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Proposée le 29/04/2012 par Thomas
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La deuxième semaine des vacances d'été venait de débuter. J'avais profité de la première pour rattraper tout le sommeil en retard que j'avais accumulé lors des derniers mois d'école. Je profitais aussi pleinement de la présence d'Anna. Pour la première fois, elle n'allait pas passer les deux mois d'été chez ses parents, car elle travaillait toujours en tant que caissière d'une grande surface. Nous avions décidé de nous voir tous les soirs ou presque, car la fin du mois de juillet arriverait très vite. Or, c'était la date butoir de notre relation. Comme convenu, quand ma femme reviendrait en août, nous arrêterions de nous voir, définitivement.
Nous étions le 12 juillet. Comme le 14 juillet tombait un jeudi, ma femme avait obtenu son vendredi, et nous avions donc prévu un petit week-end de quatre jours en amoureux.
Et justement, j'appelai ma femme après sa journée de travail pour voir les derniers détails de notre escapade. Quand ce fut fait, elle me raconta sa journée, je lui racontai la mienne. Mais ce fut la dernière partie de notre discussion qui fut la plus' inattendue.
- Ah au fait mon chéri, j'ai discuté hier soir sur internet avec Anna.
- Ah ? et euh? elle allait bien ?
Je ne pus m'empêcher de bafouiller? Ma femme avait-elle enfin compris ? Mon c'ur battait à cent à l'heure.
- Oui oui, elle reste à Rennes à cause des vacances. C'est la première fois qu'elle ne passe pas l'été avec ses parents.
- Et vous avez parlé de quoi ?
- Oh, de tout et de rien. Je lui ai raconté mon boulot, elle m'a parlé du sien. Elle prend quelques jours de congé la semaine prochaine, et elle part chez une copine à elle, au bord de la mer. Et quand je lui ai dit que toi, tu devais sûrement t'ennuyer tout seul, elle a proposé que tu ailles avec elle. Je trouve que c'est une bonne idée, mais je te laisse prendre ta propre décision.
Ainsi donc, Anna avait réussi à manipuler ma femme. J'avais maintenant la bénédiction matrimoniale pour aller passer une semaine de vacances avec ma maîtresse. Je n'allais pas me gêner.
Anna m'avait parlé de ces vacances. Une amie du lycée, qu'elle voyait peu mais avec qui elle gardait contacte, lui avait proposé de venir passer une semaine dans la maison de vacances de ses parents, au bord de la mer. Anna avait accepté, et avait même reçu l'autorisation d'amener un copain ou une copine. « Plus on est de fou plus on rit. », lui avait dit son amie.
Après m'être laissé « convaincre » par mon épouse d'aller me changer les idées au bord de la mer, je raccrochai le combiné. Juste à temps avant l'arrivée d'Anna qui venait passer la nuit avec moi.
Je lui confirmai ma venue la semaine suivante, et on organisa cette petite virée. Arrivé sur place prévu le lundi, départ prévu le vendredi matin.
Le week-end suivant, je passais quatre jours formidables avec ma femme. Notre vie sexuelle allait de mieux en mieux, et notre escapade l'avait confirmé. Le lundi matin, je me levai à 5h30 pour emmener ma femme à la gare. Sur le quai, elle me dit :
- Dire que moi je vais bosser loin de toi, alors que toi tu pars en vacances à la mer. En tout cas, profite-en bien ! Passe mon bonjour à Anna.
J'allai lui faire plus qu'un simple bonjour !
- Je lui transmets.
- Et pas de bêtise hein ?! Ajouta-t-elle avec un clin d'oeil.
Si elle savait'
Lorsque je revins chez moi, il était presque 7h. J'avais donc 1h30 à attendre avant d'aller chercher Anna. J'en profitai pour vérifier mes affaires : vêtements, serviettes, maillot de bain' tout y était.
Lorsque l'heure arriva enfin, je chargeai ma voiture, et allai chercher Anna chez elle. Nous avions décidé de partir tôt, car nous avions un peu de route : son amie habitait sur l'île de Ré. En partant à 8h30, nous y serions pour midi.
Pendant le trajet, Anna m'en dit plus sur son amie. Elle s'appelait Marine, et elles étaient dans la même classe en terminale. Elle s'était tout de suite bien entendue, car elle aimait les mêmes choses. Leur sujet favori, c'était le sexe. Et Marine était encore plus' dévergondée qu'Anna? Eh ben, ça devait donner au lycée !
Elle m'expliqua que le père de Marine avait fait fortune avec une entreprise de transport. Il possédait désormais 5 entrepôts répartis sur tout le grand-Ouest de la France. Il s'était acheté l'été précédent une maison sur l'île de Ré. En plus d'être située à moins de deux cents mètre de la plage, la maison était immense et possédait une piscine, et même un jacuzzi. Mais lui et sa femme ne passeraient que le mois d'août là-bas. Marine avait trouvé un petit boulot d'animatrice dans un hôtel de luxe de l'île. Elle serait donc absente tous les jours de 10h à 17h. De quoi nous laisser du temps, à Anna et moi, pour profiter pleinement de nos derniers moments de complicité.
Comme je l'avais prévu, nous arrivâmes sur l'île vers midi. Compte tenu de l'heure, j'invitai Anna au restaurant. Puis nous nous dirigeâmes vers la côte. Le ciel était couvert, et il ne faisait pas extrêmement chaud, mais suffisamment pour attirer les gens. Après une promenade digestive, nous nous installâmes sur le sable, et j'allai me baigner avec plaisir dans l'Océan Atlantique, plus chaud que la Manche où j'allai plus facilement. C'était mon premier bain marin de l'année et je le savourai. Puis je m'étendis sur ma serviette, près d'Anna, pour me sécher et profiter. Vers 17h, nous rangeâmes nos affaires pour nous diriger vers la maison.
Nous arrivâmes juste après Marine. Celle-ci nous accueillit avec le sourire. Anna et elle s'enlacèrent, heureuses de se retrouver. Puis Anna me désigna d'un geste de la main :
- Marine, je te présente Thomas.
- Le fameux Thomas ! Salut, moi c'est Marine, me dit-elle avant de me faire la bise.
J'en conclus qu'Anna lui avait déjà parlé de moi?
Marine nous fit visiter les lieux. La maison était en effet immense. Elle comptait six chambres, un très grand salon, et trois salles de bains. Celle du rez-de-chaussée, la plus grande, possédait une très grande douche et un jacuzzi.
Mais le premier lieu que nous explorâmes réellement fut la piscine, qui se trouvait sous une véranda. Marine nous expliqua que cette véranda était sur des rails et pouvait donc coulisser. Ainsi, la piscine était ouverte quand il faisait beau et couverte par mauvais temps. En plus, la véranda chauffait l'eau gratuitement.
Nous sommes restés plus d'une heure à discuter dans l'eau. J'en profitai pour observer plus attentivement Marine. Elle mesurait environ 1m70, soit un tout petit plus grand qu'Anna. Son visage était encadré par une magnifique chevelure rousse et bouclée, qui lui arrivait sous les épaules. Son petit nez fin était surmonté de deux jolis yeux verts. Elle avait des traits très fins. Enfin, les courbes de son corps ne laissaient apparaître aucun défaut. Ses seins semblaient parfaitement dessinés sous son maillot de bain, ses courbes étaient fluides, ses hanches parfaitement proportionnés. Enfin, elle avait le teint légèrement mat, grâce aux nombreuses séances de bronzages qu'elles avait déjà dû faire. Bref, elle était tout simplement magnifique, et je ne pus m'empêcher de fantasmer sur elle.
Marine nous expliqua qu'elle bossait comme animatrice car son père voulait qu'elle apprenne la valeur de l'argent et ne lui donnait pas plus que nécessaire.
La soirée qui suivit fut très sympa. Nous discutâmes jusque tard dans la nuit. Plus l'heure avançait, plus les sujets se rapprochaient de la ceinture. Si bien qu'à minuit, nous parlions inévitablement de sexe. Anna raconta en détail (ce qui ne manqua de parfois me mettre mal à l'aise) nos aventures. Marine sembla aimer ce récit, car je vis comme une lueur d'envie dans ses yeux. Quand Anna eut terminé, Marine nous donna la permission de profiter pleinement de la maison en son absence. Puis ce fut à son tour de nous raconter sa vie sexuelle. Durant l'année, elle avait été plus sage que d'habitude. Ses études de médecines ne lui laissaient pas beaucoup de temps. Mais quand elle en profitait, ce n'était pas qu'à moitié. Elle n'était pas du genre à s'attacher, aussi Anna ne sembla pas surprise d'apprendre qu'elle n'ait jamais eu le même copain plus d'un mois.
Vers deux heures du matin, nous partîmes enfin nous coucher. Marine nous avait mis dans le même lit, Anna et moi.
Lessivé par mon week-end et ma journée, je m'endormis aussitôt.
Je me réveillai, ébloui par un rayon de lumière à travers les volets. Un coup d'oeil sur ma montre pour me rendre compte que j'avais bien dormi : il était 12h30. Je me levai et descendis l'escalier. Anna lisait un magazine dans le salon. Elle portait un mini short et un débardeur. Il faut dire qu'il faisait plus chaud que la veille. Je pris un morceau de brioche, avant d'aller une longue et agréable douche. Quand enfin je sortis de la salle de bain, Anna me dit :
- Ah ben quand même ! Allez- suis-moi.
Elle m'entraîna vers la piscine.
- Bonne idée. Par contre attend moi, je n'ai pas pris mon maillot de bain, lui dis-je.
- Moi non plus, répondit-elle.
Puis elle enleva son débardeur, son short et son string, avant de plonger dans l'eau, totalement nue.
- Alors, tu viens ?
Je jetai un rapide coup d'oeil dehors. Les voisins pourraient nous voir. Mais bon, qu'importe, on était là que pour une semaine. Et Marine travaillait. Je me déshabillai donc à mon tour avant de sauter dans le bassin. L'eau était chaude, le thermomètre indiquait 25°C. Je fis quelques longueurs, avant de rejoindre Anna sur le bord. A cet endroit du bassin, l'eau m'arrivait au torse.
Elle se colla à moi, passa sa main sur mon sexe et dit en rigolant :
- Oula ! Je l'ai connu plus grand que ça !
Il faut dire que même si nager nu dans cette piscine avec Anna avait un côté excitent, ce n'était pas non plus suffisant. Par contre, les caresses insistantes qu'Anna me procura eurent plus d'effet. En quelques secondes, mon sexe se dressait fièrement vers l'avant. Ni une ni deux, Anna se mit face à moi, et vint se placer dessus. Elle fit quelques petits mouvements pour caresser sa chatte sur mon gland, tout en me disant :
- Depuis hier j'en ai envie.
Et elle s'empala sur mon sexe. Nous n'avions jamais fait l'amour dans une piscine. Dans les vestiaires ou les douches des piscines publiques, oui, mais jamais dans la piscine proprement dite. C'était très agréable, de sentir le poids de nos corps diminué par la poussée de l'eau. Mes mains sous ses fesses, je pouvais la soulever sans difficulté pour la faire monter au septième ciel. En cours de route, nous changeâmes de position. Elle se plaça dos au bassin, les mains sur le rebord, et je me plaçais derrière elle. Après quelques coups de reins et gémissements conjoints, nous eûmes un orgasme presque simultané.
La journée se déroula comme dans un rêve. Nous profitions de l'absence de Marine pour vivre nu. Nous avons encore fait l'amour plusieurs fois. Vers 17h, nous nous sommes habillés, juste à temps pour le retour de Marine. Avec elle, nous sommes allés profiter de la plage. Cette deuxième soirée fut aussi agréable que la première. J'étais maintenant très à l'aise avec Marine, et nous entendions très bien tous les trois, comme si on se connaissait depuis toujours.
Parmi les nombreux sujets de la soirée, l'un attira mon attention. Marine raconta, tout naturellement, l'aventure sans lendemain qu'elle avait eu avec UNE autre étudiante de médecine.
Une fois couché, je questionnai Anna.
- Ah oui, je t'avais pas dit ça. Marine est un peu bi sur les bords, me dit-elle. Mais elle préfère de loin les mecs. Disons que pour elle, les filles c'est comme le foie gras, c'est plutôt rare et pour les occasions.
- Et toutes les deux, vous avez déjà??
Elle éclata de rire.
- Non non. Mais on a failli. Une fois, elle avait un peu bu, et elle avait commencé à me chauffer. Et elle sait s'y prendre ! Du coup je l'ai embrassé, et elle a commencé à me caresser. Mais je me l'ai arrêté.
- Pourquoi ?
- Parce que j'ai eu peur, et puis j'étais déjà en couple. Mais avec du recul j'aurai peut-être dû la laisser faire, c'est une expérience que j'aurai bien aimé vivre. T'es comme tous les mecs hein, ça t'excite !
Oh que oui ! Je m'endormis tout excité en imaginant Anna et Marine, complétement nues, se procurant mutuellement un plaisir charnel.
Le lendemain je me réveillai avant Anna, vers 9h30. Marine n'était pas encore partie, et elle discuta quelques temps avec moi. Puis lorsqu'elle s'en alla, je me déshabillai pour entamer ma deuxième journée naturiste. Je trouvai toujours bizarre l'idée de se promener nu au milieu de pleins de gens, mais dans l'intimité de la maison, je trouvai ça plutôt rigolo. Quand Anna apparut, elle était elle aussi nue. Elle m'attrapa par le bras, me jeta sur le canapé et me fit l'amour avec fougue. La journée se déroula ainsi. Nous alternions entre piscine, jeux, bronzette, repas, plage, jacuzzi. Et bien sûr, à chaque fois ou presque, nous faisions l'amour. Mais je ne suis pas superman, et plus la journée avançait, plus je mettais du temps à récupérer, et ensuite à jouir.
Peu après 17h, comme tous les jours, Marine rentra du travail. Nous étions bien-sûr habillés. Une fois de plus, nous passâmes notre soirée à parler de tout et de rien. Mais pour ma part, je me couchai de plus en plus tôt, laissant les deux femmes bavasser ensemble.
La journée du jeudi se déroula exactement comme le vendredi. Tout était prétexte pour faire l'amour. Mais mon corps commençait à accuser le coup sérieusement.
Il était presque 17h. Je venais de dormir presque deux heures sur la pelouse, à l'ombre de la maison. J'avais installé une épaisse couverture, et je m'étais allongé dessus, toujours totalement nu. Anna sorti de la piscine, et vint s'allonger à côté de moi.
- Il va être l'heure.
Anna voulait que nous fussions présentables au retour de Marine. Moi aussi. J'étais mal à l'aise rien qu'à l'idée de me faire surprendre. Je me levai donc pour aller m'habiller.
Marine arriva quelques minutes après, ponctuelle comme toujours.
- Salut ! :ança-t-elle. Qu'est ce qu'il fait chaud ! ça vous dit de piquer une tête ?
Aussitôt dit aussitôt fait, je me retrouvai dans la piscine entouré de ces deux belles créatures. Je connaissais par c'ur le corps d'Anna, mais celui de Marine me faisait vraiment rêver. J'essayai toujours d'imaginer ses seins et ses fesses à travers son maillot de bain. Soudain je réalisai que j'étais en train de la mater avec insistance, mais en relevant les yeux, je compris au regard de Marine qu'elle m'avait grillé. Super, bravo la discrétion !
Le soir même, Marine nous proposa d'aller dîner dans un petit restaurant pas trop cher mais très bon. Anna portait un petit short en jean et un débardeur vert, et Marine avait enfilé une mini-jupe noire et un haut rouge. Pour ma part, je portais un pantacourt beige et un tee-shirt blanc à motifs.
Comme c'était notre dernière soirée ensemble, j'offris généreusement une bouteille de vin. Celle-ci descendit rapidement, bien que pour ma part je ne bus qu'un verre?
De retour à la maison, décidé de se servir dans les réserves de son père, ce qu'elle avait jusque-là refusé de faire.
Elle sortit une bouteille de vin moelleux, qui elle aussi fût vite vidée. Et là encore, je ne buvais qu'un verre. Les deux filles, elles, commençaient à être sérieusement joyeuses. Anna, qui ne tenait toujours pas l'alcool, tituba même lorsqu'elle se leva. Marine en revanche semblait tenir beaucoup mieux, preuve d'une certaine pratique en fac de médecine.
Il était environ 23h quand mon téléphone sonna. C'était ma femme. Je m'excusai auprès des deux filles, alors que Marine servait des verres de Cognac, et sortis dans le jardin pour être plus à l'aise. Ma femme venait simplement aux nouvelles, car à part quelques textos échangés, nous n'avions pas parlé ensemble depuis le lundi midi, date de notre arrivé sur l'île.
Après presque dix minutes de discussion où je lui racontai mon séjour, en prenant soin d'omettre quelques' détails. Puis je repris la direction du salon. Mais je m'arrêtai à l'entrée, devant un détail. Je ne pouvais pas encore voir la scène qui s'y jouait, mais je distinguais nettement le short et le string d'Anna par terre? J'avançai lentement, et là je restai scotché !
Là, sous mes yeux, face à moi, sur le canapé du salon, Anna était allongée sur le dos, la tête sur l'accoudoir. Son débardeur était relevé laissant apparaitre ses seins. Mais surtout, ses jambes étaient largement écartées. Marine, à genou sur l'autre accoudoir, lui faisait un cuni qui semblait très réussi, d'après ce que je pouvais voir et entendre.
Je restai là, sans bouger à les observer. Ainsi donc Anna avait succombé aux avances de Marine. Je soupçonnai cette dernière d'avoir sorti autant d'alcool dans cette optique-là. Dans mon short, mon sexe se durcit rapidement. Surtout que n'ayant pas servi depuis plus de huit heures, il avait largement retrouvé toutes ses capacités.
Anna enleva complètement son débardeur, se retrouvant totalement nu. Elle gémissait sous les coups de langes de sa complice. Les deux femmes semblaient avoir complètement oublié ma présence.
Je restai là encore quelques minutes, pour profiter de ce spectacle, fantasme pour bien des hommes. Puis je m'éclipsai discrètement, laissant ces deux femmes à leurs ébats. Je montai sans faire de bruit l'escalier et me dirigeai vers ma chambre. Dans mon sac, j'attrapai quelques préservatifs. Puis je redescendis, toujours silencieusement.
Dans le salon, la scène avait un peu évolué. Marine avait retiré son haut, laissant ses seins à l'air libre. Je pris quelques instants pour les contempler. Ils étaient tels que je les avais imaginés : fermes, lisses, aux courbes parfaites. Marine était toujours en train de s'occuper de la chatte d'Anna, mais elle avait maintenant inséré deux doigts. Anna se cambrait et gémissait toujours plus.
Je me déshabillai intégralement, et entrai discrètement dans le salon. Les deux filles ne semblèrent pas me remarquer. Je plaçai à genou sur le côté du canapé, derrière Anna. Sa position, fesse en l'air, genoux sur l'accoudoir, laissait apparaitre son string sous sa mini-jupe. Il était noir, dentelé. De chaque côté de la ficelle, les deux fesse rebondit étaient elles aussi comme dans mon imagination. Ne résistant pas, je passai délicatement ma main dessus. Elles étaient douces, chaudes. Marine releva encore un peu plus ses fesses. C'était pour moi un laissez-passer. J'attrapai le tissu de sa jupe, et la lui retirai. Je pris ensuite les fesses, et les massais franchement. J'avançai ma bouche pour embrasser la peau. Le contact de mes lèvres sur sa peau était un vrai bonheur. Je posai un doigt sur le bas de son dos, à la naissance de sa raie, et descendis lentement, sur la ficelle de son string. Quand mon doigt arrive au niveau de son petit trou, puis de sa chatte, elle se contracta et se cambra encore plus. Mais tandis que je commençai à caresser sa chatte à travers le tissu, Anna poussa un cri. Elle venait d'atteindre un orgasme sous les mains et la bouche de Marine.
Marine bougea alors, abandonnant mes mains, pour aller s'allonger sur Anna. Un peu vexé, je restai sans bouger à les observer. Elles se caressaient mutuellement, s'embrassaient les seins, se pelotaient les fesses. Je fus pris d'une réelle hésitation. Devais-je les laisser seuls et m'en aller pour de bon ? Où devais-je rester, car mon tour viendrait. Je crus avoir ma réponse quand Marine ne leva, attrapa Anna par le bras et se dirigea vers le couloir. Je les regardai partir, mais Marine se tourna vers moi :
- Ben alors, tu viens ?
Soulagé, je les suivis docilement. Marine nous entraîna vers la chambre de ses parents, seul pièce que je n'avais pas encore vue.
Le lit était immense. Il y avait largement de quoi faire dormir trois personnes de 2 mètres. Je n'eus pas le temps d'explorer plus les lieux, car Marine enlevai déjà le dernier bout de tissu qui lui restait. Puis elle s'allongea sur le lit et écarta les jambes. Sa chatte était également toute rasé, lisse, mais déjà ouverte et humide. Anna la rejoint sur le lit et s'allongea devant elle, la tête entre ses jambes. C'était la première fois qu'elle voyait un autre sexe de femme que le sien, et elle semblait avide de l'explorer. Pour ma part, je vins me mettre à genou au niveau de la tête de Marine. Elle goba aussitôt mon chibre impatient d'en découdre. Je savourai avec la plaisir la sensation de cette nouvelle bouche. Elle savait s'y prendre. D'une main, elle me caressait les bourses. Pendant ce temps, j'observai avec envie Anna léchant, dévorant presque la chatte de Marine. Chaque coup de langue d'Anna se répercutait presque sur ma bite, via la bouche de Marine.
N'y tenant plus, je délaissai sa bouche pour me placer derrière Anna. Je connaissais par c'ur ce petit cul et cette chatte, mais je ne m'en lassais pas. Je jouai quelques instants avec mon gland sur ses lèvres gonflés, puis la pénétrai avec une facilité déconcertante. Elle poussa un gémissement et aspira avec plus d'ardeur encore le bouton de Marine. Cette dernière avait bien fait son travail, la chatte d'Anna était lubrifiée à souhait.
Je fis des mouvements assez lents, car dans l'état d'excitation où j'étais, je craignais de jouir trop vite. La vue que j'avais m'excitait encore plus. J'avais devant moi les fesses d'Anna, puis son dos, et sa chevelure. Ensuite venait Marine, qui se titillait les tétons Sa tête était relevé contre un oreiller. Elle leva les yeux, et croisa mon regard. Ses yeux étaient inondés de plaisir et d'envie. Elle avait ce regard de « chaudasse » qu'ont les filles des magazines. Il disait « Baise moi, moi aussi je veux sentir ta bite au fond de moi. ». C'est en tout cas comme ça je que décidai de le comprendre.
Je me retirai d'Anna, la décalai sur le côté, et prenait sa place. Je voulais d'abord voir de plus près cette nouvelle chatte, la sentir, la goûter. Après quelques coups de langues, je me redressai, à genou, et fit un signe de tête à Anna. Celle-ci comprit le message, attrapa une des capote que j'avais posé sur la table de nuit, et me l'installa avec sa bouche. Je tirai Marine vers moi pour l'éloigner de la tête de lit, et enfin je la pénétrai d'un coup. J'étais moins tendre qu'avec Anna, je la baisai littéralement. Et elle aimait ça, la cochonne. Elle criait presque, sous mes coups de butoir. Anna la fit taire quelques instants après, lorsqu'elle qu'elle s'accroupit au-dessus de son visage, offrant sa chatte encore toute excitée.
Lorsque je sentis l'orgasme arrivé, je me retirai, le temps de faire redescendre la pression. Je m'allongeai sur le dos, et c'est Anna qui s'installa que ma queue, après avoir retiré la capote. Marine prit place au-dessus de ma tête, et je m'appliquai à lui lustrer comme il faut sa petite chatte. Anna, elle, gérait elle-même son plaisir sur moi.
Cette fois-ci, je n'allais pas pouvoir retenir mon éjaculation. Je commençai à pousser des râles, et Marine comprit le message. Elle repoussa Anna, attrapa mon sexe et le mit dans sa bouche, juste au moment où je déversai des jets de foutre. Elle les avala sans rien dire et avec Anna elles se chargèrent de me nettoyer la queue.
Puis Marine me regarda en disant :
- Va falloir que tu te remettes vite, j'en ai pas fini avec toi ! Il te reste encore un endroit à explorer.
Et elle se plaça à quatre pattes, écartant ses fesses pour libérer l'accès à son petit trou. Pas contraignant pour un sou, je m'en approchai et commençai à lui lécher la rosette. Anna s'était replacée face à elle, lui offrant de nouveau sa chatte. Marine, de son côté, se lâchait de plus en plus :
- Allez vas-y, prépare moi ce petit cul, que je sente ta queue dedans.
Je versais de la salive dessus et massais ce trou qui se dilata rapidement. Par là aussi, un certain nombre d'hommes avait dû passer. Je léchai un doigt que j'introduisis dans son cul. Puis un deuxième. Anna appréciait le traitement, et je me dis qu'elle devait préférer par là. Autant ne pas la décevoir. Je me plaçai derrière elle, je remis une capote, et appuyait mon gland sur son anus. Le gland disparut lentement, puis d'un coup ma queue fut avalée. Marine hurla
- Vas-y, défonce moi, fais-moi jouir.
Je la martelai à coup de bite, mes testicules tapaient contre sa chatte. Pendant ce temps, Marine se chargeait de préparer le petit trou d'Anna, qui ne voulait pas rester sur la touche.
Après quelques minutes, Marine hurla, atteignant un orgasme fulgurant !
Je me retirai aussitôt et enlevai la capote. Presque violemment, Anna m'allongea sur le dos.
- Ah moi maintenant !
Elle se plaça dos à moi, en appuis sur ses mains, et dirigea son cul vers mon sexe. Marine le guida vers le petit trou d'Anna et l'inséra. Il avait été bien préparé car ma queue entra toute seule. Tandis qu'Anna gérait ses mouvements, je pris en charge ses seins. Marine, elle, se plaça en face et donnait de savants coups de langues sur sa chatte.
Quelques instants plus tard, je criai :
- Je vais jouir.
Aussitôt Anna sorti ma queue de son cul, et Marine l'attrapa et me masturba rapidement. J'éjaculai sur le bas ventre d'Anna, éclaboussant sa chatte de mon sperme. Un fois de plus, Marine se chargea de nettoyer mon sexe.
C'est exténué que nous nous endormîmes tous les trois, nus, sur le lit maculé de nos fluides corporels.
Je fus réveillé le lendemain matin par une main sur mon sexe. Le réveil indiquait 9h. Anna dormait à l'autre bout de cet immense lit. Mais Marine, bien réveillée, avait déjà mon sexe en bouche, pour une fellation matinale. Elle attrapa un préservatif, le mit sur ma bite, et elle me chevaucha, face à moi. Elle fit jouer sa chatte déjà ruisselante sur ma queue et s'approcha de mon oreille pour me chuchoter :
- Je vais aller travailler et vous allez partir. Mais je voulais profiter de toi une dernière fois, seule.
Et d'un mouvement de bassin fluide, elle inséra mon sexe en elle. Il n'y avait plus rien de la violence animale de la veille. Cette fois-ci elle était calme, presque tendre. Ce n'était la chienne déchaînée qui voulait se faire défoncer, c'était une femme qui voulait prendre un peu de plaisir. Elle fit des mouvements lents, silencieux pour ne pas réveiller Anna, retenant ses gémissements. Elle accéléra progressivement, jusqu'à atteindre l'orgasme. Ce dernier provoqua le mien, et je jouis en elle, déversant mon sperme dans le réservoir du préservatif. Lentement elle se retira, m'embrasse et me dit :
- Ce fut un plaisir de te rencontrer, Thomas.
Et elle sortit de la chambre.
Je n'ai jamais revu Marine. Anna et moi sommes rentrés à Rennes, et j'ai retrouvé ma femme le soir même, pour le week-end.
La semaine suivante fut la dernière avec Anna. Nous l'avons passé ensemble, bien décidé à profiter jusqu'au bout. Le vendredi, après avoir fait l'amour une dernière fois, Anna m'a regardé et m'a dit :
- Tu vas ma manquer, mari infidèle.
Puis elle a quitté mon appartement.
Une heure plus tard, je retrouvai définitivement ma femme sur le quai de la gare.
Aujourd'hui, ma vie sexuelle conjugale va mieux, même si jamais je ne revivrai ce que j'avais vécu en sept mois. Je revois Anna très souvent, en soirée ou pour un déjeuner. Elle a enfin eu le concours, et exerce désormais le même métier que moi. Elle a également rencontré quelqu'un, un informaticien très sympa, avec qui elle est très heureuse.
Nous n'avons jamais reparlé de notre histoire. Mais parfois, un petit regard complice nous permet de nous remémorer ces merveilleux moments passés ensemble.
FIN