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Proposée le 18/12/2007 par ASGAARD
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Avec un groupe d'amis dirigés par une archéologue, nous avions décidé de faire voile en direction de l'inde. L'expédition concernait la recherche de vestiges d'un ancien temple du nord de l'Inde.
Faisant relâche à Pondichèry, nous disposions de deux jours de repos. Après avoir visité les principaux monuments de la ville, je m'éloignais des ruelles touristiques pour errer dans les bas fonds. La nuit tombait et je n'arrivais plus à me repérer quand je tombais nez à nez avec Madame...., notre chef d'expédition.
- Que faites-vous là ?
Je lui répondis que je m'étais égaré et elle me proposa d'aller manger et de boire du thé dans un endroit original.
L'ambiance, l'odeur d'encens, étaient des plus raffinés. Avachis sur des poufs, nous goûtions des mets succulents. Au cours du repas, je remarquais que mon interlocutrice adoptait une position de plus en plus alanguie. Le haut de son chemisier légèrement déboutonné laissait entrevoir la naissance de sa poitrine.
Je m'efforçais de rester de marbre. Elle saisit une friandise de forme allongée qu'elle suça délicatement en me regardant droit dans les yeux et me demanda :
- Savez-vous où nous sommes ?
- Oui dans un restaurant...
- C'est à la fois vrai et faux. Dans le passé, il s'agissait d'un harem de la dernière dynastie du maharadjah. Cela semble vous troubler...
Je lui répondis par la négative en tentant vainement de contenir la rougeur que je sentais venir.
Elle défit son chignon, poursuivit son explication, tout en suçant langoureusement ses doigts. Selon elle, la fresque située derrière nous représentait différents personnages dont l'un des visages cachait un judas permettant au prince d'observer ses favorites. La rumeur affirmait que certaine d'entre elles étaient lesbiennes. Je sentis mon chibre se gonfler au travers de mon pantalon en toile.
Deux serveuses vêtues de voiles transparents, leurs sexes à peine couverts par des filets de pierres précieuses, s'approchèrent de nous. L'une tenait une bassine d'eau où flottaient des pétales de roses.
Elles nous lavèrent les mains, nous servirent du thé et nous demandèrent malicieusement si nous voulions goûter aux délices de la Porte des plaisirs. Avant que je ne réponde négativement, l'archéologue me coupa le sifflet et déclara cruellement :
- Oui, Monsieur aimerait sous doute être massé à six mains. Allons, mon cher, ne faîtes pas la vierge effarouchée, vous croyez que je ne vous ai pas vu, en train de mater mon cul sur le pont du voilier. D'ailleurs vous pourriez également être plus discret quand vous vous branlez. La porte de votre cabine était fort mal fermée...
Nous entrâmes dans le haman ou six femmes nous dévêtir et huilèrent nos corps. Elles nous invitèrent à nous allonger sur un immense lit.
Les trois premières hôtesses s'occupèrent de l'archéologue. Celle-ci, à quatre pattes, fit venir à hauteur de son clitoris le visage de l'une des filles. Une autre, s'affairait à chatouiller avec une plume son divin cul, tout en y introduisant de temps à autre une série de six boules reliées aux dimensions croissantes. A chaque pression exercée par les boules luisantes de luxure, elle haletait et rugissait de plaisir. La troisième fille, allongée sur le dos, offrait son calice et subissait avec plaisir les coups de langue de Madame.
Moi, nu, fasciné par le spectacle qui s'offrait à moi, j'étais allongé sur le lit quand soudain je me réveillais brusquement, tiré du sommeil par le claquement de la fenêtre de ma chambre, qui était restée ouverte. La main posée, sur mon sexe en feu, tel un volcan d'où giclait mon foutre, je réalisais que cela n'était qu'un rêve d'Orient.