Fêtes au pays basque

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Proposée le 29/04/2012 par peter24

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Début Aout, nous campons à Bidart, comme quand nous étions plus jeunes sans enfants. Nous sommes partis faire « les Fêtes de Bayonne », et nous ne sommes pas les seuls. Beaucoup de groupes de jeunes sont venus participer à la fiesta... Il y a de l'ambiance dans le camping. Et puis nous allons en profiter pour revisiter quelques lieux de débauches de la côte Basque. Cela fait quelques années que nous ne sommes pas revenus dans la région.

Ce soir, après le restaurant, et quelques verres avec des amis coquins retrouvés au hasard des ruelles, nous irons nous s'amuser un peu. C'est un jeudi, soirée mixte, celle que tu préfères...
Il est minuit, nous sommes devant le club. Tu te changes pour revêtir une mini robe bleu-roi, dos nu et décolleté plongeant qui met en valeur ta poitrine. Nous entrons...

En cette soirée de vacances, il y a un peu de monde... et nous retrouvons quelques visages connus. Embrassades, nouvelle d'un tel, quelques bonnes rigolades, quelques verres... la soirée s'avance...
Je parle beaucoup, mais j'aperçois ton regard qui, depuis un moment, parcourt la salle... Je sais ce que tu cherches...
- Je vais faire un tour... Et te voilà parti en direction des alcôves.
Je te suis du regard... Tu t'avances parmi les danseurs, plusieurs hommes essayent de t'inviter à danser, quelques femmes aussi mais ils n'ont aucune chance...
Tiens te voilà en grande conversation avec un jeune homme. La musique s'y prête, te voilà dans ses bras. Quelques morceaux plus tard, tu es de retour vers moi qui, assis au bar, tu discutes encore.
- Je vais faire visiter les lieux à mon cavalier... Me murmures-tu avec une bise et un regard qui en dit long sur la visite que tu as prévue. Tu le rejoins et je vous observe pendant que tu l'entraines par la main jusqu'à une première pièce dans laquelle vous disparaissez.
Je ne bouge pas, surtout pas ! mais je t'imagine... te tournant vers lui, offrant tes lèvres, abandonnée dans ses bras... ses mains qui parcourent ton dos nu, qui caressent tes reins, tes hanches puis tes fesses. Je sais qu'il sera ton partenaire ce soir... que je pourrais venir vous rejoindre? mais je te laisse profiter de ses moments de découverte où tu peux te donner à ta guise sans appréhension... sans moi.
Depuis combien de temps êtes-vous seuls ? La mince barrière de ta robe est-elle tombée, est-il en train de sucer tes tétons ? De te faire jouir avec ses doigts ou peut-être sa langue ? As-tu déjà avalé sa queue ? La curiosité est très forte. Un peu de jalousie sans doute aussi. Je veux savoir...

Je me lève... Je m'approche... Vous sortez... Tu rajustes ta robe qui ne cachait plus ton sexe, tu remets ta poitrine en place derrière le fin tissus ; un couple vient de vous déranger sans doute vous croyant prêt à échanger vos partenaires... mais tu ne veux pas, tu veux profiter !
Je vous laisse passer avec un sourire qui t'encourage à poursuivre ta visite... Ton partenaire ne sait pas encore qui je suis, il n'a d'yeux que pour ta croupe. Vous progressez vers les pièces du fond, celles où tu pourras marquer que vous souhaitez être seul... Tu en choisis une qui pourra satisfaire les voyeurs, fermée par un rideau transparent, pourvue de larges hublots par lesquels ils pourront profiter de vos ébats. Je suis l'un deux...

Vos caresses reprennent comme si ce contre-temps n'avait fait que décupler vos envies... Vos lèvres se soudent... ses mains remontent ta robe découvrant à nouveau des fesses. Tu es suspendue à son cou frottant ton ventre sur son sexe. Déjà ses mains libèrent tes seins et sa bouche quittent la tienne pour en mordiller les bouts.
Tu ouvres sa ceinture libérant l'objet de ton désir... Une main s'insinue entre tes jambes à la recherche de ton bouton... Je sais que tu es déjà trempée ; prête à exploser pour la première fois ce soir... Que tu es belle quand tu jouis...
La femme qui est prêt de moi gémit sous les caresses de son compagnon. Sa main effleure la mienne, c'est une invitation ? Je tends ma main vers sa chatte. Son compagnon me laisse la place, libérant à son tour ses seins qu'il caresse en faisant rouler les pointes sous ses doigts. Elle non plus, ne résistera pas longtemps...

Je t'ai quitté des yeux quelques instants... Tu t'es accroupie écartant tes jambes entre lesquelles ton abricot coule comme un fruit mûr... Tu as pris son membre, gros, raide, turgescent comme tu les aimes. Ton compagnon finit d'ôter sa chemise. Il est nu, il se laisse aspirer... Il gémit lui aussi, il résiste, se mord les lèvres pour ne pas partir tout de suite dans ta bouche.
Tu caresses ton sexe pour apaiser un peu le feu qui dévore ton ventre. Mais tu n'en peux plus, tu veux être prise...
Ma partenaire me caresse le sexe, je bande comme un fou...

Tu te lèves et tu te places en levrette sur le lit central... Ton regard me cherche derrière le rideau puis à travers les hublots. Ton jeune amant comprend vite, il s'est déjà protégé et il passe derrière toi...
Enfin tes yeux me trouvent alors qu'il s'enfonce en toi en maintenant tes hanches... et pour la seconde fois, tu exploses.
Ton regard me fixe. Que tes yeux sont beaux quand tu jouis !
Alors qu'il commence ses va-et-vient puissants, je lis sur tes lèvres : « Viens ! ». Je passe le rideau, abandonnant ma partenaire qui coule comme une fontaine en râlant, totalement ouverte par la main de son compagnon.
Je m'approche, je t'entend dire : « Mon mari. » juste avant que ma queue t'empêche de parler. Et durant un long moment, nous te baisons jusqu'à ce que la jouissance nous emporte tous les trois.

À suivre