L'initiation de Julie - Chapitre 4

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Proposée le 14/05/2012 par Ralph Allus

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Le mois qui suivi fut un peu étrange entre ces deux amants qui décidemment apprenaient à se découvrir d'une curieuse façon ! Tout d'abord les deux universitaires furent très absorbés par leurs tâches étudiantes ou enseignantes à la faculté. Julie était occupée à préparer une grosse session de partiels et Alexandre devait quant à lui revoir avec ses étudiants les sujets qui leur poseraient le plus de difficultés pour ces mêmes examens. Mais en plus de cela il devait cette année également faire partie du jury de correction d'une partie des concours de l'université. Ainsi, lorsque Julie finissait enfin ce marathon intellectuel dont elle allait se sortir une fois de plus avec brio, faisant la fierté de sa famille, mais aussi celle de son petit copain, Alexandre ne fut pas de la fête, le jury étant tenu de s'isoler durant la semaine que duraient les corrections, pour éviter toute influence extérieure.
Ces occupations cérébrales avaient occulté le petit malaise qui s'était installé entre eux depuis que Julie s'était vue imposer une soirée en trio, au cours de laquelle elle avait accepté beaucoup de nouvelles expériences... Non pas qu'ils n'aient pas tous les deux réussi à tirer leur épingle du jeu : Alex avait obtenu ce qu'il voulait sur le plan sexuel et Julie en retour avait pris un peu d'assurance. Elle avait surtout obtenu des garanties morales d'honnêteté de la part de son partenaire. Le problème n'était pas de savoir si le "contrat" était juste ou pas, il venait de ce qu'ils avaient justement du passer cet extravagant marché entre eux. Il s'était joué une sorte de partie comptable "donnant ? donnant" qui n'avait rien de très amical, et encore moins à faire dans des relations de couple? Chacun le percevait, mais ne savait comment le verbaliser, ni comment y remédier. Le contexte studieux de cet été débutant n'était pas propice à ce que cet épineux problème soit mis à plat une bonne fois pour toute. D'autre part, chacun d'eux redoutait un peu les révélations d'Alexandre. Julie y verrait le mal incarné, et sa jalousie aurait peut-être raison de leur aventure. Quant à son copain, il craignait plus que tout que ses aveux puissent un jour se retourner contre lui. Julie l'ignorait, mais elle avait bien besoin de cet équivalent d'assurance vie, afin que jamais ne soient utilisées contre elle les séquences qu'Alex ? mais en fait surtout Marc ? avait filmées à son insu. Bref, leur jeune couple passait sa véritable première épreuve, et l'issue en était pour le moment plus qu'incertaine, bien qu'ils aient l'un envers l'autre toujours autant de sentiments qu'au premier jour?
Julie se trouva soulagée qu'Alex décide de partir dès le samedi matin, profitant de ce qu'il serait hébergé près de chez ses parents pour leur rendre une petite visite. Il serait donc absent au moins six jours. Etre seule, pensait Julie, lui permettait de faire un peu le vide dans sa tête, et de s'amuser un peu, le c'ur léger, sans avoir de comptes à rendre. Le même soir la faculté organisait le traditionnel gala de droit, auquel presque tous les étudiants étaient attendus chaque année. Aussi Julie avait-elle prévue d'aller s'éclater en boîte, une fois n'était pas coutume, sans prévenir aucune de ses copines. Ainsi pensait-elle avoir le moins de chance de rencontrer une connaissance du campus' Elle avait envie de se sentir belle, séduisante, et s'apprêta en conséquence, sans tenter de déjouer les rouages psychologiques à l'?uvre dans l'organisation de cette soirée, qu'elle pensait spontanée, presque bon enfant' Quelle blague ! En effet elle s'était vêtue avec le plus grand soin, ostensiblement sexy jusque dans les petits détails, choisissant une mini-jupe portefeuille noire, en maille stretch très légère, fendue sur la cuisse et nouée de petits liens sur le côté, qui ne dissimulait pas grand-chose de ses formes avantageuses et surtout du galbe musclé de son mignon petit postérieur. Elle avait enfilé un débardeur rouge à fines bretelles, au dos largement dégagé, au décolleté généreux, et qui soulignait magnifiquement sa poitrine par un petit lacet noué devant, fronçant à peine le coton. Un petit boléro noir très court passé par dessus la couvrait un peu plus, alors qu'elle avait adoptée une lingerie discrète mais admirablement sexy composée d'un tout petit string barrette en microfibre rouge satinée et de son soutien gorge corbeille uni assorti.
Elle avait décidé de s'amuser seule, elle commanda donc un taxi, qui la déposa devant une boîte assez branchée, plutôt destinée à une clientèle aisée, donc volontiers un plus âgée que celle des boîtes pour étudiants' Chaussée de talons assez hauts rouges et joliment maquillée, elle se glissa dans la courte file d'habitués qui l'avait remarquée dès sa sortie du taxi. Evidemment il n'était pas d'usage de faire payer l'entrée aux filles non accompagnées, surtout lorsqu'elles étaient aussi canons. Elle se laissa porter par le son assourdissant de la house mixée non-stop de 21h jusqu'à 6h du matin dans cette ambiance cosy et moderne qu'elle adora immédiatement. Elle était venue pour danser et se défouler, et il s'écoula deux heures pleines avant qu'elle ne ressente le besoin de reprendre un peu son souffle au bar, ne sachant pas encore si elle allait rester ou finir par rejoindre ses amies qui devaient l'attendre au gala de droit, à en juger par la saturation de sms qui pleuvait depuis le début de l'après-midi sur son iPhone, et qu'elle ignorait volontairement, seul objet avec son portefeuille qu'elle avait ce soir avec elle dans son petit sac à main gardé pour l'instant au vestiaire.
Lorsqu'elle s'installa sur le haut tabouret, la barmaid s'approcha d'elle avec une coupe de champagne qu'elle s'apprêtait à refuser, en imaginant le prix d'une telle conso dans cet endroit, lorsqu'elle se fit expliquer qu'elle pourrait se faire servir autant de fois qu'elle le souhaiterait des meilleurs champagnes de l'établissement. Deux clients habitués avaient annoncé ? lorsqu'elle avait fait ses premiers pas sur le dancefloor ? qu'ils prendraient pour eux toutes ses consommations ! Elle eut un instant de surprise et, lorsqu'elle réalisa qu'elle avait du être observée avec attention depuis qu'elle se déhanchait, ne put s'empêcher de rougir comme une gamine émoustillée. Mais elle reprit très vite ses esprits, et sirota tranquillement sa flûte en regardant les clubeurs d'un oeil distrait, ne cherchant surtout pas à faire croire qu'elle essayait de repérer ses généreux hôtes. Lorsqu'elle fut servie pour une seconde fois, elle se fit expliquer où se trouvaient installés les deux flambeurs qui avaient cherché ? et presque réussi ? à l'impressionner, et se dirigea dans la direction indiquée lorsqu'elle eu fait rafraichir sa troisième coupe. Elle avait besoin de courage pour aller les affronter, mais elle ne voulait surtout pas être saoule ! Ayant suivi les instructions de la barmaid, Julie s'assit confortablement sur le sofa libre qui entourait une table basse dressées de quelques canapés, d'un seau à champagne et d'une pancarte en cuivre ou étaient gravées les lettres du mot "privé". Elle prit un air assuré, et picora négligemment quelques petits salés et d'autres olives farcies, décidant que ce soir elle serait autre : une jolie fille un peu hautaine, surement loin de la fille facile qu'ils avaient espérer lever? Au bout de quelques minutes, elle remarqua à une autre table un peu plus isolée deux hommes qui la dévisageaient en discutant, ce devait être eux. Elle avait bien joué son coup, car ils avaient tenté de la repérer secrètement ? en faisant croire qu'ils étaient partis danser ? pour mieux pouvoir la scruter avant de devoir se présenter ! Fairplays, ils levèrent leurs coupes vers elle, en signe de ralliement, et firent de même pour venir à sa rencontre, car elle était décidée à ne pas faire le premier pas vers eux.
La rencontre fut cordiale et sympathique, Julie faisant mine de ne pas être impressionnée par leurs costumes sur mesure et leurs belles montres, affichant peu d'intérêt pour leur phrases toutes faites, jusqu'à ce que leur humour parvienne un peu à détendre cette atmosphère jusqu'alors amicale mais tout bonnement mondaine, sans relief.
Il y avait Paul, un brun assez massif, pas trop grand, aux épaules larges, probablement pas loin de la quarantaine, le moins bavard, mais au regard magnifique et intriguant et à la voix assez grave. Il transpirait la virilité et semblait sur de son effet sur les femmes, sans vulgarité ni machisme, au contraire même. Et le second s'appelait Jorge, d'origine suédoise il était plus grand, plus svelte, taillé comme un surfeur. Il était blond, les cheveux longs passés en arrière, le regard plus tendre et les gestes plus doux. Ils étaient pas mal tous les deux, mais Jorge, lui, était un vrai canon, et puis il devait avoir une dizaine d'années de moins, ce qui en faisait un homme tout de même un peu moins éloigné d'elle en âge... Julie se demandait s'ils ne posaient pas pour des photographes de modes, mais elle s'abstenait de leur poser des questions sur eux. Au bout d'un moment, elle leur déclara: "bon, vous dansez aussi, ou vous êtes ici uniquement pour abreuver de champagne les jeunes filles en mini-jupe ?" Cette question fit rire tout le monde, et c'est beaucoup plus relax qu'ils redescendirent sur la piste bondée, heureusement généreusement soufflé par la climatisation idéale du club.
Après une bonne demi-heure de défoulement, et alors qu'ils dansaient toujours relativement prêt tous les trois, Julie annonça de but en blanc la couleur, s'adressant à Jorge : "je commence à me lasser un peu de cette ambiance-ci, messieurs, et je compte bien m'extraire d'ici assez rapidement' Je vous le demanderais une seule fois : où comptez-vous m'emmener, maintenant que j'ai assez envie de faire plus ample connaissance ?". Faisant mine de ne pas être surpris à son tour par une proposition aussi directe, Jorge parla à l'oreille de son ami, sans qu'elle ne puisse comprendre un seul mot, et ce fut Paul qui lui répondit : "Jorge t'accompagne et nous nous retrouvons chez moi, ce n'est pas loin d'ici ?" Il semblait trop sûr de lui, alors elle rétorqua de but en blanc : "à vrai dire je ne souhaite pas vraiment faire irruption dans vos vies, les mecs, et je me disais que le Radisson Blu serait parfaitement approprié, en plus ce n'est pas loin non plus, cher ami."... Comprenant qu'il avait failli louper son coup, Paul lui fit signe de la précéder en s'inclinant un peu.
Le voiturier gara devant eux la berline allemande de Paul, s'abstenant malheureusement de donner son nom, se contentant de l'appeler "Monsieur", alors qu'il le connaissait visiblement. Il prit le volant, Jorge fut déçu de constater qu'elle choisissait la porte passager pour s'installer à bord, et attendit d'avoir la confirmation d'une réservation rapide faite par le service de conciergerie de la boîte pour donner le signal de départ. Paul lança la jeune fille sur son parcours personnel, mais elle élida les questions ou y répondit par d'autres, se contentant de faire comprendre qu'elle exerçait dans le droit, persuadés qu'ils n'étaient pas du tout dans cette branche : ils étaient sapés de façon un peu trop voyante, un peu trop dernier cri pour cela. Heureusement pour elle, elle fit mouche, car elle n'aurait pas pu maintenir autant de distance avec eux s'ils comprenaient qu'elle n'était qu'une étudiante d'une vingtaine d'année, et pas la "young-and-sexy-working-girl" qu'ils pensaient avoir dégottée.
Dans le hall, Jorge récupéra le pass de la chambre, il avait pris une des plus chères : un bon point pour eux, se disait-elle, et pour elle aussi, objectivement ! Paul ne lui fit pas l'affront d'être avec eux à la réception, les rejoignant à l'étage grâce au SMS envoyé depuis l'ascenseur par son pote. Julie allait franchir le point de non-retour dans quelques instants, lorsqu'elle aurait franchit le seuil de leur chambre pour la nuit. Mais elle était décidée. Elle ne ferait pas marche arrière. Alexandre avait décidé de tout pour elle jusqu'alors, s'amusant à ses dépends un certain nombre de fois déjà. Et même s'il avait toujours été généreux avec elle, c'était intéressé : il voulait pouvoir recommencer à lui imposer ses fantasmes.
Ce soir, c'était elle qui décidait, et cela changeait tout. Au moindre faux pas de leur part, elle les laisserait tomber la queue entre les jambes. Jorge ouvrit la porte, elle la franchit, Paul la referma. L'hôtel était un quatre étoile et la chambre était somptueuse. Elle se retourna vers ses deux prétendants et déclara : "pour mes deux jolis hôtes, une douche s'impose, quant à moi, je reviens dans dix minutes : une petite flûte au bar me tente bien", et elle s'éclipsa, ayant pris soin de leur sortir les peignoirs de la penderie, histoire de ne pas trop les inquiéter qu'elle leur pose un vilain lapin par la même occasion.
Elle les fit attendre un peu, mais pas trop, constatant à son retour qu'ils avaient pris soin de faire porter une bouteille jusqu'à leur chambre. Ils avaient l'air moins sûrs d'eux, dans leurs peignoirs immaculés, surtout qu'elle aussi s'éclipsa dans la salle de bain pour s'y rafraichir à son tour.
Elle prit une douche rapide et se contenta uniquement de sa lingerie pour sortir de la salle d'eau une fois lavée. Décidée à être coquine elle avait rechaussée ses talons aiguilles, et se trouvait donc toute de rouge vêtue : chaud ! Lorsqu'elle se présenta face à eux, leurs regards se firent lubriques, et aucun des deux ne put se retenir de la détailler de bas en haut, beaucoup trop content de découvrir qu'une bombe pareille s'offrait ce soir à eux deux pour le prix d'une bouteille de champagne en club privé et d'une chambre de luxe ! Paul s'approcha d'elle, voulant l'embrasser, mais Julie détourna la tête et desserra la ceinture de son peignoir, dont la toile éponge était déjà localement déformée par une turgescence naissante. Elle y posa sa main, et fixant l'homme dans les yeux s'abaissa déjà devant lui en s'agenouillant. Elle écarta les pans de tissu, et pris le sexe durcissant dans la bouche sans plus de préliminaires. Paul éructa de satisfaction, contemplant avec intensité le spectacle de cette fellation inespérée. Julie fut d'emblée satisfaite qu'il ne se permette pas de lui tenir la tête, et que Jorge se contente pour l'instant de rester assis dans le fauteuil voisin, sans voir ce qui se passait dans les détails. Bien qu'encore à moitié flasque lorsque Julie avait ébauché cette fellation, la queue de Paul paraissait déjà massive, reposant sur des testicules gros et lourds. Elle durcit rapidement sous les coups de langue de la jeunette espiègle. Après quelques aller-retour progressifs et prudents, Paul présentait à la délicate bouche de sa conquête du soir un sexe trapu et dur, raide et massif, lézardé de grosses veines turgescente, s'achevant par un gland violacé presque rond dont le diamètre était plus que généreux, et qui remplissait facilement à lui seul l'ouverture de la jolie bouche qui l'engloutissait progressivement plus profondément. D'une certaine façon, son braquemart évoquait grossièrement un point d'exclamation dans une police plutôt' épaisse !
Alors que les choses sérieuses avaient débuté, Julie se faisait déjà la réflexion que ses deux hôtes étaient tous les deux totalement mâtés par ce masque d'inaccessibilité qu'elle avait brillamment endossé? Ils seraient précautionneux, trop conscients qu'ils risquaient de la voir se soustraire à eux s'ils cessaient d'être à sa hauteur. Ceci exigeait tout de même de sa part quelques sacrifices, et le fait d'accepter de les sucer sans préservatifs en était un. Elle était déterminée, elle était parfaite, elle était chaude, mais elle n'était pas soumise ; point.
Elle se réjouissait surtout déjà de bientôt faire l'amour avec Jorge, beaucoup plus qu'avec Paul. Avoir choisi les deux n'était pas nécessaire à sa satisfaction, mais elle avait eu envie d'aller bien plus loin qu'une simple tromperie lorsque l'idée de coucher avec Jorge avait germée, installée à leur table dans leur club préféré. La perspective de devoir les satisfaire tous les deux était comme se fixer un objectif un peu plus dur à atteindre : la récompense n'en serait que meilleure, et ainsi elle testerait complètement les liens qui l'unissaient à Alexandre. Car elle avait décidé de lui raconter, comme lui devait le faire de ses aventures, toute la soirée par écrit'
Elle avait bien changée à son contact, se disait-elle.
Afin que se faire prendre par Jorge soit encore meilleur pour elle, elle avait décidé de le faire tourner en bourrique, et ne le laisserait prendre part à la fête qu'une fois qu'il commencerait à s'inquiéter d'en être exclu' Quelle parfaite petite perverse ! Julie continua donc à sucer Paul durant de très longues minutes, s'appliquant comme une experte tantôt sur le gland, tantôt sur le frein, lui léchant même les bourses, puis essayant d'aller, seule, le plus loin possible sur son sexe, la langue un peu sortie, cependant encore loin de pouvoir atteindre ses couilles avec, tandis qu'elle avalait plus de la moitié de sa queue. Elle avait appris vite à mieux pratiquer la gorge profonde ! Pourtant il était vraiment bien membré, et sa queue longue et épaisse, parfaitement droite et horizontale, aurait pu elle aussi servir comme modèle anatomique ! Pour que la scène produise tout l'effet que Julie espérait, elle ne tenait pas particulièrement à ce que Jorge la voit et en effet, les glapissements de satisfaction de Paul et les bruits de succion qu'elle faisait suffisaient absolument'
Elle était terriblement excitée à cet instant. Plus encore : jamais elle n'avait été si mouillée après s'être contentée de pratiquer une fellation, mais elle n'avait encore jamais non plus eu sous son contrôle deux mâles aussi bien foutus, et surtout aussi âgés ! Le plus jeune devait avoir au moins dix ans de plus qu'elle, et le second peut-être pas loin de vingt : il aurait presque pu être son père? Délaissant quelques instants le sexe palpitant qu'elle tenait en main, Julie demanda à Jorge : "passe-moi un préservatif, soit gentil", avec une petite pointe salope dans la voix, plus prononcée qu'elle ne le souhaitait en fait. Le fait de le voir fouiller avec empressement dans leurs affaires rangées eut pour effet de l'exciter encore plus : son plan marchait à merveille, et en plus il bandait comme un âne sous son peignoir, et devait être lui aussi charitablement monté?
Lorsqu'elle eut ce qu'elle voulait, Jorge fut éconduit à nouveau et retourna jusqu'à son fauteuil : la capote n'était pas pour lui. Évidemment il s'était réjoui de pouvoir à son tour se faire pomper par cette magnifique poupée, même s'il ne comprenait pas pourquoi lui devait l'être avec un préservatif et pas son pote. Il ne se permit pas la moindre remarque, pourtant il devait être sacrément frustré, le pauvre, surtout qu'il ne pouvait pas cacher qu'il était déjà raide comme la Justice sous son peignoir. Elle déroula le latex de ses doigts et de sa bouche, suçant encore un peu la belle queue de Paul, avant de se redresser un peu sans la lâcher. Elle asséna alors à Jorge le coup de grâce, susurrant à Paul : "viens me baiser maintenant, beau mec, aussi bien que je t'ai sucé". Elle joua à fond la carte de la provocation, afin de voir si vraiment Paul pourrait assurer ce qu'elle attendait de lui, mais surtout dans le but de rendre son ami raide de désir, et se retourna sur les genoux pour se positionner en levrette. En petite allumeuse qu'elle était elle s'installa avec les épaules basses et le visage contre la moquette, dégageant de ses doigts la minuscule bandelette qui passait entre le globe de ses fesses, découvrant avec obscénité sa vulve parfaite et glabre aux deux mâles échaudés. Précautionneux, Paul commença par se mettre à genoux à son tour, mais Julie le provoqua encore : "non, chéri, reste debout et baise moi comme une chienne, maintenant'" En plus de faire la nymphomane, elle savait que se faire prendre ainsi pour commencer allait les exciter, frustrant toujours plus Jorge, qui pourrait contempler la pénétration facilement. D'autre part, cela signifiait combien il faudrait qu'ils soient au top pour assurer avec une fille pareille.
Paul, trop content, ne pensait plus qu'avec sa bite à cet instant, le corps arqué, le sexe tendu, se guidant vers l'antre étroit et trempé de la jeune fille. Il la pénétra facilement, et s'enfonça avec retenue tout au fond de sa chatte avant de commencer à la lui mettre complètement à chaque fois, dans de généreux mouvements de bassin qui la faisaient déjà vibrer sur le sol de la chambre d'hôtel. Elle gémissait, un peu plus fort qu'à son habitude, sans simuler, mais sans retenue ce soir. Elle encouragea Paul à continuer : "vas-y mon homme, baise-moi bien au fond de la chatte", elle s'étonnait elle même d'être aussi vulgaire, mais ce soir cela l'excitait. Se sentir ainsi possédée par cet homme mur si puissant, arcbouté au dessus d'elle, semblant totalement soumise, alors qu'elle lui commandait comme à une recrue issue du dernier appel, renforçait encore le plaisir qu'elle prenait à se faire prendre aussi sauvagement !
Il lui semblait déjà que la moquette devenait aussi irritante pour sa poitrine que de la toile Emery. En effet ses tétons, pourtant protégés par l'étoffe de son soutien-gorge, mais durcis par la jouissance naissante, se faisaient de plus en plus sensibles. Elle hésita un instant avant de se laisser déjà aller, mais après tout c'était sa soirée, pas la leur, et laissa l'orgasme monumental qu'elle avait pensé un peu retenir la traverser de part en part. Jouir si tôt et au cours d'une relation si animale était pour le moins inhabituel pour elle. D'ordinaire il lui fallait bien plus de préliminaires et d'excitation délicate pour la satisfaire. Mais à cet instant elle voulait du sexe, uniquement, et qu'il soit rapide, qu'il soit virile à la limite du brutal ne faisait que la contenter encore plus ! Il lui sembla que sa vulve était devenue si excitable que tous les nerfs de son corps y prenaient source, pour déverser depuis là des vagues successives de plaisir, rythmées par les assauts de l'homme qui la sautait avec entrain. De son côté à lui, les spasmes intenses qui l'enserraient puissamment, et la vision de cette superbe blonde au visage déformé par la position et la jouissance eurent raison de sa retenue. Il commença à éjaculer de généreuses quantités de sperme qui restèrent, à son plus grand regret, prisonnières de leur capuche de plastique. Les soubresauts moins ajustés de l'homme qui jouissait juste après elle parvinrent à réveiller le plaisir allant decrescendo chez Julie, qui porta sans la moindre pudeur son majeur juste contre le capuchon de son clitoris. Se masturbant tandis que Paul agonisait lui procura l'expérience d'un second orgasme coup sur coup ! Lorsque Paul se calma enfin, il se retira doucement, ne sachant absolument pas quoi dire à cette étonnante fille, si jeune, à la beauté insolente, capable de lui faire partager des moments aussi intenses après moins de trente minutes d'expérience commune. Mais Julie avais déjà repris le dessus dès qu'elle se fut remise debout et lui déclara qu'il avait déjà mérité de retourner se rafraichir sous la douche !
Il ne se fit pas prier, à la fois dépité d'être aussi infantilisé par cette belle, et satisfait de l'orgasme qu'elle lui avait permis d'avoir en premier? Il ne s'autorisa aucune question, espérant qu'il ne soit pas censé se rhabiller immédiatement ensuite.
Fixant Jorge dans les yeux, Julie s'approchait doucement de lui, intensément satisfaite de voir combien il restait passif alors qu'elle l'allumait depuis bientôt une heure. Il était remarquablement bâti, encore mieux que Paul ne l'était. Il était plus élancé, plus racé. "Une bête de sexe", espérait-elle. Le piquet de tente qui déformait son peignoir en disait long sur ses pensées alors que Julie ne savait toujours pas comment l'aborder, décidant de prendre le temps de le rendre encore un peu plus prêt d'exploser en retirant d'abord son string, puis son soutien gorge, le tout à deux mètres de lui. Il n'osait toujours pas bouger, et s'interdisait de contempler le corps nu parfaitement fait et admirablement glabre de cette inestimable et si fraiche beauté. Pourtant son sexe entièrement épilé semblait aimanter ses yeux, qu'il se retenait de détourner, devinant combien sa poitrine restée parfaitement posée devait être excitante à tripoter, ou même juste à contempler? Avançant doucement, Julie percevait maintenant les battements de son chibre sous l'étoffe. Elle s'agenouilla. Elle n'abaissa pas les yeux alors qu'elle desserrait la ceinture et ouvrait le peignoir de Jorge, enfin sur le point de pouvoir à son tour prendre part aux réjouissances espérées, ni lorsqu'elle posa sa bouche sur le bout du gland, à peine décalotté. Elle fit ses lèvres dures et serrées, pour le dégager de son capuchon de chair en même temps qu'elle le prenait en bouche, et détourna enfin son regard pour envisager son anatomie intime. Lui aussi avait un sexe épais, mais il n'était pas ventru. Il était parfait, se dit-elle : long mais pas trop, d'une épaisseur respectable et parfaitement constante, un peu rugueux sans être déformé de grosses veines. Il était aussi parfaitement rasé, jusque sur les bourses, qu'il avait quant-à lui beaucoup moins basses, bien grosses mais retenues dans des sacs plus tendus, plus « ajustés » ! Le fourreau qui l'entourait lui sembla délicat et doux, presque soyeux, et son effet sur elle fut encore plus prononcé, la faisant mouiller de plus belle !
Jorge était tout entier vibrant de désir, concentré à ne pas s'attarder sur son plaisir, afin de ne pas jouir à la seconde où elle le toucherait. Il lui fallu une dose considérable de sang-froid pour que cela ne se produise pas tandis qu'elle commençait à le gâter avec subtilité. Se focalisant le moins possible sur la splendide anatomie de la fille qui descendait doucement avec détermination sur son sexe, il agrippait avec force les bras du fauteuil devant lequel Julie s'affairait, décidée à le prendre aussi loin que la position pouvait le lui permettre. Elle ouvrit progressivement la bouche, sortant un peu sa langue, tout en la gardant collée contre la base du sexe qu'elle engloutissait, afin de descendre encore sur lui. Lorsqu'elle le sentit atteindre le fond de sa gorge, ce ne fut pas un haut le c'ur qui la gagna, mais l'excitation, et elle réussi encore à le faire parvenir plus profond au c'ur de son visage. Il lui sembla qu'elle était entièrement pleine de son sexe, et elle resta ainsi quelques instants, prodiguant à son partenaire d'incroyables sensations de succion en ébauchant des mouvements de sa langue sur le ventre de sa queue jusqu'à son gland, comme enserré dans une machine infernale. Satisfaite de se sentir aussi à l'aise alors que personne ne lui avait jamais expliqué comment se débrouiller en gorge profonde, et alors que Marc le lui avait imposé, elle se redressa à nouveau, reprenant son souffle et entreprit de revenir à nouveau en avant lorsque ses lèvres emprisonnaient à nouveau fermement la base du sexe de Jorge.
A cet instant Paul réapparut dans la chambre, et se contenta de s'allonger discrètement sur le lit, s'étant senti bêtement obligé de remettre son peignoir ! Julie prit soin d'avaler encore et avec autant de détermination la presque totalité du sexe qu'elle pompait, et comme il s'était installé à côté d'eux, il pouvait contempler facilement son adresse et son application à la tâche. Il fut subjugué par ces capacités autant que par la beauté provocante de son corps sculptural, dont les mamelles étaient encore plus parfaites qu'il aurait pu en rêver, et dont les tétons, petits et rosés pointaient en signe d'excitation. Elle aimait ce qu'elle faisait, c'était pour cela qu'elle y parvenait si bien' Cela l'excitait de s'enfiler la longue bite de son pote jusqu'à la garde ! C'était incroyable ! Il se releva et fit sauter le bouchon du champagne pour saluer la détermination et l'expertise insensée de cette jeunette, convaincu qu'il allait profiter d'une des plus belles nuit de sa vie !
Jorge, lui, était presque hypnotisé, les yeux clos, alors que Julie allait et venait maintenant plus rapidement sur toute la longueur de son membre bandé à l'extrême, offrant à cet homme la toute première gorge profonde de sa vie. Elle avait décidé de ne pas le satisfaire complètement en le frustrant encore de son envie certaine de la pénétrer comme Paul l'avait fait : complètement, sauvagement et par derrière dans une position bestiale de soumission complète, jusqu'à l'assouvissement final. Julie accéléra encore un peu sa cadence, le baisant littéralement de sa seule bouche, cessant d'aller aussi loin pour se faire plus insistante sur le gland et le frein du sexe qu'elle pompait, en regardant à nouveau Jorge dans les yeux. Il n'allait pas pouvoir se retenir encore longtemps avec une vue pareille, et ne comprit pas pourquoi elle ne s'interrompait pas alors qu'elle avait semblé se préparer à lui faire l'amour en retirant devant lui sa lingerie? Elle sentit qu'il tentait de se soumettre en agissant de façon contraire à ses mouvements à elle, mais il ne lui résisterait pas encore longtemps' Julie passa une main sous ses couilles, et se mit à les malaxer avec précaution, sans cesser de le fixer du regard. Elle continua à aller et venir avec détermination sur lui, essayant même de garder la cadence plus rapide en le prenant à nouveau plus loin dans la gorge, jusqu'à ce qu'elle sente le corps de son amant se raidir subitement, tandis qu'un liquide visqueux au goût salé, qu'elle n'avait appris à connaître que récemment, emplissait sa bouche. Elle se concentra alors sur son gland, sans cesser de lui branler les testicules, mais beaucoup plus lentement, et il commença à éructer, n'osant pas lui attraper la tête pour être sur qu'elle continue comme il le fallait. Une première giclée de sperme atterrit dans la bouche de Julie, qu'elle avala, continuant à sucer lorsqu'elle reçu la seconde, la troisième, et ainsi de suite, dans ce qui lui sembla être la plus intense éjaculation qu'elle ait pu provoquer par la fellation ! Jorge retomba lentement en excitation, et les spasmes qui l'agitaient cessèrent de s'accompagner de giclées de sa semence. Julie continua un peu à le léchouiller avec délicatesse, l'oeil malicieux, jusqu'à ce qu'elle puisse lire dans les yeux de Jorge qu'il était repu, satisfait et étonné qu'elle n'ai rien laissé de tout ce qu'il avait balancé, les couilles encre tendues d'excitation. Mais dans ce regard on lisait aussi un peu d'amertume à l'idée qu'il n'ai pas le loisir de pouvoir la connaître mieux? surtout vis à vis de Paul qui l'avait déjà fait.
Délaissant ce pauvre Jorge, un peu penaud et ne sachant alors plus que faire, Julie s'était relevée et s'adressa à son pote : "enfile-toi une nouvelle capote, puisque tu es déjà prêt pour la suite il me semble !". En effet Paul était à nouveau raide comme peut l'être la loi, et il fit ce qu'on lui demandait, sur quoi Julie, profitant de ses allers venues pour mater son corps sec et musclé lui demanda de s'allonger par terre, et vint le chevaucher, en se plaçant dos à lui mais face à Jorge, accroupie. Elle guida son sexe tendu vers sa fente, brillante de sa mouille, gagnée par l'excitation d'avoir donné l'une des rares fellations complète de sa vie à cet inconnu si beau. Le sexe de Paul à peine enchâssé entre ses lèvres inférieures, cette fois-ci, elle le fit jouer un peu dans la bouche de son con avant de s'empaler totalement sur lui. Elle se réinstalla rapidement, s'appuyant de ses paumes sur le torse musclé de son partenaire, les cuisses largement ouvertes, satisfaite de le sentir ainsi très présent contre la paroi antérieure de son vagin si lubrifié, ou son point G s'électrisait déjà. Elle se contenta ainsi durant de longues minutes, se donnant totalement sans retenue, transpirant maintenant, les tempes moites, les cheveux collants sur son visage et sur sa nuque, des gouttes commençant à glisser dans son dos vers la raie de ses fesses, qui monopolisait l'attention de Paul depuis qu'elle avait entrepris cette chevauchée sportive au cours de laquelle il ne contrôlait rien. Passif, il se satisfaisait facilement de ce qu'on lui offrait alors, surtout qu'il avait à portée de main les splendides et fermes seins que les deux mâles convoitaient depuis de trop longues heures. Vu comme elle le baisait, elle ne faisait rein pour être traitée avec beaucoup de finesse, et Paul lui malaxait les tétons avec bien peu d'allégeance, le faisant pointer avec détermination entre ses pouces et ses indexes bien serrés. Julie s'essoufflait, sans parvenir à s'exciter plus, et accorda un regard à Jorge, qui n'avait pas bougé, juste pour se servir à son tour une coupe de champagne, et qui pour l'instant ne reprenait pas consistance. Dommage, car elle lui aurait bien demandé de venir se faire à nouveau pomper, histoire de voir si elle parvenait une fois de plus à s'exciter tandis qu'elle suçait ! En fait à cet instant, elle avait envie de lui, et de lui seul, et se donner à son pote avec autant de vigueur était fait pour l'atteindre, elle su en un éclair ce qu'il lui fallait.
Elle se redressa faisant se retirer Paul, qui se releva un peu dépité, et surtout terriblement frustré lorsque l'objet de leurs désirs s'allongea sur le lit et se tourna vers Jorge pour lui ordonner d'une voix rauque : "à ton tour, suce-moi". Il n'avait toujours pas ce qu'il souhaitait, mais au moins était-ce son tour de participer ! Il vint docilement se mettre agenouillé entre les cuisses de Julie, réinstallée sur le dos, les jambes largement ouvertes. "Fais-moi jouir maintenant, et tu seras récompensé, mon mignon", ajouta-t-elle sur le même ton, tandis qu'il s'approchait de la vulve entrouverte jusqu'alors interdite. Jorge l'embrassa d'abord doucement, puis avec plus de précision, jouant habillement de sa langue la plus intrépide sur cette anatomie dépouillée poils, mais aussi de replis inutiles et disgracieux qu'avaient certaines filles moins gâtées. Le sexe de Julie était à l'égal du reste de son anatomie : parfaitement dessiné. Il se réduisait en un petit abricot ? virginal ? lorsqu'elle serrait les cuisses et s'ouvrait comme une fleur aux quatre pétales parfais et charnus une fois ses cuisses écartées. Le clitoris, dont le capuchon était presque inexistant, devait être à peine visible dans la fourchette antérieure de sa vulve lorsqu'elle n'était pas prête pour le sexe, il en dépassait alors bien plus, comme gonflé par de désir. L'ouverture de sa vulve était délimitée jusqu'en arrière par deux petites lèvres roses pâles, qui restaient quasiment dissimulées dans le sexe fermé, et que l'on devinaient délicatement jointes et fermées lorsqu'on la déshabillait. Ces lèvres étaient maintenant un peu ouvertes et brillantes de son miel, laissant deviner l'ouverture de son vagin, tout juste libéré du chibre de Paul. Au moins n'avait-elle été pénétrée qu'avec un préservatif, sinon il aurait peut être mieux fait ? pour ne pas perdre la face vis à vis de son copain d'aventures - de renfiler son costume et de claquer la porte? Mais il n'en fit rien, trop envieux d'obtenir le droit de la sauter enfin : probablement cette fameuse récompense? Julie avait la vulve admirablement soignée, douce et soyeuse comme le reste de sa peau. Il se demanda même comment elle pouvait obtenir une douceur aussi impeccable. Le cunnilingus n'était pas ce qu'il préférait faire, mais avec une fille pareille, il aurait pu s'en contenter facilement ! Surtout qu'il était adroit à cette tâche, sachant parfaitement comment exciter sa partenaire sans être désagréable sur cette zone si sensible, et Julie commençait à se faire plus ondulante sous ses coups de langue. Elle avait connu peu d'hommes, mais ceux qui savaient être habiles de leurs langues l'étaient toujours au moins autant de leurs sexes ! Toujours aussi décidée à le faire souffrir ce soir, elle fit signe à Paul de se rapprocher : il allait se faire sucer en même temps ! Par la concentration que cela lui demanderait, il serait ainsi encore plus difficile pour Jorge de la conduire jusqu'à l'orgasme, pensait-elle un peu sadiquement. Pourtant cela eu l'effet contraire sur elle, car la scène était rendue intensément torride par la beauté des corps qui s'exploraient ce soir dans cette chambre d'hôtel luxueuse, et qu'elle entrevit dans le reflet d'un miroir de la penderie avant que Paul ne lui en masque la vue. Bêtement, il n'avait pas retiré son préservatif plus tôt, et se faisait lécher le dard cette fois au travers de sa capote, qu'il était trop tard pour vouloir ôter. A cet instant Jorge, qui continuait ce qu'il devait faire avec méthode et entrain, pris l'initiative et introduisit son pouce dans le vagin brûlant de Julie, réveillant en elle l'envie d'être prise. Mais elle se retint, voulant qu'il persévère. Tandis qu'il aurait, dans d'autres circonstances, essayé de stimuler aussi l'anus de sa partenaire, pour en juger la possible disponibilité, il s'en empêchait. Il commença à faire bouger ce doigt en elle, passant et repassant facilement la bouche hyper lubrifiée de sa chatte, léchouillant toujours son clito de sa langue tantôt large et molle, tantôt fine, dure et pointue. Lorsqu'il se retira afin de lui mettre l'index et le majeur ensemble, Julie ébaucha des miaulements, car elle avait la bouche pleine, et les petits sons aigus qu'elle émettait renforçaient encore la tension sexuelle chez ses amants d'un soir. Lorsque la seconde main de Jorge commença à la branler également elle sentit poindre ce qu'elle attendait, et laissa poindre les prémices de la jouissance, avant de finalement jouir sous les coups de langue de cet homme qu'elle frustrait depuis le début, et qui allait pourtant lui donner un orgasme intense et voluptueux. Elle relâcha le sexe de Paul lorsque cet orgasme se fit plus intense et ces longues secondes d'extases furent encore plus délicieuses qu'au cours de la pénétration précédente. Paul s'était un peu décalé, permettant à la jeune fille de mater dans le miroir le spectacle osé de la tête de Jorge oscillant régulièrement de haut en bas entre ses cuisses largement écartées. Cette vision pornographique était torride, et lui plu intensément.
Lorsque la tension retomba progressivement, Julie annonça à Paul "retourne t'asseoir, et donne-moi une capote au passage, cette fois c'est Jorge qui va pouvoir enfin me faire l'honneur de ses assauts". Elle avait toujours le même ton de salope, et déballa tout de suite le préservatif, satisfaite de constater que Jorge avait repris une belle consistance pendant son cunnilingus. Allongée devant lui, elle déroula le latex sur son beau sexe, redevenu aussi dur et droit qu'auparavant, et se tourna sur le côté, pour qu'il vienne derrière elle. Elle n'écarta pas les cuisses lorsqu'il s'approcha d'elle, et le laissa faire tout seul ce qu'il voulait. Jorge se guida vers sa fente et se délecta de la sentir si chaude, si parfaitement prête et surtout si délicieusement étroite, tandis qu'il jouait longuement de la pointe de son gland entre ses lèvres avant de faire de même à l'entrée de son vagin. Il était au comble de l'excitation, profondément satisfait d'avoir enfin obtenu d'elle le droit de la pénétrer. Julie de son côté le laissait faire, convaincue qu'il saurait la faire grimper au ciel si elle lui lâchait un peu la bride. Petit à petit il amplifia ses mouvements, mais sans précipitation, en se retirant presque à chaque fois. De la sorte il stimulait avec insistance son clito lorsqu'il se présentait contre la fente fermée de sa partenaire tant désirée, et entreprenait ensuite une stimulation interne des zones les plus érogènes de son vagin, jusqu'à ce qu'il arrive tout au fond de sa chatte, le dos de son gland très précisément adossé contre le col si sensible de son utérus ruisselant de glaire. Elle le laissait poursuivre avec talent selon cette habile méthode, sentant doucement son corps entier se réchauffer. Elle était intensément lubrifiée ce soir, et avec leurs capotes ils glissaient en elle presque trop facilement, réduisant ainsi pour chacun des partenaires le plaisir partagé. S'éloignant un peu plus d'elle, Jorge lui fit garder les jambes serrées en ramenant les genoux vers son torse, tandis qu'il commençait de plus amples mouvements de bassin, allant et venant très profondément en elle, après s'être à chaque fois retiré jusqu'entre ses lèvres maintenant jointes.
Il ne cessa plus de la limer ainsi, plus ou moins rapidement, laissant son excitation monter progressivement, mais elle demanda :"je ne te vois pas, or tu es beau, prends-moi en missionnaire que je puisse admirer ton corps quand tu me baises". Elle s'allongea, et Jorge la pénétra à nouveau profondément, mais il prit ses chevilles et les passa sur ses épaules, s'appuyant de ses bras musclés, tendus au dessus d'elle aussi loin que possible, amplifiant ses coups de reins jusqu'a nouveau être littéralement entrain de la pilonner, désormais encore plus profondément, ce qu'elle semblait vouloir. Ces coups de bassin la faisaient vibrer, sa poitrine érigée oscillant amplement au rythme imposé. Julie le contemplait entrain de lui faire l'amour avec fougue. Elle aurait pu l'aimer, tant il était beau, mais elle ne voulait pas d'amour ce soir, elle voulait du sexe, elle voulait être une salope que l'on baise si on le mérite? et il était admirablement fait pour ça ! Elle décida qu'elle aurait un nouvel orgasme avant lui, avant de lui laisser obtenir sa "récompense" car elle avait eu une autre idée pour lui précédemment' Elle laissa une nouvelle fois l'excitation sexuelle la submerger. Jorge sentit la jouissance la gagner, et fit parfaitement ce qu'il fallait pour la retarder un peu, et la faire littéralement exploser lorsque cette énergie fut assez emmagasinée. Elle était ruisselante de son miel, et les sensations s'en trouvaient bien moins intenses pour lui qu'elles n'avaient pu l'être pour Paul au début, elle en était convainque, et s'en voulait même un peu à cet instant. Cependant, en digne étalon, il laissa retomber l'excitation sans fléchir, et attendit que Julie le lui demande pour se retirer. Il n'avait pas voulu jouir, espérant qu'elle saurait être reconnaissante, et peut être le laisser la prendre à son tour aussi bestialement que son ami, tout en craignant d'avoir peut-être loupé une belle occasion'
Elle pensait savoir ce qu'il pouvait vouloir à cet instant : qu'elle le suce à nouveau comme avant, et qu'elle l'avale une seconde fois. Mais elle était déjà décidé à se donner à ce superbe étalon autant qu'il le méritait, se glissant jusqu'au bord du matelas et reposant un instant ses pieds sur le sol. Elle énonça distinctement sur un ton presque implorant :"Jorge prends-moi à par derrière, et baise-moi ainsi comme tu penses qu'une fille facile comme moi le mérite. Fais-toi jouir dans mon petit cul. C'est ta récompense pour ce que tu m'as donné tout à l'heure, et si tu sais encore me faire jouir avec toi, je vous laisse tous les deux faire de moi ce qu'il vous plaira, absolument tout'". Jorge fit son maximum pour ne pas monter à quel point il était satisfait, alors qu'il aurait sinon arboré le sourire niais d'un adolescent à qui l'on aurait proposé le dépucelage !
Elle le contempla lorsqu'il s'installa à genoux sur la moquette, lui faisant placer les jambes sur les épaules, tandis qu'il s'approchait d'elle, le sexe tendu, gros, massif, guidé d'une main vers ce petit orifice qu'elle ne donnait presque jamais, et qu'Alexandre avait pu prendre pour la première fois peu de temps auparavant. Elle s'offrait ce soir pour la première fois sans préliminaires et comptait sur tout le doigté et la patience de Jorge pour que cela ce passe bien. En même temps il devait être bien lubrifié, vu comme elle était excitée? Il perçut peut-être un peu d'appréhension, mais la queue qu'il venait de retirer de sa vulve trempée était en effet brillante de sa mouille. Ils n'avaient de toute façon pas de lubrifiant, et Julie ne tenait pas à ce qu'il prenne plus d'égard de toute façon, ne craignant pas du tout qu'il lui fasse mal tant elle avait encore envie de lui à cet instant, quelque soit l'orifice par lequel elle le recevrait ! Elle voulait du sexe, que du sexe, elle voulait être baisée, elle voulait ce soir être cette salope que Marc et Alexandre avait forcée la fois précédente. Sauf que ce soir elle n'était pas forcée, elle le voulait, ça l'excitait !
Jorge lui fit remonter un peu plus les cuisses, afin qu'en se rehaussant elle se trouve parfaitement à la hauteur de son membre raidit, et posa son gland contre son anus fermé. Il semblait à cet instant tout à fait disproportionné, cela l'excitait à fond, mais il savait qu'il lui fallait faire doucement, surtout qu'il n'avait pas du tout envie d'avoir à la préparer. Il fut conforté dans cette attitude lorsqu'il la sentit venir contre lui. Attrapant les globes de ses fesses, il les écarta en poussant sa bite en avant, et Julie se laissa pénétrer l'anus par son gland. Pour la première fois on ne la prenait pas, elle s'était donnée, et la pénétration avait été obtenue bien plus aisément pour elle qu'au cours des fois précédentes. Cela lui donna confiance en elle, et elle laissa Jorge continuer à s'enfoncer dans son cul. Si Alexandre avait vu cela ! Ne cherchant même pas à obtenir de son partenaire qu'il l'entreprenne progressivement, Julie concentra toute son attention sur cet orifice totalement vierge de toute lubrification tandis qu'elle se laissait prendre bien profondément. Le soupir rauque de son amant lui signifia combien il devait être intense pour lui de la posséder ainsi par cet orifice si étroit. Pour elle, bien que cette sodomie soit déjà profonde, presque brutale, ce n'était pas pénible. Elle se donnait intégralement, satisfaite d'y parvenir avec autant de facilité. Julie avait fermé les yeux pour commencer, mais elle eu envie de voir ce que donnait le spectacle de cet assaut bestial, et les ouvrit à nouveau, tournant sa tête de l'autre côté, cherchant son reflet dans le miroir. Jorge était dressé, raide, presque arqué, totalement absorbé par ce qu'il faisait, les muscles bandés, les fesses contractées. Il tenait ses hanches avec force, marquant sa peau de l'empreinte de ses doigts, l'attirant à lui pour lui mettre toute la longueur de sa bite. Elle le contempla tandis qu'il commençait à se retirer doucement, lentement, suffisamment pour qu'elle puisse distinguer la base du sexe luisant qui quittait son antre le plus étroit avant qu'il l'entreprenne à nouveau, plus profondément, plus rapidement, plus virilement. Au second mouvement il était allé plus un peu plus loin, et dès le troisième il était parvenu à lui faire admettre toute la longueur de son sexe, qui était raide et dur, épais comme rarement. Il la sodomisait maintenant complètement, et elle l'encouragea même lorsqu'il essaya d'accélérer un peu le rythme de ses assauts. Cependant il ne voulait pas s'abandonner trop vite, ce qui était un risque constant tant il était incroyablement exquis de la limer par cet orifice si étroit et pourtant si accueillant. Il glissa sa main droite vers sa chatte, décidant qu'il était plus prudent d'essayer de la faire jouir en la masturbant plutôt que de penser lui faire atteindre l'orgasme par la seule pénétration anale.
Julie fut satisfaite de sentir ses doigts habiles venir jouer dans son intimité, lui branlant le clito, pénétrant son vagin plus ou moins profondément à l'aide de son pouce recroquevillé. Elle était tellement excitée qu'il aurait même pu le faire avec deux, voire même trois doigts' Cela la fit gagner rapidement en excitation, et elle ne se fit pas sur le moment la réflexion qu'elle aurait peut être bien atteint la jouissance de toute façon, même en dehors de toute attention délicate de son partenaire, qui aurait aussi bien pu se contenter de l'enculer comme une vulgaire chienne tant elle était décidée à prendre son pied avec lui ! D'ailleurs lorsqu'il n'arriva plus à se contenir, devenant moins précautionneux de la façon dont il lui prenait les fesses, Julie commença à jouir une nouvelle fois, se serrant encore plus autour du sexe qui la sodomisait. Ceci fut radical pour Jorge, qui commença à éjaculer en mugissant, animé par d'intenses soubresauts de plaisir, s'enfonçant alors avec de grands coups secs dans le cul de sa jeune partenaire, qui miaulait à ce rythme animal en se trémoussant sur le lit à a cadence avec laquelle elle le recevait au plus profond de son cul désormais. Cette sodomie était la toute première qu'elle acceptait sans contrainte, et au cours de laquelle son partenaire avait pu aussi rapidement s'introduire jusqu'au fond sans presque aucune gène. C'était surtout la première fois qu'elle ne s'était pas préparée, et jusqu'ici elle n'y avait en fait même pas pensé, mais elle constatait avec une satisfaction profonde que son homme avait raison : elle était propre malgré tout, alors que Jorge ne s'était pas interdit de l'enculer complètement, la baisant dans les fesses comme elle le lui avait demandé : comme une fille facile. Trop heureux de ce qu'il avait déjà obtenu, et ne pensant plus à la promesse qu'elle avait faite avant qu'il n'entreprenne de lui faire admettre son beau sexe dans l'anus, il s'autorisa encore quelques allées et venues par cet orifice si délicieusement resserré avant de se retirer. Rassasiés de plaisir, les deux amants s'écoulèrent sur le lit, repus, laissant Paul avec son peignoir déformé par une érection massive qu'avait provoqué le spectacle de cette sodomie profonde qu'il avait contemplé aux premières loges.. Lui n'avait pas oublié le serment d'abandon qu'elle avait fait avec Jorge, mais il n'osait alors pas le lui rappeler, de peur de briser le sort ! De toute façon, pour le moment Julie se dirigeait vers la salle de bain' Bonne surprise, elle n'avait pour le moment pas ramassé toutes ses affaires avant de s'y rendre, pour s'y doucher.
Rafraichie, elle en sortit quinze minutes plus tard, parfaite à nouveau, les cheveux splendides et brossés, sublime comme au premier instant, arborant son petit string rouge comme seule parure. En son absence, les deux mâles s'étaient rapprochés, et devaient tenter d'élaborer la suite de leur programme, mais Julie ne se laisserait pas imposer n'importe quoi. Elle sentait d'ailleurs une grande retenue chez ses partenaires, soucieux de ne pas la voir se soustraire brutalement à eux, qui ne souhaitaient pas encore voir arriver la fin de leur nuit de luxure? Jorge cependant pris sa suite à la salle de bain sans demander son reste : il était littéralement trempé de sueur, et n'envisageait plus pour l'instant d'approcher cette magnifique fille sans s'être auparavant rendu plus présentable. Il avait déjà enfilé son peignoir, et Julie pu constater qu'à cet instant aucun des deux amants n'était "prêt" pour la suite, elle n'était pas inquiète pourtant de ses capacités à les rendre à nouveau opérationnels pour elle !
Paul, qui savait qu'il le pouvait, n'osait pas soutenir son regard, et encore moins lui demander ce qu'il voulait alors : qu'elle le suce à nouveau, en espérant lui aussi avoir droit à une gorge profonde comme Jorge? Et cela bien qu'il en eut obtenu plus tôt la permission de façon indirecte de la bouche de la jeune femme elle-même ! Julie adorait avoir réussi à se faire respecter et craindre par un homme si mur et semblant plus tôt dans la soirée si sur de lui ! Elle prit alors les commandes, de guerre lasse, mais sans autorité, en demandant cette-fois : "Bel Apollon, aimerais-tu encore que je te cajole de ma bouche ?". La réponse fut à peine trop empressée pour ne pas révéler combien il en avait envie, et Julie vint s'agenouiller devant le fauteuil dans lequel Paul s'était assis, celui dans lequel elle avait auparavant sucé Jorge jusqu'au bout. Paul écarta les pans de son peignoir immaculé, et elle saisit son sexe de sa main droite, en prenant soin de le décalotter entièrement avant d'en prendre à nouveau le gland en bouche. Il sentait bon le savon, mais prit très vite un petit gout salé en même temps qu'il durcissait rapidement par l'effet de ses habiles excitations. Julie avait acquis un talent d'experte en la matière grâce aux conseils très intéressés d'Alex, mais surtout par sa détermination à y parvenir au mieux? Ainsi pouvait-elle déjà accomplir spontanément une fellation très profonde, alors qu'elle n'avait vraiment que très peu d'expérience en la matière, et surtout n'avait pu bénéficier des recommandations de personne, n'ayant jamais voulu en parler à quiconque.
Paul contemplait avec délectation le visage de sa plus belle prise d'un soir, tandis qu'elle faisait aller et venir son sexe, désormais à nouveau au meilleur de sa forme, entre ses lèvres pulpeuses. Prenant alors la première fois une initiative ce soir, peut-être un peu désinhibé par le champagne qu'il avait bu lorsqu'elle se donnait longuement à Jorge, Paul lui attrapa la tête, ne pouvant plus se retenir de donner à cette vision qui l'obsédait une petite note de soumission pornographique. Il ne se permit toutefois pas de lui imposer son tempo avant que Julie ne lui en donne le feu vert dans un acte de total abandon. Elle déclara en effet, interrompant un instant la succion : "Guide-moi sur ton beau membre comme tu en as envie, je tâcherai de rester à la hauteur?". Il se serait bien pincé, pour s'assurer que le rêve n'allait pas s'interrompre sans prévenir dans quelques secondes, mais attrapa plutôt la tête de sa partenaire d'une toute autre façon, bien moins amicale. Il empauma l'arrière de son crâne de sa large et forte main droite, tandis qu'il glissait la seconde dans son cou, saisissant sa mâchoire. Personne ne l'avait jamais maintenue de la sorte, et elle comprit immédiatement qu'il allait lui imposer une gorge profonde assez virile. Elle ne souhaita pas s'y soustraire et essaya de se concentrer déjà à réprimer les haut-le-c'ur qu'il pourrait déclencher. Paul fut progressif, amplifiant constamment les mouvements qu'elle devait exécuter sur sa bite raidie. Déjà elle le prenait très loin dans la gorge, et cela s'amplifia encore quand Paul changea sa technique, ne se contentant désormais plus de la faire descendre sur lui avec fermeté mais amplifiant ses allées-venues par des mouvements de bassin. Fidèle à sa promesse, Julie gardait la bouche ouverte, salivant abondamment depuis que son assaillant lui enfilait toute la longueur de sa grosse queue, ne s'arrêtant que lorsqu'il sentait qu'elle ne pouvait plus rien admettre de plus, et ne pouvant alors quasiment plus prendre d'air. Jamais personne ne s'était encore aventuré à lui imposer comme ça son sexe aussi violemment. Cela n'avait rien à voir avec la gorge profonde qu'elle avait donné à Jorge où il s'agissait encore de fellation : à cet instant Paul lui violait littéralement la bouche, et ce qu'il s'y passait tenait plus de la pénétration sauvage que du sexe oral, et c'était tout à fait odieux. Pourtant Julie, qui n'avait plus aucun tabou ce soir, y voyait clairement l'expression de ce que la virilité macho pouvait souhaiter faire des jolies filles si elles acceptaient de s'y soumettre. Elle n'aimait pas le faire, mais tentait d'apprécier à sa juste valeur ce qu'elle apprenait ce soir des hommes, pendant que son partenaire ne se lassait pas de la voir éructer et toussoter à chaque fois qu'il avait été emporté par ses ambitions d'essayer de faire disparaitre toute la longueur de son chibre dans son superbe visage, alors vilainement déformé par cette pénétration. Elle laissait couler sur lui sa salive et les secrétions musquées qu'il donnait, faute de pouvoir ? mais aussi de vouloir ? les avaler. Et ce n'est que le retour de Jorge dans la pièce, sans pourtant que celui ne fasse la moindre remarque, qui calma l'ardeur des assauts de Paul, qui lui lâcha enfin la tête.
Il était clair à cet instant qu'il avait voulu lui faire payer la différence de traitement entre eux. Car s'il avait été le premier à la pénétrer, il n'avait ni eu le loisir de lui donner son sperme, alors qu'elle avait même avalé celui de Jorge, qui en plus avait pu la sucer, la fouiller de ses doigts, et surtout la sodomiser jusqu'à l'orgasme.
Ne s'autorisant pas la moindre remarque, bien trop fière pour cela, Julie se redressa, essuya les larmes que Paul lui avait arraché ? par réflexe mais aussi par l'humiliation de cette fellation ? et s'offrit encore à eux : "Messieurs, si cela peut vous satisfaire, je m'essaierai bien à la seconde double pénétration de ma vie !". Que pouvaient-ils répondre à cela ? Évidemment ils en avaient rêvés tous les deux, et peu de filles l'acceptaient, même en y rajoutant encore du champagne ou même de la cocaïne? Seulement voilà, c'était encore elle qui décidait ! Avant qu'ils n'aient le temps de fomenter des plans qu'elle se devrait cette fois d'accepter, elle compléta : "Paul, tu es trop peu délicat pour être celui qui me prendra les fesses, ta démonstration précédente en est l'illustration, et même si j'ai su recevoir comme tu l'imposais ta belle queue jusqu'aux amygdales, je n'ai pas envie de la même chose dans mon petit trou.". En une seule phrase, elle avait renvoyé ce pauvre connard dans les cordes, et le laissa sans bruit s'installer sur le matelas, allongé passivement sur le dos. Julie allait peut-être même en profiter pour lui offrir la galerie des masques de la salope qui jouit par le cul, puisqu'elle serait au dessus de lui avec Jorge dans son dos.
Elle s'installa au dessus de lui en cavalière, et le guida vers son sexe, après s'être contentée de récliner son string sur le côté, comme la salope nymphomane qu'elle était ce soir pouvait le faire. A contrario des premiers rapports, elle se trouvait cette fois assez peu préparée à la pénétration, car la séance de baise précédente l'avait laissée quasiment froide. Mais comme il avait enfilé un nouveau préservatif, cette lubrification artificielle facilita son introduction, alors qu'elle commençait à osciller des hanches au dessus de son premier amant du soir, les yeux clos, cherchant à retrouver rapidement l'excitation qui l'avait portée et guidée jusque là. Elle demanda alors à Jorge de venir près d'elle, son sexe déjà raide et encapuchonné, afin qu'elle le prépare un peu en le lubrifiant de sa salive. Elle le suça avec application tout en continuant à faire aller et venir en elle le phallus qu'elle acceptait déjà dans le vagin. Elle aurait souhaité qu'il soit un peu plus patient, mais Jorge finit par se soustraire à sa bouche, sans qu'elle ne tâche de le retenir, lâchant par la même occasion le téton qu'il titillait pourtant avec succès, l'abandonnant aux mains plus épaisses et moins adroites de Paul. En fait celui-ci ne lui plaisait pas, physiquement. Et si elle était parvenue à s'exciter voire même à partager un orgasme avec lui, c'était uniquement parce qu'elle avait étonnée elle-même de voir avec quelle facilité elle était parvenue à l'infantiliser et à l'asservir à ses souhaits. Maintenant qu'elle avait abandonné stupidement ce contrôle qu'elle avait sur lui, il était redevenu le pâle macho qu'il devait être le plus souvent, et ce vrai visage la rendait mal à l'aise parce que c'était celui d'un pervers. Jorge, lui était soit plus candide, soit plus malin et meilleur acteur. Surtout il était un amant d'une toute autre envergure, et elle espérait plus que tout qu'il allait le rester. A cet instant en effet il se positionnait précisément au dessus d'elle, les cuisses très écartées pour l'enjamber facilement, s'apprêtant à lui faire accepter son sexe raide et à peine lubrifié d'un peu de sa salive. Il réclina complètement la fine lanière qu'était son string à cet endroit, puis s'appuya fermement du plat d'une main tout au bas de ses reins, pour l'immobiliser un instant, tandis que la seconde guidait contre son anus encore fermé l'extrémité de son chibre palpitant. Julie s'était décalée un peu sur le côté, le visage dans les draps, pour s'offrir du mieux possible et en même temps se soustraire au regard lubrique de Paul qui la scrutait avec insistance, surement dans l'espoir de voir sur son visage l'effet qu'allait produire sur elle ce qu'elle avait stupidement avoué n'être que sa seconde fois en double? Jorge était maintenant positionné et commença à se faire progressivement plus insistant contre l'orifice qu'il voulait conquérir à nouveau. Julie savait un peu comment l'aider, et tentait de le laisser parvenir doucement en elle. Mais sans excitation, et surtout cette fois sans lubrification, il était beaucoup plus ardu pour elle de se détendre autant qu'elle avait pu le faire il y avait de cela au moins une heure. Sauf que cette fois-ci, elle ne pouvait pas facilement faire marche arrière, car frustrer ces deux hommes bien baraqués à ce stade de la soirée ne serait peut-être pas sans risque pour elle, c'était à craindre. Elle apprenait un peu tardivement qu'il fallait exiger d'être lubrifiée artificiellement avant de prétendre débuter une pénétration par là, mais elle avait voulu faire sa "grande", et s'était mise seule dans cette impasse. De toute façon, Jorge venait de changer de tactique, lâchant son sexe pour lui écarter les globes de ses fesses de ses deux mains posées à plat sur elles, résolument convaincu qu'il pouvait arriver à ses fins. Il ajusta un petit crachat d'une salive épaisse qui atterrit sur la naissance de la raie de la jeune fille et attendit quelques secondes supplémentaire que ce maigre lubrifiant atteigne son gland enchâssé en elle. Ainsi écartelée entre les mains de Jorge, il n'était plus question de savoir si elle était détendue ou non : elle était offerte. Il lui sembla tout de même que le gland de Jorge avait doublé de diamètre depuis tout à l'heure, tant elle sentit son anus se dilater lorsqu'il le franchit finalement, ne parvenant pas à retenir un cri de surprise et de souffrance mélangées, car à cet instant ce trou inexpérimenté était distendu au maximum.
Elle avait voulu jouer à la plus maline jusqu'au bout avec ses deux Apollons d'un soir, et comprenait qu'elle n'aurait jamais du se mettre à leur merci. En leur proposant d'accepter ce qu'ils voudraient elle avait inversé les rôles. De dominante elle était passée à dominée, et savait qu'avec deux hommes comme eux elle allait subir les outrages que permettait sa soumission. Jorge n'était pas assez stupide pour s'imaginer qu'il lui serait facile de l'accepter immédiatement profondément, et se retira suffisamment pour que ses man'uvres deviennent moins pénibles. A nouveau il cracha sur elle pour la lubrifier encore. Ses petits allers retours permirent à Julie de l'accepter progressivement, et finalement Jorge décida d'amplifier ses mouvements pour à nouveau pouvoir se satisfaire d'elle et de l'anatomie la plus étroite qu'elle lui offrait.
Avoir leurs deux sexes enfoncés au plus profond de sa chatte et de son petit cul était à nouveau une expérience extraordinaire. Il lui semblait que son entre-jambe et son postérieur étaient pénétrés par des verges énormes, qu'elle n'aurait jamais pu admettre quelque chose qui fut un dixième de millimètre plus large, tant son périnée était distendu au maximum pour y parvenir. Lorsque Paul put à nouveau lui imposer quelques mouvements, l'effet qu'il produisait en elle à la face antérieure de son vagin, dans la zone érogène la plus sensible qui soit, où l'on avait décrit le point G, était insensé. La présence simultanée de Jorge au plus profond de son rectum guidait en effet cet autre sexe avec force vers cet endroit subtile et le stimulait intensément. Julie craint de tomber dans les pommes, et dans un état de quasi-transe laissa ses assaillants devenir plus entreprenant encore, totalement inconscients du risque de déclencher chez leur partenaire un véritable malaise, trop concentrés sur leur propre plaisir. Jorge, qui en avait beaucoup plus le loisir que Paul dans cette position, imposa progressivement une sodomie ample et profonde à sa jeune partenaire, permettant parfois à Paul des mouvements indirects un peu plus généreux lorsqu'il emmenait avec lui sa conquête en fin de pénétration. Il était bien obligé de s'en satisfaire, regrettant amèrement de ne pas avoir pu aller jusqu'au bout de sa gorge profonde tout à l'heure, comme il en avait eu la ferme intention avant que Jorge ne fasse son retour sur "scène"?
Julie restait à moitié consciente, les yeux ouverts dans le vague, la bouche entr'ouverte, captive entre ses amants, le visage déformé par une expression bizarre de stupeur et de crispation. Elle gémissait assez fortement, ponctuant de fréquences plus aiguës les assauts les plus profonds entre ses fesses et miaulant faiblement lorsque les deux mâles se retrouvaient à l'inverse ensemble à la porte de ses orifices, les déformant au maximum de leurs n'uds turgescents avant de replonger en elle. Ses gémissements s'amplifièrent lorsque Jorge sentit son plaisir approcher, lui signifiant assez clairement qu'il n'était plus vraiment entrain de lui faire l'amour mais plutôt de lui défoncer le cul, car sa salive n'avait pas permis d'obtenir une lubrification satisfaisante, et elle subissait d'autant plus ses assauts. Cela n'avait aucune importance aux yeux de Jorge à cet instant, et les vagissements de sa partenaire l'encourageaient en l'excitant encore plus. Il ralentit sa cadence, jouant un instant de son gland dans la bouche serrée de l'anus sodomisé, avant de balancer de violents coups de rein à sa partenaire haletante et gémissante pour chacune des secousses de jouissance qui le parcoururent. Repu il se retira brutalement et s'affala sur le lit, trempé de sueur. Julie n'était plus dans son état normal depuis plusieurs minutes déjà, et ne réagit absolument pas lorsque Paul la repoussa de l'autre côté du lit ou elle resta couchée sur le côté avant qu'il ne la fasse rouler sur le ventre. Il vint alors au dessus d'elle à cheval, collant ses cuisses contre les siennes, attrapant son sexe qu'il guida sans prévenir vers l'orifice le plus tabou de sa féminité. Julie protesta mais il s'enfonça assez facilement, car il était lui-même lubrifié de ses sécrétions vaginales, et elle-même avait été cette fois préalablement dilatée par le sexe de Jorge. Paul était à genoux au dessus d'elle, il écartait de ses deux mains les globes des fesses entre lesquelles il observait attentivement sa pénétration. Lui non plus n'avait pas beaucoup d'égard pour sa partenaire à cet instant, et faisait de son mieux pour l'enculer profondément à chaque fois dans cette position où elle ne pouvait aucunement se soustraire à lui. Lorsqu'il fut proche de son plaisir Paul s'inclina en avant pour prendre appuis sur ses bras musclés afin de pouvoir donner de plus généreux allers retours à cette pauvre fille qui couinait sous lui entrain d'éructer sa jouissance. Mais il se redressa finalement et se retira vivement, profitant de sa situation pour retirer son préservatif et se finissant en se masturbant au dessus d'elle, arrosant généreusement ses fesses tout son dos de grosses giclées épaisses. Enfin il se laissa choir sur le côté, alors que Jorge quittait le lit pour la salle de bain, un oeil lubrique posé sur la scène pornographique de sa magnifique partenaire aux fesses et au string rouge magnifiquement maculés de sperme en impressionnante quantité. Il avait bien envie de se faire encore une fois sucer, mais n'osa pas abuser de la situation'
Julie reprenait un peu ses esprits, bien obligée d'admettre que l'état si particulier dans lequel elle s'était trouvée tout le temps qu'avait duré sa double-pénétration n'avait rien de désagréable. Au contraire même, l'idée de s'y soumettre une autre fois ne faisait que réveiller de subtils picotements au creux de son intimité. Elle avait du mal à caractériser ce qu'elle avait ressenti, et ne pouvait pas admettre qu'elle puisse s'être satisfaite d'une sensation uniquement douloureuse. Elle avait donc aimé cela. A bien y réfléchir il en avait été de même la première fois, et d'ailleurs également lors de sa première expérience anale avec Alexandre, tandis qu'il la prenait classiquement en levrette après lui avoir fait accepter un plug par derrière. Ce qu'elle avait expérimenté ce soir pour la seconde fois n'avait rien à voir avec le plaisir plus conventionnel obtenu par la stimulation clitoridienne ou vaginale, mais c'était pourtant aussi agréable que difficile à accepter? Il lui venait à l'esprit que cela pouvait aussi bien lui paraître agréable parce que c'était pénible, mais elle ne pouvait pas admettre cette hypothèse, pas encore. Elle regrettait cependant avoir été à ce point baisée, sans qu'aucun des deux partenaires n'aient eu la moindre attention délicate pour elle de toute la soirée. Elle ne pouvait pas le leur reprocher, car il s'agissait là des conséquences directes de sa propre attitude. Elle s'était comportée depuis le début comme une allumeuse prête à tout, et ne pouvait pas espérer de deux gros machos comme eux qu'ils prennent le temps d'être précautionneux et attentifs quand elle n'avait jamais cessé de leur envoyer l'image qu'elle était une fille facile qui voulait se faire sauter par eux? S'il y avait une prochaine fois, ce ne serait évidemment pas avec eux, jamais, et surtout elle exigerait un peu plus de retenue et de sentiments, bref un peu de douceur. Bien-sûr, elle n'aurait pas du lâcher la bride de ses étalons, gardant le contrôle elle aurait peut-être accepté le revirement obscène de la fin de la nuit, mais elle ne l'aurait pas subi de la même façon'
Ses pensées furent interrompues par le retour de Jorge, à nouveau en peignoir, et elle se précipita à la salle de bain avant que tout le foutre qu'elle avait encore sur elle n'ait trop le temps de lui dégouliner abominablement dans le dos. Au passage elle attrapa rapidement ses affaires, ce qui n'échappa aux deux mâles, comprenant que la partie était cette fois finie pour de bon, et qu'il leur restait encore à la convaincre de se retrouver à la même table de la boîte de nuit pour envisager une seconde folle nuit, si possible?
Julie prit son temps pour se rafraichir, et se rhabilla avant de sortir de la salle de bain à nouveau ravissante, mais sans culotte. Elle fourra dans son petit sac son string souillé emballé dans une protection pour serviettes hygiéniques trouvée dans la salle de bain, enfila ses talons aiguille et s'adressant aux deux ahuris qui la mâtaient toujours avec envie : "J'espère que vous avez apprécié la nuit, moi je me suis bien amusée, mais je n'aime pas totalement votre style de bêtes en rut. Peut-être cela marchera-t-il avec un autre genre de filles'?". Elle tourna les talons avec une bise virtuelle sur les lèvres, et s'éclipsa avant qu'ils ne comprennent ce qui se passait. Elle ne craignait pas qu'ils ne veuillent la poursuivre : aucun des deux n'était habillé à cet instant, ce qui lui permit de profiter allègrement du petit matin calme qu'elle trouva à la porte de l'hôtel : il était cinq heures trente, la bonne heure pour rentrer chez soi se reposer.