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Proposée le 5/05/2012 par CAVAL
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Résumé : Elodie et Hervé, fervents adeptes du naturisme forment un couple très amoureux. Ils viennent d'avoir un deuxième enfant.
Ils pratiquent avec Bénédicte et son compagnon François le mélangisme, échangisme et toutes les turpitudes qui s'y attachent. Les hommes comme les femmes ne rechignent pas devant des étreintes homosexuelles.
Elodie qui est infographiste indépendante et qui travaille chez elle, le plus souvent nue, vient d'embaucher une jeune fille, Amandine, qui elle aussi est naturiste.
CHAPITRE XXVIII
Photos
Amandine n'était pas au courant des soirées libertines que nous passions avec Bénédicte et François. Je me voyais mal convier mon employée à nos turpitudes. Cela n'aurait peut-être pas déplu à ma maîtresse de faire venir mon assistante dans une de nos soirée pour « l'initier ». Elle la trouvait mignonne et nos hommes, eux-mêmes, n'auraient pas dit non. C'est vrai qu'elle était fort jolie encore auréolée de sa prime jeunesse, tout en ayant déjà le corps d'une femme. Cependant, je m'y étais opposée.
Je partageais avec elle beaucoup plus que des relations professionnelles. Déjà rien que le fait de se retrouver à travailler nues toutes les deux, dénotait autre chose pour nous : nous aimions le naturisme, nous aimions être nue le plus souvent possible, donc nous en profitions au maximum. Cela nous permettait de développer une activité studieuse avec une décontraction complète.
Le premier jour où elle a pris ses nouvelles fonctions, je l'ai reçue nue. Me voyant ainsi, elle fit glisser sa robe sans la moindre hésitation. Elle portait comme seul sous-vêtement un string qui rejoignit vite son premier vêtement. Elle était ainsi aussi nue que moi, mais connaissant nos corps, ayant passé une partie de l'été ensemble et déjà dévêtues, il n'y avait entre nous aucun voyeurisme, aucune curiosité pour découvrir l'anatomie de celle qui était en face.
Nous avions également des discutions qui dépassaient largement le cadre purement professionnel, comme l'aurait fait deux copines. Si nous n'avions pas été nue du matin jusqu'au soir, elle n'aurait sans doute jamais osé se confier ainsi à moi :
- J'ai un nouveau copain depuis deux mois.
- Et tu t'entends bien avec lui.
- Je crois que je l'aime, mais je ne peux pas dire que ce soit une relation qui m'épanouisse réellement'
- Comment cela ?
- Sexuellement parlant, je ne jouis pratiquement jamais avec lui. Ce n'est pas qu'il ne fasse pas bien l'amour ou qu'il éjacule trop tôt, mais j'ai toujours l'impression que c'est son plaisir qu'il fait passer avant tout sans se soucier de moi. Il fait son affaire, il jouit et c'est le clap de fin.
- Tu lui en as parlé ?
- Oui, mais ça n'a rien donné. Il m'a dit que c'était dans ma tête et que c'était normal qu'une fille ait moins de plaisir que le mec dans l'acte.
- Quel con !
- Aussi, lorsqu'il me sodomise, c'est toujours douloureux et je n'y prends aucun plaisir. Il a beau me lubrifier le cul. Pourtant, j'appréciais beaucoup ça lorsque mon Hollandais l'avait fait. Il a également voulu qu'on fasse l'amour à trois, avec une amie à lui (je pense que c'est une de ses anciennes copines) qu'il m'a présenté comme étant bi. J'ai accepté me disant que j'allais certainement prendre du plaisir? et par amour pour lui surtout.
- C'est plus pour lui que pour toi que tu as accepté ; pour lui faire plaisir.
- C'est vrai. Pourtant, l'amour avec une fille ne me dérange pas depuis l'épisode avec Florence. Mais ça n'a pas été concluant. J'étais pratiquement là pour tenir la chandelle. Il ne s'est occupé que de la fille, moi j'étais là pour lui sucer la queue, caresser la fille et les regarder faire. Il l'a prise dans tous les sens et moi, à aucun moment. Heureusement que la fille s'occupait un peu de mon sexe, sinon il y aurait eu un grand vide. Après je lui ai dit le malaise que j'avais ressenti, il a encore répondu, que je ne voyais pas les choses comme lui. Alors par défi, je lui ai proposé de faire ça avec un autre mec. Je ne te dis pas ce que j'ai pris' en parole, non il ne me frappe pas. Mais le trio avec un mec, c'était hors de question : seules les nymphomanes ou les perverses acceptent deux mecs ensemble dans leur lit. En plus, il me semble que ça le dérangerait d'avoir une autre queue si prêt de la sienne. Les homos, ça le gêne pas mal.
- Je connais ce genre de mec.
- Hervé aussi il ne supporte pas les gays ?
- Non, un petit ami que j'ai eu et que j'ai vite abandonné d'ailleurs. Il ne supportait pas non plus d'être entouré de queues dans les lieux naturistes.
- Bah justement, pour couronner le tout, il n'est pas du tout naturiste. J'ai essayé d'amorcer la question, mais il a déclaré que « ces gens tous à poil, ils doivent avoir un grain dans la tête, ce n'est pas possible ! » Il ne sait même pas comment nous travaillons ensemble, en restant nues' je n'ai pas osé lui dire.
L'été suivant, Amandine partit en vacances de son côté, et moi du mien avec Hervé et notre couple d'amis. Le programme était assez simple : une semaine de naturisme et de jeux sexuels en tout genre entre adultes, puis deux semaines de naturisme familial avec mes deux enfants, après les avoir repris chez leurs grands parents avec lesquels ils avaient pu vivre également nus. Nos parents, à Hervé et à moi, ne savaient pas nos pratiques d'échangisme, je ne me voyais pas m'en ouvrir à ma mère et mon mari restait lui-même discret. Ils savaient seulement que nous désirions restés seuls, sans les enfants, pendant au moins une semaine chaque été.
Et en tant que grands-parents, c'était une joie d'avoir leurs petits enfants avec eux.
A la rentrée en septembre, je retrouvais Amandine. Je vis tout de suite que ses vacances n'avaient pas été naturistes. Lorsqu'elle se déshabilla, elle portait les marques d'un maillot de bain, son petit cul n'avait pas pris le soleil. Elle se confia rapidement à moi :
- Je me suis dite qui si j'amenais mon copain sur une plage naturiste, il changerait d'avis sur la nature de cette pratique. Lorsqu'on est arrivé, il a tout de suite vu que tous les gens étaient nus. Il m'en fit la remarque. Je lui ai dit qu'on pouvait peut-être essayer. Il m'a alors rétorqué que je ne serais même pas cap de me foutre à poil. Je lui ai alors dit que j'avais déjà pratiqué le naturisme et que je lui demandais seulement de faire une tentative, il verrait que c'est super? Il n'a rien dit, par surprise je crois. Nous nous sommes installés, j'ai retiré mon maillot le plus naturellement du monde. Il était un peu gêné. Il était resté en maillot, alors je lui dis :
- Tu ne te déshabilles pas ?
- Non, mais il est hors de question que je mette à poil ainsi en public ! Déjà ça ne me plait pas que tu t'exhibes ainsi, que tout le monde regarde ma nana à poil, c'est déplaisant !
- Mais qui nous regarde ? Personne.
- Oui, ils ont tous le regard en biais les mecs. J'en suis certain.
Je le laissais à ses grommellements et allais me baigner. En revenant, il était vert de rage de m'avoir vue traverser la plage à poil sans que cela me gêne et d'avoir croisé deux mecs dans le plus simple appareil qui eux allaient à l'eau.
- Ce n'était pas une bonne idée de le forcer comme cela la main.
- Non, ce n'était pas la bonne idée. Donc le reste des vacances, nous sommes allés sur les plages bondées où les textiles s'entassent. Je restais topless, même si parfois cela me gênait : les regards masculins sur ma poitrine dénudée étaient parfois tellement insistants, qu'ils en étaient gênants. Je ne peux pas dire que j'ai passé d'excellentes vacances.
- Et tu en es toujours amoureuse ?
- Oui, je l'aime. Je ne saurais dire pourquoi, car je ne pense pas que ma vie soit totalement épanouie avec lui, mais je ne me vois pas le quitter. Peut être la peur de me retrouver seule, de ne pas trouver un autre mec'
- Mignonne comme tu es, tu n'as rien à craindre, tu retrouveras un amoureux dans la seconde qui suit. Mais tu es libre de faire ce que tu veux et je ne voudrais pas juger ta vie, ni la diriger.
Un jour, revenant de chez un de mes clients, je découvris Amandine devant mon ordinateur, regardant des photos. Elle ne m'avait pas entendu rentrer et je m'aperçus qu'il s'agissait de clichés pris par mon mari sur lesquels j'étais nue? mais aussi prenant des poses très suggestives, où j'étais vraiment très chienne, très salope. Sur certaines ne je me branlais, entrant dans ma fente un ou plusieurs doigts, j'ai toujours aimé de toucher ainsi, même lorsque dans ma vie j'avais un homme avec lequel je m'épanouissais.
La masturbation est une chose divine, et avec Hervé nous avions pu découvrir de nouveaux jeux autour de cette pratique normalement solitaire. Nous nous mettions en face l'un de l'autre et nous nous masturbions ainsi sous le regard de l'autre. Cela nécessite une grande complicité, car on ressent une certaine gêne à se présenter à l'autre avec un doigt dans le sexe largement ouvert, ou pour l'homme tenant sa trique et faisant aller sa main dessus. Mais lorsqu'on s'aime, on accepte ce jeu et on y prend plaisir, exacerbant le désir mutuel.
Donc c'était ces photos très privées que visionnait mon assistante. Elle avait dû regarder également une ou deux séries où on me voyait faire l'amour avec Bénédicte (prise par mon mari) ou avec Hervé (prise par Bénédicte) ou avec Fred. Ces clichés étaient très chauds, d'une sensualité débordante. Mais ils étaient très loin de ce qu'on peut voir un peu partout, où la femme devient un objet. Non sur l'écran, lorsque je regardais ces images, je me trouvais femme, réellement, mon corps exhalait ma féminité et je me sentais aimée, désirée par mes partenaires. C'était une sorte d'hommage à la beauté du corps féminin et où j'acceptais de me montrer sans fard. Ce n'était pas de la pornographie pure, c'était aussi de l'amour avec une femme ou avec un homme.
Pourtant, ces photos n'avaient pas pour but d'à être vues par d'autres personnes. Car, selon moi, on ne pouvait restreindre ma personnalité à ces clichés sur lesquels je dévoilais ma nudité et une partie de ma sexualité.
J'étais restée quelques instants devant la porte à regarder ma jeune collaboratrice qui regardait très attentivement l'écran où défilaient les images. Comme à l'accoutumé, elle était nue devant cet écran, les pointes de ses seins jaillissaient de la rondeur de sa poitrine. Je constatais qu'elle était entrain de se branler.
J'entrais enfin dans la pièce en lui disant :
- Qu'est-ce que tu fais, tu n'as pas à regarder ces photos !
Elle se leva et ne savait plus où se mettre, peut être plus gênée que moi-même, alors qu'intérieurement, cela me dérangeait qu'elle ait vu ces photos qui faisaient partie de mon intimité.
- Je suis tombée par hasard sur ce fichier.
- Voyant ce qu'il contenait, tu aurais dû le fermer immédiatement.
- Les photos étaient' tellement belles, qui je n'ai pu que les regarder.
- Tu n'es pas là pour me regarder faire l'amour avec mon mari? ou d'autres personnes, cela ne te regarde pas.
- Te voir prendre tant de plaisir avec Hervé ou avec cet autre homme ou avec cette fille? Tu es tellement belle sur ces photos. Tous ceux qui sont là sont magnifiquement beaux faisant l'amour. C'est d'une terrible sensualité avec beaucoup d'amour. Tu es belle Elodie, mais ton amie, cette fille, elle est magnifique aussi.
- Et les hommes ?
- Ils sont superbes. Je ne pensais pas qu'Hervé?
- Ait une si grosse queue lorsqu'il bande, c'est ce que tu penses, n'est-ce pas ?
- Oui. Excuse-moi, je t'en prie?
J'aurais dû être sévère, mais j'en étais incapable. Je ne sais pourquoi, alors que cela ne m'était jamais arrivé, je me sentis attiré par cette jeune fille qui nue devant moi ne savait que faire. Je ne pouvais me défaire de l'idée que je la désirais.
Jusqu'à ce jour, je l'avais trouvée belle, mais comme n'importe quelle fille ou n'importe quel mec, sans avoir d'autres idées que d'envisager un beau et jeune corps. Mais là, c'était autre chose, de la voir la tête baissée, les mouvements gauches, elle ne tenait pas en place et ses deux beaux seins se déplaçaient au gré de ses mouvements, son ventre était plat et dessous son sexe dénué de tout poil apparaissait bien ; comme elle venait de se branler, les lèvres étaient largement ouvertes et on voyait y perler des gouttes de cyprine. Je ne pouvais dégager mon regard de cette jeune chair qu'il me fallait toucher.
Je me déshabillai comme je le faisais à l'accoutumé et lui dit :
- Viens t'asseoir près de moi, ici, sur le canapé.
Elle s'exécuta.
- Pourquoi as-tu regardé ces photos, elles sont privées. Si tu as besoin de voir des personnes qui baisent, tu trouveras tout ce que tu veux sur Internet.
- Ce n'est pas du tout la même chose, là ce sont des photos d'amour, tandis que sur Internet, ce sont des photos pornos où la fille est prise par un ou plusieurs mecs avec toujours beaucoup de violence. Non là, c'est totalement différent : tes partenaires, la fille, l'autre mec, comme ton mari, te font l'amour avec douceur et tu prends réellement du plaisir, cela se voit. Tu en donnes beaucoup aussi. Mais même le photographe prend les clichés avec délicatesse, avec amour même. Certaines photos sont chaudes, elles sont même très osées, mais jamais dégradante.
- Comme tu en parles bien, lui dis-je. Jamais une femme ne t'a fait l'amour ainsi ?
- Non, avec ma cousine, ce fut agréable, mais même si elle m'a initiée, je ne peux pas dire que j'ai pu suffisamment pratiquer pour connaitre tout de l'amour saphique.
- Et les hommes, t'ont-ils donné du plaisir ?
- Oui, mon premier amant, le Hollandais. Un autre aussi qui m'a donné beaucoup de plaisir, mais ce ne fut que l'aventure d'un soir. Il collectionnait les filles et lorsque j'ai couché avec lui, je le savais. Il n'empêche, qu'il baisait divinement bien et qu'il était beau comme un dieu. Avec lui je suis montée à l'Olympe. Mais depuis, c'est assez décevant' Je ne parle pas de mon mec actuel où c'est plutôt le calme plat. Avec lui, c'est rare lorsque je jouis véritablement et en plus, je serais beaucoup plus disposée que lui à faire l'amour, mais il est de plus en plus tiède.
Je me rapprochai d'elle, la pris dans mes bras. Je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Ma main se posa sut son épaule, glissa sur son bras, jusqu'à sa hanche. Je pris ses lèvres et forçai sa bouche en y lançant ma langue. Amandine n'osait rien dire et me laissait faire. Elle ne comprenait pas bien quelles étaient mes intentions ; elle venait de commettre une faute et s'attendait plus de ma part à encaisser une sanction qu'à recevoir des caresses et des baisers.
Moi, je ne pouvais que profiter de ce beau et jeune corps à ma merci.
Je me reculai pour la regarder, mes yeux allant de ses pieds à sa tête en insistant sur son sexe glabre et ses nichons dressés. Elle semblait tétanisée devant moi qui la contemplais. Ses seins étaient un peu plus gros que les miens sans être énormes, ils étaient fermes et ne pendaient pas du tout. Je me rapprochai à nouveau d'elle pour la serrer contre moi. Je collai ma poitrine contre la sienne et passai mes bras autour d'elle pour mieux l'étreindre.
- Tu es superbe toute nue, lui dis-je, j'adore tes seins on dirait des petites melons.
Je lui caressais tout doucement ses adorables nichons et elle frémit.
- Tu as peur ?
- Non. C'est agréable.
Je continuais donc à la caresser parcourant son corps à la peau douce. Elle approcha sa main de ma poitrine, mais la retira avant même de m'avoir effleurée. Je l'encourageai donc pour qu'elle poursuive sa tentative :
- Vas-y, touche-moi.
Elle approcha une nouvelle fois sa main de mon corps, voulant éviter toute hésitation, je la pris et la posai sur mon sein. Le moment était doux et d'une rare sensualité.
Cependant, je ne voulais pas en rester là. Je voulais découvrir sa chatte épilé, dépourvue de tout poil. J'insinuai la tête entre ses jambes et regardai son sexe ouvert et humide. Mon dieu (ou peut être faudrait-il invoquer Satan en ces instants) que c'était beau ces chairs où les petites lèvres dépassaient de ses grosses lèvres. Je craignais presque de venir visiter cette grotte si largement ouverte, sans aucune protection. Le clitoris était là, apparent presque trop facilement offert. Je touchai pourtant du bout des doigts la peau tout autour des lèvres. C'était doux comme la peau d'un bébé.
J'avais besoin de lui offrir un peu de mon intimité avec de plonger en elle. Je posai sa main sur mon pubis légèrement poilu, et toute seule comme une grande elle descendit tout doucement vers mes lèvres, avec son index elle toucha celle de droite puis celle de gauche. Nous nous plaçâmes en 69, chacune pouvant s'occuper du sexe de l'autre. Des petites perles de liquide brillaient juste à l'entrée de son vagin.
J'étais envahie d'un feu que je ne pouvais plus contrôler et je sentais mon liquide qui sortait de mon vagin sollicité. Comme j'avais les jambes écartées devant son visage, je devais la couvrir de mouille. Mon sexe me lançait j'étais tendue comme jamais...
- C'est magnifique... dit-elle doucement, ton minou est magnifique...
Je me redressai, elle regardait mon entre jambes et resta là durant plusieurs secondes qui me parurent une éternité, mais son attention me donnait beaucoup de plaisir. Elle avait déjà vu mon entre-jambe ; sur les plages on ne fait pas attention de garder les jambes bien serrées, mais jamais mon sexe n'avait été, ainsi, totalement offert à ses yeux, à se bouche et à ses mains.
Elle m'écarta les lèvres ce qui me fit gémir. Je replongeai entre ses jambes pour lui écarter moi-même ses muqueuses, puis nous avons basculé, moi sous elle, elle sur moi. Je sentis mon jus couler vers mon anus. Moi qui avais l'expérience des relations sexuelles tant avec les hommes que les femmes, je ne contrôlais plus rien.
Puis je sentis un doigt se poser à la source de ma fontaine et descendre lentement vers mon anus. Consciente de mon émoi, ma partenaire caressa mon anus quelques secondes en appuyant un peu sur la rondelle, puis elle déposa un baiser doux et chaud sur mon sexe. Je voulais qu'elle continue à s'occuper de moi ! J'étais prise à mon propre piège. Je fus parcourue par un terrible orgasme. Je me jetai sur son sexe pour lui donner le même plaisir. Elle fut saisie elle aussi d'une onde de plaisir, mais ce n'était pas encore l'orgasme dans lequel je voulais la transporter. Je lui soufflai :
- Tu aimes ça ? Réponds moi tu aimes ça ?
- Oui, ho oui !
Son sexe ruisselait littéralement de mouille. Je décidai de lui donner un peu plus de plaisir. Je lui écartai les lèvres déjà bien ouvertes, mes doigts étaient brillant de mouille. Je passai plusieurs fois mon index sur son bouton et le branlai doucement, il était énorme et rouge. Je sentis qu'elle n'en pouvait plus et qu'elle était aux bords de l'orgasme. Avec ma main je m'agitais dans son intimité, elle glissait toute seule tant le sexe de ma partenaire tant il était lubrifié. J'enfonçai deux doigts en elle avec vigueur, abandonnant toute douceur, l'idée de posséder ce corps m'excitait énormément. Ce simple geste provoqua l'orgasme qui couvait dans le ventre d'Amandine. Les spasmes qui la secouèrent semblaient lui couper le souffle et je sentis sa chatte se resserrer sur mes doigts. Elle ferma les yeux.
Elle était libérée.
Je me dégageais et allais chercher de l'eau et du jus de fruit pour nous désaltérer. Je n'avais aucune envie de reprendre le travail, je voulais à nouveau profiter de ce corps accueillant. Nous avons pris une douche ensemble pour essuyer toute la mouille qui couvrait nos cuisses, nos fesses et nos figures.
Puis nous reprîmes nos caresses en tout genre.
Amandine venait entre mes jambes et je gardais les yeux fermés, tout au plaisir qu'elle me donnait.
Jusqu'au moment où je sentis quelque chose sur mon visage. J'ouvris les yeux et je vis Hervé nu devant nous deux qui parcourait mon visage avec son sexe dressé. J'appliquai sans réfléchir quelques coups de langues bien ajustés sur le gland de sa hampe avant de la prendre en bouche.
Je voulais qu'Amandine suce aussi cette belle queue de mon gentil mari qui venait de rentrer du travail et qui nous avait trouvées dans cette position. Elle avait apprécié sur l'écran ce sexe bandé, elle allait en profiter réellement.
Je relevais donc la tête de ma partenaire et présentais devant ses lèvres couvertes de ma cyprine le membre bandé de mon époux. Elle ne se fit pas prier pour le gober. Je regardais la queue entrer et sortir de sa bouche. Je m'approchai de la figure d'Hervé et tendis vers lui mes lèvres. Il m'embrassa avec fougue et bonheur. C'est moi qui lui offrais cette jeune bouche qui le suçait.
Lorsque la queue de mon homme fut bien raide, c'est moi-même, qui la dirigea (après l'avoir revêtue d'une capote) dans le con de la belle. Comme c'est moi qui dirigeais les opérations je n'avais aucune jalousie, je prenais même du plaisir à voir mon mari prendre ainsi ma collaboratrice : elle avait fantasmé sur la queue de mon mari entrant en moi, je lui faisais profiter de ce membre bien réel planté maintenant en elle et allant et venant. Pendant ce temps je pelotais le corps de cette fille, ces seins qui ballottaient au rythme des coups de boutoir de mon époux, son clitoris qui frottait sur la queue entrant et sortant et même le trou de son cul où j'introduisis un doigt inquisiteur.
Amandine couinait, respirait bruyamment, gueulait même. Elle ne fut pas longue à être secouée par un violent orgasme. Hervé se retira de son vagin, quitta sa capote et vint introduire son membre toujours aussi tendu dans mes muqueuses. J'étais étendue sur le dos, les cuisses remontées très haut. Il m'a pénétrée très profondément. Comme j'étais très lubrifiée, il rentra sans difficulté, d'un coup. Ses mains m'enserraient les chevilles et il allait en moi avec des coups rythmés et vigoureux. Que c'était bon de se sentir investie par cette queue en pleine forme que j'avais vu aller dans un autre sexe quelques secondes avant. Je sentais son bassin contre mes fesses à chaque nouvelle poussée. Je savais que j'offrais au regard de mon homme ma vulve ouverte et épanouie. Il me dominait, j'étais sa prisonnière, sa soumise, mais lorsque l'intensité sexuelle est à son paroxysme, telle que dans celui où nous nous trouvions, j'aime lorsqu'il me prend comme une souillon, comme une chienne avec violence presque. Cette posture est alors un réel plaisir.
J'ai joui intensément sous les coups de boutoir de mon cher mari. Alors que j'étais secouée de spasmes de plaisir et qu'Amandine me pelotait et me suçait les seins, Hervé sortit son sexe de mon vagin en feu ; il ne lui fallut que quelques va-et-vient exercés sur la queue pour cracher son foutre sur le corps des deux femelles qui venaient de s'offrir à lui. J'allais recueillir le sperme déposé sur les seins et le ventre d'Amandine et elle fit de même avec celui qui souillait mon ventre et ma toison pubienne. Puis dans de langoureux et passionné baisé nous répartîmes cette semence entre nous deux, puis avec Hervé.
Ce fut une merveilleuse journée de baise que je ne suis pas prête d'oublier.
Amandine avait joui aussi bien dans mes bras que par la pénétration de mon mari. Elle voyait ainsi qu'il n'y avait pas que son Hollandais qui pouvait lui donner du plaisir. Elle serait bien restée avec nous toute la soirée et toute la nuit, mais il lui fallait rentrer chez elle, retrouver son compagnon, cet homme qui ne savait pas lui donner du plaisir.
Hervé avait été très échauffé par cette fin d'après-midi :
- Lorsque je vous ai vus enchevêtrées ainsi, je n'ai pas pu résister, j'ai quitté mes vêtements, je voulais participer, que tu me suces pendant qu'elle te lutinait. Je ne m'attendais pas à ce qu'Amandine me fasse un pipe et encore moins que je la prenne ainsi.
- Cela ma fait très plaisir que tu viennes nous rejoindre. J'ai beaucoup aimé te regarder la prendre comme tu l'as fait.
- Tu n'as pas été jalouse que je baise une autre fille que toi devant tes yeux.
- Ce qui me gênerais, c'est que tu baises effectivement une autre fille que moi, mais sans que je puisse te voir le faire. Là c'est moi qui ai dirigé les opérations. Si je n'avais pas voulu que tu la prennes, tu ne l'aurais pas prise, mais je le désirais.
Hervé toujours très amoureux de moi, voulut me prendre tout de suite, là sans attendre. La situation était parfaite puisque nous étions tous les deux nus dans le salon. Il m'adossa à un mur et me souleva par les cuisses. Je savais où il voulait en venir et j'en avais terriblement envie, j'ai donc passé mes bras autour de son cou. Ses mains formaient un siège en soutenant mes fesses et je passais mes jambes et mes cuisses autour de son bassin. Ainsi en équilibre, mon sexe juste devant son membre à nouveau en érection, il est entré en moi puissamment. Mais je n'ai ressenti que du plaisir. Je commençais à exercer des mouvements de va-et-vient pour ressentir au plus profond de moi-même cette queue chaude et vibrante, c'était très stimulant, très vigoureux. Comme je trouvais facilement le bon rythme, les sensations étaient superbes pour nous deux. Hervé m'embrassait sur la bouche, dans le cou, me mordillait les seins. Avec sa puissante virilité, mon homme était capable de me mener au septième ciel. C'était profond, c'était intense, et malgré la fougue que nous y mettions, le membre érigé ne me faisait que du bien, je le sentais buter contre le plus profond de mon vagin, mais sans douleur. Le coït a été explosif et rapide. Nous avons glissé sur le sol où nous avons mis plusieurs minutes avant de retrouver nos esprits.
Ce ne fut pas totalement un clap de fin, puisqu'une fois au lit, une fellation remit parfaitement Hervé en forme et il m'honora encore une fois.
La question qui restait en suspend : comment recommencer à travailler avec Amandine comme si rien n'était après ce qui venait de se passer. Le lendemain elle arriva à 9 heures, comme d'habitude.
- Amandine, lui dis-je, ce qui s'est passé hier, je ne te demande pas de l'oublier, car j'ai aimé, tu as aimé je crois aussi et Hervé à beaucoup apprécié. Mais cela ne doit pas entraver notre travail quotidien.
- Naturellement. Je ne suis pas ici pour faire l'amour avec toi ou avec ton mari.
- Je suis heureuse que tu le voies ainsi.
- Cependant, j'ai beaucoup de mal à concevoir que c'était un moment divin qui ne se reproduira plus jamais.
J'étais du même avis qu'elle. Aussi avais-je envisagé sa réaction et ma réponse était tout prête :
- Ce que je te propose c'est de nous réunir de temps en temps pour participer à des petites sauteries, si je puis dire. Nous passons ainsi de doux moments avec un couple d'amis, celui que tu as vu sur les photos. Tu pourrais te joindre à nous.
Elle fut enchantée de la proposition. Par contre, il fut établi que son compagnon ne serait jamais convié à nos jeux. Il ne devait rien savoir de cela.
Nous avons donc pu reprendre notre travail comme à l'accoutumé, restant nues toutes les deux, sans qu'il n'y ait rien de sexuel entre nous. Nous avions réussi à dissocier les joutes sexuelles et le fait de travailler en naturiste.
Bénédicte et François furent ravis de la nouvelle recrue pour partager nos turpitudes. Amandine était impressionnée, elle savait que la soirée que nous allions passer ensemble ne ressemblerait en rien à ce qu'elle avait connu en matière sexuelle. J'avais tenté de la rassurer en lui disant que rien ne se ferais sans qu'elle le désire et qu'à la première protestation qu'elle émettrait, il serait mis un terme à l'action en cours.
- De plus, entre nous il n'y a que de l'amour, du sexe, certes, mais de l'amour. Nous n'utilisons aucune contrainte, aucune obligation et encore moins toute pratique de SM. Si tu es avec nous, tu restes libre de faire ou de ne pas faire, de dire « oui » ou de dire « non ». Personne ne t'en voudra.
- En réalité, me dit Amandine, j'ai peur ! Peur de ne pas avoir m'y prendre, de ne pas savoir comment faire.
- Laisse toi aller, les autres sauront comment faire pour te détendre, pour te donner du plaisir.
- Mais aussi peur de me montrer nue devant tes amis que je ne connais pas.
- Pourtant, tu es naturiste. Te mettre nue devant des personnes inconnues ne devrait pas te poser de problème. Tu sais, ils ne vont pas te sauter dessus, dès qu'ils te verront... Dans un premier temps tu vas discuter avec eux, boire un coup et plaisanter dans un cadre naturiste, car avant de faire l'amour la nuit venue, nous passons toujours la journée nus autour de la piscine sans rein faire.... Ensuite les choses se feront naturellement.
- Cela me semble une expérience sympathique. Après tout, cela peut très bien se passer et même me plaire.
- J'en suis certaine.
A cours de cette journée, je sentis qu'Amadine se détendait progressivement. Sous le charme de mes amis, elle comprit qu'elle n'était pas là comme une proie, mais comme une partenaire qui serait respectée.
Après le diner, c'est Bénédicte qui entraîna Amandine dans la pièce au lit spacieux où nous nous retrouvions pour nos jeux intimes. Il était assez large et long pour accueillir deux couples et, pour cette fois, une personne de plus. Nous les suivîmes en les regardants faire. Amandine s'étendit sur le lit et Bénédicte commença à l'embrasser sur la bouche en collant son corps contre le sien. Puis mon amie descendit progressivement pour prendre du bout des lèvres possession des nichons de mon assistante.
Devant ce doux spectacle, François commença à me peloter ; se tenant derrière moi, une de ses mains me pétrissait les seins tandis que l'autre s'était posée sur mon sexe. Je me mis sur le lit à quatre pattes, au-dessus d'Amandine pour m'occuper de ses seins tendus alors que Bénédicte atteignait son sexe. François, toujours derrière moi, léchait mes muqueuses, jouant avec mon clitoris, écartant ma fente, faisant apparaitre mes lèvres intimes rosées et humides, doigtant mes deux conduits. Mon homme, quant à lui, présenta sa queue devant les lèvres d'Amandine qui ne se fit pas prier pour le prendre en bouche.
Après un bon moment, Bénédicte allongea Hervé sur le dos et plaça Amandine au-dessus le lui, au niveau de son sexe. La tige turgescente entra entre les lèvres de la jeune fille qui ne fit rien pour interrompre cette intronisation. Le membre s'enfonçait profondément dans son vagin. Arriver au fond, Amandine poussa un petit cri de surprise, mais qui n'avait rien à voir avec de la douleur. Bénédicte se plaça au-dessus du visage de mon mari pour lui présenter sa chatte. Il commença à lécher l'intimité qui lui était offerte, comme un chat laperait une assiette de lait.
François, au même moment, me prit en levrette avec beaucoup de force. Cette introduction, ce va-et-vient forcené et terriblement jouissif, ce spectacle, mon mari dans Amandine, Bénédicte sur son visage et les deux filles se caressant les seins qui ballottaient au rythme de leur chevauché ; tout cela m'emporta vers une terrible jouissance.
Amandine elle aussi jouit intensément.
Plus tard c'est François qui s'occupa admirablement d'elle.
- Je peux te sodomiser ? lui demanda-t-il alors que sa verge allait et venait dans son vagin.
- Oui, répondit-elle timidement, s'il te plait.
Je m'occupai moi-même de préparer l'anus de la jeune fille avec un lubrifiant. J'en enduisis la capote qui couvrait le sexe de François. Bénédicte écartait les fesses d'Amandine tendis que je dirigeais le sexe vers sa cible. Le gland entra, puis progressivement la verge. Nous étions tous attentifs aux réactions de la suppliciée volontaire. Courageusement elle subissait, se limitant à grogner. Lorsque François commença à se mouvoir en elle, tout doucement, elle ressentit de douces sensations. Pour augmenter son plaisir, je lui massais le clitoris.
Elle m'avoua qu'elle n'avait pas joui ainsi, mais qu'elle n'avait pas détesté non plus, que peut-être, avec l'habitude, elle arriverait à y trouver du plaisir et qui sait l'orgasme.
Je vous laisse imaginer le reste de cette nuit mémorable où la jouissance nous a envahi tous les cinq.
Amandine fut ravie, elle avait vécu une expérience sensationnelle qu'elle n'était pas prête d'oublier. Elle regagna son foyer avec des myriades d'étoiles dans les yeux, avec du baume au c'ur devant la pensée de son couple qui battait de l'aile. Elle n'avait aucun remord d'avoir trompé son copain avec nous. D'ailleurs, elle participa plusieurs fois aux soirées libertines que nous organisions avec nos amis.
Quelques mois plus tard, Amandine arriva un soir, chez nous avec un sac de voyage et en pleur. Elle venait de découvrir son mec avec une fille en pleine action.
- Quand je suis arrivée dans notre appartement, nous apprit-elle, il enculait la fille. Voyant ma stupéfaction il m'a dit : « Ne te formalise pas, mets toi plutôt à poil et viens niquer avec nous » et la fille a renchérie : « plus en est de fous plus on rit, plus on est de sexe, plus on baise ! ». Je l'ai foutu à la porte à poil, sans lui laisser le temps de se rhabiller. Je me suis engueulée avec mon mec et finalement j'ai pris mes clics et mes clacs et je me suis tirée. Je ne veux plus jamais le revoir !
Elle oubliait que de son côté, en notre compagnie, elle n'était pas la dernière à tromper celui qu'elle continuait à appeler « l'homme de ma vie ». Mais ce n'était pas la question.
D'une part j'étais un peu triste pour elle que ses illusions s'envolent. Elle pensait que cet homme pouvait être celui qui partagerait sa vie, qu'en dehors de lui elle ne pourrait trouver un compagnon et une certaine stabilité, or cela n'était plus le cas. D'autre part c'était, selon moi, la meilleure chose qu'il puisse lui arriver. Son copain lui bouffait la vie. Il ne lui permettait pas de vivre l'une de ses activités préférées : la vie au soleil, en communion avec la nature, le naturisme. Elle lui avait caché qu'elle avait la possibilité chez moi de travailler dans le plus simple appareil. Il ne la satisfaisait pas sexuellement, préférant sans doute faire l'amour avec d'autres filles plutôt qu'avec elle. En le quittant ainsi, elle se déchargeait d'un fardeau, et belle et jeune comme elle était, il ne faisait aucun doute qu'elle trouverait un garçon qui la mériterait.
Elle venait se réfugier chez nous, ne sachant où aller. Nous l'hébergeâmes donc dans la chambre d'ami en attendant de lui trouver un appartement à louer : c'était une question de quelques semaines tout au plus.
Hervé l'accompagna le lendemain chez son copain pour qu'elle puisse récupérer les affaires qu'elle avait laissées. J'avais insisté pour que mon mari l'accompagne. Les risques auxquels elle pouvait être confrontée en retournant chez son ex c'était qu'il pouvait la frapper, même si elle nous disait qu'il n'était pas violent ou qu'il lui joue l'air « ne me quitte pas » ou « tu verras, tu verras, tout recommencera ». Dans le second cas, elle aurait pu céder et tout aurait recommencé comme par le passé pour lui comme pour elle. Etant accompagnée, le mec laissé ainsi ne dirait pas un mot et ne la toucherait pas. C'est effectivement ce qui se passa : il laissa partir cette fille qu'il n'avait que trop abusée.
Une nuit, cela faisait quelques jours qu'elle était avec nous, alors que je faisais l'amour avec Hervé, je vis s'entrebâiller la porte de notre chambre. La pièce n'était pas dans l'obscurité totale, car lorsque nous nous caressons, nous aimons voir l'autre, son corps offerts, les sexes gonflés de désir et de plaisir. Ce n'est qu'après que nous éteignons.
Je ne voyais pas qui se trouvait derrière la porte, mais je devinais qu'il ne pouvait s'agir que de mon assistante (nos enfants n'étaient pas là et ils ont l'habitude de frapper avant d'entrer dans notre chambre). De savoir qu'elle me regardait alors que je prenais mon plaisir sous les caresses de mon cher et tendre, ne me gênait pas, bien au contraire. Je l'acceptais ainsi comme spectatrice passive de nos ébats. Je me laissais aller alors qu'Hervé parcourait les moins parcelles de ma vulve, qu'il investissait les replis de mes lèvres intimes et de mon clitoris avec sa langue tout en me caressant les seins aux pointes tendues et durcies. Pour que la scène soit plus chaude encore, je me mis sur le corps de mon homme et atteignant son sexe dressé à l'extrême, j'en léchai le gland avant de le prendre en bouche. Placée comme je l'étais, notre voyeuse ne pouvait rien manquer de l'algarade : la queue de mon homme coulissant dans ma bouche.
De même lorsque mon homme glissa sa queue dans mon intimité, j'écartai largement les jambes pour qu'elle puisse bien voir le membre entrer et ressortir de moi. J'étais extrêmement réceptive aux assauts de mon homme, il me prit dans plusieurs positions me faisant jouir deux fois alors qu'il n'avait toujours pas éjaculé. Alors qu'il me prenait en levrette, il changea d'itinéraire et vint placer sa trique dans la raie de mes fesses qu'il lubrifia rapidement avec ma propre mouille. L'introduction fut précautionneuse, sans brutalité et j'y pris un plaisir indicible. Hervé ne fut pas long à décharger dans mon cul alors que j'étais secouée par un troisième et violent orgasme.
Lorsque je repris mes esprits, je constatai que la porte de notre chambre était refermée, mais je n'avais pas rêvé. D'ailleurs, j'en fus absolument certaine lorsque je vis la rougeur d'Amandine après lui avoir lancé :
- Ça t'a plus hier le spectacle ?
Comme nous étions samedi matin et que mon époux était encore couché, je lui dis :
- Tu as aimé voir la queue d'Hervé s'enfoncer en moi hier ? Vas, je te la prête, il adore être réveillé par une petite pipe. Mais rien de plus.
Elle ne se le fit pas dire deux fois et gratifia mon mari d'une gâterie qu'il qualifia de « très réussie et très agréable.
Tout compte fait, la belle petite Amandine était une véritable gourmande de sexe qui ne demandait qu'à s'épanouir avec des partenaires qui eux aussi aimaient faire l'amour. Nous étions de ceux là, mais en rien nous ne pouvions devenir des êtres qui allaient partager sa vie, son existence et son futur.
A suivre
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