L'ordinateur complice

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Proposée le 20/11/2007 par Salvatore

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Nous étions au mois de juin, et en ce début de printemps le soleil réchauffait agréablement l'atmosphère et le moral. Dans les rues les filles allaient et venaient dans des tenues légères qui laissaient apparaître soit le début d'une gorge blanche, soit un mollet nerveux ou la naissance d'une cuisse fuselée. Les hommes, eux, lorgnaient ravis ce que leurs compagnes dévoilaient si généreusement, fantasmant sur ces appas devinés.

Profitant de mon samedi matin, je m'occupais à diverses tâches dans l'appartement, tandis que Martine, mon épouse, se préparait pour ce rendre à son rendez-vous chez le coiffeur.
Alors que nous vaquions à nos occupations, la sonnerie de la porte d'entrée nous fit sursauter et Martine, plus véloce que moi, alla ouvrir. Continuant mes travaux, je n'en tendais pas moins une oreille attentive, curieux de savoir qui pouvait nous rendre visite en ce samedi matin.

- Michèle, quel hasard ?

Michèle était notre voisine de pallier avec laquelle nous avions sympathisé. C'était une femme d'une trentaine d'année, dodue sans être vraiment grosse, elle était néanmoins bien en chair. Elle possédait un visage rond, agréable, que ses cheveux mi-longs amincissaient quelque peu. Deux yeux noisette éclairaient son regard d'une lueur malicieuse. Un nez aux narines palpitantes, et une bouche aux lèvres épaisses donnaient à ce visage une forte sensualité. Avec quelques kilos de moins Michèle aurait pu être une très belle femme. De sa robe légère à manches courtes jaillissaient deux bras potelés, tandis que sa poitrine gonflait outrageusement le devant du vêtement. D'après mon estimation elle devait faire un 95D. Sa robe imprimée se plaquait étroitement sur des hanches larges, soulignant un ventre rebondi et une croupe incroyablement pulpeuse.

Lorsqu'il m'arrivait de me trouver derrière ma voisine, lors d'une rencontre fortuite, le balancement sensuel de cette croupe aguichante m'échauffait le sang. En fait, la jeune femme possédait un derrière à l'image de son opulente poitrine. Bien que cette femme n'était pas particulièrement belle, je me sentais étrangement attiré par ses formes exceptionnelles. Il m'arrivait de plus en plus souvent, lorsque je faisais l'amour à Martine, de m'imaginer que je m'épanchais dans le ventre ou entre les fesses de notre aguichante voisine.

- Je m'excuse de vous déranger, s'exprimait Michèle. Je dois aller passer des examens au laboratoire, et comme mon mari a dû aller voir sa mère qui n'est pas bien, je voulais savoir si tu pouvais me garder Patrick. Je ne peux l'amener avec moi.
- Mais bien sûr, accepta Martine, qui ne savait jamais refuser un service à qui que ce soit. Je dois aller chez le coiffeur, mais ça ne fait rien, Salvatore gardera ton fils.
- Ca ne vas pas l'embêter, s'inquiéta Michèle. Je n'en ai que pour une demi-heure tout au plus ..
Et c'est ainsi que je me retrouvais promu « nounou » d'un garçonnet de huit ans, aussi gêné que moi de se trouver là. Songeant qu'il fallait à tout prix trouver une occupation à mon protégé, j'optais pour mon ordinateur, dans lequel traînait un ou deux jeux. Comme tout garçon de son âge, Patrick trouverait le temps moins long si je le laissais pianoter.

- Tu veux jouer sur l'ordinateur ? Lui demandais-je, certain qu'il n'allait sûrement pas refuser pareille offre.
- Oh oui ! S'exclama le gamin, retrouvant soudain son sourire... Qu'est-ce que tu as comme jeux ?
Rassuré sur la suite de l'attente, j'installais donc le garçon devant l'ordinateur qui se trouvait sur mon bureau et lui chargeais un jeu. Songeant que je ne pouvais pas laisser le garçonnet tout seul, même s'il n'y avait réellement de risque, je décidais de rester prés de lui. Je m'installais donc sur l'un des fauteuils meublant la pièce servant de bureau, à lire une revue informatique. Ainsi le temps passa plus vite pour nous deux. Patrick malmenait le joystick afin d'abattre le maximum d'Aliens et ne souciait ni de moi, ni de tout ce qui pouvait se passer en dehors de sa « guerre des étoiles ».
C'est au milieu des exclamations du garçonnet, mêlées aux bruits des tirs Lasers, que je devinais, plus que je l'entendais, la sonnerie de la porte d'entrée. Posant ma revue, je m'empressais d'aller ouvrir à la mère de mon tueur de monstres.

- Ça y est, me voilà, me sourit Michèle quelque peu essoufflée. Je me suis dépêchée, j'espère que Patrick ne vous a pas trop embêté.
- Nullement, lui rétorquais-je, le regard attiré par sa forte poitrine qui se gonflait au rythme de sa respiration. Il s'éclate devant l'ordinateur. Venez voir !

Précédant ma provocante voisine, je la conduisis jusqu'au bureau où Patrick continuait à se battre férocement contre les envahisseurs.
- Patrick, ... Viens, il faut rentrer maintenant, lança Michèle à son fils.
- Oh non ! Pas tout de suite protesta le garçonnet en se démenant sur son fauteuil.

Saisissant l'occasion qui m'était donné de garder près de moi cette femme aux si généreux appas, je m'empressais de prendre la défense de son fils :
- Vous avez bien deux minutes... Laissez-le finir sa partie.

Curieuse, Michèle s'était approché de son fils et se tenait derrière son fauteuil, suivant d'un œil intéressé ce qui se passait sur l'écran du moniteur. D'où je me trouvais, placé au milieu de la pièce, je ne voyais que le dos de mon aguichante voisine. Aussi j'en profitais pour fixer avec convoitise la partie de son anatomie qui me faisait tant fantasmer. La robe légère se tendait sur la vaste croupe, dessinant avec une précision impudique les formes des plantureuses fesses. Ce spectacle terriblement érotique déclencha en moi une furieuse excitation. J'essayais de m'imaginer à quoi pouvait ressembler ce fabuleux derrière une fois dénudé. Quel volume pouvaient avoir ces fabuleuses fesses une fois libérées de leur prison de nylon ?
Autant Martine possédait un corps mince et souple, presque un corps d'adolescente, autant je me trouvais attiré par celui, tout en chair de notre voisine. Penchée sur le dossier du siège de son fils, Michèle prise par le jeu se mit à encourager son rejeton, l'aidant de la voix à combattre les méchants dragons :
- Attention ! Là, à droite, à droite. Attention en voilà encore un ! Là !

Stimulée par la bataille auquel se livrait son fils, la jeune femme ne tarda pas à s'agiter fébrilement. A se démener ainsi, afin d'encourager son rejeton, Michèle ne se doutait pas qu'elle m'offrait un spectacle terriblement affriolant. Amusé et de plus en plus excité, je suivis d'un œil concupiscent le ballet érotique de l'opulent derrière, qui remuait en tous sens. La gorge nouée par ce spectacle d'une rare lubricité, j'éprouvais alors le désir sournois d'empoigner ces hanches qui ondulaient d'une manière terriblement suggestive. Certaines paroles de ma femme, au sujet de notre voisine, me revinrent en mémoire. D'après ce qui se disait ça et la, Michèle n'était pas considérée comme un modèle de vertu, et certaines mauvaises langues lui prêtaient de nombreuses aventures extraconjugales. Or si ces différentes rumeurs m'encourageaient à oser un attouchement précis, la crainte que tout ce que l'on pouvait dire au sujet de la jeune femme ne soit faux me retenait encore.
Mais le ballet bouleversant de cette croupe tant désirée, tel un appel à assouvir mon désir, finit par me faire rejeter toute prudence. M'approchant de la femme par derrière, j'osais refermer avec émoi mes deux mains autour de ses hanches potelées. Le cœur battant la chamade, je perçus avec émotion, sous le léger tissu de la robe, la fermeté des chairs féminines. Alors que je m'attendais inquiet à ce que Michèle me repousse, scandalisée par mon audace, j'éprouvais un intense plaisir à constater que cette dernière, non seulement ne tentait pas de se soustraire à mon attouchement hardi, mais qu'au contraire elle semblait l'accepter. Les mains agrippées au dossier du fauteuil, sur lequel se démenait son fils, elle s'immobilisa, la croupe tendue en arrière, comme dans l'attente d'un contact plus précis de ma part.

Confondu par la docilité avec laquelle la femme avait accepté mon étreinte, je pressais fiévreusement mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, éprouvant un indicible plaisir à sentir ce corps charnu ainsi offert à mes attouchements. Aussi, je ne me privais pas de palper, comprimer, pincer ces chairs fermes, me gavant de papouilles. Pendant tout le temps que je lui malaxais les hanches, Michèle demeura immobile, ne cherchant jamais à fuir mes attouchements de plus en plus précis. Au contraire, il me sembla que sa croupe se tendait de plus en plus dans ma direction, comme pour me faire comprendre que non seulement elle acceptait mes privautés, mais qu'elle m'encourageait à les affiner.

A pétrir ainsi fiévreusement l'objet de mes fantasmes, une formidable érection au bas de mon ventre ne tarda pas à naître. Ma virilité se gonfla inexorablement et déforma mon pantalon.
Il fallait que je fasse connaître à ma complice l'état dans lequel ses énormes appas me mettaient et je m'avançais légèrement, afin de coller mon bas-ventre contre sa vaste croupe évasée. Remuant doucement des hanches, j'entrepris alors de frotter vicieusement mon membre dilaté contre le vaste derrière tendu. Vicieusement, je tachais de faire coulisser ma raideur dans la raie des fesses que je devinais au toucher.

A ce contact, Michèle s'appuya au dossier du fauteuil sur lequel Patrick était installé, et immédiatement lança sa vaste croupe en arrière, recherchant mon contact. Malgré l'impérieux désir qui m'habitait, je remarquais que ma vicieuse partenaire, s'était positionnée de manière à ce que le haut de son corps forme un écran aux regards curieux qu'aurait pu jeter le garçonnet.

Rassuré alors sur l'approbation de ma victime à mes désirs, je resserrais mes mains sur ses hanches, crochetant mes doigts dans ses chairs fermes et potelées. Avec une véritable ivresse sensuelle, je pressais et malaxais les rondeurs épanouies. Sachant que nous serions tranquilles pendant environ encore deux heures, avant le retour de mon épouse, je pris tout mon temps pour me griser de ces attouchements qui mettaient le feu à mes sens. Je triturais à pleines mains les flancs charnus qui oscillaient sensuellement sous mes doigts, tout en frottant avec volupté ma verge gonflée contre les fesses opulentes.

A sentir la raideur qui lui meurtrissait le derrière, Michèle ne pouvait ignorer la force de mon désir. A un moment elle tourna la tête vers moi, et me souriant d'un air complice, elle glissa vivement sa main droite entre nos deux corps accolés. Sans avoir à chercher, la jeune femme trouva immédiatement ma virilité. Avec émoi je sentis les doigts féminins se refermer sur l'énorme protubérance qui déformait ma braguette, qu'ils pressèrent avec autant de fièvre que j'en mettais de mon coté à pétrir les hanches. Malgré l'épaisseur du tissu de mon pantalon, Michèle entreprit de me branler furieusement à l'aide de ses doigts refermés en pince autour de ma verge gonflée. Alors un étrange dialogue s'instaura entre ma complice et son fils.
- Oh le gros là ! S'exclama-t-elle à l'intention de Patrick en lui désignant un monstre sur l'écran du monitor, alors que sa main pressait plus fortement ma virilité, comme pour en apprécier le volume. Qu'est-ce qu'il est gros !
Comprenant qu'elle faisait ainsi allusion à ma queue, je ressentis une nouvelle bouffée de désir m'envahir. Comme une furieuse envie de sentir la main féminine se refermer autour de mon membre viril tendu me tenait, je décidais d'en faire part à ma compagne en employant le même stratagème. Je m'adressais donc à elle par l'intermédiaire de son fils :

- Essaye de l'attraper !

Oubliant alors toute prudence, mais me sachant à peu prés tranquille pour encore deux heures, je m'empressais de faire glisser le zip de la fermeture éclair de ma braguette. Comprenant à mes mouvements à quelle activité je me livrais, Michèle cessa de me masturber afin de me laisser œuvrer à ma guise. Mais dès que l'ouverture fut praticable, elle se dépêcha d'y introduire la main, repoussant sans ménagement les tissus qui freinaient son exploration. D'un geste vif elle plongea ses doigts dans mon slip qu'elle chiffonna, libérant l'objet de sa convoitise. Puis d'une main douce mais énergique, elle entreprit de masturber le mandrin de chair qu'elle avait trouvé. Ivre de luxure, je m'empressais de tendre mon bas-ventre, offrant avec délice mon dard vibrant à la sensuelle caresse. Oeuvrant à l'aveuglette, Michèle ne m'en branlait pas moins avec une douceur extrême, décalottant largement mon gland gonflé. Les deux mains crochetées dans les opulentes fesses, qui continuaient à se mouvoir en un ballet terriblement lascif, je m'abandonnais entièrement aux plaisir que me procurait ma charmante voisine.

Palper les chairs plantureuses du vaste derrière attisa en moi le désir de contempler cette croupe qui me faisait fantasmer depuis des mois. Alors, sans plus réfléchir à ce que mon geste avait de hasardeux, vis-à-vis du garçonnet qui pouvait à tout moment se retourner pour découvrir à quels jeux je m'adonnais avec sa mère, je saisis le bas de la robe pour la retrousser. Sans interrompre la sensuelle masturbation qu'elle me prodiguait, Michèle cambra ses reins à l'extrême, m'offrant ses fabuleuses rondeurs, sanglées dans une culotte blanche à petites fleurs. La coquine lingerie, du fait de la position de sa propriétaire, se plaquait étroitement sur le large derrière tendu, laissant deviner par transparence, la longue raie séparant les fesses potelées.

Accoudée au dossier du fauteuil sur lequel son fils se démenait toujours, Michèle enserra tendrement de son bras libre le visage du garçonnet, afin d'empêcher celui-ci de se retourner et de découvrir ce qui se passait derrière lui.

Je demeurais extrêmement troublé à constater combien ma sensuelle voisine prenait des précautions pour que son fils ne vienne pas troubler ce qu'elle était prête à m'accorder. Incapable de maîtriser plus longtemps le désir qui me torturait le bas-ventre, je pinçais l'élastique du ravissant slip fleuri et le tirais vers le bas. Avec une ivresse érotique, je dénudais le merveilleux postérieur. Pour exécuter cette manœuvre je dus me reculer légèrement, libérant par de retrait, ma queue tendue de la main qui la cajolait.

- Oh comme c'est dommage, s'exclama Michèle, alors que son rejeton venait dans le même temps de louper un Alien.
Détournant son visage dans ma direction, la jeune femme me lança un sourire complice, m'encourageant dans mon entreprise. Me laissant complaisamment la déculotter, elle m'aida même à faire glisser sa lingerie le long de sa croupe, en remuant doucement ses hanches rebondies. Le merveilleux cul féminin m'apparut alors dans toute sa splendeur, vaste, énorme, fendu en son milieu par une longue fosse profonde, mystérieuse et combien troublante. Ne pouvant me retenir, je me laissais tomber à genoux face à cette splendide croupe à la peau blanche et veloutée, dans laquelle je crochetais mes doigts, écartant largement les fesses rondes et fermes. Avec une émotion d'adolescent, je dénichais l'affolant orifice brun et plissé. Ivre de luxure, je collais ma bouche à l'orifice anal que j'entrepris de lécher avec délectation.

J'enfonçais avec sensualité ma langue à l'intérieur des profondeurs mystérieuses de ce cul émouvant. Aussitôt, ma sensuelle partenaire se mit à tanguer sur place, remuant follement son derrière, lançant son anus à rencontre de ma langue fouisseuse.

Tout en pratiquant ce baiser anal enivrant, je m'imaginais ma bienheureuse victime penché sur son fils, et faisant d'énormes efforts afin de ne pas dévoiler le plaisir qu'elle éprouvait. Je l'entendis conseiller son fils d'une voix sourde.

- Oui, c'est bien mon chéri... Continue comme ça !

Les recommandations qu'elle donnait à son rejeton étaient surtout des encouragements à poursuivre l'exploration de son anus. Maintenant les fesses largement écartées, je vrillais ma langue dans le cul palpitant, léchant les contours sensibles, me régalant de voir la rosace brunâtre frémir doucement sous mon baiser particulier. Sous cette exploration anale, qui devait certainement lui procurer un certain plaisir, Michèle se déhanchait de plus en plus lascivement, me stimulant dans ma prospection. Mais me sachant pris par le temps, j'abandonnais à regret l'orifice palpitant et certainement prêt à d'autres pénétrations plus consistantes. Ma chaude voisine avait le cul accueillant. Je glissais alors ma bouche en direction du sexe que je devinais, tapi au centre d'une foret luxuriante. Michèle possédait une telle pilosité pubienne que je dus m'aider de mes doigts pour écarter les longs poils bouclés, d'un noir de geai, afin de dénicher la longue faille sexuelle. Comme j'approchais ma bouche de la vulve broussailleuse, une forte odeur épicée m'agressa les narines.

Grisé par ces effluves odoriférantes qui s'élevaient de la chatte aux lèvres écarlates, j'enfonçais, avec un émoi d'adolescent, ma langue entre les longues babines sexuelles. Aussitôt un jus chaud et au goût acre m'humidifia la bouche. Longuement je léchais les sucs qui émanaient des profondeurs du vagin en fusion, m'enivrant de ce nectar fortement parfumé. Sous mes coups de langue qui lui fouillaient profondément la vulve, Michèle se mit à agiter sa croupe, frottant furieusement sa fente ruisselante contre mon visage, m'engluant le nez et le menton de ses sécrétions vaginales. Vu l'abondance des liqueurs amoureuses qui m'aspergeaient le bas du visage, je jugeais que ma complice avait atteint un degré d'excitation maximum, et qu'il était temps pour moi d'assumer enfin mes fantasmes. J'allais enfin pouvoir enfoncer mon membre dans ce vagin liquéfié, que j'avais tant convoité.
Abandonnant alors la chatte ruisselante d'une mouille brûlante, je me redressais. D'un rapide coup d'œil, Michèle se renseigna sur les raisons qui m'avaient poussé à abandonner le léchage de sa chatte. Me découvrant debout, la bite hors de ma braguette, elle devina immédiatement mes intentions. D'un hochement de tête, elle me fit comprendre qu'elle était d'accord pour accepter mes assauts. Se cambrant au maximum afin de mieux s'offrir elle écarta largement ses cuisses grasses, véritables colonnes de chair, fermes et solides.
Tout à son jeu, Patrick, inconscient de ce qui se passait derrière lui, entre sa mère et moi, avait dû passer au tableau suivant, car j'entendis sa mère le conseiller :

- Là, tu peux entrer... N'ait pas peur... Fonce...

Puisqu'elle me le demandait j'aurais eu mauvaise grâce à la décevoir. Saisissant ma verge énormément gonflée de la main droite, je la dirigeais entre les cuisses charnues de ma chaude voisine, plaçant mon gland dilaté entre les grandes lèvres sexuelles gorgées de désir.

- Oui chéri, lança soudain Michèle à son fils. Défonce-le !... Tu peux y aller.

Comprenant une fois de plus que ces encouragements m'étaient en fait destinés, je lançais mon bas-ventre en avant, faisant pénétrer la totalité de ma queue dans la vulve accueillante. J'eus l'impression de m'enfoncer dans un brasier, tant la femme était chaude.

- Voilà, c'est bien, continua Michèle, en s'adressant toujours à son fils. Continue maintenant... Ne t'arrête pas.

Crochetant mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, le regard fixé sur sa magnifique croupe qui se tendait vers moi, j'imprimais un mouvement de va-et-vient à mon bas-ventre. Avec un plaisir décuplé encore par la situation, je m'activais dans le fourreau incandescent de ma complice. Malgré la grosseur de ma queue, qui sans être d'une taille phénoménale, possédait quand même une dimension raisonnable, je me trouvais au large dans ce corridor charnel. Un excitant bruit de clapotis ne tarda pas à s'élever du sexe féminin baratté. Ma virilité naviguait avec une facilité déconcertante dans un océan de mouille brûlante.

Recherchant désespérément l'orgasme qui viendrait me libérer de ce désir qui me torturait le bas-ventre, je me démenais comme un fou contre les fesses tendues, les claquant sauvagement de mon ventre. Ma verge, tendue à m'en faire mal, coulissait rageusement dans la vulve transformée en véritable marais. Michèle mouillait d'une manière incroyable. Sa chatte investie et fougueusement ramonée par mon mandrin de chair, ruisselait littéralement, comme si soudain un barrage tapi aux fond de son vagin avait cédé et déversait son trop plein de liquide organique en un flot torride.
- Oui, c'est bien, ne cessait de murmurer ma complice, à l'attention de son fils, toujours passionné par sa destruction d'Aliens. Continue... Encore... !

Cependant, à me démener de la sorte, je ne tardais pas à sentir le plaisir monter le long de mon membre viril qui s'agitait dans une humidité tropicale. Fixant la large croupe qui avait pris une ravissante couleur rosée, sous les coups répétés que mon ventre lui assénait, je m'acharnais dans le vagin accueillant.

Une fois le processus lancé, tout se passa alors rapidement. Une onde voluptueuse, vertigineuse, incontrôlable me submergea, me tétanisant de la tête aux pieds. Dans la chatte incandescente, ma verge augmenta encore de volume, avant d'exploser dans un véritable feu d'artifice. Les doigts furieusement plantés dans les hanches rebondies de ma sensuelle partenaire, je me mordais les lèvres pour ne pas laisser échapper le grognement de plaisir que je sentais prêt à jaillir de ma gorge. Tressautant par spasmes réguliers, ma verge cracha sa semence au plus secret du vagin dilaté, lâchant de longues salves de sperme, telle une mitrailleuse tirant ses coups lors d'un combat.
Je ne sais combien de temps je restais ainsi, prostré dans les entrailles de ma volcanique voisine. Ce furent les cris de triomphe de Patrick, qui venait lui aussi d'atteindre la victoire finale, qui me tirèrent de ma léthargie voluptueuse. Délicatement je retirais mon membre quelque peu ramolli de la vulve débordante, puis apercevant la culotte aux fleurs roses de ma complice à nos pieds, je la ramassais afin d'essuyer les taches blanchâtres qui souillaient mon membre déliquescent. Comme je réintroduisais ma verge ramollie dans mon slip, Michèle abandonna sa position penchée en avant, sa robe retomba, me cachant son fessier généreux et terriblement sensuel.

- Allez Patrick, maintenant que tu as terminé, il faut y aller, papa ne va tarder à rentrer et tu vas l'entendre rouspéter si le dîner n'est pas prêt.

Tout heureux d'avoir détruit tous les Aliens, le garçon sauta de son siège et se précipita vers la porte. S'assurant que son fils ne pouvait ni nous voir, ni nous entendre, Michèle s'approcha de moi pour plaquer ses lèvres aux miennes dans un baiser rapide et furtif, tandis que sa main droite empoignait mon membre à travers mon pantalon.

- C'était bon, me souffla-t-elle. Un peu rapide, mais j'ai quand même eut le temps de jouir... Il faudra que l'on remette ça, mais en prenant tout notre temps... Enfin si tu es d'accord ?
- Quand tu voudras, m'empressais-je d'acquiescer.
- Cet après-midi... A deux heures dans la cave... C'est l'heure où mon mari fait sa sieste... On sera tranquille...
- D'accord pour cet après-midi, approuvais-je.

Saisissant ma nouvelle amante par la taille je la raccompagnais jusqu'à la porte en lui caressant sensuellement les fesses.
- Oh ma culotte ! S'exclama-t-elle soudain affolée.

Je lui tendis sa lingerie intime que j'avais gardée à la main. S'en saisissant, elle la rangea dans une des poches de sa blouse.
- Il n'aurait pas fallut que ta femme tombe dessus !

Sur un dernier rapide baiser donné en cachette de son fils, elle me demanda :
- Tu penses que tu auras récupéré pour cet après-midi ?
- Ne t'en fais pas j'ai de la réserve ...
- Alors tant mieux... Maintenant je vais me nettoyer, j'en ai plein les cuisses. Tu décharges toujours autant ?
- Toujours, lui confirmais-je. Je te le prouverais tout à l'heure.

Sur un dernier baiser, Michèle partie rejoindre son fils déjà au bout du couloir, me laissant seul avec ma braguette déboutonnée.