Laurent deuxième époque

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Proposée le 24/05/2012 par laure95

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Encore très excité par cette rencontre, je me décide à aller dans une boutique de lingerie voisine. Rien de très affolant au rayon homme, devant lequel je reste perplexe?
- Nous avons des articles plus' spécialisés dans le fond de la boutique, me dit la gérante. C'est quelque chose pour homme que vous cherchez ? Si vous voulez bien me suivre?
Je rougis tant et plus, persuadé que toute la ville sera maintenant au courant de mes intentions inavouables. L'arrière-boutique est effectivement plus achalandée ; j'arrête mon choix sur un boxer en dentelle blanche, transparent, traduisant bien le déséquilibre que j'envisage dans cette relation. Je me rêve ainsi offert dans la chambre d'hôtel, et tendrement caressé?
Je regagne le comptoir, le boxer en main. La gérante est en pleine conversation avec une grande femme brune, en laquelle je reconnais aussitôt Liz, une amie de ma femme. Je fais demi-tour, trop tard.
- Vous avez trouvé ce que vous cherchez ?
- Oui, mais la taille ne convient pas ; vous auriez le même en M ? je bafouille
- Tiens, bonjour Laurent. Voilà Liz qui s'en mêle. Vous avez acheté de la lingerie pour Marie ? Montrez, je vais vous aider.
Je lui tends l'objet, de plus en plus confus.
- Ah, quelle bonne idée. Les hommes offrent toujours de la lingerie à leur épouse, mais c'est pour leur plaisir personnel. Vous avez cette délicatesse de penser à son plaisir, bravo. C'est très féminin, ça va surement lui plaire beaucoup. J'ai hâte qu'elle me raconte, dit-elle en me fixant, et caressant doucement le tissu'
J'articule une vague réponse, et abandonne la place aux deux femmes en pleine discussion quant au rôle du mâle dans le couple? Cette chienne de Liz va téléphoner à Marie, c'est sûr.
A peine rentré, Marie m'accueille à la porte d'un grand sourire, se fait câline?
- Vous avez une surprise à me montrer ? Il paraît que c'est adorable?
- Oui, j'espère que ça va vous plaire, je réponds en avalant tant bien que mal ma salive ; j'arrive.
Marie a 40 ans, brune aux yeux noirs, avec des formes très épanouies. Nos familles, vieille noblesse provinciale, se connaissent depuis toujours et notre mariage s'est pour ainsi dire imposé. Si l'argent a disparu au cours des siècles, les traditions demeurent et le vouvoiement systématique en fait partie.
Je passe à la salle de bain et enfile le boxer de dentelle. Blanc et très transparent, j'ai vraiment l'air d'une biche soumise là dedans' Et ça m'excite énormément. Je me prends à bander en m'imaginant ainsi vêtu sous les yeux de Jean. Soumis à tous ces désirs. Mais l'excitation retombe à l'idée de Marie qui m'attend. Comment vais-je m'en tirer ? Nous avons des rapports plutôt espacés et très conventionnels, après 10 années de cohabitation bourgeoise? Et elle s'est toujours montrée assez prude?
J'enfile un peignoir et rejoins mon épouse, qui m'attend allongée sur le lit dans une nuisette.
Je m'allonge à ses côtés, et cherche à éteindre la lumière comme à chacun de nos rapports ; elle m'en empêche ; sa main glisse à la découverte sous mon peignoir, caresse ma tige par-dessus la dentelle. Je me prends à bander tant et plus sous les caresses.
- Très intéressant dit-elle, la voix enrouée? et si nouveau.
- Vous aimez ? je demande ; j'ai pensé qu'un peu de renouveau ne pouvait pas nous faire de mal'
- J'adore dit-elle. Levez-vous et ôtez ce peignoir, tournez-vous que l'on vous voit bien'
- Je m'exécute, et m'offre à ses yeux, mon sexe tendant le boxer, mes fesses dévoilées par la dentelle? Je me prépare à l'ôter mais elle s'y refuse fermement.

- Non, il faut aller jusqu'au bout de vos envies' Ce côté féminin que vous vous décidez à me montrer, il faut le développer sans doute. Je ne veux pas être en reste, et vais vous montrez à mon tour mon jardin secret masculin.

- Allonge toi sur le ventre, dit-elle, abandonnant le vouvoiement.
Je m'exécute ; elle vient me chevaucher, à quatre pattes. Son sexe se caresse contre mes fesses, sa bouche me dévore la nuque. Les yeux fermés, je pense à Jean me prodiguant la même caresse, son dard se caressant contre mon cul' J'ai très envie d'être pris ainsi, et je me frotte contre le drap, sous les va et viens de Marie. Je gémis, et me caresse, une main glissée dans le boxer.
- Pas si vite, ces jeux de mains ne sont pas autorisés en ma présence? Si vous voulez développer votre côté féminin, sachez attendre le plaisir, parfois vainement
Elle tire de sa commode deux foulards, avec lesquelles elle lie mes bras aux montants du lit. Je la supplie de me caresser la tige, en vain.
Elle s'assied dans le fauteuil que me fait face, remonte ses jambes sur les accoudoirs, sa toison châtain largement offerte à mon regard brûlant. Sa main droite se pose sur son sexe, et elle commence à se caresser, les yeux mi-clos. Je bande plus encore ; c'est la première fois que je la vois pratiquer cet exercice, et cela m'excite énormément.
- Racontez un peu, maintenant, à quelles fins destinez-vous cette tenue impudique ?
Ses doigts se sont enfoncés dans sa grotte, elle gémit tant et plus, et s'offre un premier plaisir ; après quelques instants de calme, le manège reprend ; sa main gauche titille un téton que j'aperçois dressé sous la nuisette. Je tire sur le foulard pour me caresser à mon tour. Peine perdue.
- C'est uniquement pour vous je vous assure? caressez moi.
- Je ne vous crois pas. Je vous imagine plutôt attendant une rencontre, dans le bois voisin, vêtu de vote seule dentelle? Offert à tout venant.. Prêt à prendre en bouche le premier venu, peut-être, ou attendant un rendez-vous convenu ? C'est cela sans doute? Alors il faut vous y préparer.
Quelques caresses encore, et elle se donne un nouveau plaisir. Elle quitte le fauteuil, sors un nouveau foulard avec lequel elle me bande les yeux. Je l'entends encore fouiller dans sa commode.
- Voilà qui devrait convenir, dit-elle, donnez-moi quelques instants.
Le fauteuil grince à nouveau, les gémissements reprennent un peu plus fort. Je l'entends se lever, s'approcher de moi ; ses mains empoignent ma tête, et me penchent vers ce que je comprends être un godemichet, tout trempé encore de sa mouille
- Sucez donc, puisque vos rêves vous y entrainent' Mais ne comptez pas sur moi pour vous prodiguer des conseils. Vous savez que je me refuse à ces caresses'
Je lèche l'engin, le goute, le prends tout entier et le suce doucement. Je pense au sexe de Jean, tout entier dans ma bouche, et accélère mon mouvement. Les mains me forcent à aller plus profond dans la caresse. Mon sexe est douloureux de désir ; les mains n'ont plus à me guider, ma bouche se fait adroite et goute jusqu'au bout l'objet tout trempé de désir? La main de Marie glisse contre ma poitrine, et caresse le frein de mon sexe tendu au travers du tissu. Je gémis de désir, me fais encore plus goulu' Je vais jouir mais elle m'abandonne brutalement.
- Et si ton partenaire d'un soir ne se contentait pas de ce plaisir buccal ? et voulait forcer ton intimité, sur le capot de votre voiture ? Il convient de préparer également cette éventualité?
Elle m'invite à me mettre à quatre pattes. J'obtempère bien vite, tant je suis excité? Sa main fait glisser le boxer, jusque assez pour dévoiler mes fesses cambrées. Le gode attaché à ses hanches me caresse les fesses' Un doigt me fouille, humecté de sa mouille, et je gémis déjà me cambrant plus encore. Le gland tout humide se fait plus précis, des mains écartent mes fesses, une pression douce et ferme et je sens le gode me pénétrer lentement. Une main vient caresser mon sexe au travers du tissu, tandis que la pénétration se fait plus intense.
- Tu aimes ça ma petite salope ? te faire fourrer par un inconnu ? Je vais t'en donner des souvenirs, attends.
Une main sur mes hanches, l'autre caressant mon sexe, Marie me besogne avec vigueur, m'injurie et j'adore ça. Fesses fouillées, sexe titillé d'un seul doigt, je ne tarde pas à exploser de plaisir sous ses caresses.

- Allez-vous doucher et habillez-vous mon pauvre ami. Vous êtes ridicule.
J'aurais bien quelques questions également à formuler, par exemple la présence de cet objet dans sa commode, mais je sens le moment mal choisi? Je gagne la salle de bain tandis que son téléphone vibre?
- Oui, bonjour ; non tu ne me déranges pas' La surprise ? très réussie je crois' Oui, demain'
Ce doit être Liz qui vient aux nouvelles'.