quelques instants et fini par trouver mon sexe qui a retrouvé une taille décente, toujours encapuchonné dans sa protection de latex. Elle sent l'objet de son désir gonfler dans sa main et ses doigts chatouilleurs lui redonne rapidement sa taille de compétition.

Je relève l'accoudoir qui sépare nos deux sièges, et je viens me blottir contre elle, posant naturellement ma main et mon avant-bras sur sa cuisse. J'écarte ses cheveux et viens également poser ma tête sur son épaule.

Mais nous ne sommes plus à l'abri des regards comme tout à l'heure, et je m'en tiens à des caresses plutôt chastes pour le moment, de peur d'être pris la main dans le sac.

Ma main se promène sur sa cuisse, sans remonter trop haut. Puis, sans que je m'en rende compte sur l'instant, je vois qu'elle a déplacé son blouson pour venir le mettre sur ses cuisses, pour cacher ce qui pourrait se passer en-dessous... Hum je commence à t'aimer toi. Elle fait montre de plus d'assurance qu'il y a une heure encore, m'invitant sans se cacher à tâter du fruit défendu une nouvelle fois.

Je remonte avec plaisir sur sa cuisse et me glisse à l'intérieur de son pantalon après en avoir défait le bouton, sa braguette étant elle aussi restée ouverte. Je constate qu'elle n'a pas non plus pris le temps de remonter son collant ni sa petite culotte, mes doigts glissent sur son pubis lisse.
Les deux doigts qu'elle avait glissé sur mon sexe s'échappe à l'extérieur tandis qu'elle se laisse aller à mes caresses. Elle vient d'ailleurs passé sa cuisse gauche par dessus la mienne, s'enfonçant un peu plus dans son siège et m'ouvrant ainsi une nouvelle fois son sexe.

Mes doigts se séparent pour passer de chaque côté de son bourgeon puis de ses grandes lèvres, la laissant patienter avant de commencer les choses sérieuses.
Je jette un dernier regard alentour pour voir jusqu'où je peux aller. Les sièges autours de nous se sont bien vidés à la dernière gare, ne reste que des personnes de dos ou trop loin pour noter quelques comportements déviants de notre part, pourvu qu'on ne s'agite pas trop et qu'on reste silencieux. Ceci dit, la porte pour rentrer dans le wagon est derrière nous, et si elle s'ouvre il nous faudra réagir vite.

Je repose ma tête sur son épaule après en avoir écarté les cheveux. Je peux ainsi déposer quelques baisers au creux de son cou en tendant le mien. Ma main droite, toujours au contact de son intimité se promène de part et d'autre de son sexe, en appuyant de plus en plus les gestes. Sa main sur ma cuisse se déplace de moins en moins vite, et fini par s'arrêter, ses doigts se cramponnant à la couture de mon jean.

L'envie est forte de venir palper ses seins de ma main libre. Enfin palper n'est qu'un doux euphémisme, c'est plutôt une folle envie de soulever son pull puis d'écarter son soutif pour m'emparer de ses seins au mamelon pointu, et d'y poser mes lèvres dessus.
Mais je crois qu'il serait plus sage que je ne fasse que l'imaginer, même si ma jeune amie en serait certainement ravie.

Je passe deux doigts dans sa fente pour en récolter le nectar, que je viens badigeonner ensuite sur son bourgeon. Je la vois qui se mord les lèvres pour s'empêcher d'en gémir, et sa main agrippe plus fermement ma jambe.

Mon index et mon majeur effectuent plusieurs pas de danse autour de son clito, et viennent l'effleurer de plus en plus régulièrement. L'annulaire se joint à la fête, et ils sont maintenant trois à branler ouvertement le bourgeon de ce fruit. Je sens sa gorge vibrer avec les gémissements qui y montent, mais elle arrive à les dissimuler car je n'entends presque rien contrairement à tout à l'heure.

L'index, en tant que leader auto-proclamé des doigts de ma main droite montre le chemin aux autres et descend vers ce fruit mûr qu'il connaît déjà bien. Il s'approche timidement du précipice qui s'y trouve, et après en avoir chatouillé les contours, s'y engouffre irrémédiablement, aspiré dans cet entonnoir de chaleur.

Les quelques allers-retours qu'il y fait semble plaire à la jeune fille, elle s'allonge d'avantage sur son siège pour me permettre d'aller plus loin encore dans l'exploration de son puits d'amour.
L'index est vite rejoint par son acolyte de toujours pour ce genre d'exploration, le majeur, toujours dans les bons coups (c'est le cas de le dire), et il n'est pas de trop pour combler ce sexe qui se se dilate de plus en plus.

En la pénétrant avec mes doigts, je garde mon poignet collé contre son pubis, et à chaque va-et-vient son clito s'en trouve stimulé. Une fois que j'ai trouvé la bonne position, j'augmente au fur et à mesure le rythme tout en gardant bien le même chemin : mon poignet glisse sur son pubis tout doux et vient frotter en bout de course contre son petit bouton, tandis que deux doigts viennent fouiller le fond de ses entrailles.

C'est un mouvement relativement fatiguant, surtout vu ma position, mais mes nombreuses séances de masturbation m'ont permis de muscler mes doigts et mon poignet, aussi je m'en sors plutôt bien si j'en crois l'attitude la jeune femme. Elle a le souffle court et a du mal à cacher ses gémissements, elle se cramponne d'ailleurs de plus en plus fermement à mon jean, au point où je commence à ressentir ses ongles au travers du tissu.

N'y tenant plus, elle glisse à son tour une main dans son pantalon, me prenant le poignet dans un premier temps pour m'inciter à accélérer mes mouvements, puis appuyant fermement dessus pour que je vienne m'enfoncer dans son Mont de Vénus à chaque passage.

Toute excitée, son c'ur battant à cent à l'heure, sa gorge peinant à contenir ses gémissements, elle glisse finalement sa petite main juste en dessous de la mienne, et fini le travail en se stimulant par des mouvements circulaires. C'est tout ce qui lui manquait visiblement pour atteindre l'orgasme, puisqu'en quelques caresses à peine elle joui. Elle ressert promptement les jambes, et les muscles de son vagin se contractent si bien que mes doigts sont complètement aspirés à l'intérieur de sa chatte. Je la vois qui se mord à pleines dents la lèvre inférieure, pour se retenir de crier son orgasme.
S'échappe de son sexe une bonne quantité d'un liquide chaud, qui fini par s'écouler le long de mes doigts, pendant que je continue mes va-et-vient en elle.

Hum, c'est toujours aussi excitant de faire jouir une femme de ses mains, mon sexe est de nouveau à l'étroit dans mon pantalon, je lui demanderais bien un petit coup de main à défaut d'autre chose pour me soulager, mais je pense qu'elle a vécu assez d'aventure aujourd'hui.

La voilà enfin comblée visiblement, et elle s'assoupit au bout de quelques minutes, je fais de même, la tête toujours sur son épaule et ma main collé à son sexe, dans son pantalon, caché par le blouson sur ses cuisses.

Le terminus nous rappelle à la réalité, nous nous rhabillons chacun de notre côté et regroupons nos affaires avant de descendre. Arrivé en gare, elle me prend la main pour que je reste un instant de plus avec elle pendant que tout le monde descend. Elle approche ses lèvres des miennes quelques instants plus tard, et nous nous embrassons une nouvelle fois, debout dans le petit couloir du wagon désert.

Mais les adieux sont vite interrompus, elle pousse un cri de surprise, attrape son blouson et son sac, et sort précipitamment. En me retournant je distingue par la fenêtre son père sur le quai, à la recherche de sa fille, je ne sais pas s'il nous a vu...

***



Si vous avez apprécié cette histoire, une petite note ou un petit mot me fera plaisir et m'incitera peut être à continuer mon aventure littéraire :)