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Proposée le 8/05/2012 par Betty Boobs
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Je pourrais dire qu'il y a quelques mois de cela, j'avais l'emploi idéal. Un excellent salaire, des collègues sympathiques et surtout, un patron très attentionné? J'ai vécu plusieurs moments remarquables, mais j'aimerais vous en révéler un en particulier qui ne pourra jamais s'effacer de ma mémoire.
C'était une journée d'été très humide. J'étais confortablement assise à mon poste de travail, vêtue d'une jupe courte et d'un léger haut qui laissait entrevoir subtilement mes atouts. Ça faisait une heure que j'espérais voir passer mon patron car j'avais quelque chose de très important à lui communiquer, mais malheureusement, il ne se montra pas.
Décidant que j'avais été assez patiente, je décidai de monter directement à son bureau situé au deuxième étage de la compagnie. Comme à l'habitude, je trouvai la porte de celui-ci fermée. Je cognai une première fois sans obtenir de réponse. Je fis une autre tentative lorsque soudain, la porte s'ouvrit d'à peine 1 cm. Je me risquai à entrer et fermai la porte derrière moi.
Au même moment où je m'apprêtais à prononcer le nom de mon patron, quelle ne fut pas ma surprise en le voyant chevaucher une de mes collègues directement sur son bureau ! J'avais son beau derrière nu devant les yeux (oui j'avoue que mon patron me donnait quelques fois des sueurs chaudes) se balançant d'avant en arrière. Je n'osai pas bouger tant le spectacle offert était à la fois excitant et inattendu.
Soudain, ma collègue remarqua ma présence et lâcha un petit cri stupéfait. Mon patron, visiblement excité par ma présence, me pria de verrouiller la porte et de m'approcher de lui. Sur le coup, je ne comprenais pas pourquoi au lieu de se rhabiller en vitesse, il m'invitait à l'approcher. Il glissa sa main dans mes cheveux, m'embrassa tendrement dans le cou, et me susurra à l'oreille de me mettre nue.
Ébahie et à la fois en excitation extrême, je m'exécutai lentement. Il passa sa main douce sur mes fesses et me fit avancer vers ma collègue qui n'avait pas bougé du bureau. Il lui fit signe de s'asseoir et d'écarter les jambes.
Timide au début, car c'était la première fois de ma vie que je me trouvais devant une autre femme nue, et surtout, je n'étais pas trop sûre de la façon dont je devais m'y prendre pour lui donner du plaisir. Je décidai d'y aller doucement, la langue frottant son clitoris bombé d'exaltation. La voyant très émoustillée, je pris ses cuisses à deux mains, et décidai d'y aller un peu plus vigoureusement. Je léchai ses lèvres émoustillées, introduisis ma langue dans son vagin invitant, goûtant ainsi tout son plaisir.
Je remarquai alors que mon patron se tenait juste à côté de moi et se faisait une masturbation très intense. Plus je le voyais jouir, plus j'étais enflammée ! J'avais envie qu'il me prenne par derrière, qu'il m'embrasse, me lèche? De voir son membre ainsi stimulé par moi et ma collègue me donnait une panoplie d'idées dans la tête.
Je relevai la tête, et lui fit signe de s'approcher de moi. Il ne se fit pas prier pour insérer son énorme engin dans ma bouche. Je le pris avec avidité tandis que ma collègue se planta derrière moi pour enfiler ses doigts en moi. Je sentais que ça coulait le long de sa main tellement j'étais dans un état d'extase extrême. À cet instant, je n'avais qu'une seule envie, celle de me faire baiser intensément par mon patron. Celui-ci comprit, me coucha sur le dos et glissa son membre humide entre mes cuisses.
Ma collègue se retrouva à mes côtés, j'en profitai donc pour l'embrasser avec ferveur. Je massai sa langue avec la mienne tendrement, puis avec plus de fermeté. Je palpai ses seins de la main gauche, tandis qu'avec la droite je me frottai énergiquement le clitoris.
À ce moment-là, ma collègue poussa un léger cri d'étonnement car mon patron venait de lui mettre un doigt dans l'anus. Dans un mouvement de va-et-vient énergique, il nous faisait jouir toutes les deux à coup sûr. Je ressentis soudain tout mon corps se cambrer et eut le meilleur orgasme de ma vie. Je pris aussi conscience que mon patron ainsi que ma collègue venaient de venir à bout de leur excitation en même temps que moi ! Nous fûmes tous trois étendus sur le plancher du bureau de mon patron lorsqu'on entendit tout à coup un subtil "toc toc". Mon patron cria d'attendre un instant, tandis qu'il nous embrassa toutes les deux une dernière fois.
Je ramassai mes vêtements en vitesse, et sans un mot, moi et ma collègue sortîmes du bureau, le sourire aux lèvres. Je n'en revenais toujours pas, je flottais, j'étais aux anges.
Ce fût la dernière fois que je vis mon patron et ma collègue car la compagnie déménagea dans une autre ville. Je ne sais pas si mon patron avait agi ainsi car il savait qu'il ne nous reverrait plus, mais pour moi la réponse était sans importance. Cette compagnie m'avait donné une expérience inoubliable?