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Proposée le 22/10/2011 par CAVAL
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Résumé : Elodie et Hervé vivent une vie amoureuse et sexuelle totalement épanouie. Ils éprouvent beaucoup de plaisir à séjourner dans des lieux naturistes (centres ou plages libres) sans pour autant mener une existence libertine jusqu'à maintenant.
C'est avec ses parents et son frère qu'Elodie a connu le plaisir de vivre nu au soleil. Mais, qu'est devenu celui-ci, bisexuel, avec lequel elle était très liée.
CHAPITRE XVII
Visite de mon frère
Cela faisait tout juste deux ans que je vivais avec Hervé, lorsqu'on lui proposa une promotion professionnelle et une mutation dans le sud ouest de la France, dans un endroit beaucoup plus ensoleillé que la Bretagne. Même si je devais quitter mon emploi, j'acceptais de le suivre avec une joie non dissimulée. Les projets d'avoir une maison à nous allaient peut-être pouvoir se réaliser. Car il faut bien dire que la vie en appartement ne nous permettait pas de vivre notre nudité en totale liberté. Je savais pertinemment que si je commençais à me balader à poil, dans l'un des logements qui nous faisaient vis-à-vis, il y aurait un voyeur pour se rincer l'oeil. Donc si je voulais demeurer nue, si je voulais me lever le matin sans enfiler une nuisette où si je voulais faire un effeuillage en règle pour mon homme, ou encore lui prodiguer une gâterie, il fallait prendre garde à bien tirer les rideaux.
Je décidais également de me mettre à mon compte en tant qu'infographiste. Mon patron, que je devais quitter, m'encouragea en ce sens en me donnant plusieurs coups de pouces. Il me laissa un ordinateur dont il voulait se défaire pour un prix modique, me proposa de me rétrocéder certains dossiers (une sorte de sous-traitante) et même me laissa de partir avec deux clients avec lesquels j'avais travaillé presque directement. Cela me permettait de démarrer, avant d'avoir de nouveaux contrats et de me faire une clientèle. C'était très gentil de sa part. Je crois que je lui plaisais bien ; il aimait particulièrement, lorsque durant l'été, je m'habillais plus légèrement. Parfois je voyais son regard s'attarder sur mes formes où essayé deviner la naissance de mes seins dans mon décolleter. Cependant, jamais il n'y eut quoique ce soit : Ni propos licencieux, ni propositions indécentes, ni mains baladeuses, pas même des paroles équivoques.
Nous nous sommes installés près de Toulouse, en appartement, avant de trouver mieux. Ce ne fut pas long, moins de trois mois plus tard nous emménagions dans une maison spacieuse avec un grand jardin et surtout sans vis-à-vis : Personne ne pouvant voir ce qui se passait chez nous. Il y avait quelques travaux à faire, mais nous pouvions y vivre sans aucun problème.
Avec la maison, nous bénéficions d'une grange attenante qui pourrait fort bien, en cassant un mur, agrandir considérablement notre chez nous, ainsi que quelques petits bâtiments au fond du jardin, qui eux, par contre, nécessiteraient de gros travaux si nous voulions les transformer? en gîte par exemple. Il s'entend bien que ce serait un gîte naturiste, avec une piscine que nous ferions installer dans le jardin. Mais tout cela c'était des idées, même pas des projets. Pour l'instant nous disposions d'une maison pour pouvoir continuer à vivre notre amour et affermir notre passion : un nid douillet pour un couple d'amoureux.
Nous emménageâmes dans cette maison durant l'hiver. Pour les bains de soleil nus dans le jardin c'était un peu loupé. Par contre, pour les câlins avec vue sur la nature, c'était permis. Je pouvais déambuler dans la maison en petite tenue ou totalement nue sans me soucier qu'on puisse m'observer. J'en éprouvais un énorme plaisir. Hervé était un peu moins exhibitionniste que moi : Durant la journée il s'habillait même s'il ne devait pas sortir à l'extérieur. Le matin pour prendre le petit déjeuner, selon la température il mettait un polo, mais, à ma demande, jamais de culotte.
Parfois je prenais la queue en main pour une « petite branlette matinale » comme je disais. Mais je n'allais jamais jusqu'à l'explosion, je voulais qu'il lui en reste sous la pédale durant la journée. Puis douche commune où nous nous faisions plein de papouilles l'un l'autre. Ces doux attouchements étaient pleinement jouissifs tant pour l'un que pour l'autre.
C'est là que nos itinéraires divergeaient : Pour ma part je restais nue où je revêtais une tenue très lâche, ne cachant pas grand- chose, voire les montrant : Le décolleter tellement large, que les seins en sortaient et des robes tellement courtes que j'avais le cul et la chatte à l'air, car naturellement, je ne portais aucun dessous. Mon homme quant à lui mettait au minimum un caleçon à mon grand dam. Ce n'était pas une question de pudeur, mais il disait qu'il ne se sentait pas à l'aise pour faire des travaux dans la maison dans le plus simple appareil.
Après tout, je préférais qu'il soit habillé pour bricoler, plutôt qu'endommager une partie de sa virilité? Cela aurait été préjudiciable.
Vers le début du printemps, alors que le temps permettait enfin de profiter du jardin, mon frère, Didier, et sa copine, Claire, sont venus nous rendre visite. Je découvrais la jeune femme que je ne connaissais pas. C'était une jeune métisse de 19 ans tout juste, ayant encore le regard d'une enfant, mais le corps épanouie d'une femme. Elle avait tout ce qu'il fallait là où il fallait : Une lourde poitrine, une paire de fesses proéminentes tout en ayant une taille svelte. Elle n'avait rien à voir avec ces mannequins sans forme, bien au contraire.
Lorsqu'elle arriva habillée, on devinait déjà nettement ses formes, mais lorsqu'elle sortit de la chambre, totalement nue, le plus naturellement du monde pour aller s'allonger sur un transat dans le jardin, la beauté et les rondeurs de son corps n'en étaient que plus éclatantes. Je remarquais également qu'elle avait le sexe totalement épilé. Hervé et moi nous avions gardé un minimum de vêtement, nous la regardâmes passer et s'étendre dans le jardin. Voyant cela, nous quittâmes nos habits. Mon pauvre loup était en semi- érection :
- Claire semble te faire de l'effet mon chéri ?
- Euh, je dois dire que ton frère a vraiment bon goût. On voit si rarement des filles noires sur les plages naturistes. Mais c'est aussi l'effet de surprise, je ne m'attendais pas à ce qu'elle apparaisse comme ça. Attends, je prépare des boissons, je me calme et je vous rejoints.
J'allais trouver Claire pour nouer connaissance avec elle. Didier m'avait seulement dit :
- Je viens avec ma copine. Elle est naturiste, comme vous n'est-ce pas.
- Très bien. Tu aurais trouvé chaussure à ton pied ?
- Pour l'instant oui. On verra par la suite.
- C'est vrai ? Toi qui a l'habitude de changer assez souvent de partenaire.
Il butinait, allant de fleur en fleur. A côté de lui, moi j'étais très fidèle et très stable, surtout depuis que j'avais trouvé l'homme qu'il me fallait.
Nous passâmes la journée tous les quatre nus au soleil dans notre jardin. La soirée étant fraiche, nous sommes rentrés dans la maison.
Claire voulut prendre une douche, je la conduisis dans la salle de bain. Une fois dans la pièce, elle ferme la porte derrière nous et presse son corps nu et ample contre le mien. Je sens ses seins lourds s'écraser contre les miens. Sans hésiter, elle m'embrasse, sa langue force mes lèvres que j'ouvre sans me défendre. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas fait l'amour avec une femme que j'en ai subitement envie. Je la prends dans mes bras, puis je descends sur ses seins ambrés, en m'assaillant sur le bord de la baignoire. Je les prends en main : Oh ! Combien ils étaient beaux tant par leurs formes, leurs poids, leurs couleurs et leur gout. Je les soupèse, je les caresse, je lèche le pourtour de leur rondeur, puis par cercles concentriques je m'approche de l'aréole dont la couleur est à peine différente de celle de la peau. Je saisis soudain la pointe érigée entre mes lèvres. Je la tète comme ferait un nouveau né.
L'autre sein, déjà tout dur, que je tiens dans ma main, est dans le même état ; je pince doucement la pointe entre mes ongles. Claire respire bruyamment, mais elle veut reprendre l'initiative.
Elle s'agenouille devant moi, m'écarte les jambes avec ses mains et atteint ma vulve. Lorsqu'elle touche mon sexe, cela m'électrise et lorsqu'elle s'empare de mon clitoris, je ne peux réprimer un gémissement. Je jette la tête en arrière alors qu'elle branle délicatement mon bouton érectile. Elle écarte délicatement mes grandes lèvres et approche sa figure de ma conque. Je sens sa langue me couper littéralement en deux. J'étais ouverte. Puis, d'un autre coup de langue elle va de mon clitoris à mon cul en passant par mon con : Divine caresse !
Puis elle me lape comme un petit chien. Elle revient à mon clitoris, elle le prend entre ses doigts humides pour le branler, puis entre ses lèvres. Je frémis, mon souffle devient plus court, va-t-elle me faire jouir en si peu de temps.
Elle introduit un doigt dans mon vagin et trouve sans difficulté mon point G. Je ne peux rien faire contre la vague qui me submerge : Je jute comme une malade, j'éjacule. Elle reçoit ma mouille sur le visage. Je crains sa réaction. Mais son sourire est si éclatant que je n'éprouve aucune gêne d'avoir jouit ainsi sur elle.
C'est mon tour de lui donner du plaisir : Elle se couche sur le tapis de bain et je me place entre ses jambes. Lorsque j'ouvre ses muqueuses, c'est un paysage rose qui m'apparait, bien loin de la couleur foncée de sa peau. Le goût de son sexe est absolument divin et aucun poil ne vient gêner mon exploration.
Est-ce pour cela que les hommes aiment que nous ayons le sexe glabre ? Ou est-ce pour que nous apparaissions encore plus nues à leurs yeux ? Ou encore cela est-il une envie malsaine d'avoir l'impression de faire l'amour avec une jeune fille nubile ? En tout cas ce n'est pas le cas d'Hervé qui désire que je garde ma fine toison pubienne, donc moi je garde mes poils.
Je fouille, je titille, je parcoure les profondeurs intimes de la copine de mon frère. C'est un réel plaisir. Mais si j'en éprouve, j'en donne également, car le corps de la fille se cambre, elle enserre entre ses cuisses ma tête, elle va jouir, n'écoutant que ma perversité, j'en profite pour plonger un doigt humide de sa cyprine dans son cul.
Elle est secouée par un orgasme violent. Je n'ai pas trouvé son point G, mais sa jouissance a tout de même été spectaculaire. Elle reste pantelante sur le sol les yeux grands ouverts dans le vague. Je l'aide à se remettre debout, la mène vers la douche que nous prenons en commun. La cabine est assez spacieuse pour nous deux.
Lorsque nous l'avions installé avec Hervé, nous avions pensé que prendre des douches en commun était une chose très agréable : Nous avions vu plus grand que le modèle standard.
En nous séchant, nous avons échangé quelques mots :
- Tu sais Elodie, si je voulais faire l'amour avec toi, ce n'est pas que je ne prends pas de plaisir avec ton frère.
- Je ne l'ai pas pensé une seconde. Moi-même je suis très heureuse avec Hervé et pourtant j'avais très envie de toi.
- Didier est vraiment un amant exceptionnel et très endurant. Pour moi, je ne pourrais trouver mieux et il me faut vraiment un mec comme lui pour me satisfaire.
- Tu es si avide de sexe que ça ?
- Oui. Tu sais, il y a des femmes qui se disent clitoridiennes et d'autres vaginales. Moi en plus je suis anale. Lorsque je fais l'amour, s'il n'y a pas une sodomie, cela a un goût de trop peu.
J'étais un peu abasourdie par son discours, moi pour qui la sodomie était un plaisir à déguster avec modération, elle avait vraiment une longueur d'avance sur moi.
Lorsque j'ai regagné ma chambre, Hervé me dit :
- Mais qu'est-ce que tu faisais ?
- Tu me promets de ne pas te fâcher ?
- Non, mais pourquoi ?
- J'ai fait l'amour avec Claire.
Hervé me regarda interdit. Puis son visage s'illumina et il me dit d'un air taquin :
- Et elle est bonne.
- Pour les amours lesbiens, elle est divine, je crois qu'elle en connait un sacré rayon. Pour le reste je ne sais pas, mais je compte sur mon frère pour l'avoir totalement déniaisée en la matière, il ne se serait pas encombré d'une frigide? Encore que pour le plaisir de lui apprendre le ravissement et la jouissance, il serait capable de relever le défi. Pour la beauté du geste en quelque sorte?
Hervé avait revêtu un caleçon et un teeshirt et moi une robe courte, totalement transparente, laissant apparaitre ma toison et l'aréole de mes seins. Bien-sûr je ne mis aucun sous-vêtement.
Lorsque nous avons retrouvé nos invités, eux aussi c'était un peu couvert, mon frère avait un caleçon hyper moulant qui ne faisait que mettre en valeur ses attributs et Claire un robe blanche qui tranchait avec la couleur de sa peau.
- Voilà les tenues de ma s'ur, je lui ai déjà dit qu'ainsi elle me faisait bander. J'ai beau me dire que c'est ma s'ur, mais ainsi elle est désirable. Je n'y peux rien, c'est simplement physique.
- C'est vrai que tu bandes, déclara Claire en posant sa main sur le short de son copain.
L'ambiance était survoltée, et le petit vin rosé qui accompagna le repas n'arrangea pas les choses. Les allusions grivoises, surtout venant de mon frère, fusaient et n'étaient pas pour nous déplaire, à nous les filles. Hervé était un peu plus réservé au début, mais comme il vit que tout cela m'amusait, il prit part au jeu.
A un moment, Claire dit :
- Vous nous excusez quelques minutes les hommes.
Et elle m'entraîna vers les chambres, en me disant que nous allions leur faire un petit spectacle. Je ne savais pas exactement ce qu'elle voulait faire. Elle prit dans sa chambre un petit sac et vint s'enfermer avec moi dans celle que je partageais habituellement avec Hervé.
- Nous allons mettre nos plus beaux dessous et pour nos hommes nous allons faire un striptease endiablé, tu vas voir, ça va les mettre dans un état' En tout cas, ton frère lui, il ne résiste pas.
Elle sortit de son sac des dessous en dentelles blancs qui tranchaient sur sa peau foncée de métisse. Je la suivais, en prenant les plus coquins dessous Aubade dont je disposais.
Pendant que nous nous déshabillions, je ne peux m'empêcher d'admirer son corps. Mes yeux se posent sur ses seins amples et fermes à la fois. Elle s'est aperçue de mes regards et me lance :
- Tu aimes mes nichons de négresse.
- Ils sont magnifiques.
- C'est la première fois avec une fille black ?
- Oui, c'est la première fois.
- Et tu as déjà baisé avec un mec black ?
- Non, tous mes amants ont été des mecs blancs. Ce n'est pas que je n'aurais pas voulu, mais parce que l'occasion de s'est pas présentée. La légende de leur sexe sur-dimensionné est-elle vrai.
- En général c'est vrai. Mais ton frère a une queue de belle dimension aussi. Par contre Hervé?
- Ne te fie pas à la bête lorsqu'elle est au repos. Si tu le vois en pleine érection, il est plutôt bien bâti.
- Je compte bien en juger par moi-même avec le petit spectacle que nous allons leur donner.
Nous nous retrouvâmes toutes les deux en porte-jarretelles, en string (le second sur le premier permettant d'enlever la culotte sans les attaches et les bas) et en soutient gorges à balconnets. Les tissus en dentelles étaient transparents et laissaient deviner nos mamelons érigés ainsi que pour ma part les poils de mon buisson. Claire était toute vêtue de blanc tandis que moi, je n'avais revêtu que des dessous noirs.
C'est dans cette simple tenue que nous nous sommes présentées devant nos compagnons. Un sifflement fut lancé par mon frère. Les deux hommes s'installèrent sur un divan, tandis que nous nous placions face à eux. Je n'avais pas grande expérience d'un effeuillage en règle : La plupart du temps, lorsque je me déshabille, c'est le plus naturellement du monde à moins que ce soit mon homme qui remplisse cet office tout en me caressant et en me baisant le corps. La plupart du temps je me présente nue devant Hervé et ma nudité suffit à son plaisir.
Heureusement, Claire prend les choses en main. Ce n'est pas un striptease simple que nous allons faire, mais un effeuillage mutuel. Claire va me déshabiller, tout en caressant mon corps avec sensualité, et moi je vais faire de même. Tout d'abord, nous nous enlaçons tendrement et nous nous roulons plusieurs patins tout en parcourant nos corps avec nos mains à travers les fins tissus. Ma compagne dégrafe mon soutien gorge alors que je tourne le dos aux deux mâles qui se délectent du spectacle. Puis c'est moi qui lui enlève la prison qui enserre ses gros siens.
Mais les mecs ne voient rien, car elle se colle tout contre moi et écrase ses seins contre les miens. Lorsqu'elle se détache de moi, ses mains malaxent ma poitrine et moi, l'imitant, j'en fais de même avec ses grosses miches dorées comme des pains trop cuits, mais tellement appétissants.
Là nos deux hommes ne se contiennent plus. C'est d'abord mon frère, Didier, qui baisse son bermuda, faisant jaillir une queue gonflée qu'il prend en main. Mon copain voyant cela, ne veut pas être en reste, c'est avec soulagement qu'il ôte lui aussi son futal : Sa queue dressée était vraiment à l'étroit.
Quant à nous deux, nous nous caressons les seins tout en nous embrassant à bouche que veux-tu. Puis Claire s'attaque à ma culotte, quelle baisse doucement. J'ai maintenant le cul à l'aire et j'offre ma chatte aux regards concupiscents des deux mecs qui se branlent en face de nous. C'est à mon tour d'enlever le string de ma compagne de jeux saphiques et d'exhibition ; je lui caresse son sexe glabre et doux comme la peau d'un bébé.
Nous nous plaçons tête bêche, en 69, pour un broutage de minou en règle. Au sexe humide de Claire, je sens qu'elle est très excitée par la situation : de pouvoir s'exhiber faisans l'amour avec une femme, non seulement devant le copain de sa compagne de jeux, mais aussi devant le frère de celle-ci, qui se trouve être son propre copain. Il faut dire que la scène n'est pas commune et elle n'est pas pour me laisser indifférente. Ce n'est pas la première fois que je vois mon frère se branler, mais cette fois-ci c'est devant un spectacle érotique très chaud que lui offre sa copine et moi-même. De plus Claire n'est pas au bout de ses idées salaces lorsqu'elle lance aux mecs :
- Branlez-vous mutuellement.
Mon frère qui a quelques expériences gays, ne se fait pas prier pour prendre en main le sexe de mon copain. Hervé n'ose réagir, mais il met un certain temps avant d'oser branler le membre en pleine érection de Didier.
Je n'en reviens pas, mon frère m'avait raconté ses pratiques homosexuelles avec son copain de chambrer, mais je n'ai jamais vu deux mecs se donner ainsi du plaisir. J'aurais pensé que c'était dégoutant et pourtant là, je trouve cela plaisant, très hard bien-sûr, mais il n'y a rien de sale, de répugnant.
Et tout à coup je suis très fière de mon homme, heureuse qu'il partage pleinement nos jeux sexuels de bisexualité et qu'il ose ainsi branler une queue et se laisser astiquer la sienne pas un homme. Ses yeux sont braqués sur la hampe dressée de mon frère et vu la manière dont il bande, il semble prendre beaucoup de plaisir.
Tout en jetant des coups d'oeil vers nos mâles, je savoure le jus de Claire. Je parcoure son sexe aux couleurs roses avec délectation. Quant à elle, elle me fait beaucoup de bien, si elle introduit un seul doigt dans mon con, je sais que je vais éjaculer, mais pour l'instant elle agit sur mes lèvres et mon clitoris avec sa langue uniquement.
Les hommes sont au summum de l'excitation, c'est alors que Claire, en dominatrice chevronnée, qui ne craint pas d'être désobéie, leur lance :
- Mettez vous en 69, comme nous, et sucez-vous.
Lorsque je vois Hervé et Didier avaler leur sexe, je n'en reviens pas. Mon étonnement vient surtout de mon copain que je ne croyais pas capable d'accepter de tels attouchements d'un mec, ni d'en donner d'ailleurs. J'en éprouve à nouveau du plaisir, surtout que c'est avec mon frère.
L'excitation est trop grande : Entre les caresses buccales divines de la belle métisse, le spectacle que nous offrent les deux mecs, je ne peux retenir plus longtemps ma jouissance et je me pâme en lançant un cri ou plutôt un râle. Les mecs me suivent en éjaculant par des jets puissants dont certains nous atteignent. Claire frotte son sexe contre ma chatte tout en se massant le clitoris et est, elle aussi, submergée par une vague de plaisir.
Je ne sais pas ce qui s'est vraiment passé dans les minutes qui suivirent. Ce dont je me souviens c'est d'être assise dans un des canapés, un verre de jus de fruit à la main avec la tête d'Hervé tout contre ma chatte, ses cheveux se mêlant à mes poils. Il est allongé sur la banquette. Claire est lovée dans les bras de mon frère, elle a les cuisses largement ouvertes, laissant son sexe ouvert disponible à nos regards. Nous sommes là, étendus tous les quatre, totalement nus sur une sorte de nuage.
Claire se lève, elle s'étire telle une tigresse, déployant sa forte poitrine et ses fesses rondes, puis se dirige vers notre canapé. Mais elle ne vient pas vers, moi : elle s'accroupit au niveau du sexe de mon copain. Lorsqu'elle le prend en main, il trésaille et me lance un regard affolé.
Je sais à ce moment-là que je peux tout stopper, mais si j'accepte, alors tout pourra s'enchaîner sans qu'aucune limite ne puisse venir entraver des jeux sexuels beaucoup plus dangereux. Je n'ai pas le temps de réfléchir et je lui souris pour lui signifier que j'accepte. Il laisse donc la belle métisse prendre son sexe en bouche. Elle sait y faire, car mon homme n'est pas long à gémir de plaisir.
Mais comme il a joui peu de temps avant, il va mettre un certain temps pour éjaculer ; je le connais bien mon homme. Pour l'instant il bande comme un âne. Je ne ressens rien de particulier de voir la bouche de ma partenaire s'activer sur le sexe de mon copain. Jusqu'à maintenant je ne l'ai jamais partagé avec une autre. Par contre, moi j'avais déjà sucé un autre homme et je m'étais faite caresser par celui-ci : le beau masseur du centre naturiste.
C'est au tour de mon frère de se lever. Je sais qu'il ne viendra pas vers moi. Il a toujours respecté cette barrière invisible qu'est l'inceste ; même s'il dit qu'il fantasme sur moi lorsque je me balade en petite tenue. D'ailleurs je ne le désir pas : J'aime voir son sexe dressé, contempler sa virilité, mais jamais rien de plus. Nous sommes frère et s'ur, jamais il n'y a eu d'attouchements entre nous, seulement des regards sur nos intimités.
Non, il se place derrière sa copine, la prend par les hanches et sans ménagement il s'introduit dans son cul. Elle feule de plaisir à cette introduction brutale que j'aurai redouté pour ma part. Mais elle doit être tellement habituée, que mon frère peu la pénétrer sans même lubrifier le conduit. Je regarde mon frère s'activer dans le tréfonds de sa copine tandis qu'elle est toute à son affaire ne quittant pas le sexe d'Hervé. Celui- ci a toujours sa tête posée sur ma chatte, je me décale un peu pour placer mon sexe au- dessus de sa figure. Il commence alors à me lécher la chatte.
Devant mes yeux se passe alors ce que je redoutais tant. Je n'avais rien fait pour arrêter cette spirale alors qu'il en était encore temps. A présent je sais que je ne peux plus endiguer le cours des choses. Claire a sorti un préservatif de je ne sais où et le déroule sur le sexe parfaitement dressé de mon homme. Sans plus de façon, elle vient s'empaler dessus en l'engloutissant d'un seul mouvement. Didier qui avait quitté son cul, reprend sa place. C'est alors que commence une chevauché fantastique où la belle métisse feule, grogne, éructe et crie comme un forcené.
Elle prend un pied énorme dans cette double-pénétration.
Les deux queues coulissent en elle pour le plus grand plaisir des hommes, qui voit ainsi cette femme se livrer au summum de la luxure.
Moi c'est tout autre chose : J'éprouve de la jalousie. Tant qu'elle avait le sexe de mon homme dans sa bouche, je le supportais bien, mais là, j'ai du mal à l'accepter. Elle est en train de se faire sauter par mon homme et enculer par mon frère. Pour moi c'en est trop.
Mais comme je l'ai dit il est trop tard pour intervenir. Il aurait fallu que je n'accepte pas la pipe qu'elle lui a prodiguée. Je ne dis rien, mais de dépit je quitte ma place au-dessus d'Hervé et je me place en face du trio infernal. J'essaie de me contenter en me branlant, histoire de trouver du plaisir qui atténuera mon désenchantement. Mais c'est peine perdue, je n'arrive à rien alors que Didier explose dans le cul de sa copine. Hervé jouit dans le vagin de la belle tandis qu'elle a eu au moins deux orgasmes consécutifs durant ces assauts de double pénétration.
La séance étant finie, je prends Hervé par la queue, toute poisseuse de son sperme et le ramène dans notre chambre. Je m'écroule sur le lit et ne peux cacher mes larmes.
- Pourquoi pleures-tu mon amour ?
- Tu le sais très bien.
- Je me doute que c'est cette séance de baise qui t'a chamboulée. Mais je ne sais quoi exactement. Est-ce que c'est de m'avoir vu être sucé par ton frère. Tu sais je ne suis pas devenu homosexuel pour autant' Pour dire la vérité, se faire sucer par un homme n'a rien de désagréable. Au départ on se dit que jamais on ne le fera, mais une fois qu'on est dans le bain' C'est même assez jouissif. Dans la foulée on n'hésite pas à prendre sa queue dans la bouche. Et les ordres de Claire qui te baisait devant nous étaient tellement sans appel, que j'ai suivi le mouvement. Je ne pensais pas que des attouchements homosexuels puissent me donner autant de plaisir.
- Non, ce n'est pas cela. Mon frère aime bien se payer un mec de temps en temps, mais lui?même n'est pas homo pour autant. Quand il faisait ses études il palliait le manque de fille avec son copain de chambrée. Je te l'ai déjà raconté.
- Alors c'est parce que Claire m'a sucé ? Mais tu m'as dit « oui ». Je t'ai pourtant interrogée du regard, mais tu semblais me donner l'autorisation
- Non jusque là ça allait.
- Alors qu'elle se soit empalée sur moi. Mais ma chérie, il fallait arrêter les choses avant que cela dégénère. En plus, je ne pouvais rien faire. Ton sexe était posé sur mon visage et c'est elle qui a tout fait.
Je me taisais. Tout ce qu'il disait était vrai et tout était de ma faute.
- Tu sais, Elodie, c'est toi que j'aime et personne d'autre. Si je te disais que je n'ai pas pris de plaisir avec cette fille, je te mentirais. Mais de voir l'état dans lequel cela te met, m'enlève toute envie de recommencer. Je tiens trop à toi pour te faire de la peine ainsi. Si tu le désires on leur demande de partir dès ce matin et on essaie de tout oublier.
- Non, je ne peux pas chasser mon frère ainsi. Ils ne doivent repartir qu'après une seconde nuit passée chez nous. Mais il n'y aura pas de seconde nuit sexuelle comme celle-ci. A nous de ne pas accepter de nouveaux rapports.
Je m'endormis dans ses bras. Cette étreinte était ce qui me rassurait le plus lorsque quelque chose me tourmentait. Hervé arrivait à me mettre du baume au c'ur ainsi. Il ne s'agissait que d'une douce et tendre étreinte sans rien de sexuel.
Le lendemain au réveil, nous nous sommes retrouvés tous nus au petit-déjeuner mais rien ne fut dit sur la soirée de la veille, comme si rien ne s'était passé. J'étais tout de même contrariée, cela devait se sentir dans mon attitude ou dans le ton de ma voix, l'absence de sourire sur mes lèvres. Je ne voulais pas faire la gueule à mon frère et à sa copine, mais c'était plus fort que moi. Lorsque nous nous sommes retrouvés seule avec Claire elle me dit :
- Tu n'as pas l'air bien. C'est à cause d'hier soir.
- Oui, lorsque tu as chevauché mon copain, j'ai éprouvé de la jalousie.
- J'en suis désolée. Je ne pensais pas que tu éprouvais ce genre de sentiment. Moi, depuis que je connais ton frère, je n'éprouve plus cette sensation. Je lui appartiens, mais je sais qu'il ne m'appartient pas et je m'en contente, d'autant que je suis toujours partie prenante dans les aventures libertines qui jalonnent notre vie de couple.
- Tu veux dire que lorsqu'il fait l'amour avec une autre fille que toi, tu es toujours présente ?
- Oui et je participe. Avant même notre rencontre, je n'ai jamais été très processive. Avec Didier, il est hors de question d'être jalouse, sinon je l'aurais déjà quitté. Je peux te dire que lorsque j'ai su qu'il baisait avec des mecs, ça m'a fait un choc. Et puis lorsqu'il a attiré une fille dans notre lit pour faire une partie à trois, j'ai eu un pincement au c'ur, jusqu'au moment où moi-même j'ai profité du corps de la fille. Tu sais si j'ai pris ainsi ton copain, c'était pour profiter d'une double pénétration, ils sont rares les mecs qui acceptent de partager une fille avec un autre mec. C'est ça le problème, lorsque deux mecs se mettent à poil pour une fille, il y a une compétition entre eux : Celui qui a la plus grosse queue, celui qui tiendra le plus longtemps' J'aimerais bien baiser avec certains des amants de mon chéri, mais la plupart du temps ils sont purement homos et pas du tout bisexuel, si bien que pour moi ce n'est pas le pied. Je suis certaine que si hier tu avais eu un autre homme pour toi, le sentiment de jalousie aurait été moins poignant. Mais comme Didier est ton frère, ce n'était pas possible. Dans le cas contraire je te l'aurais prêté bien volontiers.
Plus rien ne m'étonnait venant de mon frère et je commençais à comprendre la façon de fonctionner de ce couple.
- Je ne suis pas encore prête à prêter mon homme à une autre femme, lui dis-je.
- Mais pourquoi n'as-tu pas interrompu le jeu au moment où j'ai commencé à sucer ton homme.
- Parce que jusque là, je l'acceptais. Depuis que nous nous connaissons avec Hervé, je me suis fait déjà sucer par d'autres hommes et j'en ai sucé d'autres, donc je ne vois pas comment je pourrais refuser qu'on prodigue à Hervé une fellation.
En fait j'en rajoutais un peu. Il n'y avait pas « d'autres hommes » qui m'avaient sucée, mais un autre, en la personne du masseur dans le centre naturiste.
- Elodie, je suis absolument désolée de t'avoir peiné. Je ne voudrais pas que nous nous quittions ainsi. J'aimerais que nous puissions repartir sur des bases libertines qui ne ravivent pas ta jalousie.
- Que veux-tu dire ?
- Voilà, nous devons passer une seconde nuit chez vous. Il serait vraiment trop bête, une fois le repas fini, de rejoindre chacun notre chambre comme de sages couples. Que dirais-tu d'une soirée mélangiste.
- Une soirée quoi ?
- Le mélangisme consiste à partager les préliminaires amoureux avec un autre couple. Mais la pénétration est quant à elle réservée à son partenaire légitime. Ainsi nous pourrions prendre beaucoup de plaisir les uns avec les autres, tout en préservant ton couple puisque l'acte sexuel proprement dit est chasse gardée.
- C'est vrai que c'est assez intéressant sur le papier. J'aime voir, je l'avoue, mon frère faire l'amour. Moi-même, qu'on me voit faire l'amour avec un homme, mon homme, ne me gêne pas, cela permet même de mettre du piment dans le couple je pense. Je ne pense pas qu'Hervé soit contre.
- Cela permet de participer à la montée du désir de ses partenaires d'un soir. Et puis cette pratique permet aussi d'ouvrir de belles perspectives pour les femmes ! Le mélangisme implique souvent la bisexualité féminine.
- Et cela te permettra ainsi de sucer mon homme en toute impunité et avec mon consentement ?
- C'est vrai. Au fait, lorsqu'il est en érection, la taille de son sexe est tout à fait honorable, comme tu me l'avais annoncé.
- Tu as pu le constaté de visu.
- J'ai du mal lorsque les hommes ont un petit sexe. Mais celui d'Hervé a une taille parfaite en longueur et en grosseur.
- Oui, tu as pu t'en apercevoir pas par le sens visuel et le sens sensitif.
- Mais tu sais, continua-t-elle en éludant ma remarque acide, c'est un bon point de départ pour dynamiser la sexualité de ton couple ! La plupart du temps, les préliminaires et caresses intimes sont partagés entre tous, mais il arrive aussi que le mélangisme, chez certains couples, se limitent au plaisir du voyeurisme et de l'exhibitionnisme : Le couple légitime reste de son côté, mais partage ses ébats dans la même pièce que d'autres couples. Ainsi tu restes libre de faire ou de ne pas faire, de regarder ou non, de te montrer ou non.
L'après-midi, nos compagnons allèrent faire une marche dans les sentiers voisins. On pouvait parfois se balader à poil sans craindre trop de rencontre, en sortant par l'arrière de notre jardin ce qui était très agréable. A cette époque là, les randonées n'étaient pas encore dans l'air du temps. Avec Claire, nous avions choisi de rester tranquillement dans le jardin pour profiter de la douceur printanière. Nous étions étendues nues près de la piscine.
Nous prîmes notre diner en restant nus tous les quatre, puis nous passâmes au salon. Assise sur un des canapés, Claire commença à peloter Didier. Mais elle ne s'y attarda pas. Elle vint se lover entre mes jambes pour venir s'occuper de mon sexe alors qu'Hervé me caressait les seins. Didier s'approcha alors de mon homme et lui présenta son sexe qui se retrouva en bouche.
Je ne raconterai pas dans le détail cette soirée où nous permutâmes les partenaires sans pour autant que les coïts se fassent hors des couples légitimes. Moi léchant Claire, Claire me léchant, nos hommes se léchant mutuellement, Hervé prodiguant un cunnilingus à Claire, puis celle-ci lui faisant une belle fellation' Pourtant, j'avais moins le choix des partenaires, car Didier était mon frère et l'inceste était une pratique que nous réprouvions l'un comme l'autre. Cependant, dans cette furia, je ne peux pas ignorer que l'une des langues qui s'attarda sur mon clitoris fut celle de mon frère et qu'à un moment, sa queue se trouva à quelques centimètres de mon visage. Je daignai alors la prendre en main pour la branler et n'y tenant plus, oubliant quel était son propriétaire, j'appliquai sur le gland quelques habiles coups de langue.
Bien sûr, nos beaux étalons nous honorèrent, Didier en Claire et Hervé en moi. Nos deux couples étant comme le miroir l'un de l'autre, car nos hommes nous prenaient dans la même position, l'un imitant l'autre : La position du missionnaire suivie de celle d'Andromaque, puis en tournant le dos à mon mâle, la posture de la balance puis de la balançoire. Lorsque nos hommes eurent éjaculé en nous, avec Claire, nous nous sommes positionnés en 69 afin de nous repaitre du mélange de cyprine et de sperme qui dégoulinaient de nos vulves.
Après avoir reprit une certaine vigueur, nos vaillants chevaliers repartirent à l'assaut pour nous sodomiser. C'était la première fois qu'Hervé pénétrait mon anus sans le lubrifier. Mais là, avec ma seule mouille, mon cul s'ouvrit et accueillit avec délectation son sexe dressé.
Lorsque Didier et Hervé furent exténués, ils eurent juste la force de regagner leurs chambres alors qu'avec Claire nous restions dans la salle de séjour à nous caresser très tendrement, totalement repues de sexe.
- Alors, Elodie, comment as-tu trouvé cette soirée ?
- Fantastique ! Effectivement je n'ai pas éprouvé de jalousie et à la fois une extrême jouissance de pouvoir faire l'amour avec toi et mon homme. Seulement'
- Quoi ?
- Didier étant mon frère, je ne pouvais bénéficier de ses caresses, ni lui de ma bouche.
- Tu as raison. Mais c'était pour toi une première, il ne t'appartient plus qu'à renouveler l'expérience avec un couple dont ni l'un, ni l'autre ne sera de ta famille proche.
Et puis ce fut le moment du départ. Claire avait revêtu une robe d'été échancrée en haut et assez courte en bas. Il était net qu'elle ne portait pas de soutien- gorge, ses beaux seins qui pointaient fièrement sous la fine étoffe, n'en n'avaient nul besoin. Lorsqu'elle s'assit dans la voiture, je remarquais qu'elle ne portait pas non plus de culotte. Je dis alors à mon frère en lui faisant la bise :
- On conduit avec les deux mains sur le volent.
- Oui, mais il est bien de faire des petites poses sur la route.
Pour les quitter, Hervé et moi n'avions pas ressenti le besoin de nous rhabiller et je vis nettement que lorsque Claire embrassa mon compagnon pour lui dire en revoir, elle ne pu s'empêcher de lui palper le sexe. Quant ce fut moi qui l'embrassais, elle apposa ses mains sur mes deux seins en me disant : J'ai beaucoup aimé ces deux jours' Et cette nuit. Tu as un copain formidable, ne le laisse pas t'échapper.
- Je n'y compte pas, lui répondis-je.
Moi-même je laissais traîner ma main sur sa cuisse et remontais jusqu'à son con, que j'investis d'un doigt. Elle poussa un petit cri de surprise, suivi d'un sourire radieux. Alors que la voiture démarrait, je portais mon doigt à mes lèvres, dégustant une dernière fois le goût de l'intimité de la copine de mon frère.
A suivre
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