Arts et passion

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Proposée le 12/05/2012 par nougat

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J'ai toujours été passionné par la peinture et j'ai peint maintes choses. Des forêts de toutes sortes : des forêts qui font peur, des forêts chaleureuses, des forêts féériques. Des plaines verdoyantes, des déserts en tous genres. Des monuments, des palais. J'ai aussi peint des animaux, du majestueux tigre au petit rongeur.

Ce jour-là j'avais trouvé une fille à qui raconter tout cela et elle m'avait demandé de lui montrer mes ?uvres. Elle étudiait l'histoire et moi, j'étudiais les arts. On s'était rencontré dans le parc en centre-ville. Naturellement j'étais fière de montrer mon talent aux autres, surtout quand ils ne sont pas eux-mêmes artistes peintres. En plus, elle était ravissante. Je l'emmenais donc dans mon petit studio.

A peine rentrée, elle poussa une exclamation. Je ne sais pas si cela venait du désordre ambiant ou de la forte odeur qui régnait. J'étais toujours en train de peindre une toile, quel que soit le jour. Et vu que j'en faisais deux par semaines environ, la place commençait à me manquer cruellement. La peinture à l'huile avait parfumé mon logis, et son odeur était quel peu saisissante. Se promenant de toile en toile mon visiteur avait un regard émerveillé. « C'est beau ! », disait-elle devant certains tableaux. Soudain elle se retourna vers moi « Tu es génial, vraiment ! »

Elle m'invita à prendre un verre. Nous sortîmes donc, et marchâmes jusqu'à la terrasse d'un café. Je m'assis en face d'elle. Sa chevelure longue rousse envoyait des éclats de lumière grâce aux rayons du soleil. Ses yeux marron brillaient et ses lèvres formaient un sourire radieux. Nous discutâmes beaucoup. La voix d'Anne, tel était son nom, m'envoutait. C'est alors qu'elle demanda « Et si tu me peignais ? » C'était le genre de chose que personne ne m'avait demandé jusque lors. D'une si belle fille je ne pouvais refuser la demande.

Nous rentrâmes donc à mon logis et elle me demanda de venir chez elle, pour avoir plus de place. Je comprenais qu'elle ne se sente pas à l'aise ici. Je pris donc mon matériel et nous partîmes chez Anne. Elle vivait dans un petit appartement très lumineux. Je commençais à m'installer pour peindre quand je la vit enlever son tee-shirt.
- Tu fais quoi ?
- Ben, je me déshabille, je veux être naturelle.
Je ne savais pas quoi penser. Elle se redressa, fière, en sous-vêtements noirs. Elle était magnifique, elle avait de belles formes, on devinait sous son soutien-gorge de magnifiques seins bien ronds. Un tableau suggestif qui vous mettait l'appétit en bouche. « On voit souvent les femmes nues sur les tableaux. », dit-elle avant d'enlever la pièce cachant ses tétons. Elle me regardait souriante. Et elle enleva sa culotte. J'étais face à un sexe bien poilu. Je n'en pouvais plus. J'essaie de me contrôler pour ne pas lui sauter dessus. « C'est la première fois que je m'exhibe ! C'est si excitant ! »
Elle s'appuya contre le mur et me demanda de commencer.

J'étais tellement nerveux que je faisais n'importe quoi. Puis je commençais à m'habituer et bientôt mon pinceau m'obéit. J'étais en extase. Je me concentrais sur son visage, ou du moins j'essayais. Je mis longtemps à cerner ses traits. La vigueur qu'elle dégageait était dure à rendre. Quand j'eus fini le visage, il devait s'être passé beaucoup de temps. Je lui dis que l'on continuerait une prochaine fois. Elle se décolla donc du mur et lâcha un soupir de soulagement. Puis elle vint regarder l'ouvrage. Elle semblait déçue que je n'en ai pas fait plus. Nous nous donnâmes donc rendez-vous le lendemain.

Le soir durant je n'ai pas pu me détacher de son image. Elle était là avec sourire, je voyais son beau corps nu. Je rêvais d'elle. Anne dansait en se déshabillant lentement. J'étais tombé amoureux.

Le lendemain, la seule chose qui me préoccupait était mon rendez-vous. Je ne pouvais pas en détourner mon attention. Quand je sonnais, elle était déjà prête, la porte s'ouvrit quasi instantanément et Anne me fit entrer. Elle était en sous-vêtements. J'eus le droit à une grosse bise. Mon modèle se dévêtit sans un mot en me souriant gaiement. C'était aussi magique que hier. Je fixais mes yeux sur ses seins bien fermes, ce qu'elle ne manqua pas de remarquer. Elle s'approcha de moi de pris les mains et les posa là où je voulais.
« Fais toi plaisir, caresse les. »
J'étais surpris. Mais en même temps, c'était le paradis, la première fille que je voyais nue, la première fille qui se risquait avec moi. Sa peau était douce. Elle se laissa faire, et soudain s'écarta.
« Peins-moi ! »
J'obéis. Je décrivis son cou, ses épaules, sa poitrine avec ses tétons surmontés des petites pointes toutes roses.

Je m'arrêtais, le soleil allait bientôt se coucher et la lumière ne serait plus le même.
- C'est gentil de me peindre, de prendre du temps pour moi.
- Ça me fait plaisir. Et puis peindre une aussi belle fille que toi ça ne se refuse pas.
- Merci.
Elle me fit un gros bisou sur la joue en se serrant contre moi. Je sentais son corps.
- Je peux te toucher encore une fois ?
- Non, pas aujourd'hui ; il ne faut pas gâcher les plaisirs en allant trop vite.
- On se revoit demain alors ?
- Puisque c'est samedi tu resteras toute la journée, ok ?
On se mit d'accord pour que je vienne à 9 heures. Et on aurait ainsi tout le temps qu'on voudrait. Je la quittai donc. En ouvrant la porte, mon modèle me dit soudain « arrêtes ». Je me retournai et soudain, elle était dans mes bras et m'embrassait en pleine bouche. Je gardais cette sensation, ce contact sur mes lèvres dans ma tête. J'étais bien.

Anne m'ouvrit en chemise de nuit. Nous nous saluâmes chaleureusement. « Je suis prête », dit-elle avec le sourire, et elle laissa sa chemise de nuit tomber sur le sol sans la moindre pudeur. J'étais presque habitué, mais elle me donnait tellement envie? Je l'avais rendue aussi belle sur toile qu'en vrai. Elle reprit sa pose. Je commençais par son ventre en descendant petit à petit sous ses seins. J'arrivais à sa partie la plus intime. Son sexe surmonté d'une belle parure couleur feu bien poilue, un duvet des plus érotiques. Et je descendais en peignant ses belles cuisses, ses jambes musclées comme il le fallait pour des formes de déesse. Enfin, je terminais par les bras.
- Viens voir !
- Tu m'as finie !
- Il reste le décor à faire.
- C'est magnifique. Suis-moi.
Elle m'emmena vers son lit, s'assit et écarta les cuisses.
« Regarde mon sexe ! »
Je fus surpris. Mes yeux se scotchèrent à sa chatte. Elle enleva mon pantalon, mon caleçon, ma chemise et pris mon sexe dans sa main. Mon pénis était d'ailleurs en érection mais grandit encore plus.
« Je t'aime, j'ai envie de faire toute les expériences possibles avec toi. »
C'était la première fois que j'étais avec une fille et qu'elle me proposait cela.
« Je veux te toucher, te caresser. »
Je pris ses seins à pleines mains et commença à la triturer. Elle gémit. Je pinçai ses tétons. Je mis le doigt sur ses lèvres secrètes. - T'es vierge, me demanda-t-elle.
- Oui
- Moi aussi.
Anne me renversa sur le lit et prit mon pénis dans sa bouche. Elle suça avec beaucoup de salive. Je ne tardai pas à éjaculer, et Anne avala tout mon sperme. Puis elle m'embrassa une fois, trois fois, dix fois. Nos langues s'emmêlaient.
- On va manger maintenant, et ensuite on fera l'amour, décida-t-elle. Tu vas connaitre une façon géniale de manger, j'ai imaginé des choses qui vont te paire, dit-elle en riant.
Anne prit une tomate, mordit dedans, s'approcha de moi pressa sa bouche contre la mienne et injecta la tomate qu'elle avait mâché. Je participais volontiers à ce jeu. Après la tomate, ce fut les saucisses. Quand arriva le yaourt, ce fut plus excitant. Elle prit mon sexe qu'elle plongea dans le pot avant de le lécher. Ma verge lui servait ainsi de cuillère. A son tour, elle versa le pot sur ses seins et me fit lécher. Le goût de son corps me remplissait la bouche. Pour le dessert elle tartina son sexe de chantilly : « Nettoie moi mes parties génitales ». C'est ce que je fis. Ce n'était pas génial car ses poils n'avaient pas bon gout, mais cela la rendait folle de joie.
Nous prîmes une douche avant de passer à l'acte. Quand je commençai à rentrer mon pénis dans son vagin elle hurla « Adieu virginité ». Je fis des va-et-vient dans son orifice bien serré. Ce fut intense et rapide. Et elle me serra dans ses bras.
- Alors, c'était bien ?
- Oui.
- On reste ensemble.
- Jusqu'à ce que l'amour nous sépare.
Elle se leva et mit un ensemble de sous-vêtements coquins.
- Je les ai acheté pour toi ?
Le début de l'après-midi venait juste de commencer et la suite risquait d'être palpitante.

Ainsi commença mon aventure avec Anne. Le tableau une fois fini resta au-dessus du lit d'Anne et nous restâmes ensemble toutes les soirées.