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Proposée le 27/12/2007 par martinedeparis
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Je suis une femme, et je vivais en couple avec Marie ma compagne.
Nous nous entendions plutôt bien et nous sommes restés ensemble un peu plus d'un an, jusqu'à ce que ça fille nous rejoindre à plein temps.
j'ai compris très vite que cette petite allait finir par mettre du désordre entre nous.
Son père ne voulait plus d'elle depuis sa majorité et nous avons dû l'héberger le temps qu'elle trouve un travail. Ana, se comportait toujours bien en présence de sa mère, elle se dévergondait seulement quand je me trouvais seule avec elle.
Martine, mon amie, était infirmière et n'avait pas des horaires toujours faciles pour une vie de couple. Quand Martine travaillait Anna adorait se pavaner devant moi en petite culotte. J'ai toujours repoussé ses avances mais elle venait pourtant me retrouver sur le canapé, s'intaller sur moi, pour que je lui raconte ce que je faisais à sa mère.
Bien sûr parfois j'ai eu envie d'elle. Un soir alors que Martine dormait, elle est venue me rejoindre pendant que je regardais la télé. Elle avait juste un peignoir et elle s'est allongée près de moi.
Sa main a glissé entre mes cuisses, je l'ai repoussée, mais elle m'a demandé d'être discrète car ça mère pouvait nous entendre. C'était confus pour moi, j'avais envie elle mais je savais qu'il ne fallait surtout pas que je commette cette erreur.
Elle a pris un de mes seins dans sa bouche et je n'arrivais plus a bouger, c'était bon, un plaisir défendue. Le fait de savoir qu'une simple porte me séparait de sa mère faisait monter mon désir.
Je me suis levée et j'ai regagné la chambre. J'étais tellement excitée que j'ai dû caresser Martine pour qu'elle se réveille.
Le lendemain matin, après le départ de Martine, j'ai dit à Ana que je ne voulais plus de ce genre de manifestation.
cela ne l'a pas empêchée de se trémousser devant moi toute la journée.
Il s'est passé quelques jours sans problème, jusqu'à ce matin-là.
Martine était partie à quatre heures du matin et Anna est venu me rejoindre dans le lit sans que je sache que c'était elle. je dormais sur le dos et je ressentais des caresses agréables qui me sortaient doucement de mon sommeil. Quand j'ai senti une langue sur mon sexe, j'ai cru que Martine était encore là. C'était tellement bon, que j'écartais les jambes sans même vouloir me retourner. Ce que j'aimais le plus en elle c'est sa perversion extrême, j'ai rarement connu de fille aussi perverse.
J'ai très vite compris, quand j'ai joui plus fort que d'habitude, que ça ne pouvait pas être Martine. J'ai fait comme si je ne savais pas, j'ai encore écarté les jambes, et je me suis laissé faire. Quand je me suis retournée et que j'ai vu sa frimousse de chien battu, je n'ai rien pu dire ... nous avons fait l'amour.
Ce que j'aimais le plus en elle, c'est définitivement sa perversion. Rapidement je n'ai plus pu me passer d'elle et nous avons faisions quotidiennement l'amour. Même quand Martine dormait, je venais la rejoindre sur le canapé. Jusqu'au jour où nous nous sommes fait surprendre par Martine, qui est revenue chercher son agenda.
Elle m'a mise à la porte, ainsi que sa fille, et j'ai dû prendre une chambre d'hôtel le temps de trouver un appartement. L'histoire est un peu plus longue, car Anna ne se contente pas que des femmes et qu'elle aime aussi les pères de ces copines. Parfois elle me fait honte, mais je suis accro de ces aventures. Certaines sont d'une perversion incroyable, je vous les raconterais peut-être ...
Elise