Dur de rouler en patins -4-

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Proposée le 7/05/2012 par UNPEUPLIER

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Relation incestueuse, merci de ne pas poursuivre la lecture si ce sujet vous offense.



Je me réveille jeudi matin avec une bite encore plus raide, mais c'est, n'est-ce pas ? une habitude quotidienne. Je rêve de la soirée d'hier où ma mère m'a fait découvrir de nouveaux plaisirs dont je n'imaginais même pas l'intensité. Que vont être nos soirées d'ici samedi et le retour de Laurent ? Je n'essaie pas de l'imaginer. Je regarde l'heure, ma mère devrait être partie depuis peu. Je n'ai rien entendu. Pourtant elle entr'ouvre doucement la porte de ma chambre.

- Ah tu es réveillé, dit-elle. Je n'entendais rien.

- Oui, tout juste. Bonjour Maman.

- Bonjour mon chéri. Je t'ai préparé un verre de lait avec une paille et des petits bouts de pain avec beurre et confiture, car je dois partir et te laisser te débrouiller. As-tu bien dormi ?

- Oh oui, comme du plomb. Surtout après le rêve d'hier soir??

- Non, ce n'était pas un rêve. C'était encore mieux.

Elle vient se pencher sur moi pour déposer un baiser sur mon front. En même temps elle soulève la couverture, faisant bondir à la verticale ma verge dans toute sa raideur.

- Ah, je vois dit-elle, Monsieur a bien récupéré. Pour l'instant il va falloir te calmer. Laisse là à l'air pour faire pipi tout à l'heure, quand tu ne risqueras plus d'arroser le mur en face. Je rentre ce midi pour un déjeuner rapide. A tout à l'heure.

Je reste encore dans mon lit quelques minutes, je me lève, je regarde un peu la télé dans la cuisine, que ma mère a laissée allumée. Je finis par débander suffisamment pour pisser sans difficulté. Je déjeune. Et je suis furieux de ne pouvoir rien faire, même pas débarrasser une table. Il est vrai que, si je pouvais le faire, les intermèdes érotiques que me fait vivre ma mère ne se seraient jamais produits. Après tout, je ne le regrette pas. Pourtant ces bras, ces coudes, ces poignets bloqués commencent à me peser sérieusement.

La journée se passe comme les autres, retour rapide de ma mère pour le déjeuner, sans allusion à notre dernière soirée. Il est vrai que la queue toujours à moitié à l'air, puisque je suis incapable d'ouvrir ma braguette, est restée tranquille et n'a pas accroché l'attention.

L'après-midi est longue. Malgré sa promesse Julien et sa s'ur Laurence ne sont pas venua me faire une nouvelle visite (voir épisode 2). C'est dommage, car une petite branlette par Laurence n'aurait pas été désagréable, et peut-être même qu'elle se serait décidée à me sucer. D'un autre côté, je pense à la queue de Julien qui s'est branlé en regardant sa s'ur m'astiquer la bite. Elle était assez sympathique et mon frère m'ayant fait découvrir que sucer une bite n'était pas finalement trop désagréable, et même au contraire que c'était assez excitant, je me dis que j'aurais bien sucé la queue de mon ami Julien pendant que sa s'ur m'en faisait autant. A moins que Laurence ait bien voulu se déshabiller et se faire sucer, voire plus. Et je ferme les yeux en imaginant que Laurence se met à quatre pattes, me présentant son petit cul bien propre. Je la prends en levrette, comme au cinéma et elle pousse ses fesses contre moi pour que j'entre en elle le plus loin possible. Pendant ce temps-là, Julien s'est mis debout les jambes écartées, de part et d'autre des fesses de Laurence. Il me fait face. Sa jolie queue est à hauteur de ma bouche. Je lui happe le gland puis il m'enfonce tout son engin dans la bouche en faisant un lent va et vient, pendant lequel ma langue fait des tours et des tours sur son gland, bien découvert, cueillant les petites gouttes de liquide clair et filant qui témoignent de son excitation.

Après je ne sais plus. Je ne suis pas loin d'éjaculer, rien que par cette évocation érotique. C'est ça je vais lâcher mon sperme dans le chaud vagin, encore bien serré de Laurence. Oui, mais si Julien éjacule, le fera-t-il dans ma bouche ? Ou bien sortira-t-il avant ? Je me dis que je sucerais volontiers un bon copain comme Julien, mais quant à avaler son sperme, c'est moins évident. J'essaierai un jour, peut-être?

Cette discussion avec moi-même, fait tomber un peu mon excitation. Bonne coïncidence, le téléphone sonne. Je pousse du bout du nez le bouton mains libres. Hélas, ce n'est pas Julien qui m'annonce sa visite avec Laurence, mais un centre d'appel qui veut savoir si je suis content de l'installation téléphonique. J'envoie la nana qui commence à me poser une question se faire voir ailleurs.

Je m'installe devant la télé, je manipule la télécommande comme je peux avec mon menton et le bout des doigts. Je regarde un débat passionnant sur le tricotage des capotes anglaises ou des vêtements pour bébé animé par trois bonnes femmes qui rigolent sans arrêt. Ça m'énerve. Du coup je m'endors.

Au réveil provoqué par le retour de ma mère, ma queue est à nouveau au zénith. Elle pose ses paquets sur la table, vient me faire une bise et bien entendu jette un coup d'oeil sur ma virilité amplement dilatée.

- Ça t'arrive parfois de ne pas bander, me demande-t-elle en pouffant de rire.

- Ce n'est pas de ma faute, je me réveille comme cela.

- Pour l'instant, je vais préparer le dîner, j'ai fait quelques courses, c'est pour ça que je suis en retard.

Je regarde la pendule, il est déjà 20h30. C'est vrai que ma mère est le plus souvent déjà rentrée depuis une bonne heure. C'est vrai qu'elle a posé deux sacs bien remplis sur la table. Puis je reviens sur sa dernière phrase: "Pour l'instant'.." Chic, ça veut peut-être dire que tout à l'heure elle s'occupera sans doute de ma grosse queue qui nous nargue à travers l'ouverture de ma braguette. La soirée devrait être intéressante.

En moins de 20 minutes, Maman réussit à nous faire un petit dîner sympathique que nous prenons en tête à tête en discutant de mon futur proche, quand il sera possible d'enlever toutes ces entraves qui permettent à mes fractures de consolider mais qui m'imposent, ce qui devient déprimant, une activité réduite et un isolement relatif par rapport aux copains de lycée. Il est vrai que d'un autre côté les avantages imprévus que j'en ai tirés en étant amené à confier à ma mère et accessoirement à mon frère Laurent, le soin de m'aider pour les actes les plus intimes, m'ont fait découvrir des sensations que ma masturbation quotidienne et un peu tristounette n'avaient pas jusque là révélés pleinement.

Fin du repas, regards distraits sur la télé pendant que Mère en débarrasse les reliefs.

- C'est intéressant me demande-t-elle ?

- Non, pas vraiment.

- Alors, viens faire ta toilette avant que nous couchions.

Que veux-t-elle dire ? "Nous nous couchions," n'est pas une phrase qu'elle a déjà prononcée comme cela. Elle n'a pas rajouté "ensemble", mais n'a pas non plus précisé "chacun de son côté". Je me lève perplexe et à nouveau mon excitation se réveille.

Je passe aux toilettes, puisqu'il le faut, puis dans la salle de bain. Je me laisse déshabiller comme tous les soirs et mon sexe est déjà bien relevé avant même que je sois nu. Maman ne semble pas le remarquer (elle dissimule bien, ou elle a déjà pris l'habitude). J'enjambe bientôt le rebord de la baignoire. La douche bienheureuse et tiède s'étale sur moi, je suis savonné de fond en comble, sans qu'aucun centimètre ne soit épargné, mais sans qu'on s'attarde plus ici plutôt que là. L'éponge glisse sur la peau du dos, de mon ventre, descend le long de ma queue, s'insinue sous mes testicules, remonte entre mes fesses et continue son chemin laissant derrière elle ses épaisses traînées de mousse. Tout mon corps en est bientôt couvert. Puis l'éponge est lâchée, la main nue s'empare de ma bite pour en fignoler le nettoyage, mais très rapidement, sans chercher l'émotion érotique. Le jet d'eau fait disparaître les bulles de savon.

- Sors, me dit-elle en me présentant mon peignoir de bain. Je vais te sécher.

Très rapidement, je me retrouve avec ma brosse électrique dans la bouche pour une toilette dentaire sommaire, puis renvoyé dans ma chambre, nu comme un ver,

- Je viens te rejoindre avec un pyjama propre. J'en ai pour quelques minutes.

Ma mère vient encore de changer de scénario, mais pour l'instant la fin du film m'échappe. Je me glisse dans mon lit et imagine ce qui se passe dans la salle de bains pleine de vapeur, en traduisant les sons que j'entends.

D'abord un petit jet de chasse d'eau, puis la douche qui coule. Je m'imagine l'éponge imbibée de savon, se mettant à fabriquer sa mousse qui recouvre d'abord le cou et les seins, autour desquels elle tourne, puis s'attarde sur les mamelons tendus. Un passage sur chaque bras, puis l'éponge descend sur le ventre, inondant le nombril de savon, qui coule doucement vers les poils du pubis qui jour après jour m'ont semblé de plus en plus raccourcis. La main qui tient toujours l'éponge s'infiltre entre les cuisses qui s'écartent en pliant légèrement les genoux, et étale le liquide parfumé entre les lèvres intimes se mélangeant avec la légère sécrétion naturelle. Elle atteint l'anus qui se contracte au contact. Puis elle fait le tour du bassin, et s'étale largement sur les fesses délicieusement rebondies. Avec les deux mains, l'éponge s'allonge et viens se frotter sur le dos.

Puis un pied posé sur le bord de la baignoire, puis l'autre, les deux jambes bénéficient également d'une toilette complète. Je profite de la position pour regarder en l'imaginant, la chatte largement ouverte par cette position.

J'entends les variations de la douche maniée à la main, qui rince ce corps bien chaud et parfumé. Puis le bruit de l'eau s'arrête. La serviette et le peignoir sèchent silencieusement. J'imagine le frottement du coton qui rosit la peau adoucie par l'eau chaude, le brossage des cheveux. Ah, on rouvre un robinet, le temps d'un brossage de dents. Un bruit de flacon que l'on pose, une armoire claque sa porte, on a versé quelques gouttes d'eau de toilette sur le cou et sous les seins. Un interrupteur s'éteint dans la salle de bains, un autre se rallume dans la chambre maternelle. Serais-je oublié ? Non pas. Des pas feutrés se rapprochent, ma porte s'écarte et un sourire sur les lèvres barrées par un doigt vertical m'imposant le silence, ma mère se présente à moi, vêtue, si l'on peut dire, d'une nuisette blanche, transparente comme une véranda, s'arrêtant très, très au-dessus des genoux, si vous voyez ce que je veux dire, et largement ouverte sur le dessus des seins. Magnifique ! Je ne l'avais jamais vue; Peut-être un achat de ce soir. Elle a, par contre, omis de prendre le pyjama promis, mais pour l'instant je n'en suis pas préoccupé.

Elle s'approche de mon lit.

- Fais-moi une petite place dit-elle.

Elle s'infiltre à mes côtés, la nuisette remonte et je sens son corps chaud, tourné vers moi, collé contre le mien, ses seins posés sur mon épaule, son ventre contre ma hanche, une jambe infiltrée entre les miennes. Nous restons immobiles quelques minutes laissant monter le désir. Le mien est évident, ma queue est bien plus dure, qu'un pylône en béton. Je sens que la respiration de ma mère s'accélère peu à peu.

Soudain elle glisse sa tête sous le drap et vient à la rencontre de mon pal érigé. Elle gobe mon gland, le parcourt de sa langue voluptueuse, absorbe toute la longueur de mon désir synchronisant le mouvement de ses lèvres avec celui de sa main qui me branle en même temps. Je savoure cette merveilleuse fellation qui ne saurait se prolonger trop longtemps sans voir jaillir mon sperme inépuisable d'adolescent.

Quittant cette divine sucette avec regret, elle remonta à ma hauteur, se met sur le côté (il est vrai que mon lit est étroit), me présentant, la douceur, la souplesse, la rondeur d'un fessier confortable et m'engage à me tourner de son côté. Elle écarte les cuisses, passe sa main pour attraper ma queue qui se vautrait entre ses globes parfaits et l'introduit doucement dans une chatte, humide, chaude et accueillante en poussant fortement ses fesses vers moi, pour que l'introduction soit la plus profonde possible.

Elle dirige d'abord le mouvement, fait de lents va-et-vient, tandis que sa main posée entre ses cuisses, et que je sens au contact de ma verge, contribue à son plaisir en excitant son bouton gonflé et saillant. Puis,

- Pousse fort, me dit-elle dans un souffle,

Et le mouvement s'accélère, elle recule fortement ses fesses, comme si elle voulait que je m'introduise en elle en totalité, je pousse, comme si je voulais entrer mon membre, mes couilles et tout mon corps dans sa grotte hospitalière. Nous respirons de plus en plus fort, nous crions bientôt, et avec une simultanéité rare, nous explosons notre orgasme dans le même temps. Très fort. Cela a été encore très fort, et, me semble-t-il, encore plus fort que lors de nos expériences précédentes. Après avoir été comme suspendus en lévitation au-dessus du matelas à l'acmé de notre plaisir, nous retombons, moi toujours en elle, sur le drap et nous restons, collés l'un à l'autre, silencieux, savourant le bonheur du moment présent. Ma queue gluante et glissante, en s'affaissant semble vouloir sortir de son nid douillet. Dans le demi-sommeil qui m'envahit, j'esquisse quelques mouvements alternatifs, espérant faire redurcir mon organe favori pour qu'il ne s'échappe pas de son gîte.

- Ne bouge plus, me dit ma mère. Reste juste bien collé sur moi. Puis elle ajoute, je vais te faire des confidences, comme ça sans te voir, mais en te sentant très fort contre mon corps. Ça me donne le courage d'en parler.

- Je t'écoute, ma petite maman.

- As-tu remarqué un changement physique en moi depuis, disons ton retour de l'hôpital ?

- Non, pas vraiment. Tu es toujours belle. Et j'ajoute en plaisantant, la nuisette d'aujourd'hui, je ne l'avais jamais vue.

- C'est exact, je l'ai acheté pour toi ce soir. Elle te plaît ?

- Je dirais plutôt que c'est toi qui me plais avec cette nuisette, mais aussi sans elle, dis-je en osant une allusion à sa magnifique nudité.

- Coquin, va ! Je vais te raconter ce qui m'arrive. Moi qui au travail, dans l'entreprise n'avais jamais été draguée, peut-être à cause de mon âge, de ma positon auprès du patron qui fait sans doute peur aux autres, bref je n'y pensais même pas, voilà que deux collègues m'ont fait des avances cette semaine.

- Ah bon !

- Quoi, ça t'étonne ?

- Non, non, pas du tout, ce qui m'étonne c'est que tu n'étais pas draguée jusque là.

- Donc le premier est un comptable, un peu plus âgé que moi, à qui je n'adressais la parole que vraiment sur le plan professionnel. Depuis 8 jours, il est venu 3 ou 4 fois dans mon bureau, pour des prétextes futiles et s'y attarde en me parlant de choses banales, sans importance, mais en me reluquant avec intensité, comme en me déshabillant de ses yeux. On dirait qu'il fait un effort pour mieux s'habiller et se parfume avec des eaux de toilette masculines, que je n'avais jamais senties sur lui.

- Bon, tout ça n'est pas méchant et plutôt flatteur. Il est employé depuis longtemps ?

- Oh, ça fait bien dix ans.

- Oui, c'est étonnant que ça lui prenne tout d'un coup, mais c'est sans doute une coïncidence.

- Peut-être, mais ça n'explique pas le second. Mais avant de t'en parler, je termine avec le premier. En fait ce soir, j'avais terminé mes courses au supermarché pas si tard que ça, et en revenant vers ma voiture, je le vois qui me fait signe, vient vers moi et s'offre à m'aider pour mettre mes paquets dans le coffre. Il évoque le hasard de notre rencontre et me propose, pendant que nous ramenons le caddie dans son abri, de prendre un pot en sa compagnie. J'accepte, intrigué par cet intérêt subit, d'autant que je constate qu'il n'a aucun paquet et que peut-être, il m'a suivi dans ce supermarché et attendu jusqu'à ce que je revienne vers ma voiture. Bref, on va s'asseoir dans la cafétaria et il commence un baratin, me disant qu'il m'a toujours trouvé séduisante, mais inaccessible et que sans savoir pourquoi, il avait soudain le courage de me parler en dehors du boulot. Puis il me raconte que depuis le départ de sa fille du foyer familial, sa femme s'est éloignée de lui, ne lui adresse presque plus la parole, qu'ils n'ont plus d'intimité (il m'a dit ça en rougissant d'une manière touchante), qu'elle refuse de passer des vacances avec lui, et qu'elle le laisse libre de ses soirées, de ses jours de repos. Bref, ils divorceraient bien, mais comme elle ne travaille pas, il devrait verser une lourde pension ne serait-ce que pour qu'elle se loge, donc financièrement, lui-même désirant garder sa grande, mais coûteuse maison familiale, leur intérêt commun est cette cohabitation frustrante. Il m'avoue qu'il aimerait bien une liaison régulière et que si je voulais, je pourrais faire l'affaire, parce que jusqu'ici il n'a trouvé personne qui lui convienne et à part des relations très passagères, il m'a avoué avec franchise qu'il trouvait plus simple de s'offrir des amours tarifiées, plutôt que de faire des efforts, d'ailleurs aussi coûteux, pour faire tomber des femmes qui ne lui plaisent qu'à moitié dans son lit, sans qu'il y ait beaucoup de lendemain.

- Ben dis donc, il t'a fait une vrai confession, mais qui te dit que ce n'est pas du baratin pour te draguer comme les autres ?

- C'est vrai qu'il a l'air sincère, mais pourquoi aussi s'intéresser à moi, maintenant alors qu'on se côtoie depuis des années, sans qu'il ne m'ait jamais baratiné ?

- Tu crois que depuis une semaine que nos rapports sont devenus ce qu'ils sont, il s'aperçoit de quelque chose qui l'émoustille ?

- Je ne sais pas, mais curieusement il n'est pas le seul.

- Ah oui, tu m'as dit qu'il y avait un second.

- Et en plus il est lui bien plus jeune que moi. C'est un informaticien d'une trentaine d'année qui gère tous les ordinateurs de l'entreprise et corrige nos bêtises ou celles des fournisseurs. Bref c'est le mec touche à tout dans ce domaine et qui connaît tout le monde. Il a eu un gros problème il y deux ans en perdant sa femme d'un accident de voiture, restant seul avec un gamin de 4 ans. Il arrive à se débrouiller, assume son gamin qui va en classe et on ne lui connaît pas, pour l'instant de liaison féminine. Pas besoin de te dire qu'il apparaissait comme inconsolable. Sa femme était une splendeur, lui d'ailleurs est aussi très beau, le couple était très uni. Bref, la catastrophe. Evidemment, toutes les femmes de la boîte l'ont un peu chouchouté pour essayer de le consoler. Tout le monde l'embrasse quand il arrive, cherche à l'aider, on fait des cadeaux à son gosse qu'il emmène parfois pendant les vacances et qui reste très sagement derrière un ordinateur en attendant son papa. Depuis une semaine, il vient sous un prétexte ou un autre, tous les jours dans mon bureau. Au lieu de me faire une petite bise amicale comme d'habitude sur la joue, il m'embrasse sur les deux joues et à deux reprises, ses lèvres ont glissé et effleuré le coin des miennes. De plus sa main au lieu de simplement se poser un court instant sur mon épaule, la caresse et descend vers mon sein qu'il a vraiment empaumé hier.

- Bah, c'est peut-être un hasard. Il ne t'a pas fait de déclaration, lui.

- Non, pas encore, mais ce matin, il vient dans mon bureau et étale devant moi un grand tableau de chiffres qu'il propose de me commenter. Il a imprimé ça sur une très grande feuille qui sort d'une de nos imprimantes professionnelles qui peuvent imprimer des affiches. Pour bien voir je suis obligée de me mettre debout. Il se met derrière moi et se penche pour me montrer avec une règle les cases intéressantes. Je me rends compte que ce faisant son ventre repose sur le bas de mon dos. Au bout de 30 secondes, quelque chose de dur nous sépare. Il s'était mis à bander, mais au lieu de se reculer, le voilà qui appuie fortement sur mes fesses me faisant bien sentir son excitation. C'est vrai, je n'ai pas bronché. Il a fini sa démonstration, s'est reculé et a poussé un très gros soupir. J'ai baissé les yeux sur sa braguette, déformée par la grosse bosse que faisait son sexe. Il a souri, comme s'il était fier de lui, en tout cas pas l'air gêné du tout. Il a repris son tableau, m'a dit à bientôt en m'envoyant un baiser du bout des doigts. Jamais jusque là, il n'avait eu cette attitude avec moi. Qu'avais-je pour qu'il soit tout à coup, si entreprenant ? Tu vois, mon chéri, notre aventure déclenchée par ta blessure a sûrement modifié en moi quelque chose. J'ai recherché et j'ai découvert les propriétés des phéromones.

- Des quoi ?

- Phéromones. Ce sont des substances chimiques que nous secrétons, très clairement fonctionnelles chez les animaux, mais que les hommes ou les femmes secrètent également et qui induisent chez les autres une attirance sexuelle que tout le monde ne ressent pas de la même façon. On peut être sensible aux phéromones de quelqu'un, mais pas à celles de quelqu'un d'autre. Ça pourrait expliquer l'attirance réciproque entre deux personnes ou a contrario, une absence d'attirance de certains envers d'autres, qui ne sont pas plus moches. J'ai lu que selon son activité sexuelle, on pouvait secréter plus ou moins de phéromones. Grâce à toi, j'en secrète sans doute plus et j'ai ainsi attiré sexuellement, à leur insu ces deux hommes.

- Je ne connaissais pas cette théorie. Pourquoi pas ? Et maintenant que vas-tu faire s'ils continuent leurs avances.

- Je ne sais pas encore. J'ai de la sympathie pour tous les deux, même si je préfère sans doute mon jeune et bel informaticien. Mais cela dépend de toi. Serais-tu fâché et' jaloux, si je répondais aux avances de l'un ou de l'autre, parce que, maintenant que j'ai recommencé ma vie de femme, je n'ai plus l'intention de l'interrompre à nouveau. Comme, raisonnablement entre nous ça ne peut pas, ça ne doit pas se prolonger outre mesure, je serais amenée à choisir.

- Maman chérie, nous pouvons continuer encore longtemps nos jeux que j'aime tant, mais c'est vrai que quand j'irai en fac tout cela va finir par cesser. Moi je ne vois pas d'inconvénients à ce que tu choisisses l'un ou l'autre s'ils te plaisent et pourquoi pas les deux ? Je ne veux, pour toi aussi que ton bonheur. Si tu venais ici avec l'un deux, je serais heureux de faire sa connaissance et je vous laisserai faire ensemble tout ce que vous voulez.

En réalité, en prononçant ces paroles, je pense que ça m'embêterait beaucoup si Maman couchait avec un autre type dans sa chambre, pendant que je resterais seul dans mon lit. Aussitôt, je fantasme en me voyant participer à leurs ébats. Mais je me dis qu'il ne faut pas précipiter les choses. Et dans mon orgueil de mâle, je suis fier d'avoir rendu Maman plus désirable. Ces pensées, qui suivent notre conversation un peu scabreuse, font peu à peu gonfler ma bite insatiable. Elle est bien encastrée entre les deux fesses de ma mère, qui la sent, bien entendu, et qui vient vérifier de sa main cet état intéressant.

- Puisque tu es dans ces bonnes dispositions, je ne vais pas te quitter tout de suite. Mets-toi sur le dos et laisse-toi faire.

Ma mère se redresse alors, la nuisette légère remontée jusqu'à la ceinture. Elle s'accroupit au-dessus de mon visage, regardant le pied du lit et vient poser son adorable minou sur ma figure. J'ouvre la bouche, ma langue pénètre facilement entre ses lèvres les plus intimes. Je recueille son liquide et découvre le goût de mon sperme qui s'y est mélangé. Ce cocktail me paraît délicieux. Elle frotte tous ses orifices sur mon visage, sur ma bouche qui ne sait plus où donner des lèvres, où donner de la langue. Lorsque j'étouffe à moitié, mon nez écrasé par son poids ou enfoui dans son vagin que je hume avec délices, elle se relève un peu pour que je survive.

Puis, ayant profité pendant plusieurs minutes des caresses buccales que j'ai essayé de lui prodiguer pour son plus grand plaisir, mais aussi pour le mien, elle se penche en avant, gardant son sexe à hauteur de ma bouche et vient gober, ma queue dure et dressée contre mon ventre. Elle la pompe avec une énergie presque désespérée, tout en me branlant vigoureusement d'une main, l'autre lui permettant de tenir la position. Je redouble de vigueur pour sucer, lécher, mordiller ses chères chairs, son clitoris saillant, ses petites lèvres succulentes, pour enfoncer au plus loin dans son vagin, ma langue que j'allonge au maximum, pour titiller de ma bouche son petit trou plissé, quand ses mouvements rythmés l'amènent à son niveau.

Au bout de quelques minutes où je me sens au paradis, les petits cris et les halètements qu'elles poussent m'indiquent que nous sommes proches de l'instant du plaisir absolu. Ma bite est tendue, je sens mon sperme à nouveau prêt à jaillir. Plus aucun frein ne me retient et j'expulse quelques grosses gouttes qui se sont reformées rapidement. Ma queue reste bien au chaud dans sa bouche et elle continue à la lécher avec douceur. Elle frotte une dernière fois son clitoris sur mes lèvres et se retournant à moitié, elle bascule sur mon lit, gardant toujours mon sexe dans la bouche, me libérant du poids de son corps sur le mien. J'enrage de ne pouvoir utiliser mes mains pour de tendres caresses.

Elle finit par abandonner ma sucette et s'exclame :

- Fantastique. Tu as été fantastique. Mon Dieu, qu'est-ce que je me sens bien.

Après quelques minutes où elle se contente de malaxer avec une infinie douceur mes couilles, tout en les bécotant de temps à autre, sachant que mon gland est encore douloureux au contact, ma mère se lève, et me fait admirer ses fesses sublimes sur lesquelles sa nuisette retombe doucement, sans rien me cacher de leur rondeur. Elle va chercher dans la salle de bains un gant humide et une serviette pour une petite toilette sommaire, puis elle m'aide à enfiler mon vêtement de nuit. Avant de me quitter, elle pose un long baiser sur mes lèvres, force ma bouche avec sa langue pour y déposer une goutte de salive mêlée à mon sperme et repart dans sa chambre me laissant en tête à tête avec mon sommeil qui remporte la partie en moins de 5 minutes.

A mon réveil, elle, dont le dynamisme et le tonus forcent mon admiration, est déjà partie, m'ayant laissé de quoi déjeuner. Je récupère des fatigues bienfaisantes de la veille en me prélassant en pyjama.

Vers 13 h nous déjeunons rapidement sans évoquer nos occupations et préoccupations de la veille, puis pareille à toutes les après-midi celle-ci se passe longue et monotone. J'attends ma surprise du soir en vain.

- On va se coucher tôt aujourd'hui, pour mieux accueillir Laurent demain.

C'est vrai que mon frère revient demain. Rien n'a été promis quant à sa demande que j'ai pu transmettre, pour que Maman participe comme quand nous étions enfants à notre douche, avec à l'époque une attention buccale toute particulière à notre petit zizi. Elle n'a dit ni oui, ni non, mais j'ai cru comprendre qu'elle n'était pas hostile. Nos soirées à deux font penser que ce samedi soir sera grandiose, surtout si elle souhaite se reposer avant.

Effectivement, notre conduite est, ce soir, platonique. Au moment de la douche, j'ai bien mon érection habituelle, mais je sens que ça n'ira pas plus loin. Je suis savonné, rincé, habillé sans aucun geste qui puisse m'exciter davantage. Néanmoins, petite provocation de sa part peut-être, ou promesse implicite, elle se met nue pour m'aider sous la douche, ce qui renforce la dureté de ma bite et me permet d'admirer sans pouvoir toucher. Un coup d'oeil sur la télé avant de nous coucher, sagement chacun dans sa chambre pour finir cette journée.

Demain, avec la venue de Laurent, est un autre jour?