Nymphomane pudique

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Proposée le 15/05/2012 par Mau69

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J'ai souvent entendu les hommes vers la quarantaine se plaindre que leur femme était réticente à des ébats fréquents voire ne voulait plus être touchée. Ils étaient désespérés car ils les aimaient toujours et chercher à satisfaire leurs envies bien légitime à l'extérieur.

Moi, dans mon couple c'est l'inverse.

Je suis black et chez nous malheureusement, c'est la liberté sexuelle complète ou le voile. J'ai échappée au voile mais j'ai eu droit à une éducation tout aussi rigide.

D'éducation religieuse très poussée, j'aurais du, à en croire mes parents, rester vierge jusqu'au mariage. La seule fois où j'ai osé à 14 ans parler de la pilule à ma mère, je me suis prise une claque, faite traiter de pute et mes sorties ont été surveillées de très près. Cela ne m'a pas empêché de me faire dépuceler à 15 ans, certes par "accident" mais quand-même dépuceler. Mais ça, c'est une autre histoire.

Je me suis mariée à 19 ans avec un homme de 26 ans. Pas mal physiquement, plutôt gentil mais très indépendant. Je devais rester à la maison quand lui sortait presque tous les soirs. Soit disant qu'en tant qu'homme il avait besoin, après une longue journée de travail de s'évader un peu. D'autres fois c'était pour le boulot. Il y avait toujours une bonne raison et je passais la plupart du temps seule à la maison à l'attendre.

Dans l'absolu, il ne m'interdisait pas de sortir mais quand je retrouvais mes copines (bien souvent de mon âge et célibataire) il me tolérait des balades shopping ou chez l'une ou l'autre mais pas de sorties nocturnes. Il ne les refusait pas vraiment mais trouvait toujours cinquante mille prétextes pour que je me décommande.

Pour le travail, c'était un peu pareil. Il m'interdisait de le retrouver sur son lieu de travail ou de passer le chercher. Même les soirées organisées avec épouse m'étaient interdites. Quant à mon travail à moi, car paradoxalement il voulait que je travaille, tout à l'inverse, il le surveillait de près. Il venait souvent à l'improviste me chercher. Parfois même en avance pour rentrer dans les bureaux. Il aimait me prendre par la taille en public. Par 2 fois j'ai du démissionner parce que j'avais sympathisé, trop à son goût, avec un collègue du sexe opposé.

S'il y a bien une chose qui a manqué à mon éducation c'est l'apprentissage de l'indépendance. Je suis donc devenue la "chose" de mon mari. Il n'y avait rien que je ne fasse sans avoir eu son aval d'abord et avec le temps, je savais ce qui lui plairait ou pas et je ne demandais même plus. Je me suis éloignée de mes amies pour au final ne plus vivre que par et pour lui.

Bien sûr, je n'en avais pas conscience. Pour moi, on était la femme de son mari et on lui "appartenait". Il m'arrivait même de trouver certaines femmes dépravées parce que très libres. Au fond, j'étais tout autant que lui responsable de cette situation.

Et côté sexe, me direz-vous ?

Mon mari était plutôt respectueux de ce côté là. Il a bien tenté de m'initier à des jeux plus subtiles mais sans parvenir à me débrider au delà de l'apprentissage de l'art d'une fellation, des plaisirs du cunni ou des joies de certaines positions du kamasutra dans quelques lieux pas toujours conventionnels. Rien de bien extraordinaire, somme toute. Mais cela lui suffisait sûrement. Je suppose qu'il satisfaisait ses goûts plus excentriques comme sodomie, triolisme, partouze ou autre avec d'autres femmes plus... disons, ouvertes !

De fait, j'étais disponible pour lui et quand il avait une envie, je ne pouvais m'y soustraire. il lui arrivait de rentrer à trois heures du matin, puant l'alcool et le tabac, et de me réveiller pour satisfaire son envie. Parfois, j'étais occupée au ménage et je devais tout laisser en plan parce qu'il avait besoin de tirer un coup. Etait-il au bureau ? Il était capable de rentrer rien que pour ça.

Il arrivait alors, toujours par derrière. Ne prenait pas le temps d'enlever mes habits ; juste baissait mon pantalon ou retrousser ma jupe, arrachait ma petite culotte et me prenait en levrette, sur place. Souvent, dans ces moments là, il s'acharnait particulièrement à coup de reins puissants comme s'il voulait me défoncer le sexe. Puis après m'avoir labourée sans ménagement, éjaculait en moi dans un râle et m'abandonnait à mon occupation, parfois sans un mot, sans un regard.

Pourtant ce n'était pas une bête de sexe et j'ai rarement joui avec lui. Parce qu'il n'était pas doué ? parce que je me l'interdisais ? Je ne sais pas.

Avec le temps, la naissance de nos deux enfants, l'âge aussi sans doute, ses pulsions se sont amoindries, les miennes se sont endormies plus qu'elles ne l'étaient déjà et notre vie sexuelle est devenue plate et occasionnelle, comme beaucoup de couples.

Plus le temps passe et plus il s'assagit de ce côté là, ; moins ses envies sont excentriques, démesurées, fréquentes.

Mais voilà que, étrange vengeance de la nature, passée le cap de la quarantaine, ma libido à moi s'est enfin réveillée pour me faire découvrir les envies de mon corps. Changement hormonale ? J'imagine que oui.

Cela a commencé par une sensation de manque inexplicable. Il m'arrivait de lui demander de me faire l'amour, chose que je ne faisais pas avant. Une simple scène de cul à la télévision et je sentais le fond de ma petite culotte tout humide. Une discussion même sur une relation sexuelle suffisait à me faire mouiller.

Bien sûr au début cela m'a étonnée. Mais de fil en aiguille j'ai eu le besoin de me toucher, me caresser. Quand j'ai perdu mon travail, il y a 2 ans de cela, je n'ai pas réussi à retrouver un emploi. Il a estimé que je pouvais rester à la maison puisque son salaire nous suffisait. J'ai ainsi été coupée du monde. Mes amis étaient les siens... quand il daignait les inviter à la maison et mes seules conversations étaient avec les profs de mon dernier fils encore scolarisé, des caissières de supermarché pour mes courses et des sondages téléphoniques. J'abuse un peu là, mais finalement pas tant que ça.

Ce temps, seule à la maison à tourner en rond après avoir occupé des fonctions très actives a été un calvaire. Je m'ennuyais, bien que je ne manquais de rien. Je me suis prise à imaginer des situations qui bouleverseraient ma vie. Des inconnus entrant chez moi à l'improviste, des collègues à lui me faisant la cour. Mais rien de tout cela. Peut-être n'osaient-ils pas... il m'est même arrivé de fantasmer sur le facteur, un homme âgé, proche de la retraite, pas vraiment beau.

Alors cette furieuse envie au corps devenant omniprésente, je me suis tournée vers ce qui était le plus à ma disposition : la masturbation.

Je me caressais, quasiment tous les jours. Au début, il s'agissait presque d'une redécouverte de mon corps et des parties qui me faisaient ressentir du plaisir. A tâtons, timidement et d'un main hésitante, je parcourais mes chairs, sondant le moindre recoin qui aurait accru mon excitation. De caresses sur tout le corps en explorations profondes et intimes, j'apprenais à réveiller les désir naissant, pas encore à les satisfaire pleinement. Cela peut paraître idiot mais au début j'avais un peu l'impression que ce n'était pas correct vis à vis de mon mari. J'avais peur qu'il ne rentre du boulot et lise sur mon visage l'excitation, le plaisir... ou pire, que désirant me prendre il soit surpris de se trouver face à une chatte déjà lustrée, mouillée à souhaits comme si elle avait été préparée d'avance. Qu'en aurait-il pensé ?

J'attendais alors qu'il soit parti, souvent peu après notre fils et m'adonnais à mes plaisirs secrets et privés, sûre que je serai tranquille pour quelques heures.

De fil en aiguille, je me suis enhardie et est osée l'usage d'accessoires. Je me souvenais d'un gode que nous avions acheté, longtemps auparavant. Je savais qu'il gardait précieusement dans un coin du garage un carton renfermant des magazines porno, quelques accessoires quasiment jamais utilisés. Je dépoussiérais le contenu de ma nouvelle boite de pandore et récupérais l'objet de ma convoitise encore fonctionnel. J'ai du ainsi pendant ces deux années m'illusionner d'une satisfaction sexuelle qui faisait partie de mon quotidien. Je croyais naïvement que les choses rentreraient dans l'ordre d'elles même et que ces envies n'étaient que passagères.

Je me trompais car plus le temps passé, plus l'envie était présente et plus je profitais de mes moments de liberté pour me faire plaisir. Et bien loin de me satisfaire, plus je me faisait plaisir, plus mes envies devenaient fréquentes, intenses, incontrôlables... et frustrantes de n'être assouvie que par des ustensiles et autres gadgets. Je me rassurais en pensant que, notre fils parti nous aurions plus de temps à deux, plus de raisons de se retrouver et donc qu'il serait à même de combler mes envies insatiables.

Et cette année, notre dernier fils vient de quitter la maison. Nous voilà donc lui et moi, seul, un espace libre pour satisfaire nos désirs... sauf que lui n'en a plus. J'ai bien essayé de lui en parler mais il me rabroue sans arrêt en me disant que ça me passera avec la ménopause. Une remarque vraiment vexante !

Parfois, je suis pressante, je le caresse et l'excite et il se plie au jeu. Il me fait l'amour et se laisse surprendre par mes indications, mes envies. Il s'en étonne tellement que je n'ose pas trop lui demander et je me contente d'un "Vas-y plus fort, j'ai envie que tu me fasses mal." ou encore "Prends moi, là maintenant, j'en ai envie". Rien d'excentrique mais je vois dans son regard l'étonnement, voire la réprobation d'une liberté d'envie qu'il juge déplacée.

Comment alors pourrais-je lui dire que je n'ai qu'une envie ; qu'il me défonce le cul, qu'il m'attache et me viole, qu'il me voit me faire prendre par un ou des inconnus, qu'il me fasse l'amour avec un autre homme, être prise par les deux trous en même temps... à lire les textes publiés sur ce site, j'en arrive même à m'imaginer prise par un animal !...

Rien que de l'écrire là, je sens que ma culotte est à nouveau toute mouillée...

J'en rêve la nuit. Je rêve de sexe proéminent qui me laboure l'antre. Le sien me parait petit et incapable à lui tout seul de me satisfaire. J'ai besoin de plus, beaucoup plus...

Je fantasme, je mate en son absence des vidéos porno sur le net.

Ma préférée ; celle de cette femme attachée au centre d'une cave et bâillonnée. Soumise à trois hommes. Surélevée en position assise dans le vide, jambes et bras écartés, maintenus par des lanières, elle leur offre la vision de toutes ses parties intimes. D'abord ils l'examinent, la touchent, écartent les lèvres de son sexe offert à eux, chacun à leur tour. Ils commentent, soupèsent ses seins lourds, les malaxent, les déforment de leurs grosses mains. Ils accrochent les tétons avec une pince reliée à une chaînette. Pendant que l'un tient la chaînette tendue, les deux autres s'arment d'une sorte de tapette dont j'ignore le nom. A tour de rôle il tape sur ses fesses, ses cuisses, l'intérieur de ses cuisses. Un coup sec qui claque et résonne dans la pièce. A chaque coup, une marque rougit sa peau. Elle sursaute, crie et se tord, tendant du même coup la chaîne accrochée à ses tétons. Ses seins sont alors étirés et distendus. Cela dure bien une dizaine de minutes. Son regard montre que la douleur est réelle et pourtant cela m'excite terriblement. Je m'imagine à sa place, recevant ces coups, juste là, dans l'intérieur des cuisses, tout près de mon sexe. Je m'imagine sentir la pression sur mes seins et je les vois se durcir sous l'effet du plaisir.
Puis vient le moment où l'un des hommes s'approchent et commence à lui lécher la chatte. L'autre continue de tirer sur la chaîne des tétons et le troisième à taper sur ses fesses avec son espèce de tapette. J'adore ce passage. C'est là que je mouille le plus... Je me caresse en même temps le clitoris dur et gonflée comme pour sentir cette langue qui fouille, mordille, tire et lèche l'abricot qu'elle lui offre. L'homme a laissé sa tapette. Les trois hommes décident de changer la belle de position. Ils abaissent alors Les fesses toujours surélevée, ils lui descendent le haut du corps afin qu'elle soit toujours en suspension mais le corps à l'horizontale, sur le dos. L'un d'eux s'approche côté tête et lui enfonce alors son sexe dans la bouche. il tient la chaînette toujours reliée à ses seins, tirant dessus de temps en temps, parfois me semble-t-il à la limite du supportable. Le deuxième à califourchon sur la belle a repris son cuni. Il s'est muni d'un gode qu'il lui enfonce dans le vagin. Et le troisième, en extension sur un tabouret bas, la pénètre par la rondelle. Et les voilà tous les trois à s'acharner sur tous les orifices de la dame. Ils accentuent leurs effets à coups de grandes claques partout et n'importe où sur le corps de la soumise. elle se tord de douleur, de plaisir aussi, j'en suis sûre. Mais ils la maintiennent fermement. Tirant l'un sur son clitoris, l'autre sur ses seins et le troisième pénétrant son anus jusqu'à la base de la hampe.
Lorsqu'ils s'interrompent, elle a le corps marqué de grandes traces rouges, le clitoris grossi comme je ne croyais pas que cela soit possible. Son anus n'est plus qu'un trou béant et ses seins semblent déformés, allongés.
Et moi je suis terriblement excitée... je l'envie bien que je n'ai aucun doute sur les douleurs de ce qu'ils lui font subir..; mais aucun doute non plus sur les plaisirs qui en découlent !
Les trois hommes changent alors de positions. Celui qui lui défonçait le petit trou vient s'installer sur son thorax. Il lui tient fermement la tête et enfonce sans hésiter son pénis jusqu'au fond de sa gorge. Elle manque de s'étouffer mais il n'en a que faire. Il lui laboure le fond de la gorge comme s'il s'agissait d'une chatte. Il lui tient la tête, tire ses cheveux pour accélérer le mouvement et aller le plus loin possible. Ses couilles viennent s'écraser sur les lèvres et le menton de la femme... j'en salive d'envie...
Le deuxième, celui qui lui suçait le clitoris est resté à califourchon sur le ventre de sa soumise. Il est dos à l'autre, acharné dans la bouche de la dame mais il varie sa position. Il lui remonte le bassin de sorte à la plier littéralement en deux et passer ses jambes derrière les siennes. Il a ainsi, offert à sa vue et à son sexe énorme, tout à loisir la vulve, le clitoris, les lèvres, l'antre et le vagin de la belle. Il tape dessus par petites claques fermes, étire le clitoris, écarte les grandes lèvres, les pinces. Je constate que la belle mouille terriblement. Alors il l'empale d'un coup ferme. Son sexe a pourtant du mal à entrer dans l'orifice car la position n'est pas très pratique mais il fait pression sur les cuisses de la femme pour accentuer l'ouverture et l'écartement. Et insatisfait, il frappe de nouveau avant de lui enfoncer, en plus, le gode de tout à l'heure. La voilà emplit par la bouche, doublement fourrée par la chatte... et le troisième qui s'approche. Bien sûr il lui reste un seul trou à boucher... mais il prend son temps. IL se branle, caressant ses testicules, remontant le long de sa hampe jusqu'au gland. IL contemple et apprécie le tableau. Puis il approche sa main de l'anus de la dame et enfourre trois doigts. Fortement dilaté par les précédents, ceux-ci s'enfoncent comme dans du beurre. il s'énerve, tape les cuisse, les fesse, le cul, de la paume, du revers et furieusement plonge la main d'un coup jusqu'au poignée... J'avoue que ce passage me saisit chaque fois que je le vois... J'ai beau être excitée, c'est quand même assez hard à mon goût. Paradoxalement, je sens pourtant dan mes entrailles le plaisir d'être rempli entièrement avec quelque chose de bien plus conséquent qu'un simple sexe. Et le voilà tournoyant dans ses profondeurs. Je ne parle plus de dilatation, là. Je ne sais pas ce qu'on peut dire... la chatte écartelée par le gros sexe de l'homme auquel s'est ajouté le gode, l'anus complètement béant et qui pourrait sans aucun doute accueillir le sexe d'un éléphant... on n'imagine pas la capacité élastique de nos parties, même les plus intimes !
Et parce que cela ne leur suffit pas, celui qui se servait de sa main comme exutoire à ses envies décide d'aller plus loin. Sortant la main jusqu'à la limite des doigts, il écarte alors davantage encore la rondelle de la belle pour former un étau dans lequel il insère son sexe. L'idée est astucieuse car il se masturbe en même temps vu qu'il peut difficilement aller très loin avec tout ce qu'elle contient déjà.
Je trouve cela un peu délire et surréaliste.
Les trois hommes ne font pas que maltraiter la dame mais ils s'acharnent à lui défoncer tous les orifices. La violence de leurs assaut n'a pas de limite.
Les positions me paraissent bien inconfortable pour les hommes et je ne peux m'empêcher de penser que la belle est une véritable contorsionniste ! Pourtant je ne saurais dire à quel point j'ai grand plaisir à voir cette femme soumise et prise par tous les trous... Un rêve que j'aimerais réaliser un jour... mais qui a de fortes chances de rester au stade de fantasmes.
La séance se terminent par une éjaculation des trois en même temps quasiment. L'un dans la bouche de la dame qui doit tout avaler et les deux autres dans les trous qu'ils occupent. J'ignore si la femme a joui. Je n'en suis pas sûre. Moi oui... énormément...
Ce film est un délice pour moi même si je reste toujours sur ma faim après et que certaines scènes me dérangent..

Je ne suis pourtant pas fan de SM et il y a encore quelques mois j'aurais sans doute était choquée de ces images mais ces vidéos m'excitent énormément et me font vraiment envie.

Mais j'aime aussi des vidéos plus classiques. Comme celle-là par exemple où une femme se fait sodomiser par un homme. C'est la première fois que cela lui arrive et l'homme est très... comment dire... pédagogue. Le cul de la belle tournée face à la caméra, il explique ce qu'il fait, commente et lui pose des questions sur ce qu'elle ressent. C'est très excitant de l'entendre parler de ses sensations. Évidemment c'est une vidéo et je suppose qu'elle s'est préparée à l'avance. Il l'installe pour que son cul soit bien en vue, les cuisses écartées et on a une vue imprenable sur sa petite rondelle toute serrée. Alors il prend un doigt et lui fait sucer. Elle le lèche consciencieusement jusqu'à ce qu'il dégouline de salive. Il lui passe alors autour de l'anus puis essaie d'y rentrer sans y parvenir. Il insiste, recommence encore et encore... force un peu. Le premier doigt s'introduit enfin. Je vois ce doigt s'enfoncer en forçant le chemin et tournoyer dans son anus par de grands cercles. Puis il essaie un deuxième doigt. Il insiste un peu mais celui là rentre plus facilement. J'entends ses commentaires : "Hummm... comme tu es serrée, j'aimerai avoir ma bite dans ce trou là...». Et il continue à la dilater avec ses deux doigts. Puis il en risque un troisième... mais il ne passe pas. Il lèche alors autour de la rondelle tout en continuant de trifouiller les entrailles de la dame. Il lèche, il crache, il l'active de ses doigts habiles. Elle, elle doit avoir un peu d'appréhension car elle ne bouge pas du tout ! Finalement, l'annulaire a rejoint dans la cavité l'index et le majeur. Et le voilà à tournoyer de plus belle dans le cul de la belle immobile. Il essaie quelques va-et-vient mais qui ne dépasse pas la deuxième phalange. Il fait des rotations de mains pour écarteler ce petit orifice fraîchement défloré. C'est un plaisir de le voir se dilater. Du trou presque imperceptible du début tant il était serré, on a maintenant un orifice, certes encore étroit mais dont on voit bien l'entrée lorsqu'au bout d'un moment il retire ses doigts. Il lèche encore un peu le contour de son joujou, enfonçant sa langue dans le trou de ses plaisirs puis approche son sexe déjà bien dressé. Un beau sexe raide et veiné avec un gland qui me parait énorme par rapport au petit cul de sa belle ! Il l'approche et tente une intronisation... en vain. Oui, l'orifice puis que distendu et mouillé n'est pas assez grand ! Il force, presse, tape les cuisse de la belle, les écarte à lui en déchirer la rainure et force à nouveau. Un petit coup sec et hop... voilà le gland enfoncé. La fille a fait un mouvement et a crié. Je crois que là, elle l'a senti rentrer ! Il la maintient fermement, la rassure de sa voix et commence un va-et-vient. Mais il ne va pas profond, juste un ou deux centimètres qui rentre au delà du gland. Mais c'est comme les chats : quand la tête passe tout le reste passe !
Après quelques mouvements, il ressort son engin qui, à nouveau en passant arrache un petit cri à la belle. Puis sans lui laisser le temps de se ressaisir il le renfonce mais d'un coup sec cette fois-ci. Debout au dessus d'elle, il commence alors à la labourer mais doucement. il lui tient les hanches pour accentuer ses mouvements. La caméra, bien placée, nous permet de voir ses testicules s'écraser sur le périnée de la fille, son vagin offert tel un cadeau dans lequel on aurait envi d'y mettre quelque chose et le sexe de son homme qui s'enfonce, ressort et se renfonce à nouveau. Mais quand son excitation est trop grande et que ses mouvements s'accélèrent, pour ne pas blesser l'objet de son plaisir, il se retire et la pénètre profondément dans le vagin. Quelques coups et le voilà qui se vide en elle. Et moi à cet instant, je m'imagine le cul dilaté sentant le froid qui entre dans mes entrailles, la chatte remplit d'un vrai sexe dur et raide et la chaleur des jets de son sperme qui m'inonde l'intérieur du vagin... un trio de sensations des plus excitants...

Il y en a bien d'autres, dans ce style ou dans d'autres... J'espère chaque fois qu'ils assouviront mes envies mais c'est comme s'ils les décuplaient. Sur le coup excitée, mouillée, emplie de plaisirs et d'envie, je reste chaque fois frustrée, déçue, insatisfaite de n'avoir pu profiter du plaisir jusqu'au bout et sentir dans mes chairs la jouissance de ces actes.

Bien sûr le but de ces vidéos est plus de susciter l'envie que de la rassasier ! J'en fais les frais. Je m'assomme de ces images, je me projette dedans, surfant d'un site à l'autre, à l'affût d'images qui, à bien y réfléchir et au fil du temps sont devenues de plus en plus hard. Mais mon petit cul inviolé et ma chatte aguicheuse et humide, prêts à recevoir, reste désespérément vide de l'homme qui me donnera ce plaisir.

Je rêve, quasiment toutes les nuits que je vis ces scènes. Et je me réveille vers 4 heures du matin, avec cette sensation d'avoir joui, ma culotte inondée, mes seins sensibles à l'excès, ma chatte brûlante, le clitoris enflée... et je meurs littéralement de ne rien avoir de conséquent pour étancher l'envie qui me prend au bas ventre.

Parfois, n'en tenant plus, je me précipite dans la salle de bain et allongée dans la baignoire, je laisse couler une eau tiède sur moi et me caresse. J'astique mon abricot d'un doigt tandis que je me pénètre avec le gode que je lui ai dérobé. La tiédeur de l'eau sur mon corps me fait du bien. Mon clitoris est dur et gonflé de plaisir. Je sens ma chatte enserrée le gode, pas assez gros, pas assez long, pas assez puissant. J'ai même essayé avec un concombre. L'effet est plaisant, agréable... Les pieds remontés sur le bord de la baignoire pour avoir l'écartement le plus large possible, l'eau coule sur ma chatte, le concombre fait son oeuvre dans mon vagin et alors j'essaie de mettre le gode dans mon cul... je ferme les yeux imaginant que j'ai deux hommes, là rien que pour moi... Le vibro sur la puissance maximale, le concombre à deux doigts de se désintégrer sous la pression de mon vagin, les va-et-vient qui m'explosent l'intérieur et mon doigt qui titille, tape, tire, écrase, frotte mon clitoris rouge et énorme...

Et je jouis, une fois, deux fois, parfois trois... mais quelques minutes après, j'en ai encore envie comme si rien ne s'était passé... et j'aimerai qu'un homme, un vrai, ou deux même, puisse me prendre, sans ménagement, pleinement, entièrement, pendant des heures pour qu'enfin je puisse m'endormir repue.

Me suis-je trop distendue à force de masturbation ? je ne sais pas. Ce qui est sûre c'est que parfois j'ai l'impression que le sexe de mon mari est très petit et très court... comme s'il flottait dans mon vagin. Incapable de me satisfaire...

Pourtant j'admets que mes plaisirs sont simples, bien loin de ceux que je lis dans certains récits. Et mes envies le sont tout autant. j'aimerais rencontrer ces hommes sans tabous qui sauraient me prendre et me satisfaire comme je l'imagine. Je rêve d'un moment furtif où je pourrais me retrouver pour quelques heures avec lui ou eux, les laisser me faire ce qu'ils veulent me faire... une fois, rien qu'une fois tenter toutes les expériences possibles pour en finir définitivement avec ces fantasmes qui me hantent, ces excitations qui me font mouiller quasi en permanence. Pouvoir jouir tellement que je serai enfin rassasiée.

Car il n'y a pas que les hommes qui ont besoin de sexe !... Et s'il y a d'autres femmes qui lisent ce texte, je suis avide de conseils et de suggestions pour calmer ces envies qui au fil du temps deviennent insupportables de ne pouvoir être satisfaites car je n'ose pas trompé mon mari et la masturbation, ça ne vaut pas une vrai queue, des doigts habiles, une langue fouineuse et un vrai mec, un vrai. Mais à qui en parlait sinon ici ?...