Notre plage - 2.

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Proposée le 29/12/2007 par Pierre FAVRIC

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Ce dimanche du mois de juin, Bénédicte s'absente dès le matin pour rejoindre dans sa nouvelle maison en travaux une de ses amies que je n'apprécie guerre. Je la laisse donc partir sans regret et décide de me rendre, seul pour la première fois, sur «notre plage »... Plage sur laquelle l'avant veille nous nous sommes offert une petite exhibition sous les yeux d'un couple complices et discrets, madame ayant branlé sous nos yeux son mari, à l'unisson du plaisir que mes doigts procuraient à Bénédicte.

Il est 10 heures... Je m'attendais à ne pas être le seul estivant, mais là, c'est Paris-Plage... Je me sens curieusement déplacé, pas très à l'aise... Je ne suis jamais venu seul ici... Et je me fais l'effet d'être un de ces voyeurs dont Bénédicte et moi cherchons généralement la présence...

Timidement, sans ôter mon short de bain, je m'assieds au pied de la dune. Je reconnais presque aussitôt le parasol de nos complices de l'avant veille. L'homme est seul, et je ne tarde pas à repérer madame, splendide dans sa nudité sans complexe, marchant au bord de l'eau... J'aime ce type de femme mure, aux seins lourds et magnifiques, au corps plein que seule la volonté et une parfaite hygiène de vie empêche de s'affaisser, de s'épaissir au-delà de la pleinitude...

Elle affiche et assume son âge et sa nudité dans sa démarche lente et sure, sans un regard pour ceux qui la dévisagent. Elle m'aperçoit à l'instant de rejoindre son mari, se fige un instant. Je crois discerner sur son visage un sourire que je lui rends. Elle infléchit sa course, dépasse sa serviette et s'avance vers moi, léger sourire aux lèvres. Je suis ému au-delà de ce que j'imaginais. Je me sens petit garçon timide. Elle n'a pourtant qu'à peine quinze années de plus.

Je me concentre sur ses yeux pour me pas laisser les miens courir sur ses seins, son ventre bombé, son sexe à peine dissimulé sous un léger friselis de poils blonds.

- Serriez vous seul aujourd'hui... ? Sa voix est légère et naturelle, sans tremblement.
- Bénédicte s'est absentée pour la journée...
- Et vous revenez en pèlerinage... ! Complète-t-elle en se moquant gentiment.
- C'est un peu ça, bien que je sois un peu dépaysé de me trouver ici sans elle... Je me fais l'effet d'un de ces voyeurs...
- Et ça n'est pas ce que vous êtes... ? Continue-t-elle à se moquer.

Je tente de reprendre le contrôle d'une situation qui finira pour me faire passer pour un timide, voire un débile ;
- C'est ce que sont ceux que nous venons rencontrer... !
- J'avoue que vous m'avez impressionnée, avant hier... Avoue-t-elle sans l'ombre d'une raillerie.

Je la sens soudain plus tendue, moins sure d'elle... Et je crois avoir enfin dominé mon malaise. C'est presque en chuchotant qu'elle poursuit ;
- Votre femme est une coquine... ? Ou veut-elle seulement vous plaire... ?
- Les deux ne sont pas incompatibles... ! Lui réponds-je.
- Voulez vous venir vous asseoir avec nous ?

Nous nous dirigeons vers le parasol sous lequel, monsieur, assis en tailleur, nous observe et semble nous attendre.
Chemin faisant, elle murmure encore ;
- Mon mari a aussi beaucoup aimé... mais il est hélas bien trop timide pour oser...

Le temps que les mots soient analyses et décortiqués par mon cerveau en légère ébullition, nous sommes auprès de son compagnon.
- Voici Alain, mon mari... Moi c'est Jeannine.
- Pierre ! Annonçais-je. L'absente, c'est Bénédicte, ma compagne !

Je n'ai encore jamais serré si civilement la main d'un homme nu. Ni même été présenté à une femme dans son plus simple appareil... La vie est si inattendue qu'elle vaut vraiment le coup d'être vécue... Et je suis soulagé de n'avoir pas à faire à des ploucs...

Je m'installe à coté de Jeannine, après être défait de mon short de bain, puisque tous les deux sont nus.
Allongée entre nous, elle s'installe confortablement pour n'avoir qu'à tourner la tète vers l'un ou l'autre au gré de la conversation qu'elle semble vouloir diriger ;
- Pierre me disait que son amie, Bénédicte, était une vraie coquine... ! Confie-t-elle à son mari qui me sourit avec une moue approbatrice, comme pour souligner ma chance.
- Il m'a semblé que vous étiez aussi une vraie coquine... ! Lui dis-je pour entrer directement dans le vif du sujet.
- Ni Alain, ni moi ne sommes en tous cas aussi hardis que vous... ! Annonce-t-elle avec une pointe de regret.
- Nous le sommes devenus peu à peu, lentement, et ensemble... Avoues-je, sur le ton de la confidence.
- Je crois que mon mari aimerait beaucoup... mais n'oserait jamais... ! Alors racontez-nous... !

Je sens une boule de chaleur m'envahir les reins mon sexe se gonfler imperceptiblement sans que je puisse rien faire pour le maîtriser.
- Dès notre rencontre, Bénédicte n'a pas chercher à dissimuler son exhibitionnisme naturel, et c'est sans aucun doute cette extraordinaire sensualité qu'elle exhalait qui m'a aussitôt attiré... Je suis moi-même un «cérébral cochon »... Et les choses se sont faites petit à petit... Elle a très vite compris que je ne m'offusquais pas de ses tenues légères et des regards qu'ils provoquaient... Bien au contraire.... Je l'ai simplement rassuré et conforté par ma présence et ma protection...

Tout en me racontant, je laisse explicitement mon regard admiratif glisser sur les courbes de ma jolie voisine, et je vois dans ses yeux que l'hommage lui plaît. Alain semble apprécier aussi, et un infime gonflement de sa queue corrobore son sourire.
Jeannine est allongée, rehaussée sur les coudes, ses seins superbes un peu affaissés sur son torse, tétons adorablement saillants au centre d'aréoles à peine foncées, jambes pliées et très légèrement ouvertes. Sa jolie chatte bombée se devine sous un léger nuage de mousse blond foncé, et je jurerai que les lèvres de son sexe sont plus ourlées qu'elles ne devraient l'être... C'est elle qui pose des questions ;
- C'est vous qui l'avez amenée à s'exhiber véritablement... ?
- Oui... Dans une situation similaire à celle-ci... Un lieu propice... Des regards...

Et je raconte en quelques mots le plaisir qu'a découvert Bénédicte à s'abandonner à mes caresses au risque d'être surpris, dans un lieu exposé, et bientôt sous les yeux d'un premier spectateur discret... Et l'immense bonheur qui m'a envahi à la voir jouir sous mes doigts...et le regard d'un inconnu...
Cette femme nue, son mari complaisant et quelque peu excité, ajoutés aux réminiscences de mes aventures avec Bénédicte que je dévoile à mots couverts me font un peu tourner la tète et mon émoi se manifeste par une érection graduelle que je ne cherche pas à dissimuler, accoudé sur le flanc, le sexe tendu vers ce corps que je ne rêve plus que de caresser...

Faisant fi de la promiscuité, j'effleure du bout des doigts la hanche de ma voisine, le haut de la cuisse nue. Elle frémit sans lâcher mon regard, mais son rapide coup d'œil vers mon sexe ne m'a pas échappé et je jurerai qu'une lueur nouvelle brille dans ses yeux. Alain semble hypnotisé.
- Vous me faites un effet que je ne pas vous cacher... ! Lui avoues-je soudain. J'adorerai être l'initiateur d'un jeu auquel, je suis sur, vous aimeriez jouer... ! Vous êtes très belle... Et vous avez certainement constaté comment vous regardent la plupart des hommes qui nous entourent, ici même, sur cette plage... Comme par exemple celui qui est en face de vous, là-bas, et ne vous lâche pas des yeux... !
- Je ne suis pas certaine que nous osions... ! Me répond-elle après un rapide coup d'œil vers son compagnon qui ne tente même pas une réponse tant il semble fébrile.

Les tempes battantes et la bouche un peu sèche, continuant à caresser très discrètement sa cuisse du bout des doigts, je propose, reconnaissant à peine ma voix ;
- Il n'attend que l'instant ou vous allez lui offrir une vue plus franche de l'objet de sa convoitise, et vous allez le faire tout naturellement, sans ostentation...
- Comme ça... ? Demande-t-elle ingénument en desserrant lentement les jambes, ses yeux humides fixés dans les miens.

Je me sens le pigmalion de cette femme pourtant plus âgée que moi, et l'instant est si riche d'émotion que j'en oublierais presque tout ce qui nous entoure et la réalité de cette situation. Mais il est indéniable qu'elle prend un immense plaisir à se laisser conduire par moi.
Je sens presque physiquement le regard du voyeur sur l'intimité de Jeannine, et Alain me parait au bord de l'apoplexie, bien qu'il ne bande qu'à peine, comme paralysé par un émoi trop puissant.

Du coin de l'œil, je note que le type a le regard rivé à l'entrejambes dévoilé, et j'en suis tout autant excité que lui. Alain parait dans un autre monde, et ne veut visiblement pas intervenir.
L'attitude de Jeannine peut encore sembler fortuite, et il me suffit d'un geste pour transformer cette innocente exhibition en véritable indécence, et je me jette à l'eau ; je dépose un rapide baiser sur le bout de sein tendu, et d'un mouvement lent, j'effleure la chatte offerte sur toute sa longueur, de bas en haut, glissant le doigt dans le sillon humide.
Jeannine se tend, surprise, mais ne repousse pas mon geste. C'est un réflexe involontaire qui ferme le compas de ses jambes qu'elle écarte à nouveau immédiatement, alors que ma main, sagement, est revenue se poser sur sa hanche.

Aussi brève qu'elle fut, ma caresse n'a pas échappé à notre voyeur et m'a confirmé l'état de ma nouvelle complice. Outre l'humidité, j'ai nettement senti de bouton d'amour tendu entre les lèvres charnues, et l'indécente érection des mamelons de Jeannine sont une révélation supplémentaire de son état.
Le temps s'arrête, et ses yeux rivés aux miens, cuisses ouvertes, elle offre complaisamment son intimité aux rayons du soleil et au regard de tous ceux qui souhaiteraient en profiter, à commencer par celui qui se repaît du spectacle.
- C'est terriblement excitant... Me confirme-t-elle dans un souffle. Et je me sens très en sécurité avec toi...
- Tu es magnifique, et tu m'excite au plus haut point... ! Lui confirmais-je, adoptant le tutoiement qui s'est imposé de lui-même.

L'endroit est un peu trop fréquenté pour nous allions plus loin, et une certaine gène nous retient encore, alors nous profitons simplement de la situation. Notre voyeur se tortille sur le ventre, et j'imagine sans peine le braquemard qu'il frotte sur sa serviette, mais nous ne lui accordons aucune attention ostentatoire.
Alain n'a pas fait un geste, mais semble puissamment excité.

Un homme nu, déambulant au pied des vaguelettes, jette un œil vers nous, et semble frappé par la posture de Jeannine. Il rebrousse chemin et infléchit sa course dans le but évident de voir de plus près ce qu'offrent ces cuisses ouvertes. Son regard est transperçant, et lorsqu'à quelques mètres de nous, il s'arrête, indécis, incrédule, il s'agenouille, cherchant dans le sable un hypothétique coquillage pour se donner une contenance, mais ne lâche pas des yeux celui que lui offre cette femme nue.

Jeannine a suivi le manège et son regard brillant reste obstinément rivé au mien. D'un sourire et dans un murmure, j'ordonne ;
- Mieux que ça... ! Ecartes bien... ! Maintenant refermes... ! Ecartes encore... !

Le balancement de ses jambes parait tout à fait naturel, alors qu'il est volontairement provocateur, et la main du type à croupis tâtonne vainement dans le sable tandis que son regard fouille le sexe de Jeannine, qui soudain ferme les jambes et murmure ;
- Arrêtes, petit salaud... ! Tu vas finir par me faire jouir sans m'avoir touché... !
- Tu veux jouir ? Demande Alain qui semble soudain tiré de sa torpeur et dont la bite affiche une solide érection qu'il essaye de dissimuler entre ses cuisses repliées.
- Oui... ! Murmure-t-elle. J'aimerai que Pierre me fasse jouir... Mais il y trop de monde ici...

Il est vrai que l'endroit est un peu trop fréquenté, et les passages répétés de quelques «promeneurs » vont finir par attirer l'ensemble des estivants.
Jeannine adopte une position plus sage, et nous laissons s'apaiser le tumulte qui à envahi nos cerveaux et nos ventres.

Le ramasseur de coquillages s'éloigne, et les vas et viens se calment. Seul l'homme du début reste obstinément à sa place, dans l'espoir d'un nouvel aperçu...
La tension entre nous trois ne disparaît pas pour autant, et nous l'entretenons de mots... Alain semble particulièrement fébrile, et dissimule à peine son envie de me voir sauter sa femme ... proposant de nous trouver un endroit moins fréquenté... Proposant même de quitter la plage pour aller prendre un pot chez eux...
Ce que finit par approuver Jeannine, avec un adorable sourire coquin... Et nous voici ramassant nos affaires...

Je n'avais pas envisagé si rapidement une telle éventualité, mais cette femme me plaît, et un tel cadeau du destin ne peut se refuser...
L'hyper fréquentation du lieu ne nous laisse pas d'autre choix, sinon de nous quitter stupidement, et il n'est d'autre part pas question de créer une émeute ou de griller définitivement leurs prochaines venues ici.

Je récupère sur le parking ma méhari de bord de mer et suis mes nouveaux amis jusqu'à leur petite villa de location.
Le voyage d'une quinzaine de minutes n'a visiblement pas fait tomber le désir de Jeannine, comme je l'ai craint un moment, et au sortir d'une douche rapide, elle nous revient dans le séjour, aussi superbement nue que sur la plage, s'installant sans complexe dans un transat, et me proposant la salle d'eau.
Douche rafraîchissante qui ne calme pourtant pas la fébrilité et le désir qui me nouent les reins. Une serviette autour des hanches, je regagne le séjour que je découvre vide, alors que me parviennent d'une porte ouverte de soupirs et bruits de sommier.
Dans la chambre à coucher, sur le lit défait, m'attendent mes nouveaux amis. Elle est allongée, cuisses ouvertes, la tète d'Alain coincée entre ses jambes, et gémit en caressant les cheveux de son mari, les yeux fixés aux miens dans une invite sans équivoque.

Notre premier baiser est profond et passionné, et c'est les lèvres soudées aux sienne, la main collée à son sein, que je perçois le plaisir que lui distille la langue de son mari.
Elle se presse, frémissante et ondulante contre moi. Son bras passé derrière ma nuque m'invite à me lover contre elle, m'étreignant à l'unisson des mouvements de son bassin.

Je devine alors Alain s'immobiliser, puis se relever, s'asseyant au bord du lit. Il devient spectateur du plaisir de sa compagne et de notre couple, ce qu'elle me confirme dans un murmure :
- Ca ne t'ennuie pas qu'il préfère nous regarder ?

C'est un fantasme qui m'habite aussi ; Voir Bénédicte écartelée et gémissante sous un homme... J'acquiesce avec une délicieuse émotion, et sans quitter ses lèvres, je glisse la main sur l'intimité tout juste libérée par le mari, joue un long moment du bout des doigts avec le bouton d'amour dur et épais.
Alain a pris du recul, et c'est d'un fauteuil, près de la tête de lit, qu'il contemple la scène, la main coulissant très lentement sur son chibre ; Je me sens soudain acteur sur les planches, interprète d'un tournage de X, instrument de leur plaisir, et c'est pratiquement sans surprise que me parvient le chuchotement de Jeannine ;
- Tu veux bien qu'il prenne des photos... ? Après on cachera les visages, ne t'inquiète pas... !

Je ne suis pas inquiet en devinant Alain farfouiller dans un tiroir, et le premier cliquetis de l'obturateur déclenche chez ma partenaire une fébrilité incontestable qu'elle traduit en ouvrant au maximum ses jambes sous la caresse de mes doigts, sa langue profondément enfoncée dans ma bouche, sa main pressant ma nuque comme si je manifestais la moindre volonté de m'écarter d'elle.
Je suis à la fois émus de cette complicité entre eux, excité au plus haut point d'en être l'instrument, et bien décidé à entrer de plain-pied dans ce nouveau jeu, ce que je leur confirme aussitôt ;
- J'ai très envie de jouer avec vous... Et j'aime ça...
- Tu devrais lui bouffer la chatte... ! Elle adore ça... !

La voix rauque et haletante d'Alain vient d'éclater à mes oreilles comme un coup de tonnerre, et la fugace inquiétude de n'être pas à la hauteur traverse mon esprit, aussitôt chassée par le feulement avec lequel Jeannine accueille mes lèvres sur son sexe brûlant et moite.
La voix d'Alain est ponctuée par les cliquetis de l'appareil, alors que je devine sa silhouette tourner autour de nous ;
- Oh oui, c'est bien ça... Tu vois comme elle aime... Tu vois comme elle s'écarte... Et bien ma salope, j'ai l'impression qu'il te la bouffe bien, ta cramouille... !

Je dois faire un véritable effort pour ne pas jouir en l'écoutant, et plus encore en entendant Jeannine, agitée de soubresauts lui répondre ;
- Oh oui, il me suce bien... ! Il va me faire jouir avec sa langue...

Et c'est sous une rafale de déclics qu'elle s'envole vers le plaisir, agitant les reins, maintenant ma tête fichée contre son ventre, me griffant la nuque. Elle mouille comme une fontaine et jouit comme une vraie femme, sans retenue, m'aspergeant le visage et la bouche de son foutre au goût salé... Et s'offre aussitôt un second orgasme sous ma langue qui ne la quitte pas...

C'est bien plus tard, après s'être longuement laissée toucher, caresser et tripoter dans toutes les positions sous l'œil attentif de son compagnon et de son appareil, qu'elle m'a réclamé l'estocade finale ;
J'ignore comment j'ai pu ne pas décharger autant sous les ordres crus et les propos salaces d'Alain, que les hurlements de satisfaction et d'excitation de Jeannine, les poses obscènes dans lesquelles elle s'est offerte à mes doigts et ma bouche, mais c'est avec un soulagement inouï que j'ai déchargé dans son ventre en la prenant en levrette, le ventre collé çà son cul.
Mon plaisir fut si intense et violent qu'il me semble avoir quelques instants perdu contact avec ce monde, et je flageolais encore sur mes jambes en prenant congé de mes nouveaux amis, après la promesse d'une prochaine aventure.

Pierre FAVRIC. Pierrefavric@hotmail.com