Elodie; Une femme naturiste. Chapitre 29 : En groupe

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Proposée le 23/05/2012 par CAVAL

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Résumé : Elodie et Hervé, fervents adeptes du naturisme forment un couple très amoureux. Ils viennent d'avoir un deuxième enfant.
Ils pratiquent avec Bénédicte et son compagnon François le mélangisme, échangisme et toutes les turpitudes qui s'y attachent. Les hommes comme les femmes ne rechignent pas devant des étreintes homosexuelles.
Elodie qui est infographiste indépendante a pour assistante Amandine, jeune femme également naturiste. Elles ont ainsi la possibilité de travailler sans vêtement. Puis Amandine participe aux jeux sexuels des deux couples. Enfin elle quitte son copain qui était contre le naturisme.



CHAPITRE XXIX
En groupe




Dès les premiers beaux jours, Amandine prit quelques jours de congés. Elle voulait gouter une nouvelle fois de ce dont elle s'était privée avec son copain : pouvoir se mettre nue sur une plage, vivre avec des gens dans la même tenue, parler, rire, jouer et prendre des bains avec eux sans arrière pensée. Cela lui manquait trop pour qu'elle puisse attendre jusqu'à l'été. Elle partit donc sur la côte Atlantique, dans un centre naturiste en bordure de mer.

Elle revint radieuse de ce séjour qui n'avait pourtant durée que quelques jours :
- Je me suis faite des amis, mais surtout' j'ai rencontré un homme.
- Un nouveau compagnon ?
- Oui? enfin, il habite dans la région parisienne, mais descend souvent sur Toulouse pour son travail. Seulement il est un peu plus âgé que moi, il a 48 ans.
Cela faisait tout de même le double de son âge.
- Mais, continua-t-elle, il est beau comme un dieu et il est tellement doux et attentif. En faisant l'amour avec lui j'ai ressenti toutes les sensations qu'on peut avoir lorsqu'on est avec un homme que l'on aime et qui t'aime. C'était merveilleux. Au moins lui il a su me faire jouir, tout en me respectant. Je peux te dire qu'il fait divinement bien l'amour et il est très endurant.
Elle s'interrompit une seconde comme gênée parce qu'elle venait de dire. Puis reprit :
- Je veux dire qu'avec vous, naturellement j'ai joui, mais ce n'est pas pareil.
- Naturellement, avec nous ce sont des relations sexuelles, mais pas de l'amour.
- Au moins lui, il a de l'expérience et ce qu'il fait, il le fait bien. Il n'en parle pas à tout bout de champ et lorsqu'il le fait c'est avec bienveillance. Il y a des jeunes qui ne savent que parler de sexe, même pas d'amour, juste du sexe, comme si on ne pouvait vivre que pour cela. Je me demande comment ils seront plus tard dans la vie. Je me suis aperçue qu'il y a une grande différence entre les mecs de mon âge et ceux qui sont plus âgés que moi. Jusqu'alors je n'avais pas perçu cela. Ça a été une révélation pour moi de découvrir ce qu'on pouvait partager, un homme et une femme ; beaucoup plus que l'amour physique. Je trouve que les mecs plus âgés, pour avoir vécu un peu plus, dédramatisent pas mal de situations, évitent de se faire mal au cerveau pour pas grand-chose, contrairement à certains mecs de mon âge, encore plein d'idéaux ou qui n'ont pas trouvé leur voie. Je trouve qu'ils prennent davantage de recul par rapport aux choses en général et c'est cet aspect là qui me plait. Naturellement, il y a des hommes murs qui sont imbuvables et cons, mais celui que j'ai rencontré, c'est tout le contraire.
- Mais est-il aussi beau à l'extérieur qu'à l'intérieur ?
- Oui, il y a un facteur physique aussi. D'ailleurs c'est cela qui m'a plu au premier regard chez lui : les tempes grisonnantes et les petites rides d'expression au coin des yeux. Lorsqu'un homme sourit, ça les rend plein de charme.

Elle nous présenta cet homme. Nous passâmes avec eux un après-midi naturiste dans notre jardin. C'est vrai que malgré son âge, Jean, c'était son nom, était bel homme. Il était grand et élancé, pas un poil de graisse avec des membres musclés et un ventre en plaquette de chocolat. Il ne devait pas laisser les femmes insensibles avec son visage très légèrement buriné et ses cheveux poivres et sels. Il avait aussi un sexe, qui même au repos, ne pouvait être qualifié que de volumineux, à la fois épais et long. Connaissant Amandine, ce dernier atout n'avait pas été pour lui déplaire chez cet homme. Elle m'avait avoué un jour que les petits sexes l'avaient toujours dérangée, depuis qu'elle avait connu le plaisir avec son amant Hollandais, « très bien pourvu par la nature ».
Il est connu que les membres les plus volumineux, ne se démultiplient pas toujours lorsqu'ils se mettent en action, cependant on n'a jamais vu un beau sexe au repos diminuer lorsqu'il se met à bander. De là à dire qu'il était beau comme un dieu, c'est parce qu'Amandine le voyait avec les yeux de l'amour.
Elle avait mis les choses au point avant sa venue :
- Je l'amènerais, nous passerons un après-midi naturiste, mais rien de plus. Je ne souhaite pas le mêler à nos soirées échangistes.
D'ailleurs, à partir du moment où elle eut rencontré Jean, elle déclina toute proposition de venir nous rejoindre lors des soirées où Bénédicte et François étaient conviés chez nous.
Nous continuions toutes les deux à travailler nue, surtout la chaleur revenant. Par contre, au niveau sexuel, elle voulut se réserver pour son nouvel amoureux. Elle ne voulait même pas avoir des rapports lesbiens avec moi.
- Je sais que ce n'est pas trompé, mais je ne me sens vraiment pas lesbienne, j'aime trop le corps des hommes pour me trouver bien dans les bras d'une femme.
- Tu n'as donc pas aimé ?
- Si beaucoup, aussi bien avec toi qu'avec Bénédicte. Mais tu vois, pour moi faire l'amour avec une femme, je le conçois si je n'ai pas d'homme.
Je n'étais pas en complet accord avec elle, pour autant je la comprenais très bien et que je respectais son choix. Pourtant, j'avais beaucoup aimé faire l'amour avec ma collaboratrice, appréciant toujours le contact de son jeune corps.

Un jour j'ai découvert qu'elle s'était fait faire un piercing au sexe, très exactement un petit anneau au niveau des lèvres virginales.
- Tu t'es fait poser cela quand ?
- Il y a un mois. Jean a beaucoup apprécié.
- C'est lui qui t'a demandé ?
- Non, c'est ma propre initiative. Comme je voyais qu'il aimait bien celui que je portais au nombril, je me suis dit qu'un en bas ça serait pas mal. J'avais vu des photos de filles qui portaient ça sur Internet et je trouvais que c'était très joli.
- Oui, c'est très beau, mais ce n'est pas gênant d'écarter les jambes devant la personne qui pose l'anneau ?
- Au début, oui. Mais après on oublie, il est là pour ça, c'est son boulot comme un gynéco. Je l'ai pris comme ça, sinon on commence à gamberger et on n'en sort pas.
- Et ce n'est pas trop douloureux ?
- Si, extrêmement, mais que ne ferait-on pas pour être belle. Je ne sais pas, je suis tentée par me faire poser aussi des boucles au niveau de la pointe des seins. Le seul problème c'est que certains centres naturistes veulent qu'on ôte ces bijoux intimes : « pour ne pas choquer les autres résidents et particulièrement les enfants » comme ils disent dans leur règlement intérieur. Franchement je ne vois pas ce qu'il y a de choquant à porter ce genre de bijoux. Car si je porte ces bijoux intimes c'est pour moi et pour mon homme (même s'il ne me le demande pas), mais ne pas pouvoir les montrer aux autres, qui vivent nus également, ça enlève un peu du plaisir.

Pour ma part je n'étais pas du tout sur la même longueur d'onde qu'Amandine. Contrairement à elle, je gardais ma toison pubienne qui m'allait si bien alors que cela faisait longtemps qu'elle ne portait plus de poils. Quant à me faire un piercing, même au nombril, c'était hors de question, tout au plus j'avais un trou à chaque oreille. Et me faire tripoter le sexe ou les nichons pour faire poser un bijou quelconque, il n'en était pas question.
Je préférais me faire caresser avec douceur sur ces parties de mon corps que la douleur que peut provoquer la morsure d'une perforation à ce niveau.
Ce n'était pas par pudeur, mais certainement un manque de courage vis-à-vis de la douleur.

A la fin de l'année, elle me dit qu'elle partait vivre avec son nouveau compagnon en région parisienne, que des rencontres hebdomadaires ne leur suffisaient plus et qu'ils voulaient vivre ensemble.
- Je suis désolée de te laisser en plan, me dit-elle.
- Je comprends tout à fait ton choix Amandine. Il s'agit de ta vie et je suis enchantée, en tant qu'amie, que tu puises vivre heureuse avec cet homme et que tu formes avec lui un couple? avec des enfants.
- Oui, nous voulons des enfants. Mais pas tout de suite.
- Il a 48 ans, il ne faudra pas tarder tout de même.
- Dès que nous serons bien installés dans sa maison de Chantilly, on mettra tout en ?uvre pour que je tombe enceinte.
- Tu as trouvé du travail sur Paris ?
- Non, je n'ai pas cherché pour l'instant. Je verrai quand je serai sur place. Je veux continuer à avoir une activité professionnelle, même si Jean a un poste où il gagne très bien sa vie. Nous ne serons pas dans le besoin.
- Si tu veux je pourrai te donner quelques adresses. Seulement, il va falloir que tu oublies de pouvoir travailler nue comme ici. A la capitale ce n'est pas dans les m'urs.
- Je sais. Mais avec mon homme, on va pouvoir pratiquer le naturisme le plus souvent possible, car il est vraiment à fond dedans. Il m'a dit qu'il y avait des piscines avec des plages horaires pour les naturistes dans la capitale et pour la belle saison, il y a des centres, comme en Essonne je crois. Pour les vacances, ce sera à poil 24 heures sur 24 dans un centre. Le bonheur quoi !

Je me disais qu'Amandine partie, le recrutement d'une nouvelle collaboratrice allait s'avérer particulièrement délicat. Probablement qu'il me serait impossible de continuer à travailler sans vêtement. Finalement, la difficulté ne se présenta pas. Je perdis deux clients importants et deux autres limitèrent leurs commandes. Cette baisse de chiffre d'affaires m'empêchait d'embaucher une nouvelle personne et la diminution du travail me permettait de l'exécuter seule.
Ce fut presque un soulagement pour moi de ne pas à avoir à licencier ma salariée.



L'entente sexuelle entre Bénédicte, François, Hervé et moi était toujours aussi bonne. Nous changions plusieurs fois de partenaires durant nos soirées, prenant autant de plaisir à être pénétré par l'un ou par l'autre de nos deux mâles, prenant avec délice leurs queues dressées de désir dans le vagin, la bouche ou le cul, parfois ayant le plaisir de devenir un simple réceptacle de ces membres au cours de sublimes doubles pénétrations qui nous faisaient entrer dans des transes inexplorées.

Au hasard de la soirée, je retrouvais la pine de mon époux avec plaisir et satisfaction, tandis que ma copine retrouvait celle de son compagnon. Dans cette situation, nous nous caressions l'une l'autre afin de décupler les plaisirs hétéros par les plaisirs lesbiens. Etant libre dans nos pratiques, nous ne voulions pas systématiquement être avec le compagnon de l'autre, non, nous trouvions un réel amusement à partager nos corps les uns avec les autres, sans sentiments d'interdit. Le bien- être de jouir avec son homme et d'être observé par d'autres personnes fait partie des pratiques que nous adoptons.
Avec Bénédicte, nous ne gênions pas pour jouir ensemble, entre filles. Nos hommes aimaient nous regarder dans nos jeux lesbiens.
Quant à eux, ils avaient définitivement adopté les divertissements gays pour ma plus grande satisfaction. Ils avaient repoussé tous les tabous qui au départ créaient des blocages. Ils se suçaient la queue en avalant jusqu'à la dernière goûte leur semence, ils se pelotaient, découvrant leur corps virils avec les mains ou la bouche. Enfin ils n'hésitaient plus à se sodomiser et y éprouvaient une réelle jouissance, aussi bien pour celui qui pénétrait que pour celui qui était ainsi pris.
J'aimais les regarder, trouvant ces étreintes très excitantes. Bénédicte ne partageait pas totalement mon goût de voir nos hommes ainsi, mais elle ne réprouvait pas leurs pratiques et n'aurait rien fait pour les faire cesser.
L'une des raisons de cette durée dans le temps de nos si bonnes relations, c'est qu'elles n'étaient ni trop fréquentes, ni à des dates fixes et établies à l'avance. Nous nous retrouvions quand nous en avions envie et sans qu'aucun de nous ne se sente obligé.

Bien entendu mes enfants étaient mis à l'écart de ces soirées. Lorsque nous nous retrouvions avec nos amis, ils n'étaient jamais à la maison. Je ne voulais pas que puisse se présenter le risque qu'un d'eux me voit dans les bras d'un autre homme que leur père.
Par ailleurs, en dehors de toute sexualité, ils vivaient heureux la nudité que nous entretenions chez nous. Ils trouvaient normal de voir leur mère nue, de voir leur père nu dès qu'il rentrait du travail et qu'Amandine qui travaillait avec moi le soit aussi. Mes enfants ont pris également très vite conscience qu'il y a des lieux où l'on vit nu et d'autres où il faut s'habiller. Chez nous ils pouvaient être nus, et ils ne s'en privaient pas, mais à l'extérieur, à l'école ou chez les petits copains et copines, on devait rester habillé.
J'estime que la nudité favorise le développement de l'enfant en lui permettant de connaître son corps et d'en accepter plus facilement les transformations. Même les spécialistes de l'enfance qui émettent des réserves sur les parents qui se montrent nus devant leurs enfants, reconnaissent que le naturisme modifie complètement ce rapport parents-enfants nus. Mais surtout selon des recherches scientifiques, les enfants élevés dans un environnement naturiste, qui peuvent vivre la nudité comme quelque chose de sain, deviennent des adultes qui sont à l'aise avec leur corps et avec leur sexualité.
Seuls les pédopsychiatres rigoureusement sélectionnés par la presse catholique restent très réservés, voire réfractaires à ce mode de vie.


Amandine nous ayant quittés, nous nous retrouvâmes tous les quatre sans partenaire supplémentaire dans nos jeux. Cela ne nous manquait pas, nous prenions beaucoup de plaisir à passer des uns aux autres, car faut-il le rappeler, chacun de nous avait trois amis de jeux : pour chaque fille, une autre fille et deux mecs ; pour chaque gars, un autre gars et deux filles. Les possibilités étaient d'autant plus multiples quand on prend en considération qu'un homme pouvait s'occuper de deux femmes, qu'une femme pouvait se faire prendre pas deux hommes, etc.
Pourtant, c'est François, qui le premier, lança l'idée :
- Ce serait sympa de trouver une fille qui veuille bien se joindre à nous.
- Oui, répondis-je, ou un mec.
- Effectivement, pourquoi pas un mec, reprit Bénédicte.
- OK, va pour une fille ou un mec. Mais si c'est un homme, il faut qu'il soit bisexuel comme nous, sinon, on ne va pas beaucoup profiter.
- Je crois qu'on est tous d'accord, repris-je, mais je ne voudrais pas que ce soit, avec ces partenaires, des relations suivies, seulement de personnes de passage pour un plan cul, rien de plus. Je ne voudrais pas qu'ils s'incrustent.
- Ça ne va pas être facile. Il nous faut trouver une fille ou un gars, bisexuel, qui soit de passage et qui veuille bien se faire tirer par deux nanas et deux mecs.
- Et comme nous ne crions pas sur les toits nos pratiques, les candidats ne vont pas se présenter d'eux-même.
- Pas facile, mais cela doit pouvoir se trouver.

Effectivement, nous en avons trouvé. La première fille, Diane, était une connaissance de Bénédicte qui avait envie d'un plan à plusieurs. Elle ne risquait pas de s'incruster puisqu'elle devait partir pour Blois avant la fin du mois en cours.
Cette fille était totalement libérée. Sans aucune pudeur, elle fut partante pour ce que nous lui proposions : un après-midi naturiste et une nuit très chaude. Elle se disait lesbienne sans pour autant détester de temps à autre une queue s'enfonçant en elle :
- J'aime faire l'amour avec les femmes, partager leur compagnie, vivre, comme je vais le faire à Blois avec une amie? intime. J'aime aussi baiser avec des hommes, mais je ne supporterais pas de vivre avec un mâle chez moi.
Cette fille, de 25 ans, était très féminine. Elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais un corps svelte avec entre les jambes une chatte finement taillée dégageant totalement son abricot bien visible en toute circonstance. Il émanait d'elle une réel charme. La façon dont elle se déplaçait, dont elle se mouvait n'était pas en adéquation avec ses idées bien tranchées. Son visage était captivant, en raison d'une grâce et tout à la fois d'une expression de franchise. Tout en elle était un jeu subtil de contradiction. Sa douceur se mêlait à de la fermeté, son attachement viscérale pour les femmes restait tinté d'hétérosexualité, sa force de caractère était nichée dans un corps fin'

Lorsque nous avons commencé à échanger des baisers entre filles, nous avons pu découvrir toute la douceur qu'elle savait y mettre.
Ce sont nous, les filles, qui débutèrent les hostilités. Nous partîmes à la découverte de nos corps, Diane se dirigeant directement vers le sexe de Bénédicte, tandis que je pelotais leurs seins. Puis je me glissai entre les jambes de notre nouvelle compagne de jeu pour découvrir sa fente et prendre possession de son sexe. La touffe de sa chatte avait la forme d'un c'ur dont la pointe arrivait juste au- dessus de sa fente, laissant ses lèvres totalement dénuées de poil. Elle avait fait une teinture de ses poils pubiens, ceux- ci étant roux alors qu'elle était naturellement brune. Elle n'avait qu'à ouvrir un peu les jambes pour faire découvrir son intimité, laquelle était ornée de deux petits diamants à la lisière de ses lèvres intimes. Justement, d'ouvrir les jambes, elle ne se privait pas bien au contraire. Comme je le disais, elle n'avait aucune pudeur.
Nos deux hommes se contentaient de nous regarder. Leurs sexes étaient tendus, mais ils n'intervenaient pas. Diane n'était pas du tout gêné de se voir ainsi observée par deux hommes alors que son sexe se trouvait béant.
Diane se pencha ensuite sur mon propre sexe qui était déjà humide. Elle posa sur ma fente ses lèvres d'une douceur extrême et partit à la recherche de mon clitoris. Elle le lécha, puis fit des allées retours de mon organe érectile à mon anus. C'était divinement bon jusqu'au moment où, sans crier gare, elle introduisit un doigt dans mon vagin et atteignit presque immédiatement mon point G. Ce fut comme une fulgurance d'autant plus intense que je ne m'y attendais pas. Je me transformais en femme fontaine, phénomène que je connaissais, mais que j'arrivais tant bien que mal, lorsque je le voulais, à contrôler.
Je restais KO, alors Diane se dirigea vers nos deux beaux étalons en saisissant dans chaque main leurs queues. Elle les branla, en prit une en bouche, puis l'autre, à un moment les deux ensembles. Puis François se plaça derrière elle pour visiter à son tour son sexe tandis qu'Hervé continuait à se faire pomper.
Cette fois-ci c'était Bénédicte et moi qui regardions le beau trio en action. D'autant plus que la queue de François (revêtue d'un préservatif) ne fut pas longue à entrer dans le vagin de Diane. Elle ne lâcha pas pour autant la queue qu'elle tenait en bouche. Tendis que je caressais Bénédicte, celle-ci lança une main pour peloter les seins de Diane qui se ballotaient sous elle libres de toute entrave.
Une queue dans le vagin ne suffit pas à cette nouvelle recrue très chaude. Elle demanda à Hervé de « l'enculer » en repoussant la lubrification habituelle. Elle geignit avant de jouir bruyamment. Elle eut un orgasme dévastateur alors que les deux queues la perforaient, l'une dans le con, l'autre dans le cul.
Plus tard elle sollicita une double-pénétration vaginale. Hervé et François s'y plièrent de bonne grâce. Par contre, lorsqu'elle voulut une double-pénétration anale, là nos deux hommes, en accord avec Bénédicte et moi, refusèrent. Diane ne se formalisa pas de ce refus et vint se « consoler » dans des bras féminins.
De toutes les filles (elles ne sont pas si nombreuses que ça) qui ont partagé nos jeux, ce fut certainement la plus chaude de toutes.

Parfois, nos partenaires étaient de très jeunes filles qui voyaient la participation à nos jeux comme une sorte de rite initiatique. Elles pensaient, en repoussant les limites de leur sexualité, parvenir à l'état de femme à part entière. Pour autant, elles étaient toutes majeures et jamais pucelle. On ne prenait jamais l'agneau dans la tanière du loup, il fallait que la fille ait déjà connu le loup justement, qu'elle apprécie les choses du sexe et quelle soit suffisamment délurée.
Faire l'amour avec d'autres femmes, pour ces filles, n'étaient jamais un réel problème à ce stade. Si elles n'avaient jamais expérimenté, elles étaient toutes partantes pour connaître les suavités des échanges saphiques.
Par contre, faire l'amour avec deux hommes les rebutaient parfois. Elles craignaient la brutalité masculine qui peut se canaliser s'il n'y en a qu'un, mais qui est plus difficilement maitrisable s'ils sont plusieurs :
- Partager un mec avec d'autres filles, ça ne me pose aucun problème. On l'a fait une fois avec mon copain. Mais je ne me voyais pas faire venir un autre garçon dans notre lit pour une séance de baise.
Tout cela pour dire que les candidates retenues initialement étaient peu nombreuses à passer le seuil de notre maison.

Les centres naturistes, à condition d'être suffisamment discret, sont des terrains de chasse qui nous ont fait connaître plusieurs partenaires. L'avantage, c'est qu'on peut juger de la plastique des gens directement, sans pouvoir se tromper.

Notamment le premier homme qui s'est joint à nos deux couples. Il venait de divorcer, ce qui en faisait a priori un hétérosexuel, mais nous apprit que depuis sa séparation, faute de femmes, il s'était tourné vers les hommes.
Il avait un sexe d'une grosseur impressionnante, c'est d'ailleurs ce détail qui attira l'attention de Bénédicte et la mienne. Alors que nous prenions notre douche en commun, il est arrivé et a commencé à se savonner tout le corps sans se soucier de nous. Il passait sa main sur sa tige, son gland était décalotté. Nous le regardions du coin de l'oeil, puis comme il nous avait lancé un regard appuyé en continuant sa toilette, nous nous sommes placés en face de lui, faisant nous aussi, nos ablutions intimes. Un jeu de voyeurs-exhibitionnistes s'installa entre nous, d'autant plus librement que nous n'étions plus que nous trois dans la pièce.
Est-ce parce qu'il nous voyait nous caresser les seins et la chatte, ou parce qu'il se branlait plus qu'il ne se lavait le sexe, le fait est, qu'il commençait à bander. Son membre qui au repos était admirable, prit des proportions très intéressantes.
L'après-midi, sur la plage, nous avons repéré sa serviette et nous nous sommes installés non loin de lui avec nos maris. Là encore le jeu voyeurs-exhibitionnistes reprit, surtout lorsque l'homme constata que nos hommes ne pouvaient ignorer ce divertissement et qu'en plus ils l'approuvaient. Ils allaient même y participer, en nous enduisant de crème solaire pile et face, n'oubliant aucune parcelle de notre peau, sans omettre naturellement nos seins aux pointes dressées, le pourtour de nos chattes, la rondeur de nos fesses et le sillon qui les coupe.
C'est alors trois membres parfaitement dressés qui s'offraient à nous.
Après le regard, il y eut les paroles, c'est là qu'il nous dit qu'il s'appelait Gérard. Et de fil en aiguille, nous invitâmes le bel étalon à venir s'ébattre avec nous dans notre mobil-home. Non seulement son sexe était de dimension impressionnante, mais il savait très bien s'en servir. Bénédicte et moi furent comblées avec deux orgasmes alors qu'il allait de l'une à l'autre, pilonnant le con de l'une alors qu'il branlait la fente de l'autre. Il suçait également une pine tandis que la troisième queue se présentait devant mes lèvres ou celles de mon amie.
Il sortit son sexe de nos ventres, s'astiqua quelques instants et rependit son sperme sur nos poitrines.

Comme il était du genre infatigable, Hervé ne fut pas long à le faire rebander. Là il s'occupa de nos amours, il sodomisa Frédérique et bientôt Hervé le sodomisa. Les trois hommes étaient encastrés les un dans les autres. Je n'avais encore jamais assisté à un tel spectacle. Un ravissement absolu !
Cette nuit fut ponctuée diverses joutes sexuelles entre filles, pour le plus grand plaisir de notre hôte qui admira le spectacle que nous lui offrions, entre mecs ou les unes avec les autres.
Le lendemain matin, au réveil, Gérard n'était plus là. Nous avons tous été à la douche, histoire de faire disparaître les taches qui maculaient nos corps.
Finalement, nous avons revu Gérard dans l'après-midi avec une jeune femme. Cette présence nous surprit, mais il nous dit, à l'abri des regards de sa nouvelle compagne :
- La nuit que j'ai passée avec vous a été extraordinaire.
- Mais cette fille ?
- Je ne la connaissais pas hier. Nous nous sommes vus à la douche, comme avec vous hier et nous avons sympathisé? de façon moins équivoque si vous voyez ce que je veux dire.
- Et avec elle?
- Nous avons passé une sieste crapuleuse des plus réussie. Par contre, avec elle, je voudrais nouer une relation un peu plus stable. Je vous en conjure, ne lui dites pas ce que nous avons fait cette nuit. C'était formidable, mais je suis persuadé qu'elle ne serait pas prête à tenter l'expérience. Elle se trouve bien nue, elle apprécie faire l'amour avec un homme, mais c'est tout. Enfin pour l'instant, peut-être qu'un jour elle viendra au libertinage, il faudra du temps, beaucoup de temps.
- C'est déjà pas mal, dis-je.
- Sois sans crainte, dit Bénédicte, elle ne saura rien de nos turpitudes.
Cela n'était pas plus mal, ainsi nous pouvions garder notre liberté pour le restant du séjour, sans à avoir tous les soirs le même partenaire. Nous recherchions, par ses séjours, le plaisir de se retrouver tous les quatre et éventuellement de pimenter notre quatuor avec de la diversité et non des relations suivies.

Dans ce même centre naturiste, nous avons fait l'amour avec un couple. C'était la première fois que se joignaient à nous un homme et une femme. Nous n'avions jamais envisagé un plan avec trois couples.
- Plus on est nombreux et plus ça ressemble à une partouze, avait dit Bénédicte, et je ne souhaite pas qu'on en arrive là.
J'étais d'accord avec elle et nos mecs se contentaient tout à fait d'un partenaire de leur sexe ou de l'autre sexe pour satisfaire leur plaisir.
Pourtant, là ce fut un peu différent. Comme cela se passe assez fréquemment, lorsque dans le centre arrivent des nouveaux naturistes, des jeunes sans expérience, nous nous efforçons de les mettre à l'aise et de leur faire comprendre pourquoi nous vivons nus, détendus et sans stress. Lorsque j'ai une débutante devant moi je lui dis :
- La nudité, c'est le naturel, tout simplement, c'est être tel que tu es née. Pour moi, c'est ce qui s'éloigne le plus de ce qui est artificiel et superficiel, et cela me plaît vraiment. C'est être «moi» au-delà de tous les artifices que l'on porte et sur lesquels nous sommes jugés quotidiennement. La nudité m'apporte une forme de liberté.
- Les naturistes ont probablement raison, me répondent souvent mes interlocutrices, car pour s'accepter soi-même, il est souvent utile de se comparer aux autres, et le naturisme, j'imagine, permet de faire cela d'égal à égal.
- Ce n'est pas tout à fait exacte, ici on ne se compare pas aux autres, on est comme on est, les autres sont comme ils sont. Tu dois les accepter, comme toi ils vont t'accepter. Il ne faut surtout pas te monter de bourrichon. Tu es ici pour être nue, alors fais-le. La première minute ça peut être dure, la première heure ça te paraitra bizarre et après tu n'y penseras même plus. Le second jour ça sera devenu naturel et tu ne pourras plus t'en passer.

Là c'était une très jeune couple. Elle, Claire, avait 18 ans et en paraissait 16 et lui, Boris, avait tout juste 19 ans. Ils n'étaient pas mariés et ne vivaient même pas ensemble, chacun chez papa-maman.
- On habite à proximité l'un de l'autre, nous dit Claire. Nos parents ne savent pas qu'on est ensemble, ils croient que je suis avec sa s'ur. On a voulu venir ici par défit. Nous nous trouvons trop pudiques' c'est familial. Un copain nous a parlé du naturisme, alors on voulait essayer.
Ce que j'avais prédit à Claire et à Boris se produisit. Ils devinrent des naturistes convaincus en l'espace de quelques jours. La jeune fille gardait quelques onces de pudeur tout de même ; contrairement à d'autres femmes, elle ne restait pas debout sur la plage pour se sécher, elle n'exhibait pas son corps. Boris, un très beau jeune homme, lui, trouva tout de suite sa place, il n'avait pas à avoir la crainte de certains débutants qui craignent l'apparence de leur corps. Il montra à plusieurs reprises des débuts d'érections, que je faisais mine de ne pas voir pour ne pas le mettre dans l'embarras, car il aurait bien aimé pouvoir mieux se contrôler.

Claire, qui me parlait comme à une amie de toujours, me dit un jour :
- J'aime Boris et je crois que lui aussi m'aime. Lorsque nous sommes ensemble, je me sens bien. Je sais que mes parents n'approuveraient que je sorte ainsi avec un garçon. Ils voudraient que j'arrive vierge au mariage. Mais je trouve cela complètement imbécile. Ma s'ur ainée est arrivée vierge au mariage. Résultat, pour elle le sexe est une chose dégoutante, on ne baise que pour faire des enfants, mais en n'y trouvant aucun plaisir. En plus, son mari va voir ailleurs. Moi je ne veux pas suivre son parcours.
- Je pense, lui dis-je, qu'il est nécessaire de connaître l'homme avec qui on veut vivre avant le mariage par lui-même. Cela évite de faire une grosse erreur.
- Ce qui m'intrigue avec toi, c'est que tu sembles aussi proche d'Hervé, ton mari, que de François' Et Bénédicte pareil avec ton homme.
- Tu sais, j'aime Hervé, nous sommes un couple très unis. Bénédicte est une amie du temps où je suivais un BTS. Elle a été ma maîtresse.
- Tu as fait l'amour avec une autre femme.
- Oui. Avec Bénédicte, mais ce n'a pas été la première, ni la dernière d'ailleurs, j'ai eu quelques autres expériences. Cela ne t'est jamais arrivé ?
- Non. Enfin, un jour, une copine m'a fait des propositions. Elle me disait que j'étais belle, que je lui plaisais, etc. Cela me troublait énormément. Et lorsqu'elle est devenue plus explicite, lorsque j'ai compris qu'en fin de compte elle avait envie de moi, je ne pouvais pas y croire. Lorsqu'elle m'a invité chez elle, j'ai refusé. J'avais peur de ce qui pourrait arriver.
- Il n'y a rien de mal à cela tu sais. On prend également beaucoup de plaisir. Enfin, après plusieurs années où j'étais avec Hervé et elle avec François. Nos deux couples faisaient du naturisme, ce qui nous apportait une grande liberté d'esprit et une connaissance de nos corps. J'ai repris mes relations avec Bénédicte, cela ne posant aucun problème à mon mari. Puis nos hommes, surtout François, avaient envie de bouger un peu les lignes étriquées de sa vie de couple. Il aimait Bénédicte mais souhaitait mettre un peu de libertinage dans leur existence. Alors, avec Bénédicte, on s'est dit, pourquoi ne pas faire cela entre nous, sans avoir à aller dans des clubs libertins ou rencontrer des inconnus.
- Tu veux dire que tu fais l'amour toi tantôt avec François et Hervé et elle pareil.
- Oui. Je te choque ?
- Je ne sais pas. C'est si étrange pour moi? Je ne sais si je pourrais faire l'amour avec plusieurs hommes. Je fais l'amour avec Boris, cela me suffit.
- Et lui Boris, est-ce que d'avoir un partenaire cela lui suffit.
- J'espère.
- Tu vois, si un jour tu sens que son amour est moins fort, il faudra te poser des questions et voir comment tu pourrais raviver la flamme qui est en lui. L'amour, c'est comme un feu, cela doit s'entretenir, il ne faut attendre qu'il n'y ait plus de braises pour rajouter du bois.
Elle garda le silence avant de reprendre :
- Pourtant il y a une chose qui me dérange dans notre relation avec Boris. Je n'éprouve presque jamais de jouissance lorsque qu'il me fait l'amour, je ne sais pas vraiment ce qu'est l'orgasme, mais cela doit être beaucoup plus puissant que le plaisir que je ressens. Pourtant je suis bien dans ses bras, j'aime lorsqu'il est tout contre moi, qu'il me caresse.
- Et lorsqu'il te pénètre, c'est douloureux ou c'est bon.
- Ce n'est jamais douloureux. Non, j'ai l'impression que je ne perçois pas tout ce que je devrais ressentir.
- Peut-être qu'il ne sait pas comment te faire jouir.
- Je ne sais pas'
Je sentais qu'elle voulait aller plus loin dans la confidence. Mais, malgré mes encouragements, elle ne voulut pas en dire plus. Il fallut un certain temps pour qu'elle accouche : elle voulait qu'on les initie dans les jeux de l'amour de telle manière à ce qu'elle et son mec puissent trouver le plaisir et la jouissance.
- Tu sais, nos jeux sexuels sont pour des personnes averties. Tu risques de ne pas y trouver ta place. Déjà tu n'es pas lesbienne et Bénédicte et moi nous n'allons pas nous priver de te caresser.
- Je ne demande que ça. J'ai vraiment envie de me décoincer, de me libérer des convenances que m'imposent mes parents. J'ai déjà perdu trop de temps.
- Et Boris, tu lui en as parlé.
- Il le veut autant que moi.
Claire me surprenait. La prude et timide personne que j'avais découverte lorsqu'elle était arrivée dans le centre, s'avérait être désireuse de tout connaître sur les plaisirs sexuels.

Nous invitâmes donc le jeune couple à ce joindre à nous. Je redoutais un rejet assez rapide de ces novices. Pourraient-ils supporter la présence de deux hommes et de deux femmes qui prendraient possession d'eux. Même s'il était convenu que Boris ne pratiquerait aucun assaut homo, comment allait réagir Claire lorsque son compagnon ferait l'amour avec une autre femme, qu'aillait faire Boris lorsqu'il verra sa copine se faire prendre par un de nos hommes ?
Les premières minutes furent hésitantes. Finalement, j'entraînais Claire sur le lit et commençais à la caresser. Bénédicte est venue me rejoindre. Les hommes nous regardaient simplement. Boris commença à bander presque immédiatement et sous ses yeux écarquillés, Hervé et François se branlaient mutuellement.
Nos couples faisaient du naturisme, ce qui nous apportait une grande liberté d'esprit et une connaissance de nos corps. La pudeur était donc toute relative entre nous, sinon se présenter nu devant l'autre aurait été beaucoup plus délicat.
Je quittai le corps de Claire, laissant Bénédicte ?uvrer et attirai à moi Boris. Il était excité à mort et n'avait qu'un seul but, enfoncer son sexe en moi. J'avais pourtant d'autres plans : je dirigeai son visage sur mes seins pour qu'il me donne du plaisir. Il n'était pas très adroit, mais réussit tout de même à en faire rejaillir les pointes foncées. Alors je le guidai vers mon sexe. Là encore, il ne savait pas trop quoi faire, si ce n'est, passer sa langue sur ma fente, sans connaitre les bonnes zones à privilégier. Il finit par entrer un doigt dans mon vagin, d'une façon qui me déplut en m'asticotant comme s'il avait s'agit d'un petit sexe. Je le laissais me pénétrer en me disant qu'une fois satisfait je pourrais le détourner de son obsession. Il éjacula très rapidement.
Pendant ce temps, François faisait l'amour à Claire. Elle ne fut pas longue à jouir, avant même qu'il ne la pénètre. Et une fois en elle, alors qu'il faisait aller et venir son sexe dans son fourreau humide, ce fut une explosion.
Nous savions à présent comment orienter nos cours de telle manière à apprendre à ce garçon comment faire jouir sa partenaire et à elle, comment contenter celui qu'elle aimait. Il y avait de graves lacunes dans leur connaissance de l'art de faire l'amour.

Bénédicte et Hervé firent tout d'abord un cours magistral, baisant ensemble devant nos élèves, afin de leur montrer comment il fallait s'y prendre pour qu'une femme satisfasse un homme et pour qu'un homme fasse jouir une femme.
Puis il fallut passer aux travaux pratiques. D'une part, je présentai devant le visage de Claire le sexe de François pour qu'elle puisse expérimenter l'art de la fellation. D'autre-part, Bénédicte guida Boris sur son corps pour qu'il mette en pratique ce qu'il venait de voir. Laissant mon élève sucer avec application la tige du mâle que je lui avais assigné, je me mis tout contre mon amie et je recadrais les choses, pour montrer à Boris, comment faire, où toucher, où lécher.
Après ces doux préliminaires, il pénétra Bénédicte et Hervé entra en Claire pour finir une leçon très particulière.

Cette nuit porta ses fruits puisque Claire m'affirma que Boris arrivait à la faire jouir presque à chaque rapport et plusieurs fois de suite.
J'ai toujours apprécié faire connaitre à mes partenaires, tant féminins que masculins, de nouveaux rivages, de nouvelles sensations. Alors, lorsque mes « cours » peuvent apporter un réel bagage pour trouver le plaisir, le bonheur et une grande satisfaction, j'estime que mes efforts n'ont pas été vains. Durant ma vie cela m'arriva à plusieurs reprises.

Nous avons eu également pour partager de doux et brulants moments des couples plus expérimentés dans les choses de l'amour. Cette femme de mon âge et son mari de 55 ans très vaillant et endurant. Il aimait les jeunes, les femmes comme les hommes. Pour elle, c'était la première fois qu'elle faisait l'amour avec des femmes. Avec Bénédicte, nous nous sommes faites un plaisir de l'initier dans les plaisirs saphiques. Elle apprécia beaucoup nos attouchements, moi visitant avec ma langue et mes mains son sexe, mon amie lui malaxant les seins et en embrassant les pointes érigées. Pour parfaire le tout, je quittai sa fente humide et présentai mon sexe au- dessus de sa tête. Elle commença à me sucer, tout d'abord maladroitement, puis prenant plus d'assurance. Bénédicte avait pris ma place entre ses jambes.
Grâce à nos caresses, notre partenaire finit par jouir. Pendant qu'elle reprenait son souffle, nous observâmes les trois hommes qui se suçaient les uns les autres.
Très rapidement, ils se séparèrent pour venir nous rejoindre. Durant cette nuit, je peux affirmer que chacun des trois hommes m'a fait jouir. Cependant je ne peux dire si c'est le sexe de François, d'Hervé ou de notre hôte qui me pénétra le premier, ni celui qui me sodomisa. Encore une fois ce fut une réussite.

Par contre, une autre fois, ce fut beaucoup moins réussi. Nous nous sommes aperçus, malheureusement trop tard, que la femme qui était là, l'était par la volonté de son mari. Lorsqu'elle fit l'amour avec Bénédicte et moi tout alla bien, elle avait déjà pratiqué des attouchements lesbiens avec une amie en colonie, sous la douche. Cela ne la dérangeait pas de réitérer l'expérience qui ne lui avait pas déplu à l'époque. Tout ce gâta lorsqu'elle vit que son homme m'embrassait et que je suçais sa queue. Elle se tendit alors que François l'entreprenait. Puis se dégagea de son emprise et se sauva de la chambre, ramassant ses vêtements à la volée, sans prendre le temps de se rhabiller.
Son mari, semblant ne rien voir, continuait à me lutiner le sexe, mais je l'arrêtai en lui disant :
- Tu devrais aller voir, ta femme a un problème.
- Laisse là, elle n'avait pas trop envie de venir. Je n'arrive pas à la décoincer.
Et de replonger vers ma chatte. Je relevai sa tête en lui disant :
- Tu l'as obligée à venir alors qu'elle n'en avait pas envie ?
- J'avais trop envie de baiser avec vous.
Les règles du jeu avec nos partenaires étaient toujours très claires. Lorsqu'on accueillait un homme ou une femme, ils savaient à quoi ils s'engageaient et il n'y avait aucun problème. Lorsqu'il s'agissait d'un couple, la femme comme l'homme devaient être totalement consentants, aucun ne devait venir par contrainte. De passer un après-midi en naturiste, chez nous ou dans les centres avant de se lancer, nous permettait souvent de déceler ceux qui ne répondait pas à ces obligations.
Pour ce couple cela n'avait pas suffit. Mais l'homme n'eut pas ce qu'il voulait. Dans les cinq minutes qui suivirent, il était, avec sa femme en pleure, hors de chez nous.


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